Brooklyn McFadden

Carte Etudiant:
Nom: McFadden
Prénom: Brooklyn
Surnom (facultatif): Brooke
Age: 20 ans
Lieu de naissance : Menphis (Tenesee, USA)
Campus : Bêta
Année scolaire (1ère,2ème) : 1ère année


Apparences Physique:
Allure (visage et corps):
La silhouette élancée de Brooklyn n’a pas perdu de son charme, même après une grossesse. Peut-être un peu plus voluptueuse qu’auparavant, mais cela ne fait qu’accentuer ses courbes divines. Il se dégage d’elle une félinité hors du commun qu’elle transmet inconsciemment à travers sa démarche assurée, sa gestuelle aguicheuse. Mais l’apparence physique de cette jeune femme ne se résume pas à ce corps sculptural (elle est n’est d’ailleurs pas partisane du moindre effort pour le conserver et l’entretenir, ce serait bien trop beau). En effet, son visage est indéniablement source de son charme ravageur. Sa superbe chevelure châtain encadre un visage à aux traits fins et à la beauté sulfureuse. L’élément le plus fascinant sont ses grands yeux clairs, à la couleur oscillant entre le gris et le bleu lagon. Autre atout, ses lèvres. Pulpeuses, elles apportent un peu plus encore de sensualité à son joli minois gracieux.
Style de vêtements: Le style vestimentaire de Brooklyn reflète son état d’esprit. Un exemple banal, si elle est triste, le noir dominera. Cependant, si elle est gaie et pleine de peps, elle sera bariolée de couleurs. Bien sûr, c’est là résumé grossièrement la chose mais l’idée principale y est. Fashion Victim de façon générale, elle adopte toutefois tout et n’importe quoi au gré de ses envies et de ses coups de cœur du moment. Il est clair que l'étudiante est passé par tout les looks, même si ce n’est que pour un jour, qu’importe. La mode c’est pouvoir se renouveler, varier les plaisirs. Fana de mode elle est accro aux grandes marques comme Chanel, Valentino, Gucci…etc mais aime aussi le vintage qu’on retrouve généralement dans les friperies à bas prix.
Autres (percings, tatouages, autre ...):
Brooke possède un piercing au nombril.

Psychologie & Personnalité:
Caractère, mentalité:
Brooklyn est dotée d’un tempérament de feu. Elle n’est pas vraiment (du tout) du genre à se laisser marcher sur les pieds. Elle dit les choses ouvertement, ce qui lui plaît tout comme ce qui ne lui plaît pas, quitte à être méchante. La miss se contrefiche de ce qu’on peut penser d’elle, d’être aimer ou non. Contrairement à ce que l’on pourrait croire donc, elle est pourtant d’une nature très sociable, voir un peu trop. Son goût de la fête est connu de tous. Toujours pleine de vie, et partante pour s’amuser, vous ne trouverez pas meilleure camarade de sortie. Cependant, il ne faut pas avoir peur de se faire remarquer, car la jeune McFadden est une hystérique et pas de la moindre espèce. Ainsi elle peut vous sauter au cou, vous embrassez si elle déborde de joie mais faites attention, car cela peut vite se retourner contre vous. En effet, il ne vaut mieux pas l’énerver, elle ne parle pas, elle crie. Se faire remarquer est loin de lui poser problème. Autre aspect de sa personnalité haute en couleurs et qui vient compléter ce bref portrait, c’est une allumeuse de première catégorie et qui adore jouer, taquiner, en tout insouciance bien sur .
Défauts:
Brooklyn n’est peut-être pas assez évoluée pour assumer son rôle de mère. En effet, elle est toujours cette fille à papa aux multiples caprices. C’est une dépensière de la pire espèce, qui lorsqu’elle commence, ne peut plus s’arrêter, qui ne regarde jamais les prix et sait se faire plaisir. Beaucoup trop fêtarde, elle plonge souvent dans l’excès. Bien évidemment c’est une peste, j’entends par là qu’elle n’hésite pas à sortir les griffes dès que l’on ose la contrarier et à vous en faire voir de toutes les couleurs. Sa jalousie est chronique, son tempérament possessif . D’une nature hystérique, elle est capable de faire une scène en n’importe quelle circonstance si elle l’a décidé. Car un autre de ces défauts est qu’elle est bornée et en plus de cela, fière et orgueilleuse. Ne comptez pas sur elle pour vous présenter des excuses !
Qualités:
Malgré tout ce qu’on peut lui reprocher, elle est une jeune femme pétillante et qui redouble d’énergie, surtout quand il s’agit de séduire et de faire la fête. Sa détermination fait qu’elle obtient toujours ce qu’elle veut et gare à celle ou celui qui ose lui tenir tête (elle déteste çà). Elle sait s’adapter aux tournures que prennent sa vie qui, elle en est bien consciente, est un grand n’importe quoi. Qu’importe, rien ne peut l’empêcher d’avancer. Chose étonnante, elle peut aussi se montrer douce à condition qu’elle arrive un jour à témoigner son affection pour quiconque. Peut-être est-ce le fait de pomponner qui éveillera cette douceur? Qui sait.


Goûts:
Aime:
Brooke aime s’amuser, tout simplement et ce sans ce soucier des conséquences. La preuve, en embrassant cette idéologie, elle s’est retrouvée devant un test de grossesse positif un beau matin ! Bref, là n’est pas la question. Elle aime plus que tout dépenser , et ne serait rien sans sa carte de crédit. Miss McFadden affectionne la mode, et adore faire la fête. D’ailleurs sa vie se résume un peu à cela si on y réfléchit bien. Mais son principal centre d’intérêt reste sûrement la séduction. Ce qui vient faire un pieds de nez à tout cela est l’amour qu’elle porte à son fils, Logan. Car c’est sûrement ce qu’elle a de plus précieux au monde même si elle ne s’en rend pas encore compte.
Aime pas:
S’il y a bien une chose dont elle a horreur, c’est qu’on lui tienne tête. Ceci est tout simplement inconcevable, il faut dire qu’elle n’a pas vraiment été élevée dans cette optique et ne connaît pas la frustration du refus puisqu’on lui a toujours tout accordé. Elle déteste également la campagne, ces villes à peine civilisées et dans lesquelles on s’ennuie à mourir. Que l'on parle avec les mains à également le don de l'agacer.

Biographie:
Histoire: voir autre post, plus bas.
Etudes:
Les études n’ont jamais été une priorité pour elle et elle ne projette pas un avenir qui nécessite un prestigieux diplôme de tout manière. Non, en réalité voyez-vous, les études sont plutôt le meilleur moyen de faire plaisir à papa-maman pour qu’ils continuent d’alimenter son compte en banque encore longtemps. C’est d’ailleurs non pas sur ses résultats scolaires qu’elle est entrée à Harvard mais plutôt sur la généreuse donation des McFadden à l’établissement. Lee a toujours eu des relations à Harvard, il n’a pas été difficile d’y faire admettre sa fille unique. Pour finir, parlons un peu de ses compétences scolaires. Compétences, compétences … façon de parler. Car en classe, Brooklyn est loin de briller, au contraire. Il n’est pas rare qu’elle sèche, et puis comme elle le dit si bien, ce n’est tout de même pas de sa faute si elle a mieux à faire.
Famille: Fernanda et sa fille sont loin d’entretenir une relation fusionnelle, leurs discussions sont plates, leurs témoignages d’affections se comptent sur les doigts de la main. La seule activité qu’elles pratiquent encore ensemble est le shopping et Dieu sait à quel point Brooklyn déteste çà. C’est simple, toutes n’arrivent jamais à se mettre d’accord sur quoi que ce soit et se le font comprendre mutuellement. De plus, Brooke soupçonne sa très chère mère de jalouser sa beauté et sa jeunesse. Lee McFadden quant à lui a toujours tout cédé à sa fille et essuie ses multiples frasques sans broncher. Il faut dire qu’il ne voit que très rarement Brooklyn. Le mariage de ses parents est bien loin de lui donner envie. De son côté, Fernanda fait du charme au jardinier tandis qu’on connaît à Lee de nombreuses aventures extraconjugales. Cela est pourtant loin de toucher Brooklyn. La seule personne qu’elle considère comme de la famille en réalité est son fils, Logan. Elle se jure chaque jour de ne pas commettre les mêmes erreurs avec son propre enfant et pourtant en le coupant totalement de son père, elle agit peut-être moins bien encore. La vérité, c’est qu’elle est perdue et n’arrive pas à assumer seule cette enfant et toutes les responsabilités que cela signifie. C’est sans doute la raison pour laquelle elle l’a confié à sa grand-mère maternelle, Brenda.


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Nom de la personne sur l'avatar: Adriana Lima
Comment trouvé vous le design du forum: Sympa et original
Comment avez vous connu le forum: Par un ami
Combien de fois/semaine comptez vous venir sur le forum: régulièrement
Donnez une fourchette du nombre de lignes de vos RP environ: 15-20
CODE: 500

J'annonce déjà que l'avatar est pris ^^
[Faites chier ! Allez voir la liste ]

Quel acceuil Hellroy xD
Bienvenue quand même ^^

Euh ...merci^^
Hellroy, j'ai consulté la liste avant de choisir et le nom d'Adriana Lima n'y est pas inscrit.

Citation :

A
-Alessandra Ambrosio
-Alex Pettyfer
-Alexis Bledel
-Alexis Dziena
-Alicia Keys
-Allison Mack
-Alyssa Milano
-Amanda Bynes
-Amanda Seyfried
-Amy Lee
-Amy Smart
-Ana Beatriz Barros
-Andres Segura
-Andrew Cooper
-Angelina Jolie
-Ashley Olsen
-Ashley taylor-dawson
-Ashton Kutcher
-Autumn Reeser
-Avril Lavigne
-Aya Kamiki
-Ayumi Hamasaki
-Anne Hathaway
-Adrian Bellani
- Anna Paquin

Alors je change
[Faites chier les "valideurs" a pas mettre les noms dans la liste xD]
Sorry ma tite demoiselle.. Enfait je viens de réfléchir que la fille a quitté le forum je crois xD
[Dsl j'enchaîne les méga boulettes today T___T pfiouuuuu]
Dsl dsl dsl [excusée ? ^w^]

BIENVENUE =)=)

Donc Adri libre ou non libre?
(çà m'embête d'avoir fait le physique, le vava et la bann pour rien)
Excusée.

EDIT: Hii, merci Wendy.

Oo. Au pire je demanderais un jumelaje je crois ^^
J'ai terminé, je poste l'histoire ici car je n'avais plus de place dans mon premier post.

Histoire:
Fernanda Vargas, une immigrée brésilienne, s’installa en toute illégalité à New York dans les années 80. Les galères s’enchaînèrent pour ne pas dire carrément qu’elles s’accumulaient. Jusqu’à ce qu’un beau jour un célèbre bookeur croise sa route. Ce fût un coup de foudre professionnel pour cette homme, reconnu dans le milieu de la mode, un certain Glenn Higger. Il lui proposa de faire des essais, histoire de voir si la brésilienne qui ne parlait quasiment pas un mot anglais encore, était à l’aise devant l’objectif. Ces essais s’avérèrent convaincants puisqu’il en fit une véritable star des podiums. Effectivement, quelques mois plus tard, le nom de Fernanda Vargas était à peu près sur toutes les lèvres dans ce milieu si peu accueillant pourtant.

Le gala en l’honneur du lancement d’un nouveau magazine dont elle faisait bien évidemment la couverture fût propice à sa rencontre avec Lee McFadden. Fernanda, un peu plus accoutumée à la langue comme aux gens beaucoup moins chaleureux qu’au Brésil, s’épris vite de cet industriel audacieux qui ne cherchait sûrement rien de plus qu’à profiter de la plastique avantageuse du jeune mannequin. Quoi qu’il en fût, six semaines plus tard, à la surprise générale, elle accepta sa demande en mariage faite dans un restaurant huppé de la Grosse Pomme, avec diamant à l’appuie (c’est sûrement ce qui décida Fernanda d’ailleurs). Car la jeune Vargas était bien consciente qu’en épousant McFadden, elle serait à l’abris du besoin toute sa vie désormais. Quant à lui, on ne su jamais vraiment la raison pour laquelle il décida d’en faire sa femme, il avait la réputation d’être un séducteur invétéré pourtant. Peut-être en était-il réellement tombé amoureux? Après mûre réflexion … non.

A peine deux ans s’étaient écoulés que leur premier et dernier enfant pointa le bout de son nez. Il s’agissait d’une petite fille qu’ils prénommèrent Brooklyn en référence au quartier new-yorkais dans lequel elle avait été conçue. Cet enfant venait comblé non pas le désir de paternité de Lee mais plutôt celui d’avoir une « héritière » car en cas d’accidents, et ce à causes de vieilles querelles, il se refusait à ce que son frère hérite du moindre copeck. Et la solution qui s’imposa à lui fût d’avoir un enfant. Il se disait que tôt ou tard Fernanda et lui en auraient de toute façon un, et le plus vite possible serait dans ce cas le mieux. Oh, n’allez pas croire que sa femme était moins méprisable dans son choix de devenir mère. Il était évident que cela venait renflouer et assurer une bonne fois pour toute sa position, en cas de divorce, elle exigerait une pension alimentaire faramineuse. Voilà un peu dans quelles conditions la petite Brooklyn vint au monde. Cela ne l’empêcha pas d’être couverte de cadeaux par ses parents et d’affection … par des nourrisses qui défilèrent les unes après les autres. De l’amour sur commande en quelque sorte, que l’on consomme puis que l’on jette. Un amour qui ne remplacerait cependant jamais celui de ses parents, c’est certain.
C’est dix-huit ans plus tard que l’on retrouvre Miss McFadden, en Sardaigne. A Porto Cervo plus exactement, le Saint Tropez italien. Si l’on peut se permettre de passer sous silence son enfance, ainsi que son adolescences c’est que celles-ci ne sont pas différentes de ce que vous vous imaginez. Baignant dans le luxe le plus absolu, goûtant à tous les excès et ce sans modération (alcool, drogue, sexe), dépensant en une après midi shopping l’équivalent de votre salaire annuel, etc … Brooklyn était bel et bien devenue cette petite fille riche, une garce à la fois pimbêche et allumeuse qui ne pense qu’à une seule chose : s’amuser , et qui méprise le reste du monde par-dessus tout.

Ses soi disantes « plus belles années » ( les années lycée) étant révolues, elle s’accorda une année sabbatique à Porto Cervo en compagnie de sa meilleure amie, Lucianna Di Valdi. C’est d’ailleurs dans la propriété de la tante de celle-ci qu’elles résidèrent. Année sabbatique signifiait faire la fête, sans se soucier du reste. S’amuser était quelque chose qu’elles auraient très bien pu faire à Memphis ( c’est là que résidait les McFadden à présent, dans un quartier résidentiel huppé mais Lee n’était que de passage le plus souvent ) mais c’était oublier le fait que le fils de Giovanna, ou si vous préférez le cousin de Lucianna, était canon. Et il se trouvait que celui-ci avait eu la même idée qu’elles : prendre des vacances dans leur demeure de Porto Cervo et … pas en mauvaise compagnie. Car Marco n’était pas venu seul, un certain Matthéo le rejoignit.

Ah Matthéo, ce fût le coup de cœur de la belle McFadden, ni plus ni moins. Tous deux se ressemblaient tellement que leurs relations étaient plutôt conflictuelles, chacun tenant tête à l’autre. Et pourtant, elle s’y attacha très vite sans même s’en rendre compte. Il faut dire qu’ils passaient la plupart de leur temps ensemble. Ils prenaient leur petit dej’ ensemble, ils piquaient une tête dans la piscine ensemble, puis ensuite ils se rendaient à la plage ensemble, le soir venu ils sortaient en boîte ensemble et il n’était pas rare des les retrouver dans le même lit le matin venu parfois. Biensur ils ne faisaient pas toutes ces choses à deux, çà aurait été agir comme un couple et çà c’était contraire à leur conception de la vie. Non, pour se cacher de cette vérité affolante, ils se disaient simplement qu’ils s’éclataient tous les quatre. Lucianna, Marco, Matthéo et elle. Ils continuaient de se prendre la tête pour des broutilles au plus grand désespoirs des cousins Di Valdi, et lorsque Brooklyn hurlait à Matthéo dans toute la maison qu’elle le détestait, celui-ci ne se gênait pas pour lui rappeler qu’ils avaient tout de même passer la nuit dernière ensemble. Ce qui, comme vous vous en doutez, avait le don de ne l’agacer que plus. Et pourtant c’était vrai, mais dans l’optique qu’ils passaient des nuits ensemble tout comme ils passaient des nuits dans les bras d’autres inconnus, cela était insignifiant. Ils faisaient l’amour comme ils se chamaillaient.

Enfin, toutes les bonnes choses ont une fin et un an plus tard, elle quitta Porto Cervo pour Memphis. C’est seulement là que l’absence du jeune Cippoli se fit ressentir. Lui était sûrement retourné à Milan, c’est du moins là qu’il vivait, du moins c’est-ce qu’il lui avait dit une fois si ses souvenirs étaient bons. Aucun des deux ne se décida à passer le moindre coup de fil à l’autre, çà aurait été avouer qu’on tenait à l’autre et c’était une chose affreusement répugnante selon eux. Sacrés eux !
Si elle tentait d’effacer peu à peu le souvenir de Matthéo avec le temps, il resurgit dans sa vie sans le vouloir et ce sous la forme la plus dérangeante : elle attendait un enfant de lui. Il ne manquait plus que çà. N’importe qui aurait pu être le père, mais nan, le destin voulu que ce soit lui. Des tests le prouvait. L’erreur fût sûrement d’envoyer les tests à Matthéo en dernier, c’est-à-dire le plus tard possible et donc quelques mois après la venue au monde du petit Logan. Lorsque Brooklyn dû regagner le campus d’Harvard, elle laissa son fils entre les mains de sa grand-mère paternelle, résidant à Memphis. Il était inconcevable pour elle de confier sa garde à Fernanda qui n’avait jamais réussi à créer le moindre lien avec sa propre fille déjà. Peu de jours avant sa rentrée à Harvard, elle reçu un coup de fil de Matthéo, et c’est comme celle qu’elle apprit qu’elle le retrouverait sur le campus. Ce fût le cas, et leurs relations s’annoncent … tendues. Non seulement elle l’évite mais en plus elle refuse de le laisser entrer dans la vie de Logan, ce qui est loin d’être du goût du jeune homme.

Bienvenouch !! Belle fiche pas finit xD

Si, si, finish Merci Kristin.

Magnifique Fiche O_O

En tout cas bienvenue a toi, et bon jeu

Oo mici Ryan, çà fait plaisir.

Merci, c'est gentil.