Le debut des profits...[FigthClub Membres]

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La porte s'ouvrit, levant sur son passage d'ouverture, de la poussiére et de la terre battut, qui marqué l'age avancé de la vieille usine deaffecté. Ancienne fonderie, le jeun homme qui entra dans les lieux avait un sourire des plus satisfait, il y avait passé tellement de temps a degager tout ce qui lui avait semblé inutile, ne gardant que les machines qui pouvaient servir pour l'un de ses nombreux délires... Six mois, six mois de sueurs, de crampes, de travail acharné, pour un resultat impeccable, un endroit revé pour ce qu'il voulait en faire...

L'étudient avanca alors dans l'obscurité la plus totale, franchissant la porte métalique a base de tole froissé, marchant sur cette poussiére, ses chaussures s'enfoncants légérement dans la terre battuts, soulevant a son tour un peu de grains de sable... Il avancait au milieu des rangées de depots qu'il avait laissé la, pour rendre l'endroit un peu plus "modernisme industriel", un genre qui lui rappelait Londres du siécle ancien.. Son sourire toujours affichait, il continua a entrer au coeur de cette industrie a l'abandon, regardant de toute part le fruit de son travail...

Il passa rapidement sur le coté de la structure, arrivant devant un poste de transformation electrique... Il saisit la poignet qui était descendut. Certe le jeune homme n'était pas electriciens, mais internet aidant il avait put tout recabler... C'est avec une certaine aprehention qu'il regarda une derniére fois le lieux de son travail dans le noir, avant de lever d'un coup sec le dijoncteur général... Et la, ce fut la merveille de ces plus doux et malsains réve qui se réalisa devant lui... Il avanca vers l'épicentre du depot...

Il arriva alors au centre du grand hall, la ou se deroulerait la plupart de son trafic, le grand spectacle, le lieux de debauche et de plaisir, de guerre mode solo et de fierté humaine mal placées... Il fit un tour d'horizon... Face a lui se trouvait les grandins, en fer forgés, la rouille mangeant les petits siéges de métal, mais qui pouvaient tout de méme acceuillir une cinquantaines de visiteur et surtout des gosses de riches en mal de spectacle interdit... Sur la droite, les "vestiaires" des gladiateurs, deux mobiles homes, retravaillaient eux aussi, simples, rustiques, mais avec tout ce qu'il fallait pour les participants...

Encore un peu plus a droite, la tribune des VIP... La, oui ici méme, les plus riches et les invités d'honneurs, brassant leurs argents sans compter, c'est ici qu'ils allaient se trouver, se debarassant de leur monnaies, qui tomberait dans la poche du Britannique, deja exité a cette idée la...

Derriére lui, le podium, ou de magnifiques bombes viendrait faire leurs Show, accompagné en cela par le Dj, placé juste a coté d'elles. Une barre, une cage, de quoi faire tourner la téte a certains ici, méme pendant les combats, les sirenes allaient faire des show plus que chauds méme... Rien de mieux pour faire perdre la téte au plus serieux des cleans, sang, adrénaline, sexe et femmes qui bouge a moitié a poil...

Et enfin sur sa gauche, le petit local, ou la vente de tout autre produit aurait lieux, ici drogue, alcool, rencart avec une des bombe du podium, tout se vendaient, mais surtout, tout s'acheté en quantité, des produits de qualités, du pure produit made In Havard.... Le jeune homme finit par sourire, puis doucement a rire, imaginnant deja son compte en banque augmenter comme jamais... La régle de ce lieux, des combats, des luttes, du sang, et pas de fiottes... Il était heureux, Andrew avait reussi son pari fou, et il lui manquait plus que les participants, mais surtout les porte monnaies....

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Mortel ennui…

Bāndô broyait du noir ces temps-ci… Elle n’avait rien à se mettre sous la dent, cette université regorgeait de saintes nitouches prêtes à appeler le samu si elles se cassaient un ongle… Urushima, nostalgique, regrettait Tokyo et ses rues malfamées, son territoire, sa bande, elle avait tout laissé… Et aujourd’hui, elle comptait les jours, chose qui ne lui ressemblait pas… Privée de ses charges d’adrénalines que lui rapportaient ses nombreux affrontements, Bāndô était bien amère car ses victimes ne lui donnaient aucune satisfaction ; une droite bien placée et elles se retrouvaient k.o. Le temps où l’on affrontait un même ennemi à plusieurs reprises était-il donc révolu ? Devait-elle se rabaisser à s’attaquer aux faibles ? Cette idée la dépossédait de ses moyens, elle ne savait plus que faire dans cette Amérique qu’elle n’affectionnait pas le moins du monde…

Ce soir, c’était le tour d’une japonaise dont le tort avait été de vouloir évincer Urushima de son propre gang. La demoiselle en question se trouvait là, son corps meurtri fracassé nageant dans une beine à ordure. Bāndô finit de l’achever avec un coup qu’elle lui porta au crâne, une planche de bois trouvée là, en guise d’arme… Le sang finit d’inonder le visage de l’adolescente qui ne s’en sortirait sûrement pas : c’était le premier rixe qui se clôturait d’une mort –du moins sur le territoire américain- auquel la marginale avait participé. Son mot d’ordre était de toujours laisser la victime en vie, quoiqu’il en soit, pour qu’elle puisse aller dénoncer la coupable, et ainsi émanciper la menace parmi ses comparses… En faisant cette première entorse à ses éthiques, Bāndô se sentait définitivement désarmée. Que devenait-elle au juste ? Non, il ne s’agissait pas de cela : le monde changeait. Les nippons n’oseraient jamais se quereller entre eux, bien trop fiers et soudés. Et voilà que cette fille qui prenait maintenant un bain d’ordure, avait voulu trahir une collègue… C’était impensable pour Urushima… Dépitée, elle se débarrassa de sa planche de bois avant de jeter un dernier coup d’œil à la victime, qui autrefois était une alliée… La déception l’assailli : elle était désoeuvrée face à la trahison… C’était décidé, elle n’avait plus rien avoir avec ce gang…

Ils venaient de perdre un de leur plus grand atout, et elle, la confiance qu’elle accordait à tout japonais…
Elle regarda son chien, un faible sourire pendu à ses lèvres… Bāndô laissa le corps sur son trône de déchets et s’évanouit dans la brume du soir, talonnée par son fidèle beauceron… Silencieuse, elle marchait sans vraiment savoir où elle allait… Demain, il fallait qu’elle règle son compte à une Hottie proche d’Ethan, trop à son goût…
Son attention se porta sur un des hangars de la vielle usine… Stoppant net sa marche, elle hésita un instant avant d’emboîter le pas vers le local… A son arrivée, un inconnu enclencha les lumières qui laissaient découvrir un aménagement dont on ne voyait pas la fin. L’homme en question ne remarqua pas la présence de Bāndô, qui s’adossa alors contre la porte, regardant pensivement l’adolescent, les bras croisés…

« Ey… Cendrillon… T’es au courant que tu marches sur les plates-bandes des japs ? »

Territoire qui ne lui appartenait plus depuis quelques minutes car sa décision de quitter ses compères serait irrévocable. Sarcastique, elle s’adressa à Andrew, notant que cette endroit avait tout de louche, et qu’il n’était sûrement pas prévu pour jouer aux cartes…

« Joli… Tu me montres la chambre ? »

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L'éclairage était au poil, vraiment de quoi mettre le ring, l'epicentre du hangar en valeur... Il gardait son sourire de gosse, heureux d'avoir enfin put réaliser un projet de longue date, un projet qui allait lui raporter une petite fortune...
Etrange de sourire devant le principe méme de ce lieu sinistre pourtant. Ici, il y allait avoir des hystériques, des fou furieux voulant en decoudre avec d'autre tarés venue d'on ne sait ou, juste pour castagner et prendre leurs pieds a eclater des gueules, faire jaillir un bon bain de sang..; Andrew n'était pas de cette race la, lui il était l'entrepeneur, celui qui offrait un lieu a tout ces malades du cervaux, qui prenait du bon temps a se deglinger. Mais il était surtout un homme a frics, impossible pour lui de vivre sans revenus important, méme si son pére ne cessait de lui en faire parvenir...

Mais l'argent honnéte lui, il n'en voulait pas, ce qui le faisait véritablement monter, c'était la facilité avec laquelle, les americains pouvaient succomber au vices les plus diverses. La drogue par exemple, son tout premier trafic ici, avait été rapidement ecoulé, et il s'était vite fait un nom dans les bas quartiers de cette petite ville qui ne vivait que grace a Havard, son terrain de jeu favori. Ensuite il y avait eu la prostitution, encore plus facile. Draguer des minettes, leurs faire croire monde et merveilles, les droguer peu a peu, et ensuite laisser la dépendance agir, et c'est elles qui demandé a bosser pour lui.... Ils en avait deja mise plus d'une sur le trotoire, et compter ne pas s'arreter en si bon chemin, mais il lui fallai trouver un gerant pour ce genre de buisness, celui d'aujourd'hui allait lui demander tellement de temps...

C'est alors qu'une voix se fit entendre, résonnant dans tout le hangar.. Il tourna doucement la téte vers la voix fémininé qui l'avait dérangé en pleine méditation sur son oeuvre de vie... Certains sont vraiment des malpolie tout de méme... Il fut surpris de voir devant lui une Japonnaise, ou une chinoise, enfin une nana de par La-Bas, de toute maniére il n'arrivait jamais a les distinguer. Elle était plutot potable, mais avec des taches de sang sur les fringues c'était d'autant mieux... Il la regarda un instant, mais laissa finalement la bridée seule, sans plus un coup d'oeil, jusqu'a ce qu'elle parle de visite des lieux...
D'une, cette nana était ou devait étre, du clan des japonnais qui avait fait tant d'histoire pour lui lacher ce bout de tole. Il avait allongé quelques sous, et allongé aussi quelques putains, ce qui regla vite le probléme, les bridés étaient tout aussi faible que les américains....

Il reposa a nouveau ses yeux sur elle, et un sourire commenca a illuminer le visage du jeune britannique...

- Dit donc la bridée, on t'a jamais apprit a demander la permission avant d'entrer chez les gens?

Il fit le tour du ring, devisageant la jeune jap a l'allure de tueuse de la mafia Japonnaise...

- La chambre? Attend fillette, ici, c'est pour les grand, alors va jouer a l'apprentie Bruce Lee, et reviens me voir quant tu sera en age de conduire!

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Ce Gamma aurait pu être un homme d’affaire respecté au sein d’une grande entreprise… Mais sa présence ici n’était pas étonnante : les étudiants des environs étaient richissimes, ils avaient tout ce qu’ils demandaient d’un claquement de doigt… Aucun intérêt pour un mauvais garçon… La nippone ne se doutait pas encore de la voracité impressionnante dont il faisait preuve : on n’imaginait pas qu’il ait pu être dealer, mac et maintenant, organisateur de spectacle où la violence était de mise…
Andrew lui accorda un regard ; elle commenta, un sourire en coin…

« Pas très présentable, mh ? »

En effet, le lambda qui la croiserait dans la rue, éviterait de s’y frotter : regard assassin, veste tâchée de sang, poings blessés, piercings & tatouages sur tout le corps, autant dire qu’on ravalait sa sociabilité à la vue de cette japonaise blonde qui n’avait rien de banale…
MacTyler lui fit ensuite une leçon de politesse dont elle se serait bien passée. Aujourd’hui elle n’avait pas le cœur à s’emporter, elle avait laissé l’hystérique au placard…

« Quand ça sera chez toi, peut-être que je frapperais avant d’entrer, et fait moi penser à amener une boite de chocolat… »

Il chemina alors autour de son ring, se félicitant d’avoir mis sur pied pareil projet, tout en fixant avec insistance la curieuse invitée. Andrew l’envoya balader, sûr de lui… Le malheureux…

« Tu devrais pas faire ça tu sais… Aujourd’hui je suis de sale humeur, t’aurais tort d’ouvrir trop ta gueule… Et puis ça va t’es pas trop moche, je voudrais pas amocher ta face de badboy… »

Son molosse grogna après MacTyler, montrant ses crocs qui avaient du broyer plus d’un os… Bāndô faisait abstraction de toute morale lorsqu’il s’agissait de nourrir son chien ; plus d’un y avait laissé des bras… D’un claquement de langue elle le fit taire, avant de regarder à nouveau l’immense hangar.

« Tant pis… ça sera pas faute de t’avoir prévenu… Si ils te démembrent et qu’ils te font jouer au sushi humain, faudra pas venir chialer… Allez… Dégage l’amerloc…»

Sur ce, elle ne se gêna pas pour s’inviter dans le bureau aménagé d’Andrew, là où il comptait lorgner ses billets. Prenant ses aises, elle se laissa glisser sur le siège, et, pieds sur le bureau, elle s’alluma une clope…

« Putain… Dans quel bled je vis bordel… Quelle petite bande d’enflure… »

Elle repensait au mauvais coup qu’on lui avait fait et aux raisons qui avaient poussés sa collègue à la trahir. Urushima était un élément bien trop dangereux, trop imprévisible,…lors des règlements de compte elle était si impulsive que ses propres compères craignaient qu’elle se retourne contre eux… C’était un électron libre…de la vraie TNT…

« Pas mal ce local… Ce p’tit cul blanc a bossé pour rien… Quelles tanches ces américains… »

Clope au bec, elle sortit son couteau de sa poche, le faisant passer d’un doigt à l’autre…

« J’espère que ce trou du cul à fermé la porte derrière lui quand il s’est barré… Les courants d’air ça me botte pas tiens… »

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Le sourire du Britannique s'aggrandit tandis qu'il ecouté la japonnaise en furie lui parler d'un ton des plus naturel mais les mots assassins... Combien de fois avait il revé trouver pareil adversaire feminin pour ces joutes verbales? Et enfin ce soir, il avait devant un specimen de la classe des poufs qui valait peut étre bien la peine de regarder a deux fois avant de l'envoyer chier... Mais en plus d'avoir les crocs, la bridée avait amené avec elle, un clebart, un molosse qui avait l'air de manquer de viande depuis de jours... N'y avait il plus de chair a croquer hors d'ici..? Il pouvait aller ce regaler a Harvard, ce n'était pas les crétins qui manquaient...

Il suivit alors l'echange, ou du moins, le long monologue de la descendante de Jackie Chan, toujours avec son sourire sur le visage... Elle commencait a devenir intéressante la Jap, peu comun de rencontrer une telle boulle de nerfs, il ne fallait pas laisser passer la chance de voir ce qu'elle valait... Qui sait, elle pourrait peu étre entrer dans son buisness, peu importe lequel, méme si il doutait que la prostitution la branche, Andrew voyait mal un jeune prébubéres tenter desespérement d'approcher la nippon... Il finirait les couilles arraché par le chien, et la maitresse en train de lui faire bouffer.... Il laissa echaper un petit rire a cette image...

- J'aime pas le chocolat, pas plus que les Nems d'ailleurs, alors tu peux proposer autres chose...

Elle avait des repliques singlantes, et les mots agressifs... Peut étre pourrait elle faire une bonne negociatrice en fin de compte... Pour les payeur recalcitrants du moins...

- Ton humeur je m'en bats l'appareil reproducteur la niakwé...

Il regarda alors le molosse, qui semblait baver devant le mollet droit du jeune Britannique... Certe les chiens le faisait vraiment flipper, mais heureusement pour lui, il avait de quoi se debarasser du toutou a sa maitresse déjantée...

- Serais tu en train de parler de tes potes de la bande qui se la joue Yakuza en amériques? Quelques putes et un peu de blés ont suffit a les faire lacher... Quel bande de con, vendre un tel endroit, une mine d'or... Ha lala, les asiats devienne bien trops américains, il est trops facile de les corrompres...

Il la suivit du regard, tandis que la Jap s'invitée toute seule dans le bureau d'Andrew. Il était de plus en plus intrigué, par cette femme qui se prenait vraiment pour une dure, et qui en avait l'attitude. Tout en ecoutant son monologue, ce qui devait reveler des troubles psychiques, il la suivit, doucement, mains dans les poches, ses lunettes toujours posé sur le nez... Il arriva a la porte de son bureau, pour trouver la demoiselle en train de se la jouer Montana dans Scarface, pieds sur le bureau, clope au bec..
Il s'approcha, et posa son cul sur le bureau, poussant les pieds de la Japs d'un geste lent, jettant un oeil vers le chien... Pas de mouvement, il regarda alors de nouveau l'asiat...

- Dit donc la face de citron, va falloir que je t'explique un petit truc. Ici t'es pas au Japon, les petites delinquantes dans ton genre ne font pas ce qu'elles veulent, et moi je suis pas un de ses américains, qui chient dans leurs froques quant tu leurs sort des phrases a deux balles avec deux trois gros mots dedans... Alors tu es mignonne, tu as un style des plus.... Sanglant, tout a fait dans mon genre, mais tes maniéres par contre laisse a desirer... Alors tu va étre gentille, et tu va aller tabasser quelques Hotties et me laisser bosser avec les grands.

Ses yeux vers la lame qui jouait entre les doigts fin de l'asiatique, faisant un etrange effet de lumiére sur son visage... Il mit une main a sa poche de derriére, et sortit lui aussi une clope, qu'il alluma rapidement...

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Andrew se frottait déjà les mains à la vue du potentiel de Bāndô, qui jusqu'à présent n’était que suggéré, car elle se trouvait être relativement calme, abattue par les derniers événements. Il ne la connaissait pas encore sous ses beaux jours, lorsqu’elle prenait un malin plaisir à torturer les traîtres et les malheureux qui avaient eu la malchance de se faire prendre par le gang adverse. Il n’avait pas non plus été spectateur de l’immensité de la violence du personnage qu’il avait en face de lui. Lorsque Bāndô voyait rouge, l’humanité n’était plus qu’une notion floue…
Le boss du club méditait sur le cas de la belle blonde… En effet la prostitution n’était pas la branche dans laquelle l’introduire, ce n’était pas une question de moral -car elle n'en avait pas-, mais l’aspect de la japonaise invoquait plus la crainte que le charme, bien que certains hommes cherchaient ce côté revêche. Mais son corps était trop marqué par les événements passés pour qu’elle puisse le vendre… Percé, tatoué et même scarifié mais cela n’était pas visible aux yeux des autres. Reprenant de plus belle ses sarcasmes sur les origines d’Urushima, Andrew s’amusait à imaginer cette aliénée en putain de quartier, cannibale de surcroît…

« Putain on vous a jamais dit de vous recycler de temps en temps ? Bol de riz & Jackie Chan c’est dépassé mon grand… Un peu plus d’originalité silvouplait mes chers… »

Tirant une latte, elle fit tomber les cendres de sa cigarette et reprit lorsqu’il lui dit clairement qu’elle soit mal lunée ou non, il s’en fichait.

« Pourtant tu devrais, si je tombe dans le rouge ou si j’ai une petite baisse de sucre, j’ai tendance à balancer les gens par la première fenêtre que je vois… Et quand je suis triste je joue au docteur avec leur bid… Tu sais que je suis une boss en anatomie, mec ? C’est impressionnant comme le corps humain est élastique… Et arrête de tout rapporter à ta bite, encore un guy qui se tape la folie des grandeurs… Tu sais tout les dictateurs c’est des complexés du slip… »

Il la voyait bien aller menacer les concurrents et les clients fauchés ; Bāndô avait une force de persuasion incontestable, son ancien gang l’avait vite compris et assigné à la tâches, entre autres sales boulots...
Andrew vendit alors la mèche : son gang avait cédé une partie de leur territoire pour… des putes et du fric ? Semblant prendre un nouveau coup au moral, Urushima se tut un instant, regardant un point d’horizon face à elle, tandis ce qu’elle laissait le tabac imprégner ses poumons… Murmurant pour elle, Bāndô brisa le silence…

« C’est plus ce que c’était… Les raclures… Heureuse de vous avoir coupé l’herbe sous le pied bande de cons… Ils ont pas finis d’entendre parler de moi… Tant que je serais en vie ils peuvent s’estimer en danger… Faudra me crever pour avoir la paix mes frères… »

« Troubles psychiques » ? Peut-être bien… Il était sûr et certain qu’elle n’était pas nette : Bāndô était ainsi depuis la naissance mais le passé forgea bien des choses…

Andrew, qui apparemment se plaisait au jeu des pics qu’envoyait la nippone, dégagea doucement les pieds de la demoiselle ; il brillait d’intelligence pour ne pas faire l’erreur de brusquer cette folle notoire… Il semblait avoir déjà compris sans même avoir lu la notice… Mais une petite introspection du personnage serait la bienvenue car il enchaîna avec une faute… L’allusion au citron la réveilla ; ni une ni deux elle se redressa, enlevant ses pieds du bureau et saisit Andrew par le col, plaquant sa tête contre le bois du meuble. La lame vint se planter à deux doigts de ses yeux.

« Petit un, monsieur, je veux bien croire que ma mine pas très en beauté ce soir ne soit pas à ta convenance mais j’apprécie moyennement les comparaisons douteuses… Petit « a » du petit un, je n’aime pas moi non plus tes manières… Petit deux, je ne suis pas une délinquante mais une sainte qui est actuellement…à la rue, et qui supporte mal qu’on joue avec ses nerfs…Je te passe les formalités : 3) Si, je fais justement ce qui me passe par la tête et le jour où on me brûle les ailes, je serais plus de ce monde, 4) T’aime pas comment je cause ? Putain pourtant je croyais être assez claquée ce soir pour tcharer normal… »

Elle relâcha alors son étreinte : Bāndô ramassa la clope d’Andrew qui roulait sur le bureau et elle le lui glissa doucement entre les lèvres. S’emparant de son briquet, elle alluma la cigarette de son futur boss et ajouta pour conclure.

« T’as pas l’air d’être un rigolo, moi non plus… Ecoute.. Moi je me fais chier et toi tu montes ton business… Je crois qu’il y a pas plus clair, t’as besoin de frappe et de pognon, j’ai ça… Et toi t’as quelque chose qui m’intéresse… »

Reprenant sa lame, elle la rangea dans sa poche… Le message était passé… A son chevet, son chien ne bougeait pas d'un poil...

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Le cul sur le bureau, le regard posé sur l'Asiat, le jeune gerant devait tout de méme avouer qu'il avait du mal a cerner cette jeune femme en face de lui... Certe il avait vite compris qu'elle n'était pas du genre a jouer la Bitch auprés des idiotes d'Hotties, mais plus celui de pourchasser les playboy, et leur foutre une raclée digne des plus beau combat de catch... Le jeune britannique jetta un coup d'oeil au chien qui lui non plus ne semblait pas bouger, heureusement d'ailleurs, un mollet en moins c'était pas le top.
Il reposa alors son regard sur l'asiatique qui fumait tranquillement sa tige, l'air de rien, comme si elle était ici chez elle, ce qui commencait a devenir de plus en plus vrai d'ailleurs... Elle avait, du moins en apparence, un potentiel exploitable, une personnalité forte, et surtout, elle en avait entre les jambes l'ado.
Ses répliques étaient égalements bien fendards, l'humour involontaire, c'est pas mal aussi...

Mais il voyait tout de méme mal ou la placer... Dans les petites garces qui se la joue durs, ou dans les dangereuse qui ne paye pas de mine? L'Anglais n'avait qu'un seul et unique emploi pour elle, il avait besoin d'une personne de confiance, d'une pour calmer les ardeurs des Bruce Lee alentours et de deux pour gerer certains de ces trafiques illicites... Mais lequel lui confier si il le faisait? Pas les putes, il savait trés bien qu'elle finirait par en demonter une a coup de hache ou ce qui lui tombait sous la main... Les armes? Non plus, des investisseurs autres que les etudiants d'havards lui demandé de faire du buisness...

- Bha, c'est souvent les clichés qui revienne tu sais... Et puis bon ton pays ne nous a pas sortie grands chose depuis....

Alors elle murmura, a propos de son clan, ce qui élargit immédiatement le sourire d'Andrew... Oui, en laissant echapper cette petite info, il n'avait fait qu'augmenter la haine de la jeune femme envers son ancien gang, qui aujourd'hui avait "Cerbére" au cul...

- Ouep, tes potes ont vraiment été des plus simple a convaincre, il aime bien le petit cul des blanches apparement, et moi ca, je peux fournir a outrance... Pour le fric, ils n'ont méme pas été gourmand, aucun sens de la negociation... Comment avez vous put étres les créateurs de la nanotechnologie?... On se le demande!

Tandis qu'il fumait sa clope tranquillement, regardant la jeune femme se defouler sur la sienne, il repensa a la rencontre avec le gang... Douze filles, de type different, l'avaient accompagné pour cette transaction, elles s'étaient occupé de statisfaire ces messieurs, jouant ainsi pour Andrew, qui avait promis au Japonnais de leurs en fournir d'autres si jamais la transaction se passait bien, et si leurs collaboration allait en s'améliorant....
Il tira une stafe, satisafait de son travail d'echange de ressource, et ne vit pas le cou arriver, il ne put que sentir la main l'aggriper par le cou, et son visage se plaquer contre le bureau, cognant fort sur le bois, laissant echapper sa clope, et tomber ses lunettes...

La Jap l'avait a sa merci, elle était vive, et il n'aurait de toute maniére rien put faire face a cette vivacité et a son clebs, qui lui n'avait pas levers la moindre patte, laissant le plaisir a sa maitresse de regler le compte du petit blanc insultant... Mais Andrew ne grimaca pas, serrant les dents pour ne rien laisser transparaitre, ne pas donner satisfaction a la jap... Il ecouta attentivement ses paroles, étrange, mais avec un peu plus d'attention que depuis la premiére minutes... Surtout avec la lame planté a quelques centimétre de ses yeux...
Et doucement, aussi dingue que cela puisse paraitre, un sourire traca le visage de l'Anglais... Elle était PARFAITE! Il l'avait bien jugé, méme si longue a la detente, la jeune femme venait de passer avec brio la phase selective... Elle devait bosser pour lui, il allait tout faire pour cela...

Alors il fut remit en place, et sa clope reprit également son emplacement d'origine, elle la ralluma méme, quel noble geste...

Il réajusta son col, et se frotta doucement le coté du visage qui avait fait connaissance avec le bois du bureau, avant de prendre la parole a la suite de la jeune femme, d'un ton calme...

- Hum... Excellente entrée en matiére... Je dois avouer que tu es intéressante, et que tu aurais une bonne place si jamais tu taf pour moi... Je suis en effet en train de monter un truc enorme, en plus de mes diverses activités deja en place... Il me faut quelqu'un de confiance, un bras droit, qui discute pas, mais qui cogne. En echange, je te fournit ce que tu souhaite... Drogue, armes, méme tes petits copains Jap sur un plateau...

Il jetta sa clope au sol, et l'ecrasa a l'aide de sa godasse...

- Il faut que tu bosse pour moi... Aprés m'avoir montré ton potentiel, je veux l'exploiter! Tu es ici chez toi! Je suis Andrew, et surtout fier de t'accueillir au seins de mon FigthClub...

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Andrew voulait se risquer à sonder l’esprit malade de la nippone ? Qu’il se ravise, personne ne comprendrait l’ambiguïté du personnage, ses paradoxes et ses énigmes. Demain il aurait peut-être à faire à une illuminée sympathique, le lendemain à un démon, c’était ainsi avec elle, il fallait s’habituer dès maintenant : ses attraits cyclothymiques n’étaient pas reposant pour tout le monde…
Tandis ce que leur discussion avançait à grand pas, le boss jetait de temps en temps des coups d’oeils au molosse qui était couché aux pieds de son futur bras droit ; qu’il se rassure, la plus grande qualité d’un bas rouge de son espèce était sa grande obéissance au seul maître à qui il accordait de l’importance. Il n’avait pas à redouter une attaque…

Avançant qu’il n’y avait pas de nouveauté au Pays du Soleil Levant, Andrew répliqua, toujours d’une touche d’humour, à laquelle elle répondit, soupirant, le sourire aux lèvres…

« Et bien sache que pour ta gouverne, Pikachu a bien grandi… Mais je te l’accorde, côté recyclage plagiat et autres moyens faciles de se faire du fric, on est les meilleurs du globe…»

Il retourna ensuite le couteau dans la plaie en établissant le rapport détaillé de l’échange avec les nippons.

« N’en rajoute pas… Ces gars là ne valent rien… Ils ont perdus toute notion d’honneur… Ils m’insultent avec leurs bisness sauce Oncle Sam… Je les remettrais dans le droit chemin… avec une balle entre les deux yeux, tu penses qu’ils y verront plus clair ? »

Visiblement irritée, elle tira longuement sur son crève poumon avant de reprendre.

« Bref, revenons aux affaires… Je te pose le tableau… »

Ecrasant elle aussi sa cigarette finie, elle se tourna face à lui. Le jeune homme se trouvait face à une nouvelle interrogation : où donc placer Bāndô Urushima, la violence personnifiée ? Elle lui apporta la réponse aussitôt…

« Ouvre bien grand tes oreilles de sale blanc, je vais pas le répéter deux fois… »

Partie pour établir son CV dans les grandes lignes, Bāndô lui expliqua en une longue tirade les différents rôles qu’elle avait tenus durant ses années de loyaux services. Il constaterait qu’elle avait de l’expérience, car mine de rien on pouvait en douter, certes elle était rapide et directe, mais elle ne possédait pas la force d’un homme… Heureusement, elle possédait un atout bien plus précieux ; sa volonté hors pair à nuire à l’autre, autrement dit, sa rage au combat… Celui qui l’abattrait un jour aura bien du mal à parvenir à ses fins…

« Ce que je fais de mieux, tu dois t’en douter, c’est la frappe, la cam tourne pas comme elle le devrait ? Le lendemain je t’apporte le petit doigt de l’enculé qui a voulu se barrer avec ta marchandise… Les dealers qui se prennent pour des caids, je les remets vite en place, bref, tu peux t’assurer d’avoir le monopole, la concurrence c’est pas un problème… Un échange douteux ? J’y serais, si ils se grattent les couille de traviole et que ça me parait suspect, bim… Jamais un échange n’a merdé en ma présence, j’ai fait un sans faute sur toute la ligne… Aussi…Mon ancien gang tâtait dans la prostitution… J’y touche pas c’est un peu écrit sur ma gueule… Mais en revanche, si le petit numéro des gars chargés d’aller racoler marche pas, et qu’il y a besoin de la force, je les rameute tes poufiasses… J’ai fait plusieurs descentes à la capitale, j’arrive à les mener dans la barque sans les amocher, la marchandise arrive comme neuve, juste un peu traumatisée que j’ai aidé leurs mères à bouffer les pissenlits par la racine… Je précise que je les force à regarder, parce que faut pas croire, y’en a des durs dans le lot… Puis y’a toujours le problème de la concurrence, qui n’en ai plus un avec moi, casser de la pute c’est bon pour mon moral… En parlant de gangs adverses, on en a dissous pas mal, avec mes méthodes, toujours qui s’avèrent très efficaces… En général si tu chope leur bras droit, que tu leur crame la gueule au chalumeau… ils comprennent que t’ira pas de main morte avec le reste de la bande… Besoin d’informations ? Mes clients ont la langue bien pendue avec la menace d’une aiguille sous l’œil… Tu veux faire chanter un gars ? Pareil… La torture je maîtrise plutôt bien pour ne pas faire clamçer ces enculés avant l’heure, juste assez pour qu’ils crachent le morceau… Ensuite… Les armes… si t’es pas idiot t’as bien compris qu’il faut pas m’en foutre une dans les mains… J’ai la détente facile et de toute façon je préfère les poings… Tuer par balle y’a rien de plus lâche et de débandant… Je trouve mon compte en battant du connard… Mais toujours pareil, je veille au grain à ce qu’il y ait aucune couille dans le trafic… Sache juste que si tu veux du lourd, j’ai des relations… Importé du Japon, elles dépotent, elles sont pas à la hauteur des bonnes vielles ricainces mais elles ont leur charme… Puis y’a les combats ; y’a jamais eu une merde si j’ai un œil dessus, il m’est arrivé de participer… concernant les combats de chiens, ça attire pas mal de friqués et on ramasse un max de blé pour les paris, mon clebs est un ancien champion mais je le fais plus combattre, les maîtres de ses victimes voulaient me le buter, j’y tiens trop pour le voir crever à cause d’une histoire de pognon… Aussi, je m’occupais d’instruire les petits mais ici je doute que vous allez jusqu'a enrôler vos marmots, nous c’était différent, il fallait leur expliquer la différence entre la pénétration dans un poumon et dans le cœur, lequel faisait durer le plus le plaisir, etc etc… Parlant de poumon j’en ai chopé un pour mon premier boss, il avait besoin d’un transfert mais je n’ai pas trouvé la place sur la liste à mon goût… Donc j’ai touché à tous les trafics Pour la sécurité de mon boss… Inutile de te dire que j’ai un certain sens de la loyauté… Mais si t’essaye de me niquer un jour, crois moi je te ferais pas de cadeau… Je décorais ton caveau avec toutes les tripes que j’taurais obligé à chier… »

On ne pouvait pas être plus clair. Et encore elle oubliait bien des bribes des nombreuses activités qu’elle fit au cours de ses dernières années… S’emparant d’une nouvelle cigarette, elle mit un point final à son monologue.

« Alors je pense qu’il y a moyen pour devenir le bras droit de messire… »

Ajoutant une petite précision, elle se permit une plaisanterie qui contrasta avec la gravité de ses précédents propos…

« Le seul truc que tu me verras jamais faire, c’est écarter les jambes et faire le repassage… C’est vrai.. J’laisse toujours des plis… »

Briquet à la main, elle se l’alluma et inspira sagement…

« Un bras droit…qui discute pas… qui cogne… C’est Noel aujourd’hui, t’a trouvé ce qu’il te faut… »

Elle cessa enfin de le regarder, baissant les yeux vers son beauceron.

« En échange… Je veux..quedal… Je dépend pas des autres…sinon ça se saurait… Ces petits joueurs je vais les défoncer moi-même… Tu peux t’assurer que la semaine prochaine ton territoire sera propre, plus un jap en vue… Ils vont en bouffer…un truc bien crad… Pour qu’ils comprennent ce que c’est de salir notre sang… Drogue, idem, pas besoin de ça pour me sentir bien, il me faut juste du lard à taper, sinon je vais devenir folle…»

Andrew l’accueillit alors, enthousiaste. Elle lui répondit d’une simple phrase..

« Andrew… Pour moi ça sera, boss »

En effet il n’était pas question pour elle d’appeler un « cul-blanc » comme elle les nommait, par son prénom. Et puis elle n’était pas habituée, ayant toujours désignée ses collègues par le terme « Aniki »… Bāndô ne joua pas le jeu des présentations, elle ne déclina ni son nom, ni son prénom. Un bras droit était l’ombre de celui qui tirait les ficelles, elle le lui fit comprendre en ne voulant pas s’imposer…

Invité

Le jeune Anglais gardait son sourire confiant sur la figure, regardant la Japonnaise s'enerver toute seule contre... Ben contre un peu en fait. Son ancien gang allé vraiment morflé ca il le savait deja, mais elle leurs reservé bien des surprises la delinquante. Andrew saisit son paquet de clope et en sortie une autre, il avait un moment hesité avec un petit rail de blanche, mais il preferait rester lucide, tout du moins tant qu'il n'était pas sure que la bridée n'allait pas tenter de lui crever a nouveau les yeux...
Il posa alors un regard vers le sol, et il retrouva ses lunettes, qui avait étés broyés sous l'impact avec la table. Il s'accroupie et les ramassas, un air de deception sur le visage...

- Putain mes cluques....

C'est alors qu'elle se posa face a lui, et lui demanda d'ouvrir bien grand ses oreilles, ce qui n'était nullement necessaire, il était toute Ouïe pour elle depuis qu'il connaissait le potentiel de tueuse de l'asiatique en colére...
Elle commenca alors a lui decrire le tableau, le travail qu'elle pourait executer pour lui, les differentes taches auquelles elle était passé maitre.
Le Britannique ecouta les yeux dans ceux de la japonnaise, son sourire totalement disparut, se concentrant sur ce qu'elle était en train de dire, imaginant en méme temps ce qu'elle ferait pour lui, pour ses buisness, oui, la pokemon allait étre un atout de poids pour lui, plus personne n'oserait ce mettre en travers de son chemin, et avec lui au commande et elle a la derouillé, il se sentait quasiment inprennable... Les petits d'Harvard n'avait qu'a bien se tenir...

Son... Cv, était des plus.... Intéressant. Certes il noté un veritable trouble psychologique chez elle, ca il en été maintenant certain, mais quant bien méme, les meilleurs éléments des pégres et autre organisations avait tous un grain, et la jeune femme elle, devait en avoir des tas...

- Mouais... Tu as de la suite dans les idées. Et bien sache que ce petit buisness que je suis en train de monter n'est pas mon premier... Depuis mon arrivée il y a de cela deux ans, j'ai importé de la coke en masse pour tout ces petits culs merdeux du campus, d'abord quelques grammes par ci par la, aujourd'hui ce sont des tonnes que je revend, avec des dealers au quatres coin de la ville et de la Fac. Je me suis également lancé dans la vente de plaisir, j'ai mit des filles au tapins, des nanas faciles a corrompre, un peu de drogue et hop, elle subissent la dépendance... J'ai le plus gros reseau de la ville aujourd'hui aussi, mes putes sont les plus belles, et les moins habimés surtout... Mais cela ne suffisait pas, alors j'ai lancé la vente d'arme, importé de Londres, sous couvert du nom des entreprises de mon vieux. Bref, je brasse des millions aujourd'hui, et avec toi pour garantir mon pécule...

Il reprit a nouveau son sourire, la regardant non plus de haut, ni méme comme une simple gamine qui aurait perdut son chemin, mais comme un chef regarde son meilleur élément, comme un prof regarde son plus bon eleve... Ouèi, il avait eu de la chance de tomber sur elle, et que tout les evenements s'enchaines les un aprés les autres dans son interet, mais c'est aussi ca qui faisait la force du britannique, cette chance insolante... Il rit a la reflexion de la Jap', et repondit sur la méme dose d'humour, méme si il en pensait pas moins...

- Dommage pour les cuisses, mais surtout pour le repassage, moi qui adore mettre des chemises, je vais devoir les confier a mes petites puputes...

Elle accepté la proposition, ce qui lui fit etendre son sourire de vainqueur, elle était desormais ses yeux, ses oreilles mais surtout ses poings dans la rue, dans quelques semaines, et aprés quelques passage a tabac de petites frappe, tout le monde sauraient qu'Andrew avait sut s'imposer ici, oui avec l'aide de sa petite Jap' il allait devenir le leader du vice ici bas...

- Tu veux quedal?

Il leva un sourcil... Ils étaient zarb tout de méme les asiats...

- Des bouts de viandes a tabasser tu auras ca ici... Pour le reste tu demandera. Boss hein? Ca me convien... Et moi je t'appel comme hum? Mon Pokemon? Ma jolie? Mon ti Berreta? Tu veux garder l'anonyma je comprend, mais avec tes exploits dans la rue, moi je dilvugerais rapidement ton nom, tu deviendrait vite la crainte de tout ce petit monde... Mais c'est a toi de voir ma jolie...

Il se leva, et passa devant elle, pour recuperer dans un des tiroirs, une bonne bouteille de Wisky Anglais. Il ouvrit rapidement le bouchon, et but deux gorgées bienfaisante avant de la poser sur la table....

Invité

Elle l’écouta parler du chemin qu’il avait fait avant d’en arriver jusque là, parsemé de mauvais coups dignes d’agissements des plus grands des mafias célèbres. Définitivement convaincue qu’il n’était pas un petit joueur, Bāndô hocha la tête, satisfaite de cet étalage d’expérience dont faisait preuve Andrew. La nippone se permit quelques remarques à droite à gauche…

« Bons clients, ces puceaux d’universitaire, l’âge idéal où faute de prouver qu’ils en ont dans le calbut, ils se défoncent à tout et n’importe quoi. Et ça chiale dès qu’on les bouscule un peu pour un retard de paiement… »

Il se vanta ensuite de la facilité déconcertante avec laquelle il enrôlait les filles dans son trafic de prostitution, ce à quoi sourit Bāndô, pensant tout naturellement aux Hotties.

« C’est pas ce qui manque ici, de la pute… Tu t’es déjà servi à l’université ? C’est un vrai nid à salopes… »

Andrew parlait d’une quantité considérable d’argent, qui ne sembla pas intéresser la japonaise. Comme elle l’avait laissé sous-entendre, elle ne vivait que de violence, et cela lui suffisait amplement. Le regard qu’il lui porta ne passa pas inaperçu aux yeux de Bāndô ; une relation de confiance pouvait désormais s’instaurer entre eux. Aussi, il souligna son dessolement hypocrite de ne pas voir Urushima assignée aux tâches ménagères et au travail peu reposant d’une prostituée.

« Je t’assure que je suis pas un bon parti, je plains mes beaux-parents…»

Lorsqu’il insista, s’étonnant qu’elle ne voulait rien en échange de ses loyaux services, Bāndô ferma la parenthèse d’un regard.

« Appelle moi comme tu veux… Celle qui m’a vomi de son ventre m’a appelé Urushima Bāndô… »

S’éloignant un instant du moment présent, elle se remémorant le visage de sa prostituée de mère, ce qui lui fit oublier la bouteille de whisky, dont elle se serait déjà emparée si elle l’avait vu. Préférant passez à autre chose, elle interrogea Andrew, tout en regardant sa veste imbibée par endroit de sang frais…

« Je suppose que tu recrutes… J’ai quelqu’un à te présenter si c’est le cas… ‘Tain, j’espère que t’as une bonne adresse de pressing… »

Invité

Tout etait enfin clair et net entre les deux Bad. La jeune femme allait faire le sale travail pour l'Anglais, qui avait en téte l'image d'un loup laché dans un vert paturage plein de brebis tout juste bonne a boufée de l'herbe...
Son commerce allait étre florissant, et aujourd'hui il ne doutait pas de la valeur de la Jap', qui allait faire en sorte que tout son buisness se porte bien, éliminant les troubles faites qui oseraient toucher a sa cam ou a son territoire... Mais justement, il devait grandir encore un peu plus sa zone d'action, mais pour cela il lui fallait des gens de confiance, avec chacuns sa spécialisation...

- Oui, Harvard est une mine d'or. Ce petits connards payent sans compter, et en redemande sans arret... Trés trés porteur que ce campus...

Il Sourit, c'était bel et bien avec eux qu'il avait commencé a se faire un nom ici, grace au téte de noeud qui achetaient sa cam en petite quantité d'abord, mais trés rapidement cela devenait bien plus regulier et bien plus gros en quantité... Que du bonheur pour un dealer qu'un Campus Universitére, la ou le sexe, rime avec produit illicite...

- Pour les putes, il est certains qu'elles viennent toutes quasiment de la-bas... C'est a se demander si elle ne le font pas par plaisir personnel ce taf... De vrai femelles en chaleurs!

Il reprit sa bouteille de wisky et en but a nouveau quelques gorgées, heureux de voir que la Japonnaise semblait ne pas la voir, il avait beaucoup de mal a partager son liquide precieux, surtout un produit Made In UK... Elle reconfirma ne pas étre faite pour le travail de tapin, ce qui le fit a nouveau sourire, mais son regard se posa le long du corps de la jeune furie... Elle avait du potentiel tout de méme, mais pas pour ses clients habituels, elle leurs ferait trops chier dans leurs falsard... Mais pour Andrew par contre... Il secoua la téte, non, elle était trop precieuse au taf, pour qu'il s'interesse a autre chose de sa part...

- Moi je te trouve bien plus que pinable, mais t'en fait pas, ton jolie petit cul ne m'interesse pas, tu es bien trops necessaire a autre chose pour cela...

Enfin elle declina une identité... Certes un prenom étrange, et un nom de famille des plus Asiatique, mais au moins il avait une base, un nom a mettre sur le visage de sa nouvelle recrue. Il leva sa bouteille de Wisky en guise de bienvenue et en but a nouveau..; Le breuvage le rechauffé agréablement, il reposa alors soudain la bouteille sur le bureau...

- Ouep, je recrute... Il me faut un gars de confiance pour se charger de mon petit buisness... Soit la drogue, ou encore les puputes... Avec le club je n'aurais pas le temps de tout faire... Tu connais quelqu'un raméne le ici, mais tu en sera guarant, si il se fou de moi, c'est toi qui trinque... Je n'ai pas l'air comme ca, mais je sais aussi étre... Sauvage dans mes methodes... Allé, raméne moi ton gars, nous avons a faire, il nous faut ouvrir le plus rapidement possible... A nous la tune !

Invité

Bāndô acquiesa à la remarque de son boss : les Hotties étaient d’incontestables mangeuses d’homme…

« Des chiennes… C’est tout ce qu’elles sont… Et on vient nous coller l’image de la malheureuse bouffone prise au piège alors qu’elles demandent que ça… De vraies actrices ces filles… »

Urushima aperçut enfin l’alcool sur le bureau ; elle feint ne pas s’intéresser au précieux liquide. Ce soir elle devait avoir les idées claires, car elle allait commencer le carnage après la fin de cet entretien… Il fallait mieux qu’elle ne voit pas double si ses futures victimes ne voulaient pas se voir coupées en quatre…
Andrew secoua la tête un instant, ce qu’elle remarqua du coin de l’œil. A quoi devait-il penser ? Elle le sut bientôt car il ajouta à son geste, des paroles claires…

« Merci du compliment, patron… »

Bāndô l’imita en le dévisageant tout aussi insistemment : le regardant de biais, elle le fixa longuement sans rien dire. Il était lui aussi un homme qui dégageait un charme immanquable. Mais elle se ravisa d’aller plus loin dans sa pensée, les relations bras droit – patron ne devaient pas être entachées par une attirance, qui serait peut-être réciproque. Andrew enchaînant les gorgées : bientôt il serait saoul si il continuait ainsi…

« Tu fête ça en solitaire, c’est bien triste,… Les bordels c’est pas ce qui manque dans le coin tu devrais aller te détendre, c’est pas dans un bureau qu’on lève le verre à la réussite, boss… »

Pour une fois il n’y avait pas de sarcasmes dans ses propos, c’était bel et bien un conseil… Elle hocha ensuite la tête face aux menaces d’Andrew ; il était parfait, c’était ainsi qu’on opérait si on ne voulait pas se constituer un réseau plein de trous… Elle serait donc responsable d’Ethan…amusant…

« Bien bien… »

Ecrasant sa dernière clope, elle se leva avant de se retourner vers son boss.

« Tu devrais te payer du bon temps, tu le mérite, beau boulot boss… »

Invité

Il posa son regard sur la bouteille qui se vidait bien trop rapidement a son gout, si bien qu'il la laissa là, sur le bureau. Se bourrer la gueule, dans un bureau et surtout sans compagnie était en effet pas terrible... Il avisa a nouveau Bãndô, son regard ne cessait de chercher le sien..; Pourquoi comment? Bha l'effet de l'acool qui commencait a deferler dans le sang du jeune Anglais surement, mais tout de méme, la curiosité. Elle n'était pas facile a dechiffre la jeune femme, méme avec toute la volontée du monde Andrew ne parvenait pas a voir si elle était sincére, sarcastique, en pétard... Bon pour le dernier facile a deviner, surtout la téte collé au bureau, un poignard a quelques centimétres des yeux...

Il sourit quant elle le remercia du compliment... Mais lequel? Celui de son coté physique super attirant pour le jeune britannique anbitieux, ou le fait de ne pas en vouloir a son cul, bien trop bonne dans ses déménagement de cranes? Il ne le saurait pas, et ne cherchait méme pas a le savoir, il baissa et releva juste la téte...

- No problemo...

Il remarqua alors aussitot, trés rapidement tout de méme, le regard qu'elle lui porta en coin... Andrew n'était pas en train d'halucinner, la japonaise était bel et bien en train de le reluquer comme un client choisit sa pute... Ou comme lui quelques minutes plutot il était vrai. Il ne dit rien, ne releva méme pas, esperant tout de méme secrétement qu'elle le trouve a son gout, juste par profit de confiance personnel. Andrew était en constante recherche de moyens de seduire et de plaire. Mais Bãndô et lui avait un tout autre rapport que celui la. Il était le boss et elle l'executant, celle qui mettait des derouillé a ceux qui osés ce mettre en travers de leurs chemins... Il fallait dessuite qu'il arréte de la reluquer comme ca alors...

- Je réve ou tu t'interesse a mon bon confort? Les bordels, ca fait bien longtemps que ca m'exite plus tu sais... Mais bon faute de mieux ce soir, une cochonne va subir mon humeur énergique!

Il sourit, mais n'avait pas tellement envie de s'evader avec une pute en fait ce soir... Mais pour tout dire, rester seul ici n'était pas non plus une solution, il avait envie de boire, snifer un peu, et prendre son pied avec une bonne chienne bien docile....
Il sourit a nouveau devant le compliment de Bãndô sur son travail, et se leva pour se planter face a elle, susurant doucement pour elle seul, comme si ils étaient sous ecoutes...

- Ma meilleurs réalisation, c'est ton recrutement ma belle. Avec toi, je me sens.... Plus legers en fait.

Il finit par se reculer, et se reposa a nouveau sur son bureau, les deux mains de chaques cotés de ses jambes...

- Toi aussi tu devrais te payer du bon temps! Tabasser du bleu bite, ou fracasser du Jap'... Enfin, fais ce que bon te semble, mais n'oublie pas de me ramener ton gars....

Invité

Bāndô et Andrew menaçaient de se prendre au jeu de cette curiosité malsaine qui pouvait aboutir à tout et n’importe quoi. Mais chacun savait quel rôle ils devaient tenir dans cette alliance forte, et en aucun cas ils ne se laisseraient dominés par des choses qui les échappaient.
Que le boss se rassure, il exerçait un réel pouvoir de séduction, y compris sur l’adolescente revêche… Mais la psychologie du personnage ne laissait pas de place aux émancipations se sentiments crus… Quoiqu’il en soit, la confiance s’était installée entre eux, c’était déjà ça. Et Andrew ne semblait pas se faire à cette étroite relation car il se stupéfiait que son bras droit s’inquiète de son sort.

« Pas la peine de s’emballer, chef… C’est mon boulot de me soucier de ton petit cul de blanc d’alcoolique, prétentieux et imbu de lui même… Et puis si tu passes une bonne soirée ça vaudra mieux pour moi au lendemain pour que t’évite de me les péter à faire ta crise de malbaisé… M’enfin… Je plains la soubrette qui va devoir te les vider, t’as pas l’air en forme… »

Elle regardait ailleurs lorsque Andrew lui vint face à elle, ce qui la surprit… Haussant un sourcil, elle réprima un sourire…

« Heureuse de soulager voter peine, ô combien profonde, boss… »

Retournant à son bureau, Andrew la sermonna tout comme elle l’avait fait, lui conseillant de se détendre à sa manière pour cette soirée. Mais cela faisait beaucoup pour un seul jour : quitter son gang, en intégrer un autre, et exterminer l’ancien… Peu enthousiaste à l'idée de revoir les traîtres, ne serait-ce que pour les dépecer, Bāndô haussa les épaules avant d’ajouter…

« Bof… Je sais même pas si ça va me faire plaisir des les tailler… Et t’inquiète pour ton mec, je te l’amène demain… »

Consciente qu’ils s’enracinaient dans le spleen, qui apparemment était communicatif, Urushima décida que la soirée se passerait autrement. Se tournant vers Andrew, elle lui annonça la couleur

« Regarde moi ça on se paye des gueules d’enterrement… Il est de mon devoir de te remettre sur pied avant que je parte, boss, sinon je vais culpabiliser »

Elle glissa sa main dans l’une des poches de sa veste et, armée d’un sourire narquois, y sortit un sachet qui contenait de la poudre brune

« Hero made in Asia, chef »

S’avançant vers le bureau, elle disposa alors la drogue face à Andrew.

« J’ai aussi la piquouse, chef. C’est au choix. Soirée, mon boss aux petits soins, aujourd’hui »

Invité

Sous l'effet grandissant de cette alcool pure que seuls les anglais arrivés a fabriquer, le jeune homme avait le sourire vague et les yeux commencaient a se perdre dans des endroit peu recommandable de l'anatomie de la japonaise, il se coua rapidement la téte, comme pour se remettre les neuronnes en place, mais rien a faire... Il lui fallait vraiment aller prendre son pied ce soir, demonter le petit cul d'une de ses salariés, vider ses bourses de joies, afin de ne plus regarder tout ce qui avaient des seins comme un chien regarde un os...

Il regarda un moment encore la bouteille, mais finalement, il allé la laisser pour une autre occasion, ce soir, il lui fallait rester lucide, il avait encore pas mal de travail avant d'ouvrir son Club, et méme avec l'arrivée de la Jap a ses coté, il gardé le controle de certaine chose sur son buisness, avant de tout lui montrer... Enfin, elle semblait étre une bonne éléve, et elle finira par trés rapidement depasser le maitre dans le jeu de la poigne de fer...

- Ma... Tu me fais trop rire toi! Le jour ou je serais mal baisé, c'est que je serais tomber sur une conasse qui serre trops les cuisses, ou qui c'est fait greffer une bite a la place de son garage a semence.

Il avait ce sourire de vainqueur toujours affichait sur son visage, c'était tout lui ca, croire que tout est aquit, ce qui était tout de méme un peu le cas... L'argent sale... Oui Andrew en était le banquier.

- Ma peine était tellement profonde, qu'elle finissait par ressembler au gouffre béant de toute les petite salope qui me servent de putes a riches...

Il aquiesca alors lorsqu'elle lui dit qu'elle aménerait son gugus dés demain, plus toto serait le mieux en effet, le british avait besoin de main d'oeuvre et de gars de confiance, un gars capable de gerer son trafic de coke et d'héro...

- Ok... Mais tu le connais d'ou ce type pour me le ramener? Un de tes petits amis d'école?... Un ex revenchard? Je te previens pas de Jap'... Une ca me suffit...

Il sourit intérieurement, la confiance desormais commencait a s'installé entre ces deux la, il savait qu'elle lui ramenerait un gars valable, et de toute maniére si ce n'était pas le cas, elle passerait un sale Quart d'heure, et lui finirait au fond d'un trou, sous cinq tonnes de beton.
Il regarda alors la malicieuse asiatique sortir de sa poche un êtit sachet, dans lequel était renfermé une poudre brune bien reconnaissable pour le drogué qu'était Andrew, pour avoir mainte fois snifé cette pure merveille made In Japan... Le probléme c'est qu'ici elle ne se vendait pas bien, les gamin qui lui servaient de clients prenaient de trops mauvais trips avec ca... Il regarda Bandô, un sourire de carnacier aux lévres...

- Putain mais t'es pleines de surprise toi... Laisse tomber les seringue, c'est par le chemin du nez que cette merveille t'envoie rejoindre ce connard de bon dieu...

Il prit le sachet, et porta son petit doigt a sa langue avant de renifler le produit... Ben oui, et si c'était de la mort au rats mélangé a du sucre de canne... Non, ca avait bien l'odeur de drogue Asiat.. Il mit alors le bout de son petit doigt dans la bouche, et l'extase arriva vite...

- Excellente...

Il disposa alors un peu de ce produit miracle en rail, sur deux rangées, et sortit une carte a jouer, qu'il roula comme... Ben comme un rouleau de printemps...

- Tu va pas me laisser seul pour prendre ca ma tite bridée?

Invité

Andrew se surprit à reluquer une nouvelle fois Bāndô, mais cette fois-ci elle ne le remarqua pas. Outre des regards obliques, il lui offrait de lui faire découvrir l’ensemble de sa grande entreprise ; à peine son embauche finalisée, elle avait hâte que son patron monte au sommet de sa gloire… Urushima sourit à son boss ; l’entendre parler de ces bouts de viande que l’on engrossait pour quelques billets, était un pur régal pour les oreilles. MacTyler se montrait souverain : il pouvait, car l’avenir lui réservait de grands moments d’extase perdus entre l’argent qui coulerait bientôt à flot, et ses filles qui lui tourneraient autour dans l’espoir d’avoir une place au côté du grand patron.
Bāndô rassura ensuite Andrew sur l’idée qu’il se faisait d’Ethan…

« T’inquiètes, je serais la seule à déblatérer un peu de jap quand j’aurais pas les idées claires… C’est un anglais… On s’est rencontré au campus… Il a du potentiel, y’a pas à chier… »

Lorsqu’elle lui proposa l’héro, il refusa l’intraveineuse, ce dont elle fut légèrement surprise, mais après tout, Andrew voulait peut-être commencer en douceur, bon choix… Une injection décuplait les chances d’overdose et donc, la prise de drogue était plus conséquente…

« Tu préfères te la jouer « petite collation » avant de passer aux choses sérieuses… Je comprends, bon choix boss, mais maintenant je me sens obligée de t’offrir la suite des festivités… »

Mais il vérifia la marchandise avant de consommer quoi que ce soit, ce qui lui arracha un sourire moqueur.

« On balise pour sa belle paire de fesses, sieur ? »

Elle le regarda faire, en expert qu’il était. Répartissant deux rails de poudres, il proposa à son bras droit de prendre part au shoot.

« Nan j'te laisse pas mariner dans ton jus boss, et comme je t’ai dit, faut que je finisse le boulot maintenant… Alors ce soir mon taff c’est veiller à ce qu’on t’envoie au septième ciel fêter ça dignement. Je partirais quand tu seras claqué, j’ai des parasites à détruire. Alors voici le programme… »

La nippone prit le premier papier venu qui traînait dans ses poches et en fit, tout comme Andrew, une paille de fortune. S’avançant vers le bureau, elle s’accroupit, et regarda son patron, un sourire en coin.

« Premièrement, l’apéritif… »

Et voilà qu’elle inhala d’une traite l’un des deux rails… Prenant bien soin de ne pas en perdre une miette, elle inspira assez ; ça y est, les effets n’allaient pas tarder à se faire sentir… Bāndô tourna le dos à Andrew, secouant la tête…puis elle lui fit face à nouveau ; son regard était autre et elle faisait tourner autour de son index, les clés de sa Suzuki.

« Deuxièmement, je t’emmène faire un tour »

Invité

Les deux rangées d'héro face a lui, Andrew en avait deja les crocs. Cette petite merveille pouvait vous faire planer dans des lieux inimaginable en quelques secondes a peine... Inutile donc de dire a quel point il aimait snifer cette merde qu'il renvendait si bien, au profit des petite couilles molles du Campus, qui voulant en mettre pleins la vue aux putes de Beta, se snifer ca tout en leurs parlant de leurs baraques dans le Maryland...

Les toquards, ils ne savaient méme pas profiter de cette merveille en toute tranquillité... Mais qu'importe, le tout c'est que lui puisse de temps en temps s'en mettre une dose dans le pif, rien de tel pour bien demarrer une soirée de fiesta... Les putes allaient attendre, la bite d'Andrew était au mode repos pour l'heure, seule son envie d'extase le tiraillé, et ce soir c'était avec son petit Nem qu'il allait s'envoler vers le paradis des drogués!

- Un anglais?! Bha au moins tu sais choisir tes relations... Au campus.? Un gars d'Harvard? Mouais bon, de toute maniére tu connais le tarif de l'echec, mais tu m'as prouvé que tu te trompé rarement... Alors qu'il se raméne ton british, il passera le test... Drogue, et autre...

Il sourit a son bras droit, elle allait en plus de lui eviter de faire le salle travail, lui ramener des gens compétants a ne pas en douter un seul instant, elle avait vraiment plus de potentiel qu'il ne l'avait cru, et finalement elle était une chance tomber d'on ne sait ou. Putain si ce con de bon dieu existe, il a été sympas pour une fois! Mais qu'il ne compte pas sur Andrew pour lui dire merci, ce qu'il a, il le mérite, et Bandô fait partit de ce dut la!

- Ouais, la monté douceur c'est plus agréable, ce dechirer trops vite c'est pas trés profitable pour une soirée comme celle que je veux passer... Hooo Alors le programme mon ti Nem?

Elle sourit moqueuse, devant sa vérif de la marchandise..; Il n'était pas rare de voir des dealeurs couper cette superbe produit avec de la merde pour gagner sur la quantité... Il n'allait pas non plus ce foutre n'importe quoi dans les narines...

- Hey la Jap' mon ti culs interesses pas mal de putes encore bonne a tringler, alors oui j'y tiens... Mais je vois que tu me le reluque en plus...

Ce fut a son tour de se marrer, Bandô était, ou semblait, tout sauf intéressait par ce coté seduction, mais qu'il était bandant de jouer a ca avec elle...
Elle lui enuméra alors le prgramme de la soirée, et s'approcha alors doucement de la table, sous le regard intrigué de l'anglais... Doucement elle s'accroupie, ce qui donna des idées pas net encore une fois au boss, et s'envoya la premiére rangée d'un geste assuré, une vrai toxico, ce qui la rendait d'autant plus interessante la Niak...

- Putain, Tu sniff comme une pro! Excellent, tu commence a me plaire toi!

Il rit de bon coeur, et se pencha a son tour, portant la carte a jouer sur sa narine droite, pincant la gauche de son index, il inspira par le nez le rail qui restait.. Lentement, ne voulant pas faire trops vite et gacher le plaisir... Enfin la derniére grannule de poudre arriva et deja le produit commencait a s'inplanter dans son sang... Il secoua vivement la téte et ferma un instant les yeux... Il les reouvrit et eu un sourire étrange aux lévres... Voila, la soirée pouvait commencer, et comme si elle avait lut dans ses pensées, Bando fit mumuse avec ses clefs, lui proposant de faire un tour.. Il se leva...

- Excellent debut de programme esperons que la suite ne soit pas decevante mon bout de Nem! Je te suis!

Invité

Bāndô lança un regard noir à Andrew : l’échec ne faisait pas parti de son vocabulaire, autant dire qu’il la soupçonnait inutilement de rameuter du faiblard… Ethan était fiable.

« Si j’échoue à une seules de tes commandes boss, tu pourras me briser comme tu veux, me couper en trois, me baiser à mort, t’as l’assurance que j’essayerai de résister le plus longtemps possible pour que t’amoche ma gueule un max avant que je rende l’âme… »

Passé cette sombre parenthèse, elle arbora à nouveau le sourire.

« Si messire a besoin de quoi que ce soit, il demande, j’exécute »

Andrew lui fit remarquer qu’elle aussi elle s’était prêtée aux jeux des regards pervers. Clamant son innocence, elle plaida sa cause, les mains en l’air.

« Ton bon dieu t’a pondu un cul en or, je vais pas me crever les yeux non plus, tiens t’as pensé à engager un double en mode « laideron », un guy pour se faire flinguer à ta place dans les plans chelous… »

Ce fut au tour du boss de s’envoyer l’hero, qu’il était touchant à ainsi prendre ses précautions pour ne rien gâcher au plaisir.

« Qu’il est prévenant notre boss, j’ai hâte de te voir complètement défoncé, à croire que c’est du beau spectacle vu comme t’y va molo là… »

Elle s’inclina alors face au compliment d’Andrew, spectateur de l’expérience de sa japonaise en la matière.

« Merci du compliment boss, mais j’ai pas ta modération, honorable… T’es un grand…»

Enthousiaste à l’idée de prendre l’air, Andrew était volontiers prêt à partir avec son bras droit pour une virée nocturne. Elle tenait tout de même à lui rappeler l’ordre des choses, n’oubliant pas le regard insistant qu’il lui porta lorsqu’elle prenait son shoot, et qu’elle avait vu dès l’instant où elle s’était redressée. S’approchant de lui pour faire lui face, elle lui porta la main à la ceinture.

« Non, boss, faut te ménager avant, ça c’est prévu pour après, je vais te trouver une bonne salope »

Urushima lui soutint un sourire empli de perversion et prit les devants en quittant le bureau.

« Allez en route… Et toi le clebs tu reste ici… »

Invité

Il recut le regard bien sombre de son bras droit... Alors comme ca son bout de nem n'aimait pas l'echec... Interessant ce dit l'anglais, un sourire lui traversa rapidement le visage.. Lui non plus n'aimait pas perdre ou se tromper, cela faisait a nouveau un point comun entre ces deux la.. Bando était decidement une bonne recrue, mais ca il se passerait de le lui dire, faudrait pas qu'elle prenne le glob le rouleau de printemps...

- Interessantes ces propositions, mais je préfére ne pas avoir a le faire, et je suis sure que tu feras tout pour ne jamais te retrouver entre mes mains de gros toxico pervers...

Son sourire accompagna les paroles... De quoi faire frois dans le dos, mais pas elle, il en fallait plus pour la faire flipper la Jap', il le savait...

- Parle pas comme ca bout de Nem, j'interpréte mal aprés...

Elle lui sortit alors l'excuse bidons de son gros relucage de cul, ce qui le fit exploser de rire, tant quant a l'invention de cette explication, que l'idée de la doublure, mais qui ne manquait pas d'ingéniosité...

- Hey, si pour vous les asiats c'est facile de trouver des doublures, vu que de toute maniére vous vous ressemblez tous, pour nous beaux gosses blanc, c'est pas evident... Mais l'idée est bonne, on voit que tu tiens a mon cul la nippon...

Le rire le reprit, mais il cessa alors toute allusion de ce genre avec elle, ne regardant plus que ces clefs qui se tremoussaient le long du doigt de sa Niakwé...

- Me voir defoncer... Ca viendra, si tu sais m'amener vers l'envie, j'y serais rapidement, mais il n'est pas simple de la faire ma tite Jap", mais tu es sur la bonne voie...

Le nez lui piqué maintenant, et l'héro commencait a faire effet, il était deja a des pulsations effrené, il ne tenait plus en place, la réalité des choses n'avait court ici, Andrew commencait peu a peu a entrer dans un autre monde... Le sien!
La Jap' S'approcha alors de lui, un sourire étrange aux lévre, et posa sa main sur la ceinture de son boss... Pour plus tard...

- Ptain arréte tu a faillit me foutre le barreau mon ti Nem... Allé, fais moi la suite du programme... On y go!

Il suivit son bras droit, le chien restait la, une bonne garde pour son hangar, attention a ceux qui tentaient d'y penetrer..