premiere

Apres avaoir rencontrer une jeune femme qui l'avait gentiment accompagné jusqu'a l'entrée des dortoirs, John continua son chemin dans les couloirs. Il cherhcait le numero de sa chambre. Il ne trouvait pas.

*Mon pauvre t'est con ou quoi ? Deja toute a l'heure ! Va falloir apprendre a t"orienter mon pauvre sinon tu va passer pour un pomé*

Apres plusieurs minutes il reussissa enfin a trouvé sa chambre. IL était soulagé. Il etait devant sa chambre. John posa ses valises et chercha sa clef. Elle était dans son jean. Il la sortit et l'insera dans la cerrure.

John poussa la porte.
L'endorit etait sympa, il vait l'air confortbale. Deux lits, une salle de bain... Deux armoires. ON s'y sentait bien. John éspérait prochainement avoir un collocataire. La solitude ce n'est pas toujours tres bon. De plus le fait d'avoir un collocataire permet de faire connaisance plus facilement avec autrui.

Apres avoir regarder tous les recoins de sa chambre, John posa la valise sur son lit et débala ses affaires qu'ils rengea ensuite dans l'une des deux armoires.
Il y avait pas mal de fringue (jean t-shirt, boxer, chaussure.)

Après un rapide état des lieux, Lincoln avait décidé de déposer rapidement ses affaires. Il espérait avoir une chambre seule, afin de ne pas être dérangé par une personne supplémentaire, qui , bien que faisant partie de la confrérie dans laquelle il avait été assigné, serait pour lui plus une gêne qu'autre chose. Déambulant dans les couloirs, dansant sur sa petite musique qui déroulait ses notes dans sa tête, Lincoln faisait à chaque fois un petit détour lorsqu'une jeune fille passait prêt de lui.

*Cet endroit est un vrai paradis, à chaque croisement il y a une jolie fille ... Je crois qu'en fait Harbard va obtenir une meilleur réputation pour moi que je n'y pensais ... Maintenant il ne manque plus qu'une chose, mais attendons de voir, je ne connais pas encore leur "fête d'étudiant" comme ils disent si bien ..."

Il était finalement arrivé au niveau de la porte. Il mit la clé, tournant dans le vide, remarquant que la porte était en fait déjà ouverte. Il n'était pas seul, et cela le désespéré déjà. Il entra , pris un bouffé de sa cigarette, recrachant quelques secondes après avoir fait un état de lieu , posant quelques secondes son regard sur l'homme avec lui. Il esquiva ensuite son regard, posant ses yeux sur le lit vide.

"J'ai pas l'intention de copiner avec toi, alors espère pas que je vais venir te border et te raconter une histoire avant que tu t'endormes ... Ca, c'est mon coin, je n'empiète pas sur le tien, tu viens pas sur le mien ... C'est simple, pour la salle de bain, je la prends quand j'en ai besoin, c'est à dire seulement la nuit, que t'y sois ou pas je m'en fous ... T'as pigé ou tu veux que je te mette ça par écrit ?"

Franc et direct. Il n'allait pas passer par quatre chemins. Il devrait supporter déjà la présence d'une autre personne dans le seul espace où il aurait pu s'épanouir. Il s'arrangerait au plus tôt pour séparer au maximum la chambre, et il commença immédiatement. Déplaçant l'armoire sans aucun mal, il la plaça entre les deux lits, séparant en grande partie les deux hommes. Lincoln tira alors les rideaux de son côté, bloquant ainsi la lumière, posant simplement ses affaires dans l'armoire, sans prendre la peine de les ranger. Il regarda quelques instants son portable, rangeant un petit livre dans le chevet juste à côté de son lit. Il sortit alors de son sac une petite boîte, sortant deux fines baguettes.

*Itadakimasu !*

Sortant alors de son sac son ordinateur portable, Linc mit une petite musique de fond, afin de se détendre, et de se reposer du voyage qu'il venait d'effectuer. N'écoutant qu'à moitié ce que disait le jeune homme, il leva les yeux vers le petit espace d'où venait la voix, sans pour autant voir le jeune homme. Comme à son habitude il ne comptait pas se faire d'amis parmis la gente masculine, trouvant celle ci inutile.

*Je me demande ce qu'il fait ici, je pensais trouver quelqu'un de combattif, d'aggressif, il m'a l'air aussi doux qu'un agneau, va falloir que je m'en méfie, s'il m'approche je lui brise direct la nuque ...*

Le jeune garçon alluma alors une cigarette, se posant sur le bureau afin de pratiquer l'une des choses qu'il préférait : pénétrer le système informatique de la CIA, afin d'y implanter un virus. Depuis quelques mois c'était devenu une habitude. L'informatique découlant directement des mathématiques pures n'étaient qu'un amusement pour le jeune garçon, qui en profitait pleinement. Il chercha alors sur le réseau le nom de son colocataire, avant de voir sur le site du FBI son casier judiciaire. Vide, pas un seul petit mot. Cela lui semblait étrange, qu'est ce qu'un homme comme lui, qui n'a aucun casier faisait donc ici, dans ce club très fermé. A côté de lui, John semblait être un agneau innofensif. Mais Lincoln avait appris à ses dépens dans sa jeunesse de ne pas se fier aux apparences, et bien qu'étant uen montagne de muscle, le jeune homme devait sans doute dissimuler quelquechose. Il se tourna alors vers lui, l'air supérieur, bien qu'étant plus fin et petit que lui.

"Dis moi, monsieur "j'ai pas envie de me prendre la tête" qu'est ce que tu fais ici, alors que tu n'as ni casier, ni antécédent judiciaire ? Blanche neige se serait elle égarée au pays des merveilles ?"