HARVARD STORY
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MessageSujet: Pas encore   Pas encore Icon_minitimeDim 8 Juil - 23:51

Gabrielle avait été enmené au poste de police comme on voit dans les films. L'officier de police lui avait d'abord mit les menottes puis lui a penché la tête pour la forcer à entrer dans l'auto de police. Pourtant elle n'avait rien fait! C'est qu'elle avait esseyé d'entrer dans un bar mais le portier était sur que c'était une fausse carte d'identité ( ce qui n'était pas totalement faux puisqu'aux États-Unis l'âge de majorité est de 21 contrairement en Espagne où il est de 18..). Normalement il ne l'aurait juste empecher de rentrer mais Gabrielle c'était énervé et avait esseyé de rentrer quand même. Encore là ce n'est pas si pire que ça mais le fait est qu'elle avait mit sa main sur la bouche du barman pour l'empecher de parler quand il avait remarquer qu'elle n'était suposer être là...

Elle était donc rentrer au poste de police où on lui preparait une amande de 100 $ puisque son casier judiciaire était encore vide... Mais ça la frustrait tellement puisqu'elle veut devenir avocate... Imaginez de quoi ça aurait l'air dans son dossier quand elle chercherait un cabinet ou commencer à travailler.. Elle n'aimait mieux pas y penser.

Un autre problème était qu'elle devait payer avant de sortir du commissariat et qu'elle n'avait aucune carte bancaire ou aucune argent. Elle s'assit donc sur une chaise en avant de la secrétaire en se cognant legerement la tete sur le mur.. Elle aurait simplement voulu s'amuser ce soir faire une petite rencontre et se réveiller le lendemain chez un inconnu... Et non il fallait qe le destin vienne tout compliqué..
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MessageSujet: Re: Pas encore   Pas encore Icon_minitimeMer 11 Juil - 20:34

[En tant que gentille colocataire, il est de mon devoir de te sortir de ce mauvais pas Razz]

Grrr... c'était peu dire de la réaction d'Amandine quand, à deux heures du matin, le téléphone de l'appartement avait sonné. C'était peu dire que c'est avec une voix des plus enrouées et légèrement sèche que la jeune femme prit le combiné. Sa voix se radoucit quand elle se rendit compte qu'au bout du fille, un sergent de la police lui racontait qu'une certaine Gabrielle Sensas était au poste, et qu'il y avait une caution pour la faire sortir. Comme elle n'avait aucune carte ni même donné de numéro, ils avaient cherchés dans les annales de Harvard, qui se trouvait à quelques infimes kilomètres du club où on l'avait retrouvé, pour trouver son numéro de chambre. Didine raccrocha finalement, totalement sourde aux demandes du policier d'aviser les parents. Quoi, elle avait une voix de cafteuse? C'était n'importe quoi.

Baîllant bruyamment, elle s'étira, puis, refusant de se rhabiller pour pareille broutille, eh oui, aller au commisariat en pleine nuit pour faire sortir sa coloc était quelque chose d'on ne peut plus commun, elle se dirigea donc, en mini-short et camisole, les cheveux attachés en une queue de cheval légèrement ébourifflée et le visage au naturel pour aller tirer Gabrielle de ce mauvais pas. Prennant la voiture, elle y arriva en une dizaine de minutes.Montant une à une les marches menant à l'entrée du poste, on ne peut pas dire qu'elle passa inaperçu. Balayant de son regard doré l'endroit, elle remarqua une petite silhouette blonde beaucoup plus loin. S'adressant à la réceptionniste qui ne se gêna pas pour la dévisager, elle demanda.

Je suis ici pour mademoiselle Gabrielle Sensas, vous pourriez m'indiquer l'endroit où je pourrais aller la voir?

Est-ce qu'elle paraissait si inexpérimenté que le visage de la secrétaire se referma pour appeler un agent qui, arrivé sur les lieux, haussa le sourcil devant la demoiselle qui venait pour son amie. Lui expliquant la situation, Amandine dut réprimer une sérieuse envie de bâiller. Lorsqu'il termina, elle opina du chef, puis sortit son sac à main et en tira un billet de cent. Elle le lui tendit, en plus d'un dix, en lui souriant.

Pour votre gentillesse monsieur.

Remarquant la sortie de Gabrielle, elle lui adressa un véritable sourire, pas le flatteur destiné à l'agent, et trotta dans sa direction. Effussion d'amour, croirait-on, la jeune femme serra sa colocataire dans ses bras, puis lui dit.

Je lui ai donné dix dollars de pourboire, mais s'il n'a pas été agréable, faut pas se gêner, je ne donne pas d'argent à ceux qui sont méchants, dit-elle, tout sourire.

Mignonne et complètement unique en son genre, Amandine!
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MessageSujet: Re: Pas encore   Pas encore Icon_minitimeMer 11 Juil - 22:06

Gabrielle n'aurait jamais penser rencontrer sa coloc d'une tel façon . Elle avait commencer à désespéré dans sa petite cellule. Et quand un gardien était venue la chercher elle croyait qu'il allait l'emmener à un endroit encore pire. Elle a alors vu s'avancer vers elle une jeune fille qu'elle imaginait sa coloc. Elle ne savait pas comment elle avait réussi à savoir de qui il s'agissait en réalité mais elle avait tout de suite compris que c'était quelqu'un avec qui elle partagerait quelquechose d.important. Son hypotèse se confirma quand elle fut surprise par un calin d'Amandine. En effet elle connaissait son nom puisqu'elle avait vu ses affaires dans la chambre même si elle n'avait jamais vraiment eu l'occasion de la croiser.

-Merci d'être venue à cette jeure là.. Je sais pas qu'est-ce que j'orais fait sans toi.. Je te promet que dès qu'on arrive à l'appart je te rembourse tout.

Elle commença ensuite à marcher pour sortir au plus vite de la partie «cellule» du commissariat. Elle trouvait quand même cela extraordinaire comme histoire à raconter pour une première rencontre. La plupart des colocataires se rencontrent dans l'espace qu'ils partagent, d'autres se rencontre dans un centre de police.

Elle n'était plus du tout fatigué puisque cette rencontre lui avait redonner de l'énergie.Elle regarda d'un autre oeil Amandine. Elle avait l'air d'une fille très enjoué dans la vie mais aussi.. très «de party» ce qui plaisait beaucoup à Gabrielle. Après tout, sa coloc n'avait pas hésité à venir la sortir du pétrin même si elles étaient encore inconnues. Elle lui fit signe et désigna un banc avec sa main pour que les deux nouvelles ... amies? s'assoient pour parler.


- Alors désolé qu'ils t'aient appeler à cette heure là..c'est un peu embarassant comme première rencontre..
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MessageSujet: Re: Pas encore   Pas encore Icon_minitimeJeu 12 Juil - 1:40

Le fait que leur rencontre officielle se fasse dans un commisariat était loin d'indisposer la jeune femme. Pourtant, il y aurait eu quelque chose, mais pour l'instant, Amandine était simplement heureuse de faire connaissance avec Gabrielle, avec qui elle partageait son appartement depuis quelques jours. Son arrivée plutôt remarquée dans l'endroit ne la dérangeait pas non plus, comme quoi il en fallait beaucoup pour réellement la troublée. Enfin, lorsqu'elle put apercevoir sa charmante colocataire, elle se rendit à sa rencontre avec le plus grand des plaisirs, comme si elles se rendaient en cours, et y laissa même sa trace en offrant un câlin à cette colocataire qu'elle tirait d'affaire.

Ce mouvement semblait tout naturel, puis quand elle la relâcha, Didine ne releva même pas la légère touche d'étonnement dans le visage de Gabrielle, dit Gaby désormais. Elle la connaissait pour l'avoir croisée peut-être, sinon avoir lu son nom sur la porte ainsi que sur ses bagages. Les deux jeunes femmes semblaient avoir déjà certains points en commun, soit attirer les emmerdes sans réellement les chercher, du moins, pas volontairement. Quand la blonde la remercia, ce fut un sourire franc qui s'afficha sur le lèvres rosées d'Amandine, qui lui répondit avec une légère pointe de malice.

L'argent, je m'en fous. T'inquiète, c'était pas mon dernier billet. Ça me fait plaisir, et pas qu'un peu, maintenant on peut aller traîner quelque part. Le sommeil, cette nuit, je crois que c'est terminé.

Elle lui sourit, refusant catégoriquement un retour d'argent. Elle n'était pas à son dollar près et, d'ailleurs, sa rencontre avec Gaby valait bien plus qu'un billet avec le visage de Washington. Amandine salua joyeusement le policier et la secrétaire, et sortit à l'extérieur, suivit de très près de la jeune femme, qui semblait soulagée de s'en tirer à si bon compte. Négligeant totalement le fait qu'elle était davantage habillée pour retrouver son lit, Didine suivit avec plaisir la jeune femme qui l'amenait Dieu sait où. Regardant droit devant elle, souriant aux inconnus, elle croisa finalement le regard de Gabrielle quand celle-ci désigna un banc pour s'y assoir. Chouette! La suivant, elle l'écouta ensuite continuer, et lui sourit.

Embarassant? Nan, au contraire, on a quand même eu la chance d'avoir une rencontre exceptionnelle, c'est pas rien tout ça. Sinon, rien de grave, je me reprendrai demain, ça sert à ça les vacances.
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MessageSujet: Re: Pas encore   Pas encore Icon_minitimeJeu 12 Juil - 2:15

Même si elle n'osait pas l'avouer, Gabrielle était rassuré se ne pas avoir à payer Amandine. En effet avec sa fugue de chez parents elle devait maintenant se débrouiller seule financièrement. Elle ne voulait pas non plus qu'on pense qu'elle profitait de sa colocataire. Peut-être que pour l'instant Amandine dit Didine refusait un retour d'argent, mais elle aurait un «récompense» en gage de remerciment et ça c'était certain. Elle n'aimait pas devoir quelque chose à quelqu'un. Biensûr que Gabrielle serait toujours là pour Amandine maintenant , mais elle tenait à être là pour aider quelqu'un plutôt que parce qu'elle devait quelque chose à cette même personne.

Elle rit un peu quand Didine lui dit que le sommeil c'était terminé pour elle cette nuit. Au moins G.S. aurait de la compagnie puisqu'elle n'avait plus sommeil non plus.


-Le problème c'est qie je voudrais pas que tu pense que j'ai toujours des problèmes avec la justice.. En fait c'est tout le contraire... puisque je veux devenir avoate...

Et oui notre Gabrielle avait d'ailleur peur que cette petite aventure avec les policiers fasse problème sur son dossier scolaire puisqu'elle était boursière et qu'au moindre petit écart elle pouvait bien être «déboursée..». Elle ne voulait pas se plaindre de son sort car elle savait très bien que cette bourse était la porte de sortie au mauvais monde et la porte d'entrée à la vraie vie.

En parlant de métier, elle se demandait ce que pouvait bien vouloir devenir la damoiselle à ces côtés. Gabrielle c'était renseignée sur elle et avait appris qu'elle était en seconde contrairement à Gaby qui allait rentrer à l'universtité à la prochaine session...


-Alors qu'est-ce que t'es venue étudié à Harvard?


[hj:dsl de ne pas avoir répondu plus vite mais j'avais toujours un contre temps..]
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MessageSujet: Re: Pas encore   Pas encore Icon_minitimeJeu 12 Juil - 3:11

[Sans problème, plus vite, ça a pris une demie-heure, à moi de m'excuser Very Happy]

Côté argent, Amandine n'avait pas à se plaindre. Du fric, elle en avait comme elle en voulait. Pas la peine de demander aux paternels, même, tout était sur sa petite Master Platine chérie. Bon d'accord, elle a peut-être un petit faible pour cette merveilleuse carte en plastique, mais cette dernière était synonyme de liberté, d'excès et, particulièrement, de plaisir. Des petits plaisirs comme sortir sa colocataire en payant sa caution, c'était parfait. La philosophie de Didine restait qu'on ne traînait pas son pognon dans son cercueil, alors autant en profiter tandis qu'on est en vie. D'ailleurs, même si on en doutait parfois, Amandine était loin d'être bête, elle adorait rendre service aux gens, particulièrement à ceux qu'elle appréciait, et elle avait le pressentiment que Gaby et elle, ça marcherait comme entente.

Pourquoi avoir de mauvais rapports avec quelqu'un quand on peut en avoir des bons? Un autre côté de la jeune femme qu'on ne pouvait pas manquer. Sur le campus, elle n'avait pas un ennemi, du moins à sa connaissance, sinon peut-être quelques jaloux, mais rien de vraiment dérangeant. Quand on est heureux, on fait toujours des jaloux, et Amandine était toujours et incroyablement heureuse, ou presque. Il en fallait beaucoup pour retirer le sourire que, encore maintenant, elle traînait sur ses lèvres. Ce sourire s'élargit au rire de Gabrielle, sans doute ne désirait-elle pas rester seule!


Nan t'inquiète, j'en ai vu d'autres.

Quand Gabrielle dit qu'elle voulait devenir avocate, la jeune femme sautilla presque sur place, c'était une superbe profession, tout ça. D'ailleurs, ne disait-on pas justement que les meilleurs avocats venaient d'Harvard!

C'est un métier des plus respectables, et quelques rencontres avec les «autorités compétentes» ne peuvent qu'être un plus. Pour ça, impossible que tu aies la moindre trace dans ton dossier, rassure-toi.

Car même si le blablatage du policier l'avait ennuyé au plus haut point, elle en avait dégagé l'essence, soit la raison de la présence de Gaby derrière les barreaux de la police municipale de Boston. Enfin, lui souriant légèrement, Amandine connaissait des gens qui avaient fait pire, et s'en était tiré indemne. Enfin, parfois, pas trop difficile quand on a un papa plein aux as ou une mère qui contrôle une bonne partie de la ville, mais pour un petit délit, rien ne pouvait vraiment toucher un dossier d'étudiant.

La laissant prendre d'abord place sur le banc, Didine s'assit à sa suite, frissonnant sur le matériel froid de ce dernier. Remarquant depuis la première fois sa tenue vestimentaire, elle se regarda, épouvantée, avant de relever la tête vers Gabrielle. Heureusement, c'est à ce moment-là que cette dernière intervint.

J'étudie en droit international, et franchement, c'est le pied.
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