¤ Sul-nah Hee ¤ (le retour =__=)

(aucune espèce de commentaire : ) Après on se plaint que la France génère des psychopates : ) )

Carte Etudiant:
Nom: Hee
Prénom: Sul-nah
Surnom (facultatif): (club) Jeon (diminutif) Sun
Age: 24
Lieu de naissance : Séoul, Corée du Sud
Campus : Corps enseignant si possible
Année scolaire (1ère,2ème) : J'aimerais savoir si c'est possible d'être la remplaçante de la prof d'art (voir LA prof d'art si c'est Noël : ) )

Je prend pas ce post juste pour faire joli, je suis comme qui dirait dans le métier et ça me botterais bien de faire un prof virtuel...
M'envoyez pas la porte au nez non plus, je suis sensible lll


Apparences Physique:
Allure (visage et corps) : Sul-nah a tout les qualités physique d’un mannequin.
Sa physionomie de native de Corée est un atout majeur car elle allie la beauté asiatique aux proportions occidentales ; elle peut se vanter d’avoir une plastique de rêve contrairement aux nippons, et d’avoir un teint mât qui rendrait jaloux les japonais livides, sans oublier son mètre soixante et onze, qui a de quoi donner des complexes aux autres populations asiatiques.
Ainsi, Sul-nah est un splendide condensé de la finesse des pays d’Asie et de l’image alléchante des pinups américaines.
Son visage est insolent de beauté : yeux bridés, regard incandescent, sourire ravageur…
Elle arbore une allure de belle plante ; ses cheveux pleurent en cascade sur ses épaules, ce qui modèle sa silhouette fine et élancée…
Détestant la monotonie, elle s’accorde à changer d’apparence quand bon lui semble ; rajouts, couleurs, maquillage, tout y passe pour le bonheur de ses messieurs.

Style de vêtements : Sa garde robe est immensément grande… Elle est obligée de gonfler cette dernière chaque fois que l’occasion s’y présente car les clubs côtés demandent aux danseuses une personnalité vestimentaire certaine… Classe ou provoquant, tout lui va et elle a le don de ne pas tomber dans la vulgarité qui couronne les miss les plus désœuvrées de l’université.

Autres (piercings, tatouages, autre ...): Un tatouage sur l’épaule droite… Elle déteste les piercings, ça l’écoeure…



Psychologie & Personnalité:
Caractère, mentalité : Ne vous y trompez pas, son 95 B ne fait pas d’elle une sotte, bien au contraire… On peut sans doute dire qu’elle est une tête… Etudiant intensément la politique, les thèses ardues et autres problèmes tortueux de sociétés sont un jeu d’enfant pour elle. Mais elle ne se sert pas toujours de son érudition comme elle le devrait ; c’est ainsi qu’on la connaît manipulatrice sans vergogne… La psychologie humaine n’a aucun secret pour elle, et elle en joue sans qu’une affaire de conscience ne vienne l’y empêcher.
Son parcours d’adolescente déchirée entre sa passion et la présence d’un père amoral, on fait d’elle une enfant distante avec autrui ; s’attacher aux autres est synonyme de faiblesse pour elle… Conséquence de cela, Sul-nah s’est armée d’une implacable hypocrisie, si experte, qu’aucun esprit ne décèle les mauvaises pensées qui découle de son personnage…

La sud-coréenne déconsidère donc la race humaine. Seuls ses proches comptent, et encore peu peuvent se vanter d’attirer la bienveillance de la belle…
Les années l’ont aussi dégoûté des hommes. Malgré sa complaisance dans le sexe, elle déteste ses partenaires… Sous ses charmants sourires, on ne décrypte pas le malaise du personnage et le fossé qu’elle a volontairement creusé entre elle et les autres.
Malgré la position qu’elle prend vis-à-vis de ses compagnons, elle n’en ai pas moins heureuse ; se détacher ainsi du monde ne l’attriste pas le moins du monde.
Elle est donc inévitablement narcissique…

Défauts : Son plus grand défaut peut-être sa grande confiance en soi mais surtout, cette incroyable indépendance qui fait qu’elle croit s’en sortir sans les autres. Mis à part son caractère, elle ne comporte pas de défauts visibles…car ce personnage sait jouer des artifices pour cacher l’animosité qu’elle confère à tout être, sous un voile d’hypocrisie pure… Son manque de franchise lui jouera sûrement des tours si elle tombe sur plus intelligent qu’elle.

Qualités : Ses qualités physiques sont indéniables. La beauté est relative mais dans son pays natal, il est évident qu’elle remportait un franc succès auprès de la gente masculine.
Outre cette façade, on peut lui envier son talent incontestable pour la danse…
Ses facilités à manipuler l’autre ne peut être compté comme une qualité… on peut peut-être dire d’elle qu’elle est un caméléon lorsqu’il s’agit de masquer ses défauts…
On remarque aussi sa nature de battante. Sa volonté à toute épreuve peut la sauver de biens des situations ; elle n’est pas du genre à se laisser aller, c’est un personnage qui se surmène… Ses connaissances géopolitiques constitueront un atout majeur dans son avenir professionnel… sans compter son savoir dans le domaine artistique.
Aussi, son QI est tout naturellement un bon avantage…

Goûts:

Aime : Les boîtes classes…
Sul-nah aime par-dessus tout danser. Elle se sens dans son élément et ne pense plus à rien d’autre, ce qui lui confère une sensation qu’elle ne trouve dans aucuns autres plaisirs humains…
Elle possède un sens aigue de l’esthétique, elle aime donc les belles choses, l’art est un des domaines auquel elle s’intéresse tout particulièrement.
La sud-coréenne aime tout naturellement son pays natal, qu’elle compte retrouver à la fin de ses études, et les soirées endiablées passé minuit… A part sa passion, Sul-nah n’apprécie pas assez les choses de la vie pour leur accorder une quelconque importance. Ainsi tout ce qui tourne autour du côté esthétique de la danse l’intéresse : la photographie de mode, les vêtements, et les musiques qu’elle anime entre autres rap et r’n’b…
Elle aime aussi se retrouver seule au cinéma…
Son centre d’intérêt majeur reste la politique, dans laquelle elle s’est énormément investie…

Aime pas : Les boîtes miteuses…
Il y a beaucoup de choses qui insupporte la sud-coréenne, qui, il faut l’avouer, est facilement irritable, bien qu’elle n’avouera jamais sa nature irascible.
Les filles ont le don de l’énerver assez rapidement ; leur manque de finesse, leur façon chiadée de jouer avec l’esthétique, leurs facilités à parler d’un sujet qu’elles ne connaissent pas, faute d’un grand débit inutile de paroles, bref, vous l’aurez compris, les minettes qui courent les rues n’intéressent pas la danseuse…
Côté garçons, elle déteste les playboy sans expérience qui s’attaque à de gros calibres alors qu’ils n’en ont pas les moyens. Elle ne supporte pas non plus les midinets, insulte à la gente masculine et encore moins les metrosexuels.

En général, ce qu’elle n’aime pas dans le genre humain est le manque de tact et la vulgarité.

Ce qu’elle déteste par-dessus tout, et qui n’arrivera jamais, est qu’on la regarde peindre, une activité qu’elle pratique seule, loin des regards, car lors de ces moments confidentiels, elle se décharge de sa vraie personnalité sur la toile, cet aspect d’elle-même qu’elle cache au monde.


Biographie:
Histoire : (résumé)

Sul-nah était déjà distante et froide, enfant, à un tel point qu’elle restait cloîtrée chez elle devant la télé, s’estimant déjà au-dessus des autres pour ne pas aller à leur rencontre. C’est ainsi que, baignée par l’univers télévisuel, elle se passionna pour la danse et s’exerça dès le plus jeune âge. Aussi, les débats idéologiques l’absorbaient ; elle se sentait dans le devoir de tenir un jour de pareils discours, et peut-être de changer ce monde par des mots…

De famille modeste, Sul-nah démarra avec peu de moyens dans la vie…
Ayant honte de ses parents, elle se détacha très vite du cocon familial.
Alliant ses deux passions, elle allait à l’université la journée, et à la tombée de la nuit, elle s’évanouissait dans l’allégresse des boites de nuits, ce qui subventionnait ses études.

Arriva l’incident avec son père, qui l’encourage à partir au plus vite de son pays.
De plus, l’étranger lui serait bénéfique ; elle pourrait y étudier plus intensément la politique, mais aussi, se perfectionner dans son art premier. Son professeur de danse, ravi de ses progrès, vit en ce voyage vers les States, une opportunité à saisir car elle savait plus que quiconque qu’aux Amérique, les meilleurs danseurs se regroupaient…

(Partie d’une biographie dans le prochain post)


Etudes :Sul-nah a choisi Harvard pour sa réputation. Elle espère y acquérir plus de connaissances en politique, géopolitique et social, les branches dans lesquelles elle a débuté en Corée du Sud, en parallèle elle y enseignera l’art, l’une de ses trois passions.

Famille : Elle préférait les voir morts.
Tous deux se sont laissés manipuler par leurs patrons nippons, qui ont fait d’eux des esclaves… Elle a honte d’eux, les méprise, mais fait profil bas devant sa mère, étant aussi hypocrite avec elle qu’avec les autres. Son père est le centre de ses inquiétudes. Du fait qu’il ait été ainsi exploité par les japonais, il sombra vite dans la déchéance et trouva la compagnie des bordels… Depuis l’incident avec sa fille, son état à empirer tandis ce que son obsession pour le sexe n’a fait qu’accroître ; à coté de cela, les vues sur sa fille ne se sont pas tues. En silence, Sul-nah est terrifiée à l’idée qu’il puisse la retrouver.

Elle est fille unique, ce qui n’a pas arrangé sa nature égoïste…

Autres:
Votre prénom (facultatif): x
Votre âge (facultatif): x
Nom de la personne sur l'avatar: Lee Hyo-ri
Comment trouvé vous le design du forum: Comme mon perso est hypocrite… « Magnifique ! J’adore ! … » : )
Comment avez vous connu le forum: (ça va, on m’a reconnu je pense : ) )
Combien de fois/semaine comptez vous venir sur le forum: Always
Donnez une fourchette du nombre de lignes de vos RP environ: Déjà posé comme question : )
CODE: 500

(partie de la bio)

Une soirée d’été où sommeille la fraîcheur du printemps, laissant place à une chaleur des plus insupportables ; tout les volets de la ville sont fermés, les portes, closent. Dehors les enfants jouent torse nu, agitant des serpents d’eaux. Le soir tombe sur la Corée du Sud et les fantômes cloîtrés dans leur chaume le jour sortent peu à peu, timides ; dehors on profite de la brise froide de la nuit. Sur les toits et dans les rues, fourmillent milles âmes…
Hors,… il y a en ce monde des êtres ne trouvant vie que lorsque les griffes sombres des soirées fraîches de Corée viennent lacérer les flans des montagnes noires, englobants vallées et plaines…

Sul-nah est de ceux qui meurent le jour, en silence…et renaissent la nuit, dans toute leur splendeur…

Le soleil mourant sonne le glas du crépuscule ; l’heure est arrivée…

L’on entend dans les rues les plus sombres une musique étouffée. Le père de Sul-nah s’aventure dans la ville ; il cherche une aide… Sa femme et lui sont en conflits depuis bien trop longtemps, la pression de leurs inhumains patrons nippons couronne ce malaise dont leur fille n’a conscience. Il a besoin de recul…
Trouver refuge dans ce genre d’endroit n’est peut-être pas la solution… mais il brave ses éthiques, traversant ces ruelles malfamées…

Quand le père de famille désespéré fit son entrée au club, la soirée était presque arrivée à son terme, les danseuses regagnaient les loges, seules quelques irréductibles restaient parmi la foule, à danser comme si la dernière représentation n’avait été qu’une maigre entrée.
Le père de Sul-nah, affalé sur le bar entame quelques verres mais pas assez pour se voir ivre ; il veut malgré tout garder la tête haute…
Il mit un temps infini à se décider à se mêler à la foule en transe, nuée de corps dansants, enflammé…
Se frayant un passage, il fut vite entraîné, bousculé, et même invité à danser. Malgré ce climat torride, il se sentait mal, n’était pas dans son élément…
Il se fit une raison et se dit que rester de marbre face ici ne servait à rien, mieux valait profiter pleinement de l’instant présent.. après tout, il était venu pour cela ?
Devant lui, une danseuse accordait mouvements endiablés et attitude aguicheuse, pourtant elle respirait la grâce dans cette chorégraphie torride ; une nymphe aux portes des Enfer.
Le père se jeta tête baissée sur l’appât ; derrière elle, il glissa une main baladeuse, qui insolemment, vint flatter les reins de la jeune danseuse. N’eut-il pas attendit sa réaction qu’il l’enserra par derrière, et s’accapara cette fois-ci sa poitrine, puis, il l’embrassa alors, tentant d’aller plus loin encore car sa main s’emparait du string de sa proie, qu’il comptait bien arracher.
La fille, entraînée par surprise par ce chef de famille venant chercher le réconfort, avait cessé sa danse sensuelle pour se débattre avec violence contre ce fauteur de trouble. Déjà, elle sentait la chaleur de l’entrejambe du quinquagénaire contre ses cuisses. Le gabarit de la jeune victime l’empêcha de renverser la situation mais son acharnement lui accorda de se libérer et sans plus attendre, elle se retourna vivement pour asséner à son agresseur, une gifle mémorable qui semblait alors couvrir la musique ambiante…

C’est alors que les témoins de la scène, quelques uns au départ, avertirent les autres mais une chose étrange les empêcha de sombrer dans un brouhaha qui finirait tôt ou tard en mêlée générale.
Etrange était bien le mot pour qualifier la situation ; les deux protagonistes de cette agression se regardaient face à face, et leurs vies semblaient s’être arrêté, brisant les chaînes du temps.
Quant à ceux qui avaient compris ce qui se passait, ils firent vite passer le mot et un silence de plomb s’installa dans tout le club, quelques chuchotements insouciants venant se glisser parmi la foule… Même le Dj s’arrêta un moment, transcendé, mais un autre lui fit signe pour qu’il reprenne…

Le père de famille fixait, bouche bée, l’adolescente qui venait de lui administrer la gifle la plus violente qu’il ai connu de sa vie.

Il ne savait pas que sa fille était dotée d’une telle force

*Tu as bien grandi*

Sul-nah, elle, était aussi pétrifiée que son père, de le voir sous ce nouveau jour. Sur le moment, la pensée de regretter cette gifle vint se mêler entre milles autres ; que faisait-il ici ? que lui prenait-il ? pourquoi lui ? n’était-il pas un père exemplaire ? mais cela arrive à tout le monde de vouloir relâcher la tension des jours d’une mauvaise lune, mais pourquoi alors, ce destin a-t-il voulut qu’ils se retrouvent ainsi tout deux… Elle maudit sur l’instant les cieux d’avoir joué de deux êtres liés par le sang…
Son père lui, se posa différentes questions, entre regrets et rancœur, se dégoûtant d’avoir posé la main sur sa fille, mais aussi, se demandant ce qui avait bien put poussé cette dernière à fréquenter ce genre d’endroits..
Mais voilà que depuis quelques semaines, elle était reine des clubs les plus côtés à l’insu de ses parents…
Si elle avait su…
Si il avait compris…

La question commune qui hanta l’esprit de chacun fut celle de savoir quelle faute avaient-ils commis pour qu’une telle cruauté asservisse le destin…

Ce soir là, en rentrant, ils firent vœux de ne pas en parler à la mère de Sul-nah…

Toute la nuit durant, elle se tortura l’esprit à trouver réponses à ses questions…
Son image n’était-elle pas la faute de cette altercation…
Elle avait conscience que danser ainsi était une invitation hypocrite, message de promesses érotiques qui ne connaitront de fin, car il y aura nul début.
Sa passion ne comportait-elle pas ce risque de devoir s’imprégner de cette image qu’elle reniait ?
Si elle voulait continuer à danser,… elle devrait en assumer les conséquences, faute d’une image qui lui collera à la peau, toute sa vie…

Soit, elle dansera. Get ya’

C'est drôlesse : )
Faudrait me faire plus souvent des coups dans le genre pour que j'ai le sourire jusqu'au lèvres chaque matin : )

Je vais chercher mon "vava" sur ma clé : ) C'est que mon pote Paco Raban m'a pas prédit que j'allais manger la poporte : )