Quand ca tourne au massacre.. (Andrew et Bandô)

Invité

-Toi ma Mignonne tu te mets la et tu bouges plus ok?

Lyn atterit sur le canapé avec violence et elle entendit la porte se refermer derrière elle. La pièce était sombre, mais soudain une lumière fusa dans la noirceur de la nuit et la clarté vint pointer le bout de son nez. Frank était au dessus de la jeune danseuse et la regardait un sourire en coin asser pervers. Lyn n'avait pas fait son chiffre ce soir et son patron n'était vraiment pas content. Son regard allait du visage chauve du dealer à la porte et revenait dans la pièce. Qu'est-ce qu'il allait encore lui faire? La sauter comme quand il n'était pas content!! Lyn sentit ses maigres defences se briser sous le poids ecrasant du regard de son patron et elle s'enfonca un peu plus dans le canapé.

-Qu'estce que tu me veux? C'est pas un drame! Regarde Misha non plus n'a pas fait son chiffre pourquoi tu t'en prends qu'a moi?!!

elle s'enervait, mais elle était au bout du rouleau. Chaque soir c'était la même ranguaine et ca lui passait au dessus de la tête à présent. Son instinct lui disait de partir d'ici trés vite, mais que pouvait-elle tenter? Une esquive par la porte? impossible, Frank était si imposant qu'il l'aurait deja rattraper avant qu'elle n'ait fais deux pas. La fenêtre alors? de même c'était la mort assurée. Elle se trouvait au deuxième étage dans les espaces réservée au personel du bar et les lieux privés de Frank. Il y enmennait qui il voulait et personne n'avait le droit de monter sans être connu de toute la clique de ses gardes. Elle risquait tout au plus de se briser le cou. Non merci! Lyn se redressa pour lui faire face quand il tira une clope de son sac et l'alluma. Il tira une taffe qu'il envoya dans la figure de la jeune nippone et d'un coup ecrasa le bout incandecent sur le decolleté de Lyn. Elle grimaca et sans prévenir repoussa la cigarette et lui cracha à la figure

-Hotes tes pattes de là! tu es malade ou quoi?

-Ca c'était le geste a ne pas faire ma douce..

Sans menager la jeune femme, il la renversa en arrière sur le canapé et lui bloqua les mains. Lyn apercut le regard sadique de son patron et paniqua. Elle savait pertinament ce qu'il allait se passer mais elle se refusait la verité. D'un coup son corset lacha prise sous les mains puissantes de Frank et elle se debatit. Elle criait pour qu'il la lache et la laisse tranquil, mais il n'avait cure d'une bomba qui dansait pour lui. Elle était son jouet, son amusement et il allait en faire ce qu'il voulait ce soir. Prende la part de credit qu'elle n'avait pas fait avec les autres. Tant mieux d'un coté pour cette pourriture qui n'avait qu'en guise de cervelle un paquet de coke.
Lyn se debattait comme elle pouvait, le gifflant quand elle en avait l'ocassion, mais deja il avait defait sa ceinture et la jupe de Lyn avait glissé contre sa cuisse..

(voila dsl si c'est un peu long faut bien avancer l'histoire ^^ je vous laisse l'arrivée surprise ! )

Invité

Dans la vie il y avait deux genre de personnages... Ceux qui assument, et ceux qui tentent de cacher la vérité, jusqu'a ce que, indeniablement, elle finisse par vous peter a la gueule... Tim était du deuxiéme genre, un dealer qui marchait bien, mais a qui on avait refilé le secteur du bar le "Pacha", et c'est la que les problémes avaient commencés... Le patron de l'enseigne, ou du moins le boss des gogos danseuses, un des meilleurs acheteurs du coin, qui devait, normalement du moins, lui rapporter un paquet de frics. Seulement la, il avait deja accumulé du retard, il en était a plus de cinq mois, et les foudres avaient étés evités de justesse, seulement dut a la reorganisation du groupe de son boss... Mais il fallait bien que cela finisse par tomber.... Et c'était le cas aujourd'hui... Ce soir, devant son patron, Tim avait les yeux rouges, les larmes secher sur les joues, et il tremblait comme une feuille.

Assis au milieu d'une piéce sombre, humide, une cave surement... Ils étaient venu le chercher un peu plus tôt dans la journée, pendant qu'il dragué l'une des putes du coin, Lorna de son prenom. Il s'était entiché d'elle, et cela faisait des mois qu'il tentait de la sortir de la prostitution, des griffes de son patron. Il lui avait promis merveilles et vie de réve, Franck, le fameux mauvais payeur, lui ayant promis de le payer, mais il prendrait cet argent Tim, et filerait avec Lorna vers un coin perdut, et vivraient tout deux heureux... Seulement aujourd'hui finit les réves de vies peinardes, la seul compter de sauver sa peau... Les deux hommes de mains du Boss se tenaient de chaque coté de lui, ne bronchant pas, ne le regardant méme pas, il était attaché, il savait qu'Andrew n'allait pas tarder, et si il ramené la Japonaise avec lui?! La ce fut la peur qui monta en lui, et les pleures recommencérent...

La porte, l'unique de la piéce, finit par s'ouvrir, dans un grincement strident, et une silouhette passa au travers de l'ouverture... Les deux homme de chaque coté de Tim se raidir, MacTyler venait d'entrer... Une clope a la bouche, les mains dans les poches, le Boss du crime s'approcha lentement du jeune homme terrorisé, tel un predateur qui jouait avec sa proie. Andrew stoppa son avancé a quelques centimétres de Tim, et retira lentement ses lunettes de soleil... Regardant de ses yeux bleu glace le pauvre dealer... La voix du Britanique resonna alors dans la cave...

- Tu as une sale mine Tim... Tu devrais te voir, c'est pas trés serieux pour un gars qui se dit un gros dur...
- Patron je...

Le poing fermé du boss lui arriva en pleine machoir, manquant de lui fracturer... La téte du dealer fit un quart de tour, et la douleur fut immédiate, Tim pleura de plus belle...

- Je parle. Bien. Ou est mon fric Tim? hum...? Celui du gros lard de consomateur du Pacha?
- Il a du retard boss.... Je
- Ta gueule! Tu connais la marche a suivre. Les mauvais payeurs ont les remets dans le droit chemin, ma Jap' leurs rappels leurs devoirs... Mais pour cela il faut que je sois prévenu, ce que tu n'as pas fait Tim. Heureusement que j'ai un bon réseau, et qu'Ethan a reprit les comptes... Il nous manques prés de 250 Kg... Cinq mois de retard dans MA trésorerie...
- J'allais vous le dire mais...
- Mais tu voulais tout te garder Tim...
- NON... Jamais je n'aurais...
- Tu as le bonjours de Lorna... Elle a gemit ton nom avant de se faire passer dessus par les huits taulards... Elle m'a tout raconté, et aujourd'hui elle occupe le trotoire sud... Tu sais celui ou traine les blacks.. Elle va en chier... Tu voulais me voler petite enflure...

Tim pleura de plus belle c'était finit, il avait voulut voler satan en personne, mais le diable s'était apercut de tout...

- Mais, je suis de bonne humeur, et je ne vais pas te tuer Tim...

Andrew fit signe a sa clique de sortir, ce que les deux autres se pressérent de faire, horrifié par le spectacle qui allait suivre... Tim leva les yeux, implorant le pardon a Andrew du regard, heureux d'avoir la vie sauve... Andrew detacha alors lentement le dealer... Et ajouta une petite tape sur la joue..

- Allé, reprend toi, c'est Finit Tim...

Le boss se tourna doucement, et repartit, vers la sortie, s'arretant alors devant la porte, jetant sa clope dans la piéce... Oui, c'etait finit... Un homme approcha, un bidon dans les main, et aspergat le sol devant le dealer... Tim regarda le liquide se rependre autour de lui, avant de recevoir le produit directement sur lui.... L'odeur, ce fut l'odeur qui lui permit de reconnaitre... De l'essence... Il commenca alors a paniquer, se dirigeant vers la porte, hurlant... Mais elle se referma devant lui, le laissant dans le noir. Mais la nuit fut romput, une flamme, unique mais tellement brillante, aparut dans le coridor de la meutriére de la porte d'acier... Tim hurla, mais deja Andrew était devant sa voiture, regardant un de ces hommes...

- Contact Bandô, dit lui de me rejoindre au Pacha, au plus vite!!

L'homme aquiesca, et Andrew monta dans son coupé sport noir, demerant en trombe et se dirigeant vers le Bar, ou le gros lard ne devait se douter de rien, et pourtant, Lucifer et Cerbére approchaient...

Il lui fallut a peine dix minutes depuis l'usine pour rejoindre le bar, la il garra la bagnole sur la parking, bien vide, et descendit de son bolide, marchant vers l'entrée...
Le portier voulut le stopper, pour lui demander son nom, mais l'arme qui se pointait devant lui le calma rapidement, et il laissa le britanique en colére passer... En effet le bar etait bien vide ce soir, tant mieux, moins de temoins laissés plus de possibilités. Il chercha du regard le mauvais payeur, mais ne le trouva pas... Il s'approcha du bar et questionna alors le jeune derriére son comptoire...

- Ou est Franck?
- Qui ca?

Andrew, deja bien noir par les derniers evenement n'eu pas la patience de l questionner. Il saisit le gamin par le col, et le ramena vers lui, fraccasant un peu la téte sur le bar, son Berreta sur la joue... Le silencieux froid venant caresser sa peau... Le jeune homme ne fut pas aussi arrogant et indiqua du doigts le bureau a l'étage... Andrew le relacha, et sans attendre se dirigea vers le coin salon de l'autre gros lard... Trois hommes postés a l'entrée... Tant pis pour l'economie de balle, il leva son arme, et les autres n'eurent méme pas le temps de crier, une balle logés dans le corps, dans un silence tout juste romput par le click de la gachette... Ils tombérent, moue, morts... L'anglais poussa la porte fragile avec le pied, les montants lachérent, et enfin arriva dans la piéce. Le gros était la, martirisant une de ses putes.

- Alors enculé? ou est mon fric? J'ai la patience Limité ce soir, pas de connerie, ou tu subit le méme sort que tes potes devant ta porte...

Invité

Une droite, une autre, puis un crochet ; cela faisait depuis plus d’une demi-heure que les coups pleuvaient sur le fumier qui avait fait l’erreur de sous-estimer ce petit bout d’adolescente qui ne payait pas de mine. L’attaquer au skatepark, alors qu’elle était seule et oisive, avait été d’une lâcheté éhontée : elle comptait bien lui faire comprendre les bonnes manières. Il était robuste, mais elle, teigneuse… La minute d’après, il finit enfin par lâcher son dernier souffle. A ce moment là, la sonnerie de Reservoir Dogs la fit émerger de sa transe : elle décrocha ; le boss avait besoin d’elle.
Laissant le cadavre inanimé, elle monta sur sa planche et fila à toute allure vers le bar…

Apparemment il avait déjà fait le ménage ; l’odeur âcre du sang qu’elle aimait tant, commençait à se répandre dans tout le bâtiment. Bāndô n’avait jamais compris pourquoi les boss des boîtes allaient se terrer au fond d’un trou dans un local à l’abri des regards : ils n’entendaient ni ne voyaient rien de ce qu’il pouvait bien se tramer dans leur club… Frank, ce vieux dégueulasse sénile, trop occupée à prendre du bon temps avec l’une de ses prostituées, ne vit pas arriver le cataclysme… Son local insonorisé étouffa les coups de feu. Ce n’est qu’au paroles d’Andrew qu’il comprit qu’il était fini…
La nippone balaya du regard la salle vide, ou presque, puis ce que l’employé violenté par son patron, s’empressait de ramasser ses affaires pour fuir d’ici au plus vite. Lorsqu’il croisa la lueur meurtrière qui luisait dans les yeux de la japonaise, il ne fut pas long à lui indiquer le lieu du futur carnage. Mais cela ne lui plaisait pas qu’on soit aussi docile avec elle…
S’avançant tranquillement vers le jeune, elle s’empara d’une bouteille qu’elle fracassa sur le haut du crâne qui se fendit alors comme un fruit mûr. Bāndô ne prévoyait pas ses offensives, elle préférait faire cela au feeling ; c’est ainsi qu’elle était venue sans arme –sans compter son fidèle couteau-, prenant ce qu’elle trouverait sur les lieux… En l’occurrence, il s’agissait d’une bouteille d’alcool pour cette première attaque…
Le demi crâne de l’employé gisait sur le comptoir, laissant son intérieur se déverser vulgairement sur le sol. Urushima, s’accouda au bar, posant la tête à l’horizontal pour voir l’oblique de cette situation qui la fit sourire.

« L’avait pas grand-chose dans le casque, le bonhomme…»

Mais ce n’était pas le moment de s’amuser : elle se dirigea à l’étage, vers l’escalier jonché de cadavres. Quel gâchis, pensa t-elle… La nippone détestait les armes à feu, voir le travail que ces cracheuses de balles faisaient aussi facilement, lui était désagréable…
La porte était ouverte : Andrew menaçait Frank, et une prostituée était à deux doigt de passer à table. Tranquillement, sans annoncer sa venue, elle dépassa son boss pour se diriger vers le tas de graisse.
Difficile à croire que cette adolescente, tout juste majeur, était une machine à tuer : chewing-gum à la bouche, planche de skate sous le bras, air désinvolte…
Bāndô se plaça alors derrière l’homme ; sans tarder, elle lui enfonça la bouteille à demi brisée dans l’une des fesses surdimensionnées. Il n’eut le temps de répliquer car une lame de couteau menaçait son cou blanc. Elle le maintenait ainsi, dans cette position cocasse, une fesse violentée par du verre… Urushima ne bronchait pas ; aujourd’hui elle semblait détendue… Elle se retourna vers son boss, sans relâcher son étreinte ; Lyn pouvait s’échapper. Aucun mots, seul son regard suffit : elle attendait l’autorisation de son patron pour s’effectuer…

Invité

La jupe de Lyn avait glissé un peu plus contre le bas de son ventre et Frank la tenait en proie à une panique phénoménale. Il n'avait jamais été aussi dur avec elle, depuis que la jeune femme travaillait à son compt. Même en cinq ans de boulot dans ce trou pommé, elle n'avait subit d'attaque violent de ce genre. Frank la repoussa sur le canapé qui sentait la clope à plein nez et qui donna un haut de coeur à la nippone, puis il entreprit de lui ecarter les jambes. C'était trop pour Lyn qui tenta de le frapper au visage mais n'obtint comme réponse qu'une belle baffe. Sa tête partie sur le coté et elle sentit l'horreur de la situation lui echapper. Cela filait entre ses doigts comme l'alcool que devait avoir bu frank. Il était soule, complètement shouté au snif et il s'acharnait sur elle. Cependant alors que son corps cedait sous les menaces corporelles du Dealer, un coup de feu l'arreta dans son elan et la surprise permit à Lyn de reserrer ses jambes.

La jeune femme se demanda ce que c'était, mais deja Frank lui collait la main sur la bouche pour qu'elle ne crie pas ou ne tente quoi que ce soit. Il respira un temps au dessus de Lyn qui pu sentir les refluts d'alcool. C'était ecoeurant et elle se retint de vomir sur lui, bien que ce n'était que ce qu'il meritait. La japonaise sentit le poids demeusuré de son patron sur son corps devenir plus leger et elle le vit se lever. son regard allait de la porte à Frank et revenait vers l'encadrure de bois. Soudain un autre coup de feu..un autre encore. A chaque detonation Lyn sursautait comme si c'était elle qui avait reçu la balle. elle se recroquevilla dans le canapée à moitié denudé, ne portant que son soutif et sa jupe ouverte sur le coté. Il y avait quelque chose qui n'allait pas..vraiment pas car même Frank reculait...

Elle ne l'avait jamais vu dans cet état. Il semblait paniqué. Alors la porte s'ouvrit et dans la pénombre de la nuit, la jeune nippone vit un homme asser grand, un calibre a la main et un regard percant derrière ses lunettes noires. Il avait une aura si puissante que Lyn, même de la où elle était, pouvait sentir qu'il n'allait pas vendre de simple fleur à Frank. Les menaces fusèrent et Lyn laissa echapper un leger gémissement. La ça tournait vraiment mal. Dailleur Frank sembla devenir doux comme un agneau devant la vue du flingue

-Oh..C'est toi Andrew! Hey mon gars calme toi! ton fric j'allais te le donner et..Putain braque pas cette arme sur moi!!!!!

TRop tard la menace était deja en execution. comme si tout se jouait au ralentit, Lyn vit aussi une jeune femme, la deguaine complètement à l'opposé de ce qu'elle pouvait se faire d'une fille, entrer dans la piece furtivement, et pourtant..comme dans un film, tout ce passa vite. Frank se retrouva trés vite menacé et Lyn paniqua.

-Tu sais qu'en me tuant tu n'auras pas ton fric! ca te sert a quoi hein dis moi andrew??! et dis à ta bull dog de se calmer!

Frank cherchait un echappatoir de toute urgence. Mais le couteau qui le menacait sous la gorge l'obligeait a être modéré dans ces paroles. un filet de sang coula contre son coup et le patron gras du Pacha devint aussi livide que la lame du poignard.
Lyn se don coté semblait deconectée de la réalité. Ce qu'il se passait devant elle n'était aps réel! Ce n'était pas possible! C'était qui cette bande qui se permettait de venir et tout fracassé? De plus ils avaient surement liquidé tout le personnel et passerait sur Lyn une fois leur corvée finit! elle tenta de se faire petite mais les questions fusaient en elle. Des scenarios complètement loufoque tissaient leur toile peut à peu, et elle se surprit à en trouver un à son gout. Frank devait de l'argent à ce mec. Combien de fois l'avait-il menacé de son coté de lui donner tout ce qu'elle gagnait en dansant pour de vieux pervers? Lyn ne comptait plus, mais les fils de la trame commencaient à tous apparaitre. Tout se retissait et elle comprit le lien. La drogue! Plusieurs fois il l'avait menacé un sachet de poudre vide devant le nez, qu'il n'avait pas ce qu'il voulait.

Lyn regardait de droite à gauche se demandant ce qu'il allait faire d'une danseuse comme Lyn. Mais le dénommé Andrew s'approcha d'elle, un regard qui était neutre. Elle mit une main devant ses yeux pour se proteger, pensant qu'il allait lui braquer le calibre en pleine face, mais il la prit par le bras pour la faire sortir. Lyn ne protesta pas, son cerveau ne travaillait plus, elle ne pensait plus, elle était seulement terrorisée. Elle eu juste le temps de prendre son haut et de se cacher la poitrine avant qu'elle ne constate le carnage qu'il y avait eu dans le couloir. Des morts dont certains qu'elle connaissait. Elle trembla mais le denomé Andrew avait deja disparut. elle se retourna mais elle était seule. Rien ne troublait le silence du couloir qui avait maintenant l'allure d'une orgie. C'était l'orgie d'un Dealer en furie.

Le coeur de la nippone battait en rythme des coups qu'elle entendait derrière la porte. Que se passait-il. elle recula jusqu'au mur qui était en face de la porte où se trouvait Frank, la nana aux allures japonaise et Andrew. Son corps était paralysé par la peur, l'angoisse, mais aussi le soulagement de ne pas avoir été tué. Mais est-ce que c'était son tour ensuite? Pourquoi ne pas l'avoir fait avant...? Une chose était sur..C'est que grace à ces forcenés elle n'avait aps été violée..Mais qui sait si c'était pas eux qui allaient s'en charger. elle pensa à fuir, mais ses jambes l'abandonnèrent sur la paillasse devant la pièce. Son corps s'affeca se tout son poids et son dos rencontra le mur...

(voila...ouch c'était long XD j'espère que ca ira!^^)

Invité

Son arme pointait sur la téte du gros tas de merde, Andrew arrivait tout juste a se contrôler, le doigt sur la gachette de son Berreta 9min, équipé de balles a fragmentations, qui une fois entrée dans le corps, explosé, delivrant des millers de minuscules petit bout de fer, arrachant l'intérieur de la victime de ces balles d'origine militaire. L'anglais prit le temps de regarder celui qui était encore aujourd'hui l'un des Mac les plus en vue sur Cambridge et les alentours d'Harvard. Son bar était d'une part bien placé, ces putes, ou danseuses exotique pour les ames sensibles, étaient parmis les plus belles, et toute cette petite entreprise brassée des millions chaques années... Andrew avait decidé dans un premier temps, de laisser ce concurent tranquille, ne voulant pas de guerre de clan, tout du moins, avant de s'étre véritablement renforcé.

Il regarda de plus pret, celui qui controlait tout cela... Frank.. Gras, le premier mots qui venait a la bouche quant on observait ce gars la, la téte absente de toute pilosité, des yeux petit et malsains, une bouche, pour le moment certes deformé par un rictus ridicule, mais qui en temps normale devait rouler des pelles a toutes ces employés. Il transpirait, comme un porc, il se doutait bien ce qui allait suivre, mais n'immaginé méme pas la maniére dont ca allé se passer... Bandô était sur le chemin, si son gars l'avait prévenue, et Frank allait connaitre la fureur d'Andrew par les poingts de la Japonaise... Un sourire se dessina lentement sur le visage du British, une idée commenca alors doucement a germer dans sa téte d'entrepreneur illicite, dans son esprit malin.

Ce fut le bruit de verre qui se brisait sauvagement sur une téte qui lui fit comprendre que son arme la plus efficace était enfin arrivée... Son gars l'avait donc bien prevenue, et la folle furieuse était là. Il l'entendit monter une a une les marches qui menait dans le petit salon de Frank, pour enfin arriver dans la salle, ne jettant méme pas un regard a Andrew, connaissant exactement la situation, celui qu'il fallait qu'elle neutralise... Elle passa a coté de lui, mais il n'y pretta pas d'attention, les yeux toujours braqué sur le tas de merde face a lui... Andrew passa ensuite un bref coup d'oeil a la japonaise qui était toujours a terre, violenté par le gérant du bar, toute tranblante, les yeux dans le vide, elle ne devait plus trops comprendre ce qu'il se passait ici... Qu'importe, Andrew lui, savait, rien de plus important.

- Oui c'est bien moi Andrew... Et mon fric, ca fait cinq mois que j'attend. Mais qu'importe, je vais l'avoir ce soir, Ca c'est une certitude le gros...

Bandô entra alors en action, de maniére assez originale, comme a son habitude, le tesson de bouteille volant, et penetrant la chairs bien fournis de Frank, lui arrachant un crie de douleur digne d'un elephant blessé... Mais avant qu'il ne puisse réagir, la lame de son bras droit virevolta vers la gorge du malheureux, tout pret de se carothide... Le sourire de MacTyler s'aggrandit, sa Jap' était véritablement une machine a tuer, froide et surtout inventive. Il etait en ce moment, fier de l'avoir a sa droite... Le gros continua de protester, jouant le dur, misant sur l'argent dut pour tenter de sauver sa pauvre vie misérable, qui aujourd'hui n'avait rien de gratifiante... Frank savait, oui il savait que tout ne tenait qu'a un file, et pourtant, il tentait de s'accrocher a se mince espoir, méme si Bandô et sa lame lui faisait comprendre que rien n'allait empecher ce qui allait suivre.

Mais Andrew regarda sa Jap', laissant deviner qu'elle attende encore un peu, et il se dirigeat vers la femme a moitié nue, qui trainait encore au sol du salon, et la ramassa par le bras, san violence, ni douceur. Il la releva, prenant le temps de la regarder un peu mieux..; Oui il n'y avait pas a dire, ce gros tas savait bien recruter ses vendeuse de plaisirs.. Il la fit alors se diriger vers la sortie, la trainant presque, elle, totalement prise dans des pensées, ou bien juste choqué par ce qu'elle avait vu, mais ce n'était rien comparé a ce qui allait suivre, l'image des cadavres du bars, et bientot celui de son cher "ex" patron. Il la repoussa alors a l'exterieur de la piéce, sans un mots, ni méme une explications, de toute maniére elle allait rester la sagement, ca il en étrait convaincut, il avait une mission pour elle par la suite. L'anglais remonta alors vers le llieu ou se tenait le gros et sa Jap', laissant la danseuse seule, au milieu du carnage du bar...

Il re-rentra enfin, et s'approcha du gros toujours prit par la lame de Bandô, Andrew tout sourire s'arreta a quelque centimétres de lui, et s'accroupie pour étre a sa hauteur... Sourire au lévres, ecoutant le gros lard jouer sur le fait que si il était tué, l'anglais ne toucherait pas son fric... Un rire, voila tout ce qu'il obtient...

- Tu vois Bibendome, tu as fait de trops nombreuse erreurs...

Andrew leva un doigt...

- La premiére c'est d'avoir misé sur le mauvais dealer pour tenter de me doubler... Tim était tout sauf discret, et il était tout juste bon a vendre de la coke au jeune étudient...

L'anglais le va un deuxiéme doigt...

- La seconde c'est de m'avoir sous estimé.. Mais ensuite, ici méme tu continue a te la raconter... Le Bull dog derriére toi, ne va pas apprecier d'étre comparée a un molosse. Mais surtout, je n'arrive pas a comprendre comment tu as put faire marcher un endroit pareil en étant si béte... Mon fric, c'est en reprenant ton commerce que je vais me le recuperer... Je vais surtout le developper... Faire bosser tes putes...

L'anglais tourna alors la téte vers la porte, avant de revenir sur le gros, un immense sourire aux lévres...

- Elle doit étre ta préférée hein?... Sache que je vais en faire une des miennes... Elle sera pour moi, un joujou, et je lui donnerais ce plaisir que ta petite stouquette n'a pas sut lui donner... Dommage Frank, tu as misé sur le mauvais groupe pour tenter de te faire un peu plus de fric...

Andrew se redressa alors, et lanca un regard vers Bandô, nul besoin de parole, ils se comprenaient, il était tant pour franck de dire bonne nuit, et de laisser au groupe d'Andrew cet endroit....

Invité

« Bulldog », en effet, la comparaison ne plaisait pas à Bāndô… La vexer n’était pas la meilleure des solutions : Frank ne s’imaginait pas que ses mots allaient déterminer si oui ou non, il allait avoir une mort décente… Mais pour le moment, la nippone penchait plutôt pour une belle boucherie...
Lyn, déboussolée par la tournure des choses, peinait à discerner la réalité de la fiction ; les deux inconnus semblaient en effet tout droit sortis d’un film. Mais la demoiselle n’était peut-être jamais sortie de son bar, car à l’extérieur, la folie furieuse décrite dans les longs métrages inventifs, était bien réelle. La prostituée cherchait des yeux un échappatoire : Bāndô lui adressa un regard noir ; Lyn n’avait plutôt pas intérêt à fuir car à la seconde où elle se serait levée, le bras droit d’Andrew l’aurait rattrapé, et il ne fallait pas compter sur sa douceur, totalement inexistante…
Aussi, le fait qu’Ewing cache ses attributs, arracha un faible sourire à la nippone, qui s’amusait de voir qu’une prostituée se souciait encore de sa pudeur. Elle ne lui fit pas de remarque directe : pendant le travail, elle laissait de côté sa légendaire grande gueule, pour n’être que le bras droit dévoué de son boss. Ce n’est qu’a ce moment là, en trucidant Lyn du regard, qu’elle pris conscience que cette chose recroquevillée sur elle-même, était une japonaise. La lueur assassine de ses yeux se posa alors sur le crâne de Frank. Les origines de la prostituée venait de lui donner une raison de plus de s’acharner sur le mac ; si il y avait bien une chose que Bāndô portait en horreur, c’était ces gaijins qui profitaient de la richesses nippone. Elle laissa tomber sa planche de skate, qu’elle poussa du pied pour qu’elle roule jusqu'à un coin de la pièce. Le rideau du bal des horreurs n’allait pas tarder à se lever…

Mais avant, elle voulait qu’il pisse dans son froc… Ce qu’il fit après qu’elle ait fait éclaté la bulle de chewing-gum sur le crâne du malodorant ; il crût à l’impact d’une balle, ce qui lui fit mouiller son caleçon… Les patrons avaient toujours été des loques humaines, leur entourage, bras droit et gardes, étaient connus pour leur violence, mais les boss ne payaient pas de mine… Ce cliché perdait de son sens avec Andrew comme boss, mais Frank était le stéréotype du commanditaire gras, laid, puant et surtout, faible… Il allait goûter aux qualités de tueuse de la japonaise…
Pour le moment, Andrew calma d’un regard, les ardeurs meurtrières de son bras droit, prêtant attention à la prostituée. Il fit descendre Lyn au rez-de-chaussée, d’où provenait l’odeur âcre du sang, désormais encrée dans les murs même… Elle put y voir les gardes de Frank, tués par balle, jusque là, rien de bien méchant : sa surprise irait au malheureux employé, un jeune bien sympathique qui n’avait fait de mal à personne, dont le crâne avait été transformé en sucrière par la nippone. Ewing se voyait servir d’un cours d’anatomie…
Le boss revint, assez vite car laisser sa machine à tuer et une proie potentielle dans la même pièce, seuls, n’était pas la meilleure idée qu’il eut… Andrew annonça à Frank qu’il allait devenir le nouveau patron et s’octroyer prostituées et argent… Il rendit ensuite un regard décisif à son bras droit, qui ne se fit pas attendre pour s’opérer : quel galant homme, il avait préféré écarter Lyn de la boucherie… Il n’était pas certain qu’il soit aussi gentleman pour le reste des festivités…

Bāndô le poussa du pied ; le tas de graisse tomba lourdement sur le canapé, présentant son postérieur au duo de tueur. Elle s’avança tranquillement vers lui, avant de lui planter sa lame à l’arrêt des fesses, qu’elle continua sur le dos, lui entaillant le tronc jusqu’au crâne. La nippone prenait son temps, préférant jouer avec lui avant de le mettre à mort, comme un chat martyrise sa souris avant de la décapiter. Son couteau, qui pénétrait alors la chair du mac, se trouvait au sommet du crâne rose de chewing-gum, lorsqu’elle le fit descendre jusqu’au bout du nez. Il hurlait comme un porc que l’on saigne… Urushima lui coupa net le nez, qu’elle voyait plutôt comme un groin sale au milieu d’une face de cochon.
L’amputant de l’odorat, elle comptait défaire ces autres sens, pour qu’il n’humecte jamais plus le parfum d’une vierge, qu’il ne goûte plus jamais la peau douce d’une femme, qu’il ne reluque plus les formes appétissantes de ses danseuses, qu’il ne caresse plus leurs visages, qu’il n’entende plus leurs râles... Il avait l’honneur de goûter pleinement à la souffrance, grâce à un maître de la torture…
S’ensuivit ces deux oreilles, qu’elle ne coupa pas tout comme elle sectionna le nez, mais qu’elle trancha comme l’on découpe une viande. Le visage de Bāndô était inexpressif ; en son for intérieur, elle prenait un malin plaisir à défigurer ce porc, mais elle ne laissait rien transparaître, aucune émotion ne devait être exhibée en présence de son boss… Mais ce chien d’américain semblait au bord du décès, criant de tout son être ; il n’était pas à l’abri d’une hémorragie. Non, il n’allait pas lui gâcher le plaisir… Elle le laissa en plan, jetant un coup d’œil par la fenêtre : parfait, elle avait bien vu un chantier avant d’entrer dans le bar… Mais il pouvait lui filer entre les doigts en mourrant ici et maintenant. Cela il n’en était pas question… Toujours sans un regard pour Andrew, elle chercha des yeux une armoire à pharmacie, il devait bien y en avoir ici, comme dans tout lieu. Pas dans cette pièce, visiblement… Urushima sortit du local privé, et pénétra dans une autre chambre, qui semblait être un stock. Trouvant son compte, elle revint, les bras pleins de matériel médical. Déposant cela sur le canapé, elle fit face au gros lard qui s’était alors évanoui devant l’insoutenable douleur. Elle banda ses plaies, évitant l’hémorragie… La tortionnaire soignait-elle sa victime ? Pas tout à fait, elle la maintenait en vie ; la nippone préférait qu’il soit pleinement conscient lorsqu’elle l’achèverai.
Frank se réveilla, cinq bonnes minutes après, sous le coup de claques violentes. Le visage figé de son bourreau l’attendait… Ses deux mains étaient « clouées » à la table en face du canapé, par deux tournevis. Après l’odorat et l’ouie, venait le toucher…
Bāndô se saisit de son couteau, et coupa un à un, les doigts gras du mac, sous son regard épouvanté. Ensuite, elle lui présenta sous les yeux, sa nouvelle arme, volé au chantier d’en face… Urushima fracassa alors la mâchoire de Frank au marteau ; la volonté qu’elle mettait dans chaque coup était à la hauteur de la violence dont elle faisait preuve : elle enchaînait, lui pétant les dents qui volaient en tout sens, faisant de sa bouche, un coulis de sang et de chair. Bientôt, sa mâchoire pendait vulgairement, complètement éclatée. Lyn devait se boucher les oreilles pour ne pas entendre les gémissements de son patron… qui désormais ne pourrait plus crier. La japonaise était couverte de sang…
Ce n’était pas fini. Déposant le marteau, elle s’empara de la seconde arme empruntée aux ouvriers… Lorsque les flammes qui jaillissaient du chalumeau, luisaient dans les yeux de Frank, ce dernier ne put que réprimer un rictus d’horreur, son visage déformé par l’épouvante.
Bāndô lui brûla l’entrejambe, faisant de la fierté de l’homme, un monticule de cendre… Il fallait profiter de ses derniers instants de conscience : elle s’empara cette fois d’une petite cuillère pour achever son œuvre. L’artiste planta le couvert sous l’œil de Frank, l’enfonçant assez profondément : elle cherchait le fil oculaire, ce tendon qui reliait les yeux à la cavité du visage. Ça y est : elle le trouva lorsque la cuillère buta contre un fil ferme ; elle le sectionna en appuyant plus encore, et usant de l’effet « levier », donnant un coup sur le manche, elle extrait l’œil de sa cavité. La chose flasque roula à terre… Urushima fit de même pour le deuxième œil…ô joie, il respirait encore… Bāndô s’essuya le front, sanglant, du dos de sa main, avant de se tourner vers Andrew : le premier regard qu’elle lui adressait depuis arrivée, se dirigea bientôt vers la porte : la nippone s’inquiétait, et si la prostituée leur avait faussé compagnie ?

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Lyn était contre le mur qui faisait face à la porte. Tout allait si vite qu'elle ne comprenait plus rien. Ces mecs qui gardaient la porte lui bouchaient la vu du spectacle infernal qui se tramait dans la pièce. Mais elle se croyait en enfer. Les cris..les gémissements et l'impassible nervosité qui l'agitait, la rendaient presque folle. La jeune nippone tremblait ne sachant plus quoi faire. Elle avait en face d'elle des meutriers, des assassins qui étaient en ce moment en train de tuer son patron. Chaque cris qui résonnaient jusqu'a ces oreilles lui arrachaient une pointe au cœur, un gémissement et elle tenta de se boucher les oreilles. Les mains sur ces dernières, Lyn secouait la tête pour que toute cette douleur cesse, mais elle redoublait. N'y tenant plus elle força son corps à lui obéir et elle se leva, les jambes tremblantes, le front en sueur, la poitrine haletante de peur, dont les épaules se soulevaient en rythme avec les battements de son cœur.

Frank à l'intérieur avait toujours cru vivre un enfer avec Andrew qui le pourchassait pour le fric de sa Cam, mais là il avait atteint l'apogée de la souffrance. Son corps prenait chaque coup sans pouvoir esquiver le moindre gestes de défenses ni de fuite. Il était gras, tenait sur ses jambes comme le dernier des manchot et la sueur qui apparaissait sur son visage, son corps, s'infiltrait par tout ses habits et tous ses pores. On aurait dis un cochon sur pattes. Dailleurs il criait comme un cochon que l'on égorgeait. C'était entre le râle d'un chat en proie à saccager le corps d'un oiseau, et le couinement d'une souris. Il se recroquevilla sur lui-même avant que Bandô ne vienne s'acharner sur lui. Il regarda Andrew dans les yeux. Il savait qu'il était perdu..il le savait mais fière comme jamais, il releva la tête.

-Andrew..A croire que tu es près à tout pour avoir ce bar. Tue moi si tu en a envie mais TU NE TOUCHES PAS A LYN !!…et je te préviens que si tu n'a…..Arg…

Il en avait trop dit..trop fait et son calvaire commençait. Il avait atterri sur le canapé, mais il ne souhaitait pas qu'Andrew pose les mains sur Lyn. Elle était plus qu'une pute..plus mais s'en était finit..Finit de lui, du bar des salopes, des danseusse..la porte de l'enfer était sur lui et quand commença les tortures il agonisait tellement qu'il s'évanouit dans un dernier regard à travers la porte..On le réveilla, lui ôta toutes défenses, ses cris n'arrêtaient en aucun cas la maltraitance physique que cette jeune nippone aux allures de carnivore exerçaient sur lui .Elle lui coupa le nez..le sang jaillit comme une pompe exercerait une pression sur la roue d'un velo..les doigts y passèrent ainsi que les oreilles..Elle lui ôta finalement un œil et le cri qui en rechapa était semblable à milles coup de toners..avant de perdre son deuxième oeil et de s'évanouir a jamais il visionna la porte, derrière les gardes...derrière Andrew, il aperçut pour la dernière fois la silhouette de Lyn qui se découpait dans l'encadre de la porte, la main sur la bouche, les yeux écarquillés d'horreur, un cri retenu au fond de la gorge..

-Lyn…

Un cri..un dernier, un murmure et il sombra ne sentant plus la douleur. Il respirait encore, mais était dans le comma. Son corps n'était plus que chair à pâté, bonne pour les chiens du quartier…Lyn était la…Elle avait assisté à tout..Toute la scène et elle se retenait de vomir. Pourquoi restait-elle paralysé comme cela? Pourquoi? Elle pouvait partir, s'enfuir, dévaler les escaliers et aller avertir la police mais qu'est ce qu'il l'en empêchait... Frank? Oui Frank c'était lui qui la bloquait. Il l'avait maltraité durant cinq ans. Cinq ans de galère mais elle lui devait tellement de choses!! Trop qu'elle s'interdisait inconsciemment de bouger. L'horreur en face d'elle la clouait sur place. Personne ne semblait avoir fait attention à cette jeune femme sortie un peu plus tôt grâce au boss.

Elle allait y laissaitr-elle aussi sa vie. Elle avait peur, semblait sur le point de lâcher prise. Son cœur battait à cent à l'heure et à chaque pas de Bandô sur le parquet de la pièce, elle sursautait se retenant un cri. Son visage exprimait toute a peine qu'lele avait à voir Frank mourir agonisant. Elle l'avait toujours détester mais méritait-il cela?. Elle n'en savait vraiment plus rien. Ses sens chamboulés elle recula d'un pas prise par l'horreur de la situation. Le choc la clouait encore sur place mais son instinct en faisait autrement. Ce…Cet Andrew...il allait faire d'elle son jouet. Il l'avait dit..L'avait prononcé en face de son..EX patron. Ce dernier allait prendre le contrôle du bar, le diriger à sa façon et Lyn prit peur. Elle marcha sur le bras d'un des anciens gardse du corps de Frank, mort d'une balle dans le crane et tomba en arrière. Le bruit sembla attirer l'attention des membres de cette brigade peu convaincante à parler, et un visage se tourna dans l'encadrure de la porte..BANDÔ! Elle se dirigeait vers elle, un regard impassible, sans émotions. Si elle ne fuyait pas maintenant elle était morte. Elle ne pensait même plus à Andrew qui voulait en faire son jouet. Non elle se releva tremblante, n'attrapa même pas son t-shirt et elle fila pieds nu vers les escaliers. Elle vit alors le vrai massacre, l'horreur du Dealer fou et de la japonaise. Elle était tombée dans quoi? Pourquoi ne l'avait-il pas achevé auparavant?

Lyn marqua un temps d'arrêt retenant une remonter de liquide brûlant le long de sa gorge et courut en bas des escaliers. SA fuite avait du être repéré par la jeune femme qui assistait Andrew et même par ce dernier. Elle n'avait que peu de temps si elle voulait lui échapper. Mais où aller? Elle venait d'arriver dans le bar, ayant cassé une bouteille au passage qui traînait dans le corridor menant aux escaliers. Son passage serrait vite repéré mais elle devait agir, fuir, elle ne voulait pas mourir! Elle ne voulait pas ne plus revoir une dernière fois le visage de…Brian? Pourquoi penser à lui dans ces instants pareils? Lyn aperçut alors l'entrée, mais les corps jalonnaient le sol et elle eu du mal a avancer. Ils avaient tué tout le personnel restant à savoir les gardes et..Le barman??!! Il avait le visage en miettes!! Non pas Yann! Il..Elle n'eut pas le temps d'aller le voir que déjà des pas de courses s'entendaient à l'étage. Ils la cherchaient! La poursuivaient et ne voulaient pas qu'elle leur échappe! Lyn voulut courir vers la porte de sortie mais trop tard. Elle vit les pieds d'un gardes à Andrew, voir lui même dans les escaliers et le premier réflexe qu'eu Lyn ce fut de se reculer dans la pièce à droite des escaliers. Peut la connaissait, seulement elle n'était pas fermée à clé. C'était la loge de Lyn et seul Frank avait la clé.

Elle s'y engouffra et ferma la porte en l'entrebâillant. Si elle l'avait fermé en entier ils l'auraient entendu. SA respiration était forte. Son cœur battait comme une escorte de chevaux lancer au galop. Et elle entendait des ordres être donnés à tout bout de champ. On la cherchait c'était évident!!. SA cachette ne resterait pas des heures invisible à leur yeux. La porte était camouflée, et se fondait dans le décors. Un pièce secrète en gros mais c'était son repère à elle. Une fenêtre.;une seule. Lyn ne réfléchit pas plus. Tout ce qu'elle voulait c'était sauver sa peau. Elle ne savait pas ce qu'il l'attendait, mais au moment où elle mit la main sur la poignée, la porte s'ouvrit avec Fracas, cassa le miroir contre le mur qui se brisa à terre et elle se retourna brusquement, les yeux terrorisés, la bouche ouverte en guise de surprise mais aucun son ne sortait du fond de sa gorge. Dans l'encadrure le géniteur de sa peur, derrière lui, sa semence, sa graine de bras droit…

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Son regard ne quitta pas celui de Franck, le jeune britanique gardant un sourire lubrique aux lévres... Ca allait commencer, il allait subir la foudre de Cerbére, de Bandô, celle qui était capable de s'attaquer seul a un commissariat plein de flic. Pauvre Frank, lui qui avait cru pouvoir grillé un petit merdeux d'Harvard, un jeune gars qui tentait de percer dans le metier de l'illégal, de jouer les Boss sur un territoire qui devait lui revenir a lui, le vieux, le gros, le laid, le mort en sursis... seulement, il n'avait pas constater l'entendut actuel du groupe de MacTyler... Certe il y avait Bandô, la partie visible, celle qui remettait les gens a leurs places, tout en deplacant des membres si il fallait. Mais il y avait également d'autre personnes, Ethan par exemple, qui sous son coté Grunge je m'en foutiste, avait reussit a trouver le manque a gagner sur les ventes de ce secteur, et par la méme, a denoncer Tim, qui avait finit en barbecu...

Bandô commenca alors son oeuvre, doucement d'abord, elle était une vrai predatrice, qui aimait avant tout jouer avec ses proies, avant de donner le coup de grace. De plus, là, elle en avait gros sur la patate a voir la maniére dont elle s'acharnait sur le malheureux, qu'andrew aurait "presque" prit en pitié. Mais dans ce milieu la, la pitié ne devait pas exister, nul echapatoire pour les enflures comme Frank, qui en plus servirait d'exemple pour tout ceux qui tenteraient de jouer sur le terrains de MacTyler et sa troupe. Avec Frank qui crevé, c'était toute la prostitution de la ville qui s'en tenait orpheline, mais pas pour longtemps, le Jeune Londonien comptait bien reprendre ce boui boui, et en faire un haut lieux de débauche sexuel... Les filles travaillant ici avait connu le drame avec le gros tas, elles allaient connaitre l'enfer avec MacTyler et Shinya qui serait ici en place dés le probléme reglé...

Il regarda le film d'horreur qui était en train de se derouler face a lui, Bandô n'y allait pas de main morte avec le Bibendome, des giclé de sang venant froller le british, le forcant a esquiver, pour eviter de s'en trouver eclabousser... Il trouva un talent presque artistique a la situation, sa Jap' agissait avec aplication en fait, il finit méme par trouver une logique a ses coups, sous les cris incessant de Balou, agonisant, cherchant a echaper aux griffes de son bourreau, mais trops tard, Bandô ne lachait jamais ses proies, et ce soir, Franck allait périr, sous les coups puissant de la Nippon en colére... La coupe du nez fut particuliérement reussi, le gros hurla tout son étre, comme si ses aigu allait lui rendre son pif... Ironie, il n'avait pas sentit la tornade Nippon et son Boss debarquer ce soir... S'en suivit un spectacle horrible. Frank allait subir le couroux de la nippon, et regretter tout le temps qui lui reste a vivre, d'avoir tenté de prendre Tim, mais surtout Andrew pour un debutant...

Le Boss laissa son bras droit executer son oeuvre, la regardant partir vers un endroit, y revenir les bras chargé de materiel de soins, puis de nouveau disparaitre, pour réaparaitre avec des outils de different calibres, venant pour la plupart du chantier d'a coté... Tel une artiste devant la création de son oeuvre d'art, Bandô était concentrée sur sa toile, et rien d'autre, elle s'acharnait sur lui, mais ne montrait rien, son visage fermé de toutes emotions, n'exprimant méme pas le plaisir pourtant palpable qu'elle avait a faire cela. Andrew lui avait les yeux sur Frank, mais les idées ailleurs, dans un futur trés proche en fait... Cet endroit allait rapidement devenir une mine d'or. Avec d'une part les equipe de l'Anglais en place, mais également par le choix des putes qui allaient danser desormais pour lui, et ecarter les jambes pour renflouer ses caisses personnel... Certaines seraient méme là pour assouvir SEs plaisirs personnels... Tout comme cette Lyn, qu'il trouvait a son gout en fin de compte, ce qui devait faire bouillir de rage Frank, qui semblait la tenir en haute estime, du moins pour son appareil reproducteur...

C'est le moment que choisit le condamné pour ouvrir une derniére fois sa gueule, avant que celle ci ne disparaisse, sous les coups de marteau de Bandô, qui decidement nous la jouait boucher de Varsovie... Andrew s'approcha du futur cadavre, demandant d'un regard a Bandô d'arreter deux secondes les hostilités... L'anglais se pencha sur l'amas de chair rougit sous les litres de sangs qui s'echappaient maintenant de plusieurs endroits a la fois... Et c'est d'un voix tranquille que le jeune entrepreneur parla au gros...

- Je suis pret a pas mal de chose Binbendome, ca c'est sure, et aujourd'hui ton bar, et toutes les putes qui y bossent sont a moi...

Il sourit, avant de taper la joue du malheureux..

- Lyn, c'est ainsi qu'elle s'appel? Parfait, j'aime connaitre le prenom de celle qui s'occupent de ma queu... Et pour ton info, avec elle, ce sera 7 jours sur 7... En fonction de mes envies.. Et je n'ai pas ton age, moi c'est souvent que ca me titille...

Il s'approcha un peu plus de lui, et souffla les derniére phrase, avec une ironie demesurante...

- Je la ferais hurler comme une trainée Franck... Comme la derniére des trainées...

Alors il se redressa, et s'eloigna, aprés avoir essuyé sa main ensenglanté par l'hemoglobine de Franck, sur son pantalon encore miraculesement non souillé de rouge.. Bandô put alors reprendre son travail, finissant de faire hurler le gros, lui arrachant le dernier souffle de vie... Alors, enfin exténuée, ou heureuse, allait savoir avec elle, la Japonaise leva pour la premiére fois le regard vers lui, les vetements tous souillé par cet couleur rouge sombre, le sang coagulé du patron, non, se corrigea Andrew, de l'ex patron du Pacha... Mais le regard de la Nippon passa alors a la porte, et c'est seulement a se moment la qu'il compris... La pute... Lyn de son prenom... Il se tourna et lentement se dirigea vers le montant defoncé de la porte donnant sur la salle du bar.. Plus de trace de la bridée... Mais elle n'avait pas put aller bien loin, les hommes de main du British gardaient l'entrée... Elle était donc encore la, dans le batiment, qui n'était, malheureusement pour elle, pas si grand que cela...

Il fit voler son regard, d'un coin a un autre, cherchant trace de la Jap gogo danseuse, que Frank tenait tellement en respect... Enfin, sa bite devait tenir en respect... Andrew descendit lentement les marches, il n'était pas préssé de toute maniére, elle n'allait pas lui echapper longtemps, mais allait payer sa tentative inutile de fuite... Il fallait des maintenant les dresser, sans ca cela allait vite devenir n'importe quoi ici... Ses hommes fouillérent les salles adjacente, et l'un d'entre eux trouva une piéce a peine ouverte, il leva un bras, pour signaler au Boss de sa decouverte... Andrew s'y dirigeat, et s'arreta pile devant la porte entrebaillé, certes pas facile de trouver, mais il avait finalement mit la main dessus.. Avec un sourire non dissimulé, il frappa du pied la porte, qui s'envolla s'ouvrir, fracassant un miroire par son mouvement...

Lyn était là, pleurante, mal, recroquevillé sur elle méme, tremblante... Il sourit s'avancant dans la piéce, mais faisant un signe a ses hommes de mains de rester a l'extérieur, voulant étre seul avec celle qui allait lui rapporter un maximum de frics, voir méme du plaisir incroyable... C'est les yeux bleu glace et le sourire d'un homme comblé qui se posérent sur la malheureuse...

- Lyn, c'est bien ca? Tu as put assister a la fin tragique de ton ex-patron... Il n'y a rien a regretter, ce porc ne cessait de te prendre pour une soumise... Tu es une vraie mine d'or la Jap', et pour cela, tu auras mon respect, mais pour l'heure...

Il s'avanca lentement vers elle, et la saisit par les cheveux, la tirant vers le milieu de la piéce...

- Il va falloir que tu sache qui est le nouveau Boss ici...

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Il y avait de quoi être traumatisé, Lyn pouvait avoir des séquelles de cette rencontre violente avec un boss véreux et une tortionnaire invétérée… Du moins, ses nuits seraient remplies de cauchemars, elle repenserait sûrement au visage tuméfié de Frank, au trou béant à son entrejambe, à ses moignons et surtout, à la pièce jonchées d’oreilles, de yeux, de doigts et autres fioritures…
Lyn pouvait commencer à s’inquiéter : Andrew était dur en affaire, il serait un vrai requin…il ne laisserait rien passer… Mais heureusement pour la prostituée, elle voyait peut-être Bāndô pour la dernière fois ; ce n’était pas elle qui s’occupait de ce commerce là… Ewing irait aux mains de Shinya, potentiellement moins dangereuse que sa collègue mais plus perverse…

Andrew la somma de cesser son massacre le temps d’une tirade. Elle le toisa, se gardant encore de montrer ses sentiments, mais elle éprouvait une grande fierté envers son boss, comme l’on regarde sa progéniture grandir, et devenir, un vrai empereur… Lyn allait être sa pute attitré, et lui, il allait connaître richesse et célébrité, à ainsi occuper le trône du big boss de la prostitution.
Un sourire naissait enfin sur ses lèvres ; faible et discret certes, mais elle ne pouvait pas rester de marbre devant la barbarie que suggérait son patron. Il était un parfait salaud, et elle admirait la cruauté à laquelle il aspirait.

Frank ne rendit pas l’âme, mais son inconscience signa la fin de la torture.

Lyn s’enfuit, sans surprise pour Bāndô qui se doutait qu’une malheureuse n’allait pas rester là en attendant qu’on daigne lui briser le cou. Elle ne se souciait pas de son devenir : le bar était cerné, la prostituée était finie…
Urushima descendit paresseusement les escaliers après son boss ; elle sortit du bar, s’adresser à un groupe de la garde d’Andrew. Elle leur donna des ordres ; ils s’exécutèrent. Deux des hommes allèrent chercher le corps de Frank, tandis ce qu’un autre préparait une camionnette, au dehors. Bāndô avait sommé aux gorilles du boss, d’élever le cadavre du mac dans l’arrière du véhicule, et de l’incendier : ils se devaient de faire le tour de Cambridge avec, dans leur benne, un Jésus en flamme revisité par la nippone, pour donner le ton ; désormais, il y avait un nouveau boss, et cela, putes et macs environnants allaient le savoir grâce à la tournée de la camionnette…
Bāndô entra à nouveau dans le bar… Elle pénétra dans la salle où Lyn s’était réfugiée… Andrew commençait déjà le jeu… Son bras droit s’avança vers la prostituée ; elle s’accroupie, son regard sombre à la hauteur des yeux apeurés de la victime. Nuls coups, nulles réprimandes : elle lui essuya une tâche de sang qui s’était posée sur le visage d’Ewing. Il ne fallait pas y voir de geste altruiste : la nippone avait seulement horreur que la marchandise soit sale, surtout lorsqu’elle était destinée au boss. Se relevant, elle quitta la pièce, et une fois dans la salle principale, Bāndô chercha des yeux un endroit convenable où Andrew pouvait s’amuser avec son jouet. Elle poussa du pied les sièges encombrants, pour laisser la place au milieu de la pièce, jonchées de coussins et de canapés.

Revenant aux côtés d’Andrew, elle dégaina sa lame, qu’elle présenta à ses yeux. D’un regard elle demanda l’autorisation de s’opérer. En effet, avant de prendre d’assaut cette Babylone du sexe, le membres du clans avaient émit l’idée de marquer chaque prostituée, pour qu’elle n’ait pas l’idée de s’enfuir. On avait pensé au fer, comme pour le bétail, mais cela était indiscret et grossier. Il en était donc ressorti que les scarifier du sigle du Fightclub n’était pas une mauvaise idée.

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Pendant que l'agonie de Frank se terminait à son rythme à l'étage, Lyn tremblait paralysée par la peur de mal finir entre les mains de l'homme qu'elle voyait en face d'elle. L'ombre qui s'était projetée à travers la maigre entrée de sa loge se découpait comme milles menaces sur le corps de la jeune femmes. Il tenait toujours son calibre à la main et Lyn en regardant le flingue déglutit, la gorge nouée par ce qu'il allait se passer. Allait-elle finir entre les mains de ces fous? Car oui c'était bien des fous pour se comporter ainsi avec un homme. Frank était la dernière des pourritures mais lui faire cela…
Lyn en avait encore la nausée et quand elle vit Andrew s'approcher..lui parler, elle se recula dans le fond, vers le mur, mais sa fuite était désespérée. Elle n'irait nulle part et le regard du Delear à travers ses yeux lui confirmèrent sa déduction

Lyn tenta de se dégager quand il posa sur elle une de ces mains, venant même à se relever et à le défier du regard. S'il allait jouer avec elle, qu'il regarde bien ses yeux et qu'il y lise tout le mépris qu'elle lui portait. Il avait certes tué son patron l'avait défié, humilié, mais ce n'était pas les larmes, ni la peine qui l'accablait, qui allaient prouver à ce malade que Lyn n'avait aucun caractère.

Quand il s'approcha donc, la jeune femme se releva lui adressant un regard noir et lui cracha presque à la figure les slaves de mots qui sortaient.

-Je pense que tu es pire que Frank, lui n'aurait jamais mis à mort tout le personnel d'un bar! Comment peut t'on être plus pourris? Hein?! Je t'interdis de m'appeler Lyn comment ose tu prononcer mon nom avec ce sourire?

Elle était remontée! Peut-être la peur de voir qu'Andrew avait dix fois plus de contrôle sur elle qu'en avait Frank, la rendait menaçante, alors qu'elle savait bien qu'elle ne faisait pas le poids contre un homme comme lui. Avec Frank ça passait des fois. Il suffisait qu'il soit plus indulgent et elle pouvait s'en tirer facilement..Avec Andrew c'était peine perdue! Dailleurs il l'attrapa par les cheveux et la fit venir au milieu de la pièce où se trouvait le canapé et les cousins qui servaient à ce qu'elle se repose le soir après le boulot. Sous une pression elle du se retrouver à genoux. Elle n'avait pas crier, pas hurler, même si elle sentait la peur lui nouer le ventre.

Alors devant elle face à la porte des hommes en noirs descendirent, portant le corps mutilé de Frank et l'amenèrent dehors. Qu'allait-il faire de lui? Bandô arriva alors calme comme toujours et quand elle lui essuya le sang qui avait coulé sur la joue de Lyn par une quelconque éclaboussure des blessures des mutilés à terre, elle tourna la tête en signe de refus et regarda Bandô dans les yeux. La première réaction qu'elle eut c'est de lui cracher au visage. Comme dans ces situations, c'était la seule chose qu'elle pouvait tenter. Une menace de trop mais qui permit à Lyn de parler une dernière fois

-Que vas tu faire de Frank? Quand il disait que tu étais un bull dog il n'avait pas tord! Aussi tordu que ces molosses! tu les trouves ou tes jouets??!

Elle grimace car elle sentit une lame contre sa peau. Qu'allait-elle lui faire? La mort de Frank affectait bien plus Lyn qu'elle ne le pensait..Il l'avait quand même receuillit…Lyn regarda Bandô elle était japonaise comme elle..Mais elles avaient des caractères si différents l'une de l'autre.. Elle ne comprenait pas comment la jeune femme pouvait être aussi cruelle et regarder une telle violence avec un sourire malsain sur le visage. C'était au delà de sa compréhension...Lyn était entre eux deux.Bandô devant elle avec son canif en main et Andrew la main en proie avec ses cheveux à la maintenir tranquille. Il la jeta alors sur les coussins du canapé. S'affalant sur le tas, Lyn était dos à eux. Elle était dans une position peu honorable pour une femme, mais ses cheveux retombaient devant ses yeux cachant toute vue.

Elle se maîtrisa pour se calmer. Son cœur allait exploser..C'était intenable, mais ce qui la dérangeait le plus c'était de savoir qu'elle n'allait pas mourir comme l'avait dis Andrew, mais qu'elle aurait largement préféré que ce soit Frank qui la termine..Pas Andrew et sa clique..

Invité

Elle était tremblante, la peur surement, mais egalement la rage devait la titiller, etrange tout de méme. Il fallait que la mort touche ce gros porc pour que la Jap' au charmes et aux formes interessante se rende compte a quel point elle avait de la chance d'avoir un Mac comme Franck... Autant le Bibendome était un taré de la bite, autant il leurs passaient dessus de temps en temps, mais elles ne risquaient qu'une bonne trempe si elles lui refusaient... Aujourd'hui ca allait étre bien différent. Andrew avait recupéré cet endroit, il comptait bien le developper avec l'aide de ses lieutenants... Lyn avait devant elle le bras droit du Boss, mais elle allait bientot connaitre celle qui allait s'occuper de leurs petits culs, afin de les rendrent appétissant pour les clients qui étaient de plus en plus selectifs aujourd'hui...

Certes il y avait les petits puceaux d'Harvard, ceux qui payaient de quoi s'envoyer en l'air avec une vendeuse de charme, faute de pouvoir sortir une etudiente dans les régles de l'art, mais le secteur du campus n'était qu'un appérétif pour l'anglais... La clientéle de riches industriel et fonctionnaires était plus lucrative pour lui, et bien plus avantageux... Il regarda la Nippon dans les yeux, et de la il put lire la haine qu'elle avait pour lui, voyant l'horreur qu'il avait bien put autorisé a faire faire par Bandô, pour son ancien Mac... Il sourit, ironique, voyant les hommes de mains tirer ce qu'il restait du corps de Franck, et qui allait servir de panneau publicitaire mobile au travers toute la ville, laissant comprendre le sort que le club reservait a ceux qui osaient se mettre en travers de leurs croissance prodigieuse...

En recupérant ce bar, c'était l'envole des profits, tout comme le recrutement de Bandô, en qui il avait une totale confiance pour regler le compte de tout les ennemis probables.. Comme Franck par exemple.. Le Boss, tenant toujours la Niakwé par les cheveux, la regarda se redresser lentement, et lui assener des paroles rapidement balancés, comme affuté dans le but de le toucher au coeur.. Mais son coeur, voila bien longtemps qu'il était vendu au sombre pays... Inutile de chercher la pitié, il n'en n'aurait aucune, encore moins face a une pute qui tentait de se rebeller... Il la fit se redresser, et finit par l'escamper au centre de la piéce, ou elle tomba, dos a eux, dans une position ridicule, mais bien pratique pour certaine activitées perverse qu'adorée tant certains clients... Alors doucement, il s'approcha d'elle, sourire sadique aux lévres...

- Tu as raison, je suis bien pire que Bibendome... Et je prononce ce que bon me semble la Nippon... Mais tu as raison de te rebeller, mes hommes de mains on tous le poireau qui les demangent, et je pense que tous vont te passer dessus, ca calmera ta langue, qui sera pour le coup, occupé a autre chose...

Il se releva doucement et adressa un signe de téte a son Bras droit, il était temps de la marquer comme apartenant au club, Lyn allait étre trés demandée, ca il le savait, les hommes du coin avaient bon gouts, et cette petit jap' donné vraiment envie, méme a lui, qui pourtant était difficile en terme de femmes... a croire que les Jap' l'attiraient... Bizare tout de méme en y reflechissant bien.
Il regarda tout autours de lui, cherchant une autre pute qui pourrait trainer par ici, et finit par demander a l'un de ses hommes de s'occuper de fouiller le reste du bar, afin de verifier. Le gard ne tarda pas a partir pour cette mission des plus importante..

Alors il entendit la voix cassé de la Jap' retentir, il tourna lentement la téte vers elle... Ainsi elle s'occupé du sort de son defunt patron... Comme le tableau était touchant... Ce gars avait dut la prendre plus d'une fois par force, lui volant des moments de plaisir, mais elle voulait savoir ce qu'ils allaient faire de lui, quel erreur de sa part... Ainsi il allait devoir la réeduquer, lui réapprendre a ne penser qu'au nouveau patron, et non plus a l'autre cadavre qui ajourd'hui n'était plus qu'un puzzle... Il rit doucement, se penchant vers Lyn...

- Inquiéte de savoir ce qu'on va faire de l'autre? Tu veux qu'on te garde en Oeil en souvenir?

Il rit de plus belle, demandant a un de ses homme d'aller lui en chercher un, ce qu'il fit, donnant, quelques secondes plus tard, le globe a son patron.. Andrew le regarda, avant de le lancer au sol, sous le visage de Lyn...

- Ne t'habitue pas trops aux cadeaux, je suis pas le pére noel... Mais si j'été toi, je m'inquiéterrais plus de mon propre sort la bridée...

Sur ca il regarda Bandô, et lui laissa la place pour qu'elle finisse de marquer la trainée... Qu'elle lui appartienne enfin, une bonne fois pour toute...

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Lyn avait la langue trop bien pendu… Andrew & Bāndô lui feraient comprendre sa méprise… Pauvre petite prostituée… « Pathos », un mot qui résumait bien son être… Traiter son boss de « pourri », l’accabler de ses meurtres… Bientôt elle allait lui sortir qu’elle allait prévenir sa mère des méfaits du mauvais fils… Urushima écoutait ce spectacle désolant d’une oreille, commençant à s’impatienter.

Lyn fixa alors Bāndô, cette dernière lui rendit son regard, la toisant, mauvaise,… Martyriser des prostitués n’était pas très attrayant, sa récréation avec Frank s’étant achevé, elle ne trouvait plus de plaisir à inspirer l’horreur à cette adolescente condamnée. Lorsqu’elle reçut le crachat sur sa joue, Urushima ne cilla pas ; elle ferma les yeux, avant de soupirer… Elle arracha alors le lambeau qui ne voilait déjà plus la nudité de la prostituée, s’en servant comme linge, elle s’essuya la joue avant de jeter le tissus à la figure de Lyn. Elle gardait son calme souverain, ne préférant pas exploser de rage devant son patron. A sa question, elle ne lui répondit pas ; la nippone sortit calmement une feuille de papier à rouler, qu’elle présenta aux yeux d’Ewing, toujours face à elle. La blonde alluma le tout avec son briquet ; le papier s’enflamma, avant de se consumer. Voilà ce qu’elle allait faire des restes du porc, Lyn avait sa réponse… Bāndô laissa tomber les cendres avant de se relever, toujours aussi calme… Celle-ci faisait le sujet de l’incompréhension de la prostituée. Soit. Il faudrait qu’elle apprenne que le monde n’est pas rose, et que tout peux se jouer alors que nous sortions tout juste du ventre de nos mères…

Ewing vola au centre de la pièce, s’affalant, signant là une position cocasse. Les paroles d’Andrew provoquaient l’entière satisfaction de son bras droit, confiante et assurée qu’elle avait fait le bon choix en intégrant ce gang. Alors qu’elle regardait la miséreuse, Bāndô sentit le regard d’Andrew se poser sur elle : il lui donnait le feu vert. Décroisant les bras, elle s’avança lentement vers Lyn avant de lui saisir le poignet. Un regard assassin qui faisait passer le message : si elle bougeait, elle lui coupait la main, et voilà qu’Urushima s’affaira à lui tailler le poignet, le signant du sigle du club. La plaie ne tarda pas à saigner…

Bāndô comptait bien se venger de cette peste ; on ne lui manquait pas de respect sans que les conséquences éclatent à la figure de la victime. Lyn devait pourtant savoir que la nippone ne faisait pas dans la dentelle, qu’elle nourrissait même un penchant pour le gore. L’occasion s’offrit à la marginale de se pâtir du malheur de la prostituée lorsqu’elle vit l’œil de Frank rouler jusqu’au pieds d’Ewing. L’humeur vitrée commençait à se répandre au sol…
Urushima prit le gant noir d’un des gardes, qu’elle s’enfila pour s’emparer de l’œil décrépissant du mac. Ouvrant de force la bouche de Lyn, elle lui fit avaler le condiment. Encore insatisfaite, Bāndô la prit par le cou, soulevant la prostituée. Elle la regarda de son œil noir… La japonaise comptait bien lui faire regretter son geste, cette dégustation de yeux frais ne lui suffisant pas. Elle fit un geste à l’un des hommes de main d’Andrew, qui comprit bien vite ce qu’elle voulait. Il lui apporta la corde qu’il lança en l’air pour qu’elle s’enroule autour de l’une des nombreuses suspensions qui couvraient le plafond, celles qui tenaient entre autres les projecteurs. Urushima saisit le bout, avant de passer la corde autour du cou de Lyn. Nœud fait, elle la lâcha : le garde tenait l’autre bout. Bāndô plaça un tabouret en dessous de la prostituée, qu’elle choisit pour sa hauteur, qui obligeait la victime à se tenir sur la pointe des pieds pour effleurer l’assise.

Le décor était installé : les acteurs pouvaient commencer le jeu. La scène était, en l’occurrence, la tournante de Lyn, qui, si elle ne subissait pas les coups de reins des gorilles, manquerait de tomber du tabouret, et de se rompre le cou. Bāndô s’écarta, avant de faire un signe de tête aux hommes de mains, qui commencèrent alors à entourer Ewing.

Le premier ne s’attarda pas aux présentations ; il défit sa ceinture et pénétra violemment la malheureuse…

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S'attendant à être giflée comme les fois où Frank n'avait pas été d'accord avec les paroles houleuses qu'elle avait prononcé, elle ne recut qu'en contre partie un retour en force de l'impétuosité même d'Andrew. Il était face à elle, à quelques centimetres de son visage, crachant ses paroles toujours avec un controle qui étonnait Lyn. Depuis longtemps elle avait jetté les dés et elle se montrait hargneuse. Son regard allait d'Andrew à Bandô, qui ,quand elle s'était remise dans une position plus avenante et moins attirante pour des males en rute, s'était approché la menaçant simplement par sa carrure. Son esprit tentait de saisir complètement la situation. La chienne en face d'elle était prête a lui sauter dessus. Le couteau qu'elle portait à la main était bien affuté pour l'avoir vu à l'oeuvre avec horreur sur son Ex-patron. Elle trembla en voyant qu'Andrew avait ordonné silencieusement à Bandô de sacrifier une partie de sa chaire. Elle tenta de reculer sur le banc de coussins, mais son dos ne rencontra que le moelleux, illusoir du canapé. la nippone attrapa alors son poignet, mais avant, elle lui arracha le bas qu'il lui restait, à savoir sa mini jupe de danseuse. elle n'eu plus rien en un temps records. Sa vision s'était fermé pensant qu'elle allait la tailladé et quand Lyn sentit sa jupe contre sa poitrine, elle ouvrit les yeux, mais avait déjà la lame contre sa peau. elle la retira fermement mais Bandô la tenait avec force. La lame dechira alors les fibres musculaires, enfoncant profondément le plat du canif, puis la pointe..

Lyn grimaca mais ne cria pas. Sur le coup cela avait été si rapide que la douleur n'afflua que lorsqu'elle la repoussa contre le canapé. Lyn se tint alors le poignet pour que le sang ne coule pas encore plus. La plaie était profonde, mais dans quelque jour elle aurait une belle cicatrice. Pour le moment elle ne savait pas ce que le bras droit du nouveau boss lui avait fait, mais elle avait d'autre préocupations. Les réponses à ses questions étaient muettes de sons, mais elles étaient précise. Quand Lyn comprit que le corps de Frank allait être la prochaine flamme des jeux olympiques de la ville, elle retint un cri et se mit la main ensanglantée devant la bouche. La paume vers Andrew et Bandô qui devait se rejouir de la prochaine souffrance qu'elle allait subir.
Lyn ferma les yeux sur le moment. Elle n'avait plus la force de dire quoique ce soit. Ses paroles n'atteindraient en aucun cas ces deux êtres, ni les gardes qui commencaient à tourner impatients devant la porte de la pièce. Comme si ils attendaient leur tour..Leur part du butin..

Lyn rouvrit alors les yeux. C'est a ce moment là que Bandô rammassa l'oeil de..De FRANK!!! Elle s'était forcé quelques minutes plus tôt à ne pas regarder l'horreur. C'était immonde de lui présenter ainsi une part de son ex-patron. Lyn refusa d'ouvrir la bouche quand elle le lui présenta. elle bougea la tête à droite a gauche, ne voulant ceder à cela. C'était l'horreur ils lui refaisaient quoi ce soir? un remake d'un film connut seulement des esprits aussi fou à lier qu'eux? Lyn faillit limite se rompre le cou, mais ses mains ne luttaient même pas. Bandô lui ouvrit finallement la bouche et lui forca à avaler l'oeil de Frank. C'était visqueux dégoutant et elle faillit vomir sur Bandô. Elle finit quand même par réussir a cracher ce dont elle n'avait pés été forcé d'engloutir, et quand elle releva le visage sur elle, son regard n'en était que plus menaçant. elle allait l'assenir d'un coup bien porté quand une corde passa à son cou. Lyn sentit la corde se reserrer sur ce dernier et elle degluttit avalant finallement l'oeil en partie encore presque intact de Frank. S'en était trop, elle se leva, mais fut plaqué contre une chaise, haute qui la maintenanit dans un équilibre précaire. Son regard était devenu terrorifié. Lyn respirait rapidement ne sachant que trop bien ce qu'il allait arriver...

Un claquement de doigts, un regard une demarche assurée et la porte de l'enfer s'ouvrait en grand devant Lyn, tout comme ses mains qui furent maitrisées. Le sang coulait sur le sol, emmettant des petits ploc..ploc distinctifs et qui mettaient encore plus mal à l'aise Lyn. Ses yeux se révulsèrent quand le premier garde d'Andrew prit la place de Bandô et se campa devant elle. Un bruit de cliquetit, une ceinture qui s'ouvre et une fermeture qui descend..Ses jambes qui n'oppossent plus aucune resistance et voila qu'on la penetrait sans ménagement. Encore une fois..encore!! La troisième fois!! la troisième qu'un membre sans douceur l'enfourchait comme une vulguaire jument!
Lyn cria mais une main se plaqua contre sa bouche et son bassin heurta avec rapidité et force la chaise. Une douleur pénétra le bas de ses reins et elle se cambra au bon dire du garde qui pouvait assouvir avec plus entrain son desir. La part du butin récolté,aprés plusieurs assauts tous plus violent les uns que les autres, Lyn s'affeca sur la chaise, la respiration saccadée. Elle avait mal..Cela se dechirait de partout. elle revoyait l'usine..John..Karl.;l'orphelinat...

Il semblait que toutes ses mauvaises passes de la vie revenaient en elle et Lyn trembla regardant le sol, se tenant le ventre, et la chaise pour ne pas tomber. Alors un autre arriva..Il la releva, regarda son visage en la tenant du menton et fit de même. Elle cria de nouveau, mais étrangement chaque personne dans la pièces semblait être ravie d'entendre les cris malsain de Lyn. Elle voulut en repousser quelqu'un, mais pareil à l'usine il y a peu de temps elle se fit maitriser. Lyn était faible! Elle s'était souvent maudite ce comportement et ce detail. Alors la nippone alors que les larmes revenaient, bien qu'elle ne voulait pas les voir de nouveau contre sa peau, au coin de ses yeux, et couler sur ses lèvres, releva la tête quand le dernier des gardes passa sur elle. Tout ceci avait duré bien 2 heures et c'était maintenant Andrew qu'elle avait en face d'elle. sa poigne sur son cou puis sur sa joue ne la fit même plus trembler...
Ses yeux n'evoquait plus que de la soumission. Elle n'avait jamais été si violenté. elle en avait perdu son âme, sa vie, son identité et elle savait trés bien ce qu'Andrew allait faire...

Dans un ultime effort où les gardes avaient finis par lui tenir les bras pour ne pas qu'elle s'effondre et empèche les autres de venir prendre leur trésor caché, elle releva la tête et dit d'une voix si faible que seul Andrew pouvait entendre

-Et maintenant je fais quoi? J'ecarte encore les jambes?..Je dois être rodée ca devrais pas poser de problemes hein?..

C'était dit avec une pointe d'ironie, mais même si il prenait son corps, jamais il n'en aurait l'intégralité. Elle ne donnerait jamais son âme pour cette infâme dealer. Lyn soupira baissant la tête. Andrew allait faire ce qu'il voulait, ses forces étaient abandonnées..que pouvait-elle faire d'autre?

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Il se redressa de toute sa hauteur, toisant la toute nouvelle recrue de son parc a "pute", celle qui allait vite devenir le produit "phare" de son club, et pour cela il fallait d'abord l'eduquer a la sauce FigthClub... Il s'eloigna un peu, laissant Bandô se charger du marquage sur la peau de la Niakwé, de quoi faire comprendre aux autres a qui elle était, et ce qu'il pouvait leur en couter de la toucher, ne serait ce que d'un cheveux... Certes elle allait étre traitée comme la derniére des trainées, vulgaires pute entre les mains des dangereux mais calculateur anglais, qui avait a ses cotés, une arme redoutablement indifférente au malheures et aux cris... Bandô aimait le sang, elle apprecier d'autant plus le faire couler elle méme, deployant une qualité créative sans pareil, un bonheur a regarder, méme si parfois, méme lui, avait enie de gerber en la voyant faire...

Bandô fit encore mieux que ce qu'il attendait, comme toujours elle avait innové en matiére de dressage, méme si elle y allait un peu trops fort au gout du Britanique, qui ne voulait pas voir sa plus belle piéce, tomber raide morte... Mais il laissa faire sa Cerbére, lui faisant totalement confiance, la regardant arraché le dernier morceau de tissus de la jaune, devoilant un corps vraiment parfait... Andrew comprenait mieux pourquoi ce gros queutard de Frank la tenait en haute estime Sexuel... Elle meritait vraiment le detour... Ca il n'y avait aucuns doutes, méme si pour le moment c'était plutot sa langue qui se montrait agile au mots crues, ce qui avait le don d'enerver l'assistance, mais neanmoins beaucoup amuser Andrew... Le seul et unique geste que la prostitué allait amerement regretter, fut de cracher sur sa congénére... Bandô allait lui faire une de ses spécialité, qui lui passerait l'envie de retenter un jour ce genre de jet bucale...

Alors sa commenca, Bandô trancha la peau fine et soyeuse de Lyn, tracant avec application les signes desormais de plus en plus célébres du FigthClub... En plus Cerbére avait le talent du dessin... Au couteau qui plus est... Elle ne cessera jamais de l'etonner son bout de Nem.. Tendis que Lyn pleurait a chaudes larmes, Andrew lui pensait deja au future... En recupérant cet endroit il finissait par se devoiler, son club était mit sous les projecteurs de la pégre, il allait devoir subir les assaults de differentes factions, qui allaient tenter de lui reprendre ses aquit... Mais il sourit en voyant son bras droit a l'oeuvre... Bandô etait là, elle veyait aux grains.. Inutile de s'inquitter...

Alors tout commenca pour la pauvre Lyn, enfin elle vait cherché de toute maniére... D'abord ce fut le repas fruguale que lui offrit Bandô, a l'image de l'oeil de son ex patron... Elle le regretter, et bien ils lui offraient la possibilité de garder une chose de lui au fond d'elle, ou du moins au fond de son estomac... si elle ne vomissait pas avant la digestion bien entendut. La Jap' lui fit ouvrir la bouche avec force, la pute etant obligé de s'executer, l'oeil visqueux entrant dans sa cavité bucale grande ouverte, offrant un spectacle des plus ecoeurant a l'assistance... Mais ce ne fut pas tout, Bandô n'en n'avait pas finit avec sa proie, la suite allait se montrer des plus... percutante pour Lyn...

Elle fut installé, pareil au criminels de l'epoque passé, sur un tabouret, offerte a l'assistance que representait les hommes de mains qui regardaient d'un oeil soudain interessé le spectacle que Bandô leurs préparé... Ils ne se firent pas prier pour s'excuter a la suite du programme que la Jap' allait subir sans broncher, au risque de finir etranglé par la corde qui lui léchait le cou, marquant sa peau de trace rougeatres...
Un a un les hommes s'exécutairent, penetrant Lyn comme des bourrins qu'ils étaient, ne la preparant pas, et jouant du bassins pour lui arracher des cris, non de jouissance, mais d'horreur et de douleur.. Tout cela prit deux heures, pendant lesquelles Andrew avait regardé cela de loin, fumant clopes sur clopes, regardant la Jap' se faire demonter par les hommes foux d'envies pour le matraquage...

Enfin le derniers se retira, et regarda de haut la Japonaise laissé en place sur son tabouret... Il s'appreta a frapper de son pied l'element de bois qui tenait en vie la jeune prostitué, mais un coup de feu retentit, et la téte du malheureux fut en charpie, eclaboussant le sol de cervelle, et de crane broyé... Andrew, son berreta en main le regarda s'affaler doucement, tout moue, raide mort, avant de relever ses yeux sur les autres presents...

- Personne ne touche a ce qui m'appartiens sans MA permission...

Les hommes le regardérent, horrifiés, il pouvait ainsi tuer ses propres hommes, sans sciller... Il aquiescérent, trops effrayés a l'idée que Bandô ne s'occupe de leurs cas...

- Degagé, vous avez assez joué...

Tous sortirent, restant devant la porte, a méme la rue a attendre... La doucement, le Boss s'approcha de Lyn... et doucement la regarda d'un oeil etrange...
Il detacha le cou de la jeune femme, et l'aida a descendre du tabouret, pour finalement la poser au sol, seul, pleurante...

- Voila ce qui arrivera a chaque fois que tu jouera a la plus maline... Et pour ton information, je ne passe jamais deriére mes hommes, ta cave a plaisir est souillé de leurs semance...

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Bāndô éprouva un certain soulagement à voir Andrew, se résigner à finir la tournante avec Lyn. Bien entendu, elle garda ses émotions pour elle, réprimant seulement un mince sourire que son boss put apercevoir au coin de ses lèvres. Elle avait attendu que les gorilles finissent le travail, deux heures durant, pendant lesquelles elle affûta ses outils de torture, assise sur une table… Entendre les cris de Lyn était un vrai délice pour ses oreilles. Allez savoir pourquoi la nippone se plaisait tant à être l’éminente spectatrice du malheur des autres…

Ils attendaient chacun leur tour, tels des carnassiers désirant les restes d’une tuerie… A ce moment là, la valeur d’être humain leur était très lointaine…comme elle l’était pour Bāndô lorsqu’elle défigurait ses victimes, connaissant par cœur l’anatomie du corps humain, pour mieux en jouer… A vrai dire, elle lui aurait fait manger autre chose que l’œil de Frank, si cette même chose, à l’heure qu’il est, n’était pas calcinée… Les gardes d’Andrew étaient pires que des animaux, il en allait de même pour la nippone, qui avait troqué son âme fragile de fillette pour un apparat de bête furieuse…

Andrew remarqua l’aisance que sa subordonnée avait à graver la chair… Talent naturel, racines oblige : l’écriture du japonais était un art, il était normal que sa calligraphie ressorte sur ses scarifications…
Ensuite, le boss flingua un de ses hommes : Bāndô ne bougea pas d’un cil, elle avait l’habitude désormais, son patron avait la gâchette facile, et elle le savait plus que jamais prêt à montrer son autorité. Il affirmait que personne n’irait s’emparer d’un de ses biens sans sa permission… Pourtant la nippone lui avait volé une chose précieuse, qu’il avait du oublié avec le temps car, tout comme elle, il avait endormi ce graal des sentiments…

Lyn apprit enfin à se soumettre. Le travail de l’intraitable bras droit s’était à nouveau trouvé efficace. Sous sa poigne de fer, elle pouvait faire plier n’importe qui, usant de tous les moyens qui se présentait à elle… Neutraliser les proches, torturer physiquement, que de festivités auxquelles elle se prêtait pour parvenir à ses fins… C’est cela qui lui forgeait une telle réputation : un Goliath pouvait se voir écraser par ce David moderne…potentiellement malsain…
La prostituée se permit d’ironiser alors qu’elle était plus bas que terre, quelle preuve de courage… Bāndô ne lui accorda pas un regard : cette fille était décidément trop pathétique. Heureusement que Shinya serait là pour prendre ce commerce en main, Urushima ne supportait pas ces putes, trop faible pour l’intéresser… Lyn éveilla son esprit pervers : Bāndô regarda Andrew ; à sa place, elle aurait puni la prostituée de son arrogance, en lui montrant qu’elle n’était pas tout à fait « finie » à la consommation. Sur ce, elle lui aurait sûrement infligé des supplices humiliant, du moins, elle l’aurait ordonné à ses gardes…

D’ailleurs, elle voulut s’appliquer, se sentant obligé de défendre l’honneur de son boss, mais ce dernier renvoya ses gorilles. Elle reprit alors son couteau, mais le rangea : Bāndô ne pouvait pas s’autoriser à maltraiter une pute, surtout celle qui figurerait en tête d’affiche… Visiblement énervée, elle tourna le dos au couple, se préparant à partir, mais elle en oublia presque les usages.
Lyn l’entendit parler pour la première fois…

« Avez-vous encore besoin de moi, boss ? »

Elle le vouvoyait en présence des autres, il fallait respecter la hiérarchie… Andrew pouvait sentir son effervescence, par ce regard ardent qu’elle lui jetait. Elle l’avait trouvé trop clément, et elle le savait capable de revenir sur ses paroles, et de s’enticher de Lyn, spectacle dont elle se passerait bien…

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Lyn pensait qu'il allait s'en prendre à coeur joie quand elle l'avait vu derrière le dernier de ses assaillants de chaire fraîche. Pourtant elle se trompait et quand elle bascula la tête en arrière pour mieux le regarder, elle sentit un coup de feu passer pres d'elle et la jeune nippone sursauta en même temps qu'elle se recevait du sang sur la figure. Les bras neutralisés, elle du rester, les genoux affaisés l'un contre l'autre, le corps à nu devant une dizaine d'hommes, l'esprit embrouillé et le corps souillé. La mort du simple garde l'ebranla, plus par la soudaine envie de meutre de Frank que par compassion. Il l'avait achevé dans son dernier coup de rein en elle et Lyn ne sentait plus son corps. Si les gardes qui la tenaient, la lachaient, elle irait s'etaler de tout son long sur le sol, épuisée, comme une batarde. Car c'était finallement ce qu'elle était devenue..

Une femme qui n'était qu'une coquille vide..un receptacle à plaisirs malsains, mais au moins elle avait encore la chance de vivre..Le garde devant elle, était bel et bien mort et quand elle vit le bras d'Andrew droit devant elle, aprés que le corps du garde soit tombé à terre, elle ecarquilla les yeux de peur. Il n'allait pas l'achever en la regardant comme ceci dans les yeux? Lyn ne percevait plus que le trou du pistolet, le doigt de ce boss tyranique qui n'hésitait pas à tuer ses propres employés, sur la gachette de son bereta. Une pression et c'était la tête de Lyn qui se retrouverait en décoration sommaire pour les murs de sa loge. Belle tapisserie en perspective, mais elle préféra ne pas y penser!
La jap recula sur le siège, le tabouret sommaire qui menacait de ceder par les assauts précédents, allant lui rompre le cou sur la corde qui était tendue à l'extrème au dessus de plafond. Elle avait dailleurs les marques rouges du chanvre sur sa peau..
Mais andrew abaissa son arme et vira les gardes qui la retenait. elle tomba, mais la corde ne se tendit pas. L'autre qui faisait appel de soutenance avait aussi reculé devant la hargne agréssive des ordres du boss. La corde passa alors par dessus ses cheveux qui tombèrent devant ses yeux et elle disparut dans un coin de la pièce. Lyn ne croyait absolument pas en ce geste de sincérité....

Elle releva la tête les yeux humides, ne pleurant plus de douleur, mais brillant de haine. Si elle avait eu à ce moment là le couteau de Bandô elle lui aurait arracher sans pitié ce qui fesait de lui l'un des plus males les plus canon de la jet privé des gamma. En effet Andrew n'avait rien à voir avec Frank. Derrière son visage dur il avait un fond de beauté..une beauté qui hypnotisait quand on ne savait pas à qui l'on avait affaires. Lyn maintenant voyait bien toutes les couleurs de l'arc en ciel gris qui sétaient annoncés dans le ciel...Des couleurs qui voilaient un avenir certain..La nippone cacha tant bien que mal son intimité, même si elle savait que rien n'avait été plus découvert qu'en cette fois la..
Lyn finit même par se cramponner au tabouret, espérant mettre vraiment à bout Andrew que de la voir tenter l'impossible. Ces dernières paroles cependant l'arretèrent. Il n'allait pas la finir..surement qu'elle était déjà trop carvé..Il attendait qu'elle se soit remise pour en profiter un max c'est cela? Evidement la question ne se posait plus...

Alors la voix d'une jeune femme qu'elle avait finit par oublié, tellement son esprit était accaparé par les hommes présents, s'éleva dans la pièce. elle était à la fois douce, étrange et dur. comme si elle muait suivant les situations. Depuis le debut de la soirée, qui ne s'achevait pas encore alors qu'il devait bien être 4/5 heure du matin, la Tigresse, reine de la torture parla. C'était étrange et comme une dizaine d'autres lames, les sons la pénétrèrent. Lyn n'avait encore rien dis, encore rien fait, mais elle espérait que Bandô partirait. Les gardes s'étaient déjà retirés, frustrés de ne pouvoir en profiter plus. Si elle partait ils serraient seuls..Andrew avait-il d'autre projets en tête pour la jeune femme?
Lyn contempla Bandô du sol où elle se trouvait et serra les poings, ne montrant rien de l'envie de lui enfoncer son poing dans la figure. elle se controla en respirant plus calmement. Aprés tout ce qu'elle avait subit..cela pouvait etre pire? elle en doutait, mais son corps au sol, elle était à la merci de tout...

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Il regardait l'homme etendut au sol, qui baignait desormais dans son propre sang, mélange de cervelle et de boite craniénne dechiré, flottant surement au milieu quelques neuronnes qui auraient put survivre aux degats des drogues que cet homme la avait put fumer, snifer, et se transfuser... Le liquide rougeatre coulait le long du trou behant laissé par la balle de 9 mn a haute vélocité, fragmentation pour ne laisser aucune chance a la cible.
Le Boss n'était méme pas atteint de cette mort, aprés tout, le gars avait été trops loin, qu'ils punissent Lyn, cela il leur concédait, mais de la a vouloir tuer celle qui valait son pesant d'or... Plus question. Mais était ce la véritable raison de sa rage soudaine? Il n'en été pas sure, méme si il tentait de se persuader...

Son regard passa alors rapidement sur Bandô... Et c'est là qu'il remarque le regard dure de son bras droit. Avait il été faible, devait il punir Lyn, n'avait elle pas encore compris? Mais l'esprit d'Andrew allait plus loin que cela... Il ne ressemblait a aucun autre maitre de la prostitution, il avait une autre mentalité que ces gros lards qui géraient leurs parcs a putes comme un vulgaire chenil... C'est en donnant un peu d'importance à ces petits culs, qu'il était ensuite plus facile de les briser... Inutile de jouer la carte de la force avec Lyn, elle allait de toute maniére tenter de le pousser a bout sans arret, et un jours il finirait par la tuer... Non, avec elle une autre methode était de mise, miser sur la carte du chantage psychologique, il finirait bien par trouver une faille, un étre chére, ou une amie importante, et la, il aurait une arme infaillible pour la briser totalement...

Il jetta a nouveau son regard sur la prostitué qui était toujours au sol, devisageant cette beauté du soleil levant... Si les circonstances avaient été différentes, qu'aurait il tenté avec elle? La draguer? Peut étre, la vie devoilait rarement un avenir paradoxal... Il s'approcha lentement d'elle rangeant son arme dans la ceinture, tel un predateur qui fondait sur sa proie laissé a terre. Lyn n'était rien d'autre, elle ne devait rien devenir d'autre pour lui, au risque de finir comme Franck, misérable, a crier son nom dans les moments difficiles de sa pauvre vie. Les yeux bleu du British retournérent vers son Cerbére, la voyant légérement enervée, il comprit rapidement l'une des raison de cette colére... Cette faiblesse envers la pute. Mais ils n'avaient pas compris le pourquoi... Ils finiraient bien par le savoir de toute maniére...

Elle lui demanda alors si elle pouvait disposer, jouant d'un vouvoiement des plus destabilisant, mais ils étaient en publique, et elle avait toujours était des plus distante dans le language lors de reunion avec les autres membres du Gang... Il sourit faiblement a son Bout de Nem, avant de repondre calmement...

- Ce sera tout... Tu as encore fait de l'excellent travail.

Et son regard revint alors sur Lyn, tout en s'approchant d'elle, la voyant faible, misereuse, et salit par les assauts incessants des gorilles d'Andrew... Il la regarda d'un oeil neutre, ne repliquant méme pas a ces acts ou tentative de bravoures, elle finirait bien par s'arreter d'elle méme voyant que MacTyler ne repliquait pas, jamais méme, a ce genre de provocations...

- Je sais ce que tu pense, mais tu te trompe... Je ne suis pas un vulgaire Mac, comme ce connard de Franck... Si tu te montre coopérative, tu n'aura rien a craindre, de plus ton cul je ne le toucherais pas.. Tu n'es pas a mon gout...

Mensonge quant tu nous tiens... Lyn était attirante, bien trops justement pour le britanique, qui ne voulait pas tenter le diable...

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Andrew mentait mal. Il avait beau être le patron de la finance et commander les plus sanglants massacre, il restait un homme, un homme capable d’éprouver des sentiments. Son attirance envers Lyn électrisa Bāndô : elle tenta de dissimuler son irritation, mais rien à faire, elle aussi était une piètre actrice et son regard noir indiqua clairement son mécontentement.
Outre le comportement d’Andrew, c’est cette attirance envers la prostituée qui fit réagir la nippone. Ce regard intéressé était la preuve vivante que le boss était loin d’être indifférent au sort de sa fille de joie.
Bāndô n’ajouta rien aux paroles de son patron ; elle s’inclina brièvement par déférence avant de faire volte face… La nippone reprit sa planche et partit, bousculant un des gardes adossé à la porte.
Alors qu’elle s’apprêtait à prendre une ruelle sombre, son regard s’arrêta sur une ombre qui léchait les murs… Urushima s’avança, sans un bruit… Elle se préparait à sortir sa lame mais ce qu’elle vit la stoppa net. Une prostituée, qui tenait d’étouffer ses pleurs, était là, tapie dans le noir, sanglotante… Elle avait du réussir à s’échapper… Bāndô s’accroupit face à elle : la nippone la regarda droit dans les yeux, la prenant par le menton…

« Et bien ma belle… on s’est écartée du troupeau ? »

Elle lui tapota la joue, avant de tranquillement s’allumer une clope.
La prostituée, incapable d’aligner un mot sous l’effroi, prit son long collier dont le pendentif représentait un Christ. Elle le serrait dans sa main, faisant preuve de foi…

« Amusant… »

Soufflant la fumée sur le visage de la belle, elle lui mentit sans le savoir

« Je ne vais pas te faire de mal… »

Mais ses propres paroles la déconcerta : quoi ? elle allait docilement l’embarquer au bar ? Bāndô regarda par-dessus les épaules : personne ne semblait l’avoir remarquer… Parfait… Normalement, elle devrait la ramener à son boss, surtout qu’elle était d’une beauté éclatante…un teint de porcelaine, une innocence certaine… Mais l’entente entre la nippone et les prostituées, n’était pas tout à fait cordiale, surtout qu’a ce moment là, elle était profondément irritée par le comportement d’Andrew. La marginale réfléchit un moment, tirant sur sa cigarette…
Soudainement, elle arracha le collier de la prostituée ; la nippone l’attrapa par les cheveux avant d’enrouler l’accessoire autour du cou de sa victime. Elle resserra alors son étreinte, étranglant la fille de joie. Les yeux de cette dernière étaient exorbités, regardant avec horreur son assassine.

« Non…Tu ne seras pas une de ces putes qu’il se tape… Tu vas crever comme une chienne, sale putain… »

Son regard intense indiquait l’ardeur qu’elle mettait à la tâche… Elle détestait ces prostituées qui allaient alors connaître son boss sous toute les coutures…
Si Andrew savait qu’elle avait froidement exécuté une de ses recrues, la japonaise passerait un sale quart d’heure, mais ça, c’était le cadet de ses soucis alors qu’elle prenait un pied fou à étrangler sa victime.
Le corps de la traînée retomba comme une pierre ; Bāndô se releva, jetant un regard méprisant à la carcasse… La meurtrière disparut dans l’ombre…

Invité

Les regards qu'échangeaient la reine du massacre et le boss étaient si indifférent à Lyn qu'elle se mit à visualiser la pièce comme si c'était la première fois qu'elle venait ici. Tous ses repères étaient detruits et le bar n'avait plus qu'une vision de cauchemard pour la danseuse. Comment pourrait-elle revenir travailler en ces lieux sachant que son Ex-patron y avait été assasiné, le barman la tête complètement detruite, le personel dans un état d'agonie extrème? Rien qu'a cette pensée Lyn eu la nausée, mais la deuxième phrase que prononca Bandô la sortit de son ébahissement. elle était rude, sèche , mais pleine de sentiments qui, évidement, cachait beaucoup de questions pour la jap. Lyn les observa et quand son regard croisa celui de Bandô elle y lu une haine bien différente que le tout début de cette histoire. Est-ce que le fait qu'Andrew s'interesse particulièrement à Lyn, la préféré de l'ancien boss, la gène et la mette en fureur?

C'était une hypothèse à ne pas exclure. Elle savait trop bien, que lorsqu'une fille faisait du bon boulot, le boss la prenait sous son aile, et éprouvait plus de compassion à son égard. Bandô était-elle entichée d'Andrew? L'expression de mécontentement sur le visage de la tueuse n'était pas asser precis pour en conclure de telles choses, mais le regard d'Andrew était tout aussi confus. Lyn n'y comprenait plus rien..Aprés tout ce n'était pas ses affaires et elle ne voulait pas rentrer dans leur cercle.
Bandô finit par partir, un dernier regard noir au dessus de la danseuse et Lyn sentit un poids dans son estomac disparaitre, le noeud se defaire légèrement, comme si la présence de cette tyranique était encombrante... Cette fille n'avait rien d'humain! Elle sortait d'où pour avoir un tel comportement? De la rue? c'était possible, ce genre de délinquante augmentait de plus en plus, Lyn l'avait bien vu à Harvard..
Enfin Ils se retouvèrent seuls, Bandô avait pris le large en reprenant son skate. Lyn avait déja essayé mais cela avait été un bel echec cuisant. Les gardes étaient aux aussi partis un peu avant le bras droit du boss..du nouveau boss devait-elle dire! Et maintenant les voila chacun à un coté de la pièce, Lyn contre la chaise, le poignet en sang, le cou usé de marques de corde, et Andrew droit devant elle, impassible, ses yeux allant du corps de Lyn à la porte...

Lyn encaissait depuis le début toute les menaces d'Andrew, de Bandô et tentait de se controler. Il la croyait peu-être faible, fragile, mais elle avait un caractère asser impétueux. Comme si la présence de Bandô avait tout le long de leur soirée d'orgie, empecher à Lyn de s'exprimer comme elle l'avait voulut. Les sons sortirent du fond de sa gorge noués par la peur et l'imcompréhension total de cette soirée. Son visage c'était durcit, aucune larme ne coulait à présent et se tenant le ventre de son poignet blessé, elle se releva à l'aide du tabouret. Elle s'adossa au mur derrière elle et presque dans un rire tarda Andrew

-Bon maintenant que ta chérie est partie je t'apelle comment? Andrew ou boss? laisse moi rire de telles paroles n'ont aucun sens! Tu l'a elevé à quoi? Au croquettes pour chienne enragée?

Lyn était provoquante, la respiration sifflante. Elle ne lacherait le morceau qu'une fois qu'Andrew aurait arreté son petit jeu. elle se moquait de Bandô, et du comportement hierachique qu'elle avait eu avec le boss. Elle était si vive comme japonaise et si mesquine qu'en sa présence, elle aurait pu le tutoyer. Mais si Bandô avait été là, Lyn aurait passé encore un sale quart d'heure, mais elle avait bien vu depuis le début que tout ce qu'il disait n'était crédible que si il la regardait dans les yeux, comme tout boss se devait le faire. Sa dernière phrase avait été dite en regardant Bandô comme pour se faire pardonner ou comprendre de son prôpre comportement.. elle le savait bien faux en cet instant et quitte a se faire encore monté par un autre mec, qu'il le fasse. Une fois de plus ou pas à quoi cela rimait? Lyn en était même venu à penser que son role allait être d'ecarter les jambes asser souvent, du moins dans les premières semaines en présence d'Andrew et de ses gorilles sans cervelles.
Elle souffla, soupira de resignation et balancant sa tête a droite et à gauche, elle tenta d'agacer Andrew, comme elle le faisait..avait souvent fait avec Frank.

-Nous sommes seuls..j'attend tes ordres?! Ou j'peux encore compter sur la générosité que tu as énoncé à ne pas me sauter et trouver de quoi me vetir?

Elle le tutoyait et ne se genait pas. Finit les Vous qui n'avait pour elle aucun sens. Il allait faire de Lyn son jouet, pourquoi le vouvoyer alors? La nippone était nue devant lui, même son soutif avait disparu lors de la tournante et maintenant sans vètements, elle se sentait bien riddicule. Lyn passa une main tremblante dans ses cheveux et s'essuya le visage plein de gouttes de sang. C'était dégeulasse. Le sang s'etala sur son front, en plus d ecelui de son poignet. Elle ne savait elle même plus comment elle arrivait à tenir sur ses jambes. Heureusement que les king kong d'Andrew ne l'avaient pas pénétré contre le mur, elle était sûr qu'il aurait cédé au bout du cinquième...
Lyn aurait bien fumé une cigarette en ce moment juste pour ce détendre. La nuit allait encore être trés longue..Pourquoi n'avait-elle pas passer la soirée dehors? Pourquoi n'avait-elle pas demandé a Brian, le psychologue de sortir ou même de lui parler de..de quelque chose qu'elle s'était refusée de dire? Tout auré été évité et elle aurait peu être subit des assauts bien plus doux!

Mais tout ca c'était impossible et pendant que ces pensées allaient vers lui, Andrew c'était rapproché. Lyn emit une grimace, ne voulant pas qu'il la touche de ses mains, et recula d'un pas. Son regard devint dur, menacant, même si elle ne pouvait rien...

-Oui? besoin de quelque chose peut-etre?

Lyn n'avait en tête que l'envie de le faire chier, de ne pas se laisser faire et pourtant..

-

Invité

Les yeux d'Andrew volérent de part et d'autre de la piéce, regardant le lieu du massacre de ce soir, regardant cette tuerie dont il avait fait preuve, mais tout cela dans un seul et unique but... Assurer sa main mise sur Cambridge, devenir le patron incontesté de ce territoire qu'était Harvard et ses environs... Voila pourquoi ce tableau d'horreur ne le touchait méme pas, au contraire méme, il s'était réjouit de la mort de ses hommes qui avaient eu le malheur de sous estimer Andrew et son groupe, les prenants juste pour des jeunes en manque d'adrenalines, mais il allait leur montrer a quel point ils s'étaient trompés, tous, les uns aprés les autres, tentant de le voler, lui... Bandô allait se charger de cela... Ils allaient deguster, tous, les ritals, les Jap, méme les chintoks... Sans parler des russes qui commencaient a vouloir integrer la guerre des clans, avec leurs putes venuent de l'est... Pauvre d'eux, ils allaient connaitre la fureur de Cerbére...

Il regarda alors lentement Bandô quitter la piéce, son regard noir tombant sur lui, comme son couteau aurait put lui trancher net la gorge... Ce devait étre l'envie du moment de la jap', mais pourquoi? Pourquoi agissait elle ainsi? Si elle savait... Oui si elle savait ce qu'il se passait dans la téte sombre du Britanique, elle comprendrait bien des choses, cette japonnaise avait le don de l'intriguer, de lui donner matiére a reflechir... Pas facile d'étre le Boss d'une nana comme elle, tout en ressentant des choses pareil a son egard, mais voila c'était ainsi, ils étés voué a se mentir, pour leurs bien, pour celui du clan, pour leurs survie, méme si indirectement, c'était le peu d'humanité qui restait en lui qui crevé avec l'enfouissment de cette douce lumiére... Comme il aurait aimé la retenir, mais voila, il etait Andrew MacTyler, Chef de Gang, du plus puissant desormais, et elle une machine a tuer, qui ne connaissait pas ce genre de probléme, ou devait alors si bien les cacher que lui méme, maitre en la matiére, n'arrivait pas a les distinguer...

Il soupira, et ses yeux bleu retombérent, froid et siniques, sur Lyn, qui desormais était seul, avec lui, dans ce hall qui empestait le sang encore chaud, ou resonnait encore les cris du gros porc, qui allait pas tarder a finir en feu de joie pour le plus grand plaisir des gangs alentours, mais qui de ce fait, allaient comprendre a qui ils avaient desormais affaire... C'est alors qu'une chose des plus étrange se passa sous ses yeux... Lyn, qui jusqu'a present avait subit sans trops l'ouvrir, se revela étre... Une peste... Une connasse qui ne se doutait méme pas ce a quoi elle était en train de jouer... Le depart de Bandô... Oui, c'était bien cela qui avait reveillé la resistence en cette trainée, qui pensait tout doucement arriver a enerver Andrew, par des paroles bien droles tout de méme... Mais elle eu le tord de le prendre pour Franck... Cela n'allait pas se reproduire, surtout si elle parlait de Bandô, ce que la pute fit, erreur...

Il s'approcha encore un peu, et sa main, sans préavis, s'éleva dans les airs, de bas en haut, heurtant de plein fouet du revers, la joue droite de Lyn, qui fit un demi tour de sa téte... Profitant de ce moment, Andrew lui saisit les cheveux, et lui posa la face contre terre, sur le ventre, elle était bloquée... Le britanique s'approcha doucement de son visage tout en la maintenant au sol... Et souffla quelques mots a ses oreilles...

- Tu as tord de me sous estimer... Je ne suis pas Franck, je te l'ai deja dit, mais la leçon ne semble pas rentrer, a la différence des membres de mes gars... Je vais t'y aider...

Tout cela avait été dit calmement, lentement, avec un sourire presque moqueur.. Comment pouvait elle croire étre a la hauteur pour l'enerver? Comment pouvait elle croire avoir le dessus psychologique sur lui? Andrew n'était pas un cogneur, il ne l'avait jamais été, méme si sa carrure lui permettait parfois de le faire, mais plus un assassin psychologique, tuant d'abord l'esprit de ses victimes, leurs detruisant toute espoirs, avant de les achever... Pour cela, il était un pro...
Il la maintenait toujours au sol, et saisit dans sa poche arriére une seringue, de l'hero a haute concentration, pas de quoi faire une overdose, mais deja pas si mal pour devenir rapidement accro... Il decrocha le bouchon avec ses dents, et planta l'aiguille sans ménagement dans le cou de la Jap', la Carothide, rien de mieu pour un effet rapide...

- Ceci ma chére, et un produit des plus merveilleux... Mine de rien, c'est un decontractant puissant... Tu vas d'abord passé une minute affreuse, et ensuite le bien étre totale... Cela devrait suffir a delier ta langue bien fourchue...

Il finit par la lacher, regardant a nouveau la femme nue au sol, un sourire tranquille aux lévres, un visage calme, limite serein... Le debut des confessions n'allait pas tarder, il fallait juste se montrer patient...

- Vois tu, tu es une mine d'or pour moi, je te l'ai deja dis, alors, a chaque manquement a tes devoirs de soumise, j'enverrais Bandô regler une personne proche de toi... Ce produit va m'aider a les connaitres, tu me donnera le nom de ces derniers, que tu le veuille ou non, je le crains...

Il s'approcha a nouveau d'elle, un sourire toujours accroché aux lévres, et la redressa par les cheveux, sans animausité, mais de quoi la chambouler, et il la fit valdinguer au travers de la piéce, cassant le peu de mobilier qui restait encore debout... Andrew, maitre de lui, allait faire de Lyn son propre informateur, et il la detruirait lentement, a petit feu, par le biais de Bandô et de ses performances a martyriser les malheureux... Lyn allait connaitre le Britanique en colére, mais une colére froide et calculé, la pire, elle venait de reveiller un monstre, et devait maintenant accepter de subir les conséquences...

- Ma générosité? Elle vient de s'envoller... Bienvenue en enfer la bridée, ou je reigne en maitre absolut....

Invité

Lyn sentit enfin les yeux d'Andrew se poser sur elle et la japonaise en trembla . Derrière son regard se lisait une injustice. Lyn serrait l'une des plus martirisée de la profession, cela n'avait plus aucun doute. La jeune femme regarda Andrew alors trés prés, fermant son esprit au tapage nocturne qui avait lieu dehors. De toute évidence son Ex-patron allait y passer et elle ne voulait en aucun cas entendre les restes de cette cacophonie lugubre. Pourtant elle perçut nettement le claquement de la portière d'une voiture, les bruits que faisait un bidon d'essence, ainsi que les ordres donnés à tout bout de champ. Quelques cris et certains rires lui glacèrent le sang. C'était finit Frank agonisait au troisième degrès, dans une chambre brulante et deja le demarage de la voiture, ou peut-etre d'une camionnette vu le bruit du moteur, dans un crissement de pneu, s'éloigna en direction du centre ville, les phares allumés, pareil à une boite de nuit.
La jeune nippone recula encore. Ils étaient maintenant vraiment seuls dans cette partie du cartier et si quelqu'un avait enfin la gentillesse de se rendre compt du massacre qui avait eu lieu ici, Lyn l'en remercirait jamais asser. L'odeur du sang devenait insupportable et Yann, le Barman qui n'avait pas été achevé, mais juste defiguré tenta de se relever, mais s'éffondra, mal en point dans un bruit de verre brisé et de liquide alcolisé. tentant de l'enervé, mais aussi de lui echapper, elle se déplaca sur le mur légèrement à droite, mais déjà une main s'éleva et la tête de la danseuse heurta cette dernière,partit en arrière et Lyn se retrouva à terre, se tenant la joue. elle avait une belle marque rouge, cuisante sur cette dernière et sa tête lui tourna alors..

Lyn grimaca, gemit de douleur. C'était la première fois qu'on la frappait avec autant de force, et Andrew utilisa cette faiblesse de sa part pour la plaquer au sol. Son corps déjà meutrit de blessures recut encore quelques ematomes en tombant à terre, mais c'était sa tête qui en prenait le plus . Les sons à son oreilles lui parvinrent, net precis et froids. La japonaise tenta de se degager, mais sur son corps nu, Andrew exercait une pression sans retenu pareil à..à John dans l'usine! C'était la même vision d'horreur, le même cauchemard qui redevenait réalité. Elle voulut se retourner sur le dos, voir le visage D'andrew et le lui arracher les deux yeux, mais dans un mouvement net et précis, la joue toujours collé au sol, la nippone sentit quelque chose de pointu, piquant et surtout d'une taille démesuré, entrer dans le cou, lui arracher un rictus d'horreur et une grimace de douleur. L'aiguille enfoncé profondément dans sa carothide, le froid la submergea, l'envellopa comme une couverture et elle sentit la pression sur son cou se relacher. Lyn parvint alors a se mettre sur le dos, le corps dévoilé à Andrew qui, dans l'état où il venait de la mettre pourrait s'en donner à coeur joie! Le liquide qui avait coulé dans son sang fit immédiatement effet et la tête de Lyn devint lourde, pleine de coton, d'un nuage épais et elle ne visionna plus l'être au dessus d'elle qui al regardait, souriant, jouant de son état de nouvelle droguée à sa guise.
L'heroïne..Lyn savait trés bien les effets de cette drogue pour y avoir touché quelque fois avec Frank, mais jamais à une telle dose. elle ne controla plus ses pensées qui devinrent floues, penibles et malsaines. C'était horrible.

Lyn bascula sur le coté, se tint sur un coude, mit la main à son cou pour sentir l'endroit de l'aiguille, et faillit y laisser ses tripes. N'avoir rien mangé depuis la veille, subit une torture inégale, cela la rendait malade. Qu'elle aurait aimé crevé en cet instant pour ne plus avoir à souffir, mais Dieu, égoiste la maintenait en vie. Elle n'avait jamais été croyante, mais là elle le maudissait de ne pas agir sur Andrew, sur elle, sur ses hommes..sur nimporte quoi, mais qui arreterait se cauchemard. Lyn eu un sursaut et parvenant à se mettre le dos contre le mur, elle ferma les yeux, respirant à plein poumons comme si elle s'était retenue toute la soirée. Le blanc de ses yeux pouvait apparaitre si elle ouvrait légèrement les paupières, mais baissant la tête, elle se massa les temps, impuissante..
Le corps en proie à cette drogue, elle divagua, prononçant quelques mots inaudibles, faibles et sans véritable sens. Elle transpira sous l'ecoulement de la drogue dans son sang et quand elle leva la tête enfin vers Andrew, sa respiration était sereine, voir peut-etre même trop, alors qu'il y avait quelques minutes, elle était sacadée, tintée de souffrance...

- Et c'est quand le nouveau contrat? Ironisa tristement Lyn...J'ais encore rien signé je ne te dirais rien! A moins que la nouvelle forme de signature ne soit que la souillure de ton être?! Je préfèrerais largement que ce soit quelqu'un d'autre que toi!

elle parlait évidement de Brian. Elle n'allait rien lui dire, mais l'hero dans le corps lui faisait perdre tout sens des valeurs. Lyn ferma les yeux soupirant, ne sachant ce que le nouveau boss faisait. Elle entendait des bruits, de la décoration cassée, bouger un peu partout comme si Andrew faisait un peu de ménage. L'endroit n'avait plus rien de la loge de la danseuse. Cela allait couter cher en réparation, mais le bar même serrait tout à refaire. Lyn ne se doutait pas que dans peu de temps, les gorilles allaient rapliquer, netoyer tout ceci en un tourne main et l'endroit n'aurait rien d'inhabituel pour les clients. Brian ne devait pas revenir!! surtout pas! Elle devait aussi prévenir Meryl..surement et..Peu de monde en fait.;Lyn restait souvent seule, ce monde fermé de prostituées lui empechait tout contact réel.
La japonaise voulut parler, mais ses mots se perdirent dans sa gorge et pourtant aprés une minute d'efforts, elle se contempla dans une euphorie imorale et scanda Andrew de ses yeux lisse et de son regard noir

- On esssaye de jouer les gros dur.. j'aimerai te voir autrement, un gars normal qui peut avoir des sentiments comme br..comme Bandô! au fond c'est peut-être toi le pire dans tout ca!

Oui le plus menacant. Bandô avait beau être une machine à tuer, le dernier regard de celle-ci avait tout démontré. Lyn ne craignait plus les menaces physiques, même si elle les redoutait à chaque fois. Frank lui était passé tellement de fois sur le corps, john, ces gorilles, puis plus jeune Karl qu'elle semblait à même d'y faire face. Mais les menaces psychologique étaient sa faille. Lyn avait un coeur qui malheureusement de detruisait petit à petit dans ce monde du showbiz féminin. Il se déchirait en ce moment, face à Andrew qui jouisssait de la voir dans ses possesions. Un peu plus et elle parlait de ceux qu'elle apréciait. Si elle le faisait?...
Deja elle ne savait plus comment tourner correctement ses phrases, elle n'arrivait plus à parler, articuler ses pensées. Andrew la tenait...il ne la lacherait plus

Invité

La jeune femme valdingua presque avec grace et style, mais la chute montrait bien que tout cela n'avait pas été calculé... Il la regarda s'étaler, telle une marionnette a qui l'on coupe soudainement les fils qui controlaient ses mouvements, inutile, tout juste bonne a decorer une piéce... Mais c'est bien ce qu'allait devenir Lyn pour MacTyler, une marionette, une poupée a jambes ouvertes, il allait la briser, d'abord physiquement, ce qui avait été deja fait par ses hommes de mains, ensuite Psychologiquement, avec l'effet de la drogue dans son organisme il serait plus simple de lui soutirer des informations, pour ainsi faciliter le travail, et pouvoir jouer d'un chantage affectif... Elle l'avait poussé a bout, elle devait maintenant assumer ses acts... Il aurait put tout simplement la battre, la violenter, puis ensuite la prendre, avec sauvagerie, comme une béte... Mais non, Andrew était une autre classe de brute... Elle allait rapidement le comprendre, et finirait méme par lui étre entiérement soumise, de grés ou de force...

Les premiers effets de la drogue a haute concentration arrivérent, la voyant grelottante, il comprit que le froid l'avait submergé, qu'il était en train de prendre possession de son étre, Lyn allait connaitre le Nirvana avec cette dose, mais inconsciemment allait lui reveler quelques petits secrets croustillants, de quoi donner des idées au Boss, de quoi donner des cibles a Bandô. Vint ensuite l'embrouille mentale, l'Hero jouant comme un shaker, secouant les pensées de sa victime, elle ne savait plus que dire, ne savait plus quoi cacher, tout les inhibitions s'envollant en méme temps que ce liquide brunate coulait dans le sang de la malheureuse... L'anglais restait la, a regardait le produit illicite faire son oeuvre, en silence, souriant de maniére sadique, heureux d'assister a un tel spectacle...

Il se redressa alors un moment, regardant tout autour de lui les meubles complétements eclaté, resultat de la colére d'un Gang, resultat de la tentative de vol de cet enculé de Franck qui, comme l'indiqué le depart de ses hommes et le bruit de la voiture qui demarait, n'allait pas tarder a finir en Mishoui... C'est le chien de Bandô qui allait se regaller... Il marcha jusqu'a un angle de la piéce, poussant de ce fait les meuble en morceaux au sol du pied, cherchant un siége qui aurait put survivre a cette tuerie de ce soir... Il finit par le trouver, l'unique rescapé de cette scéne la... Mais un legers bruit de verre le fit se tourner...Le Barman était toujours vivant semblait il... Ils avaient la téte solide les Yankee semblait il... Il sourit, s'approchant, tirant sa chaise d'une main, vers le jeune homme, ancien employé de l'autre gros Lard... Andrew laissa un instant sa chaise au sol, et posa ses mains de chaque coté du visage ensanglanté du garcon, et tourna d'un coup sec, lui faisant faire une rotation contre nature a quatre vinght dix degrés, produisant un craquement repugnant... Le Barman laissa tomber la téte, mort pour de bon cette fois ci...

Andrew, enfin assuré d'étre seul avec sa proie, reprit sa chaise, et se posta en face d'elle, a quelques metres a peine de son corps nue, sondant ses yeux, pour voir la progression des effets de l'heroïne sur elle... Ca commencait a devenir interessant, bientôt elle lui chanterait le nom de ses "amis"... Parfait.. Mais elle avait tout de méme encore un peu de fierté, et continuait, inutilement a l'agresser verbalement, peut étre tentait elle de le faire sortirde ses gonds, pour qu'il la frappe, esperant un coup de grace, une libération par un coup mal porté... Mais non, elle ne reussirait pas a ce jeu la... Il posa ses main de chaque coté de son cou, prenant une position de relaxation musculaire, attendant le moment propice pour debuter l'interrogatoire de la pute a poil...

Les mots s'echappé de plus en plus difficilement de sa bouche, Lyn commencait a comprendre ce qu'était l'extase de la drogue, mais le refusant, ne se laissant pas aller, cela devenait presque douloureux pour elle... Mais ce n'était que le debut... Alors ses mots, confus et incomprehensibles par manque de cohésion, sortérent de ses lévres qui bougeaient maintenant doucement, l'effet morphe commencant desormais... C'était le bon moment.. Il se redressa sur son siége, posant ses yeux bleu glaces sur elle, son sourire toujours la...

- La normalité n'est qu'un point de vue Voyons... On t'apprend pas ca dans ton Campus de pouilleux Lyn?

Il lui fallait l'amener doucement vers les reponses qu'il souhaitait... Mais il était expert a ce jeu la.. Elle n'aurait pas le choix...

- Harvard, jolie Fac hein? On s'y fait pas mal de potes, pas vrai Lyn? Et des mecs canon aussi... Lequel te plait le plus? Allé dis moi tout, tu as bien un PlayBoy qui te fait mouiller?

Il sourit, l'interrogatoire avait commencé...

Invité

Pendant que sa volonté, tentait de prendre le dessus sur l'effet de l'Heroine, Lyn se cala contre le mur, une jambe contre elle et l'autre tendue en avant. Elle avait les yeux clos, mais sa tête se balancait, ainsi que son corps légèrement en avant comme si elle avait trop bu. Son visage retomba sur son épaule pui revint contre le mur, en se cognant, mais la douleur n'atteind pas le cerveau de Lyn qui ne sentait même plus le sol trembler au remut ménage que provoquait Andrew en déplacant meuble, canapé et décoration démolis. Il sembla à la japonaise qu'il cherchait quelque chose, mais quand elle vit , en ouvrant furtivement les yeux à un bruit plus net et plus crissant, Andrew devant elle assit sur une chaise, elle soupira.

-Tu veux pas me lacher un peu?

Bien sûr que non! Comment ce mec pouvait-il lui lacher la grappe alors qu'il répétait depuis le début qu'elle serrait SA mine d'or, son profit! A en croire les gestes qui suivirent ses paroles, Lyn sentit les yeux d'Andrew se poser sur elle, vicieux et attendant quelque chose de sa personne. Lyn leva la main qui retomba mollement, tentant de lui dire..CASSE TOI!! Mais cela n'avait aucun impact sur Andrew qui calmement commenca à lui poser des questions. Elles mirent un temps à arriver jusqu'au cerveau de la japonaise, et encore un temps avant qu'elle n'en comprenne véritablement leur sens. Lyn fronca les sourcils comme si elle était assaillit de l'interieur par toutes cette cacophonie de mots, mais elle en dégagea des mots importants..Harvard...Amis...Mec ..playboy...
Tout cela c'était si commun, tout en relation qu'elle se demanda où il voulait en venir. Pourtant avec un faible sourir, elle tenta une dernière fois de prouver que même une drogue n'arriverait pas à l'achever.

- On m'apprend au moins le respect..J'ais l'impression qu'on a manqué à cette partie de ton éducation non?

Pourquoi lui sortait-elle des pics aussi pourris? elle avait déja fait dix fois mieux avec Frank!! Pourquoi avec Andrew cela devait-il être si différent? Pourtant monsieur le nouveau boss, ne releva rien ..du moins pour le moment. Il était à quelque centimetre d'elle, de son visage. Lyn pouvait sentir le souffle d'Andrew tout pres du sien qui était trop calme à son gout. elle se sentait en harmonie avec cette pièce qui devenait froide..Ou c'était elle qui avait froid? Nue comme elle était, elle serrait vite malade, mais Andrew ne semblait pas s'inquiéter de la japonaise en face de lui. Elle sourit bètement et le repoussa en posant sa main sur son front, le faisant reculer légèrement, un rictus de dégout sur le visage de Lyn. La japonaise articula avec difficulté

- A Harvard au moins ya de belles fleurs! j'peux même y faire des couronnes! c'ést génial et ca serra toujours plus beau que toi! Et avec ca sur la tête ca t'irais pas tu aurais l'air d'un épouvantail galeux!

Elle rigola doucement, ironiquement. Ca y était l'effet de la drogue la prenait, la submergeait et elle en venait même à dire nimporte quoi. C'était pitoyable..affligeant, navrant de voir qu'une déesse de la danse, des podium et des scène se retrouvait comme une moins que rien entre les mains d'un mec qui n'en avait cure. Elle se moquait encore de lui. Bien sûr ses paroles n'avaient aucun sens, mais un accent de vérité. Andrew avait beau avoir un charme à lui, derrière ses allures de durs, il attirait. Dailleurs Bandô n'en était apparament pas rester au simple stade de je te matte juste parce que tu es canon. Non cela allait bien plus loin et Lyn ne se doutait pas qu'un jour elle aurait encore affaire à elle si Andrew se chargeait de son cas. Comme la jalousie pouvait-etre terrible en ces moments la!
Lyn apréciait étrangement en cet instant le visage fermé d'Andrew qui les mains sur son cou attendait d'elle de vrais réponses. Elle enchaina se rendant plus trés bien compt qu'elle crachait ses sentiments, ses envies et ses failles devant lui...

-Une autre chose que j'avais oublié...j'ais pas d'amis! s'pas avec des mecs comme toi que je pourrais m'en faire! ya juste ce psy la..Mince son nom....

Elle savait trés bien comment il s'apellait, mais ses forces l'avaient abandonné. Il était connu à Harvard, mais discret. Elle pensait qu'il ne devinerait jamais de qui elle parlait, mais elle n'eu pas le loisir d'en dire plus. elle soupira et proche de la somnolence du à la drogue, elle bascula sur le coté du mur et son corps nu retomba dans les debris, les cousins sur le sol et resta la. Elle était vidé de ses forces. De plus le sang coulait toujours de son poignet..à ce rythme la elle serrait plus que sèche et il en faudrait peu de temps pour qu'elle y reste...

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