Petite nouvelle [PV Shinya ]

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Sara était dans son cabriolet rouge, elle conduisait et sa mère était juste à côté d'elle. Sara arriva devant le bahut et souria. Peut-etre était-elle heureuse de quitter sa mère et son père ou encore était-ce parce qu'elle venait d'etre accueilli par une grande école de droit ? Elle n'en savait rien, mais elle était heureuse. Elle se gara et sortit de son cabriolet avec sa mère. Elle laissa la clé de la voiture a l'intérieur. Elle regarda, bouche bée l'établissement. C'était la première fois qu'elle le voyait et ce ne sera pas la dernière. Elle travail à fond, mais sait s'amuser et avoir du plaisir. Elle se retourna vers sa mère qui était en larme. Sara n'était pas semsible envers sa mère et son père, toujours absent, elle a réussi à vivre sans eux pendant son enfance alors pourquoi pas maintenant ? Elle lui fit un calin, lui fit la bise et lui montra du doigt le parking. Elle avança vers le coffre et l'ouvrit. Elle prit ses bagages et les posas par terre pour refermer le coffre. Elle les prit et s'avança vers l'entrée. Elle ouvrit la porte et se retourna, sa mère était dans la voiture, commençait a partir vers le parking pour y déposer celle-ci. Elle se retourna et entra. Elle vit pleins de jeune monter, descendre, aller à droite ou à gauche. Elle chercha un banc libre et s'y assit avec à côté ses bagages. Ses valises étaient bleus. Elle portait une mini jupe bleu, des talons, des bijoux et un t-shirt a brtelle blanc.Elle regardait tous les élèves, curieuse.

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Shinya déambulait dans l’entrée du lycée à la recherche d’un passe-temps quelconque. Un merdeux à écrabouiller, un prof à terroriser ou pourquoi pas une fille à recruter. C’est alors qu’elle vit entrer une jolie blonde qui paraissait totalement perdue. Sa jupe courte dévoilait de superbes jambes et son T-shirt blanc moulait parfaitement sa poitrine. Si Shinya détaillait tant la silhouette et le visage de la jeune fille, ce n’était pas parce qu’elle aimait les filles, loin de là. Mais tout simplement parce qu’elle était en charge de recruter des filles pour son « boss ».

Elle s’appuya contre une colonne du grand hall en crachant la fumée de sa cigarette et observa un moment celle qui semblait nouvelle. Son regard émerveillé sur l’entrée de Harvard ne laissait en effet pas de doute à ce sujet. Elle changerait vite d’avis quand elle prendrait connaissance de la dépravation qui régnait dans cette si prestigieuse faculté. L’apparence de la nippone était sûrement un premier indice quant à ce que l’on pouvait rencontrer ici. Ses fines jambes étaient glissées dans de grandes et luisantes bottes en cuir et à talon aiguille, elle portait un minishort et un mini haut tous aussi sombres et dans la même matière. Seul ses yeux verts et ses cheveux blonds apportaient une once de couleur au personnage.

Shinya se décida à avancer vers la nouvelle élève et se posta devant elle, lui cachant le paysage qu’elle paraissait si encline à scruter. Et elle lui attrapa le menton pour qu’elle la regarde dans les yeux. Après une dernière inspection peu discrète, elle lui dit avec une cordialité sur jouée :

« Bonjour ! Bienvenue à Harvard, ma jolie ! Dis-moi… Est-ce que tu as fait bon voyage ? Ton ours en peluche étouffe pas trop dans la valise ? T’as dit adieu à tes vieux ? Blablabla… »

Puis elle s’arrêta, se redressa lâchant le menton de la demoiselle, tira sur sa clope et reprit sa voix normale rude et assurée :

« Rrrah… Merde j’ai trop bouffé de bisounours moi… Bon maint’nant qu’j’ai fait l’intro, on va aller directement à la conclu. T’as l’air d’une sacrée cochonne, t’as un cul bien attirant, et j’ssuis persuadée qu’un petit boulot ça t’botte. Les sous d’papa-maman, c’est pratique un moment, mais ça d’vient lassant pas vrai ? »

Le ton étant donné, Shinya n’allait pas tarder à proposer plus clairement à la jeune blonde d’intégrer son réseau. Elle n’avait pas de boulot de caissière ou dans un Mc Donald pour elle, bien évidemment. Et de toutes façons, comme elle ne faisait pas dans la dentelle, cette petite Hottie n’avait pas réellement le choix. Soit elle acceptait, soit Shinya la trainerait par les cheveux jusqu’au Pacha.

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Sara observait cette universitée, bouche bée. Grande, moderne, tout ce qu'il faut quoi. Elle vit une fille au loin l'observer. Elle posa son regard sur elle assez étonée. Quelqu'un qui l'observait, ça faisait peur non ? Elle vit ses cheveux noir, ses yeux vert la mettait en valeur, ses bottes de cuir assez belles, noir à talon aiguilles. Son mini-short était petit comme son nom^^ et son mini t-shirt était normale, tout ce que les gens peuvent porter. Enfin, cette jeune fille l'observait toujours, elle se demandait bien pourquoi, que lui voulait-elle. C'est vrai que Sara était ravissante, on aurai dit une vrai Hotie, mais ça n'en n'était pas une car elle aimait aussi le boulot, travailler un peu, c'est si bien et reposant. Elle était quelque fois une vrai pupute mais elle ne pouvait pas se permettre de l'être tout le temps. Elle vit que la jeune fille d'en face s'approchait d'elle, elle le regarda et puis se retourna comme si de rien n'était. Elle attendit et lorsque la fille lui dit bonjour et l'acueillit, elle se reoutrna et lui sourit, gênée. Elle vit que l'a jeune fille l'observait encore et lui releva le menton. Elle écouta attentivement les paroles prononcées de le jeune fille qui était sympathique....et rigolote^^. Elle se senti libre lorsque la jeune fille lui lacha le menton, elle releva la tête et lui sourit. Elle vit que la jeune fille lui parlait bizzarment apres. Quelque mots vulgaires apres s'etre tapé une clope, une vrai bad girl quoi. Elle se sentit bizzar et son coté Hottie prenait le dessus. Elle lui sourit et se demandait quand même ce qu'elle voulait d'elle. Malgré qu'elle ne soit pas une vrai cochone, ça l'amuserait de temps en temps avoir un boulot. Comme ça elle gagnerai de l'argent et c'est vrai que l'argent de papa et mamant, lui lassait un peu alors, elle lui dit:

-Quel genre de boulot ? Ca me tente d'avoir un tit' job, mais pas nimporte quoi !

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Shinya se rendit compte que son interlocutrice avait l’être un peu niaise. Elle n’avait pas capté où Shinya voulait en venir. C’est pourquoi elle voulut se faire plus explicite. Elle plongea sa main dans son sac bandoulière et en extirpa un bon paquet de billets. Elle l’agita devant les yeux de la jeune blonde d’une main et de l’autre elle posa son doigt sur la poitrine de sa future employée :

« Tu vois. Ton boulot il va être très simple. Tu recevras ça et en échange tu offriras ça. »

Shinya rangea ses billets et regarda avec agacement la blonde qui ne comprenait pas assez vite à son goût :

« Bon merdeuse. J’t’explique. Tu vas devoir enfiler tous les soirs et week-end des fringues encore plus courtes, légères et provocatrices que moi et tu vas aller faire la pute au bar le Pacha. Tu t’feras payer, moi j’encaisse. Le boss te reversera un pourcentage. Tu baises, tu jouis ou tu fais semblant, tu contentes le pervers du coin et « Chting » ! La monnaie tombe direct dans ton string. Par fais gaffe à pas souiller l’fric. Ca m’ferait bien chier de d’voir rendre les sous pleins de foutre au boss. Tu piges ? »

La blonde avait parue enthousiaste à l’évocation d’un petit boulot. Mais maintenant qu’elle savait exactement ce qu’elle devrait faire, elle allait sûrement se rétracter. Comme toutes les putes que Shinya avait recrutées… Pourtant, une fois qu’elle avait le canon d’un flingue dans la bouche ou la lame d’un couteau contre la carotide, elles étaient tout de suite beaucoup plus consentantes. La nippone avait de très bonnes méthodes de persuasion.

« Bon alors tu m’suis dans un endroit plus… intime ? Faut qu’on règle une sorte de… paperasse. »

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Sara regardait la jeune demoiselle. Elle avait l'air tres....salope ! Elle l'écoutait toujours d'une oreille, elle compris assez vite le projet des la première phrase de la fille. Elle fit une grimace, jouer la pupute....c'était bof. Enfin, l'idée d'avoir un job était bien, elle en voulait un depuis longtemps mais bon, elle avait la flemme d'en chercher un. Et là, un boulot tombe devant ses yeux, mais un boulot de pute. Voilà la balance, elle était mi-hottie et mi-clean, donc, un pour...et un contre. S'elle disait, oui, les fringues, donner de l'entousiasme alors qu'elle en a pas, mais, se faire payer, avoir un job et s'elle se fait plaisir. Bon, une seule chose venait à elle, le pour et le contre était execo donc, elle essayerai une fois, si ça lui plait, elle continuera sinon elle arrêtera. Biensur, sans se douter que la demoiselle pouvait avoir des moyens de persuation, tres...

-Hum...ok, bon j'essaye une fois. Si ça me plait, je veux bien continuer jusqu'a que j'en ai marre ou que je ne veux plus tout simplement. Mais si ça me plait pas pour toutes sortes de raisons, j'arreterai de suite, sans autre expérience.

La jeune fille était quand même encore pas tres sur d'elle. Mais on a rien sans rien, mieux vaud essayer, mais comment cela se passait, d'apres la demoiselle, elle avait juste a donner du plaisir au "pervers" du coin et l'argent vient ! Mais bon, avoir d'autre vêtements pour son boulot, elle avait pas tres envie. Mais si ça lui plait, biensur qu'elle fera le necessaire, pour qu'il y ai plus d'exitation à la voir. Elle acquieca a la proposition de la jeune fille d'aller dans un coin plus intime pour la paperace et commence à la suivre.

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La fille en face d’elle était tellement naïve que ça allait être plus facile à marcher que de la guimauve. Shinya regarda la jeune fille avec un air mi-fasciné mi-consterné. Elle croyait vraiment qu’elle allait pouvoir « essayer », en même temps, peu d’élèves étaient au courant de la mafia qui était en train de proliférer à Harvard. Seulement, la fille ne tarderait pas à comprendre à qui elle avait affaire. Elle aurait du tout simplement s’enfuir en courant ou être moche si elle avait voulu éviter ce qui allait suivre.

Shinya empoigna fermement son poignet et la tira vers l’extérieur. En marchant elle lui répondit avec ironie :

« Ouais c’est ça… Enfin bon faudra qu’tu fasses un putain de préavis et j’te préviens le chômage est pas très élevé… »

Elle marchèrent un moment et arrivèrent dans une impasse. Un endroit assez mal famé du campus où dealaient les acolytes d’Ethan. Ils la reconnurent et elle leur fit signe de guetter si quelqu’un arrivait. Elle plaqua la fille contre le mur et la regarda avec une rudesse franche dans le regard :

« Bon maintenant on arrête les conneries. J’t’explique un truc. Maintenant t’as plus moyen de reculer. T’es enrôlée et t’iras pas chialer. T’as intérêt à satisfaire les clients parce que si ce n’est pas le cas, on rompra le contrat par une jolie balle entre tes deux yeux. Une salope, une vraie chaudasse, une pif paf pouf prend ça dans ta touffe : voilà ce que t’es dès maintenant. »

Shinya ouvrit le sac à main de la jeune fille sans lui demander son avis. De tourtes manières elle n’avait aucun moyen de partir, il y avait trois dealeurs plutôt bien charpentés qui réagiraient bien vite. Elle ouvrit son porte-monnaie et fit tomber tout le contenu du sac au sol. Elle fouilla :

« Bon alors… Sara Paxton… Sara ça fait bien pute. Même pas besoin de te trouver un pseudo. Ok… Ok… Ah merde t’es une clean ?! Ahahah ! Trop drôle. Rrrah ça va faire plaisir aux salopards ça ! Une sainte nitouche à violer, c’est sympa… »

Elle éplucha rapidement tous les documents, et trouva donc la chambre de la jeune fille et toutes les informations qui pourraient lui servir si jamais elle décidait de ne pas obéir ou de se planquer :

« Bon tu vois, pupute, t’as pas intérêt à essayer de te barrer, de prévenir la police ou encore le directeur… Premièrement parce que ce dernier est à l’hôpital, ben oui faut pas chercher les membres du groupe… Après on les trouve ! Ensuite parce que les flics on les égorgent à tour de bras… On te retrouvera ou que tu ailles ou alors on trouvera ta famille. Une sœur, un cousin ou une grand-mère… Alors maintenant je te conseille de ne pas bouger, c’est le meilleur moyen de pas trop souffrir… »

Shinya attrapa fermement le bras de la fille et ouvrit son couteau papillon. La lame s’enfonça dans la peau blanche de sa nouvelle employée et elle forma le sigle du clan comme elles avaient fait pour toutes les putes. Elles étaient « marquées » :

« Putain mais arrête de gueuler ! C’est mieux que le fer chaud ! Et pour marquer son territoire le boss aurait aussi pu te pisser dessus. Ah ta gueule ! »

Elle ne put s’empêcher de lui donner une gifle pour qu’elle se taise. Enfin elle la lâcha et s’apprêta à lui expliquer quand elle devrait prendre ses fonctions et où.

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Sara lui suivait tranquilement. Elle fut tout de même surprise lorsque la demoiselle lui prit le poignet et l'enmena fermement dans une impasse pas tres bien fréquantée. Elle commençait a avoir un peu peur. Une impasse mal fréquantée et àa ne surtout pas fréquentée, une fille assez bizzar, des gens autour d'elle et pas tres loin d'elle....quesque ça allait lui réserver. Lorsqu'elle fit plaqué contre le mur, ce fut la cerise sur le gateau, d'apres la fille devant elle, elle ne peut plus reculer....mais si...non, autant ne plus y penser. Elle écoutait les paroles de la fille, sinon, quesqu' il allait bien pouvoir se passer ??? Elle fut soulagée lorsque la fille se recula et l'enleva du mur, elle put respirer profondemment. La niponne lui avait prit ses clés et des informations au cas ou elle partirai je ne sais ou. Elle s'appuya sur le mur de l'impasse.. Elle se fit d'un coup relevé par la fille. Son coeur battait à 100 à l'heure. Elle vit la niponne sortir un couteau et l'approcher d'elle. Alors, comme un réflex, elle se mit à crier, crier le plus qu'elle pouvait mais sans résultat. La fille lui fit une marque sur le bras, la marque de son clan de putes. Mais avant, le fille lui donna une giffle assez forte pour qu'elle se taise un peu. Elle était sur le choc. Elle toucha a l'endroit de la blessure et du sang était sur ses doigts. Elle dit a la dmoiselle d'une vois tremblante:
-D'a...d'a..d'accord !

Elle avait du mal apres ce qu'elle venait de subir. Elle attendait les explications sur son nouveau boulot. Elle se rendait compté qu'elle était tres naïve.

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[elle a trouvé tn numero de chambre, elle n'y est pas allée! et le sigle c'est sur le bras qu'elle te l'a fait. rectifie et je posterais+ tard]

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[C'est bon !]

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Shinya commençait à se demander si cette cruche serait à la hauteur de son physique de rêve. Elle avait l’air tellement empotée qu’on se demandait si elle allait réussir à déboutonner le pantalon des clients qu’elle allait devoir satisfaire. Elle se mettait à bégayer avec un air de victime, bon c’était vrai que la nipponne venait un peu de la brutaliser mais il n’avait pas de quoi en faire une chiée de pendule.

Enervée par sa respiration apeurée, Shinya les plaça derrière la blonde et plaqua sa main contre la bouche de cette dernière avant de lui dire à l’oreille :

« Bon écoute, sale vierge, j’espère que tu vas jeter ce regard de chien battu et tes « d’a-d’a-d’acco-co-cord ». Tu vas devenir une vraie salope d’élevage. Les regards aguicheurs, un déhanché de pure provoc’, un coup de langue expert et une endurance de championne, ok ? »

Elle marqua une pause comme si la fille avait quelque chose à répondre alors qu’elle l’empêchait de s’exprimer puis continua :

« T’es dans la cour des grands, ma puce. Tu débarques dans le monde du travail, t’vas gagner ta vie mais surtout tu vas tenter de la garder ta sale vie de merde. Parce que si tu n’conviens pas aux clients, tu finis à la cave. Ton lieu de travail, c’est le Bar le Pacha. Tu t’feras pleins de copines là bas, des grognasses dans ton genre y en a à la pelle. »

La main de Shinya appuya un peu moins sur le visage de la fille et elle la prévint :

« Bon je te lâche mais redresse toi, cache ton bras avec ta veste, et tords bien du cul en t’en allant. Oublie pas ce que je t’ai dit, même si t’arrives par magie à nous foutre les flics au cul et même à nous faire enfermer, on a des amis qui violeront tes frères et sœurs, écartèleront ta grand mère, boufferont ton père et crameront ta mère. »

Sur ces jolies images, elle libera la fille de son étreinte. Elle garda la feuille d’inscription de la fille, elle s’en moquait que cette feuille soit un papier officiel. Les informations dont elle avait besoin étaient toutes dessus. Maintenant, la japonaise avait autre chose à faire, elle salua la blonde et en s’éloignant lui rappela :

« Salope attitude, oublie pas. A demain, au Pacha. J’suis gentille, t’as déjà une soirée de congé. Putain de privilégiée… »

[Bon j’suppose que le topic est fini]

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