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| Premier Jour Pour Shirley | |
| | Auteur | Message |
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Shirley Invité
| Sujet: Premier Jour Pour Shirley Mar 8 Mai - 21:12 | |
| Enfin ! le grand jour était arrivé, l'arrivée de Shirley a Harvard.
Elle en avait révé et re-rêver des années entière. S'évader aux Etats-Unis, retrouver ses racines américaines, échapper a des parents qui de toute facon n'étaient jamais la pour elle.
Quand elle fait le compte sur son adolescence, Shirley avait sans doute passé plus de temps avec la femme de ménage qu'avec sa mère, son père ? N'en parlons pas.
Désormais tout ca était derrière elle, vive l'indépendance.
Ne plus avoir a fréquenter les faux gosses de riches minable parisiens était également une perspective des plus réjouissante. Non pas qu'aux Etats-Unis ca serais différent, mais Shirley avait soif de nouvelles rencontre. Vut la sociétée très sélecte a laquelle elle appartient a 15 ans elle avait été amie ou ennemis de tout le monde et couché avec tout les garcons un temps soit peu intéressant.
Elle gara sa voiture dans le parking visiblement réserver a pas mal de privilégies, a en juger par les voitures de luxe garés la. Shirley elle aimait tout ce qui était TRES cher mais elle préférais l'originalitée, c'est pourquoi son choix s'était porté sur une Mitshubishi Evolution au lieu d'une Porshe. D'ailleur a regarder l'intérieur de la "petite" voiture, on pourrait facilement croire que le bolide était passé dans les mains de l'équipe de Pimp My Ride.
Elle sortit de la voiture en plaquant ses lunettes de soleil Dior sur ses yeux et en fermant le clapet de son téléphone pour mettre fin a une pseudo conversation banale. Elle regarda sa nouvelle FAC. C'était totallement impressionnant et Shirley comptais bien faire une entrée digne de ce nom.
Elle ferma donc sa voiture a clée et se dirigea tout droit vers l'entrée de ce magnifique édifice. La tête haute, les cheveux au vents et un sac a main Vuitton se balancant allegrement a sa droite...elle ignorais avec un malin plaisir les regards qui se tournais vers elle. Aujourd'hui la star c'était elle, et en jugé par sa démarche un peu poussée, elle s'y croiyait vraiment.
Elle monta les marche de l'escalier comme on montais les marche du palais royal un soir de bal et dans sa tête résonnait un morceau de Heavy Metal bien violent, dernière touche originale mais parfaite de ce tableau de compte de fée. Jusqu'a ce que...
"Ouch !"
Le pied de Shirley buta contre une marche un peu plus haute. Elle fit de grand efforts pour ne pas se ramasser comme un crépe mais il était impossible de nier l'évidence, elle vennait de se gameler dans les éscalier le premier jour
*c'est pas vrai c'est un vrai cauchemard*
Elle pouvait entendre quelque rires derrière elle mais elle n'y préta pas attention, elle se releva le plus rapidement possible et ses yeux se posèrent sur son portable qui avait été ejecter un peu plus haut. Elle tendis la mains pour le récupérer mais a ce moment la un pied se posa sur le téléphone.
Shirley leva la tête pour voir a qui elle avait a faire. Sa première rencontre a Harvard ne pouvais pas commencer plus mal.
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| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Mer 9 Mai - 17:27 | |
| En effet, sa journée commençait mal… Elle aurait pu tomber sur le calibre en dessous, ce genre de personne qui pense vous intimider en deux paroles glaciales, mais qui derrière, n’assuraient pas… Mais non, la malchance avait décidé de s’en prendre à Shirley aujourd’hui, pouvait-on encore parler de malchance ? Il fallait vraiment être infortuné pour tomber sur Bāndô. Pour une première rencontre, elle allait être gâtée…
Shirley put entendre le plus beau des silences après que le pied de l’inconnue se soit posé sur son téléphone : les rires s’étaient étouffés ; les universitaires préféraient rebrousser chemin à la seconde où Urushima intervint. Il fallait mieux raser les murs…
La nippone retira son pied et s’empara tranquillement du portable, le regardant un instant, avant de le glisser dans l’une des poches de sa veste. La Hottie put alors voir le visage de celle qui allait à l’évidence, lui pourrir la matinée… Cette adolescente était son antipode : une marginale aux allures revêches : un visage d’ange, un regard noir, première contradiction du personnage épineux qu’était la japonaise.
« Alors princesse, on se rétame sur les marches du palais ? Mauvais pour ta réputation ça, comment tu comptes choper après ça ? »
S’adressant à elle, un sourire en coin, elle la toisa, avant de la pousser du pied. Alors que Shirley devait dévaler les escaliers à vitesse grand V dans sa chute, Bāndô la suivit du regard, l’air moqueur.
« Sympa ta japonaise, tu me files les clés ? »
Mains dans les poches, elle la fixa froidement.
« Le problème avec les flambeurs, c’est votre indiscrétion… »
En effet, plus d’un avait remarqué la magnifique Mitsubishi de Shirley, à commencer par Bāndô. Cette dernière la rackettait ouvertement. Aujourd’hui, elle s’était levée tôt pour faire sa tournée ; la quête avait été bonne, car maintenant, elle n’avait plus besoin de montrer qu’elle avait tout les droits ici, on la connaissait…sauf les derniers arrivés, ces nouveaux découvrant encore l’université… |
| | | Shirley Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Jeu 10 Mai - 2:15 | |
| La brêve seconde que Shirley avait passé a imaginer le pire en ce qui concernais sa nouvelle rencontre vira au cauchemard total. A vrai dire elle s'attendais au pire des cas a tomber nez a nez avec la reine de son palais de compte de fée. Le genre de fille ultra populaire qui lui ferais perdre tout espoir de vie sociale a Harvard du fait qu'elle l'avais vut se rétamer dans les marches d'escalier. Et en fait au lieu de tomber sur une noble elle tomba sur un souillon sans scupule...le type de fille qui n'était admise a la cours que parceque les sujets avaient besoins de serviteurs mais qui ne l'entendais pas de cette oreille et aimait se rebeller allègrement.
Elle leva donc les yeux vers la jeune femme qui se trouvais devant elle et fut un peu surprise de voir une jeune fille dont la beautée était propotionnelle au venin qui pouvais sortir de sa bouche: une beautée en puissance déguisée en vrai mochetée de service. Shirley ne trouva aucun adjectif pour qualifiée la vision d'horreur qui s'offrais a elle...qu'elle était laide la pauvre, une vrai poupée barbie sur laquelle on a trop joué a la coiffeuse et qui finit avec des cheveux d'une matière sans nom. Mais si seulement cette asiatique qui pourrait etre belle se contentais de mots, non, ca n'était pas assé et elle poussa Shirley du pied, s'attendant visiblement a la voir dégringoler les marches...heureusement Shirley se ratrapa comme elle put et finit par se relever.
Elle réajusta ses vêtements et leva la tête vers sa si sympatique nouvelle amie en remettant ses cheveux en place d'un geste de la main comme savent si bien les jeunes filles comme elle. Elle fut un peu dégouter de voir son objet fétiche disparaitre dans la poche de cette boufonne mais après tout ce n'était qu'un portable.
Comment pouvais t'on faire preuve d'autant de méchancetée. Certes Shirley etait du genre a en exaspérer plus d'un mais elle n'avais jamais fait preuve de méchancetée gratuite. Elle s'en fichait bien qu'on l'aime ou pas, laisser donc la vivre se vie de gosse de riche et continuer de vivre la votre aussi minable soit elle.
"Je suis pas la pour "Choper"" Lanca Shirley a la jeune asiatique en insistant sur la citation pour lui montrer a quelle point elle était ridicule de cataloguer une fille DEJA cataloguée.
"Tu veux les clés de la Mistu ?" demanda elle en sortant les clé de son sac et en les tennant devant elle pour inciter la jeune fille a les prendres "Et ben prend les c'est pas comme si j'avais pas les moyens de me rachetter la même demain matin"
Elle éspérais qu'en fait elle ne les prendrais pas, comprennant que le chantage matériel n'était d'aucune utilitée.
Les filles comme shirley étaient réputées pour emmerder les gens, et les gens comme Bāndô répondaient en emmerdant les gens, qu'elle preuve d'intelligence franchement, dire qu'on était a Harvard.
"Quand au téléphone si t'as vraiment pas les moyens je t'en achette un si tu veux, a moins que ce soit vraiment par pure débilitée profonde et inconciente que tu veuille utiliser le miens."
En effet le Motorola RARZ de Shirley était une édition limitée signée Dolce Gabanna, agrémenté de strass et gravé du surnom de "Shu" sur le clapet. Maintenant qu'elle y pensait, c'était totalement atroce et elle doutais vraiment que ce soit le genre de gadget electronique qui plaisaient a Bāndô, a moins qu'elle décide de le revendre pour s'achetter une conduite moins surfaite et pathétique. |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Jeu 10 Mai - 12:36 | |
| Qu’il était lassant de s’imposer… Bāndô regarda un instant le plafond, bénissant la légalisation des armes aux USA. Oui mais voilà, on pouvait abattre à tour de bras dans ce pays mais les flics étaient partout… Et ce n’était pas le moment de se faire remarquer… Le contraste du personnage éclata aux yeux de Shirley ; on pouvait se dire qu’Urushima était un beau gâchis : cette fille, qui n’était pas non plus sensationnelle, aurait pu être tout autre et attirer alors, le regard lubrique des hommes. Mais il n’en était rien ; la percée tatouée effrayait plus qu’elle ne charmait… La Hottie constata le désastre ; elle serait d’autant plus surprise si elle aurait su qu’au naturel, Bāndô était une blonde aux yeux bleus… Mais elle avait tout fait pour le cacher, qu’on ne soupçonne pas son métissage. Ainsi on croyait qu’elle état décolorée et ses lentilles noisettes masquait la réelle couleur de ses yeux… Curieux personnage…
Shirley manqua de tomber mais, assez adroite, elle se releva sans peine. La dite « méchanceté » de la nippone exaspéra l’américaine, qui était bien décidée à ne pas se laisser marcher sur les pieds. Bāndô n’était pas à proprement dit fielleuse ; au fond, elle était une personne cordiale…mais régentée par ses humeurs qui faisait de la japonaise, une exécrable langue de vipère. Finlane pensait sûrement mener une vie tranquille au sein de cette université de bonne réputation, mais voilà, au-delà des différents « clans », naquit des gangs, beaucoup plus dangereux que ces adolescents en mal de vivre, Gammas car soucieux de se différencier des autres. Urushima ne mangeait pas de ce pain là… Elle n’était pas prête à laisser Shirley en paix, ce que cette dernière allait vite comprendre… La Hottie se défendit, tonnant d’être ici pour ses études, et non pas pour gonfler sa liste d’amants d’un soir, ce qui fit sourire Bāndô.
« Pourtant c’est écrit sur ta gueule, Barbie-poufiasse… »
La nippone soupira, hochant paresseusement la tête : il était mauvais pour Shirley de la provoquer…
« Tu peux faire ça avec les écarteuses de cuisses de chez les Gammas, mais vaut mieux pas que tu t’amuses à ça avec moi… J’ai pas de temps à perdre, j’ai encore l’aile Sud à faire… »
De plus, la demoiselle annonça clairement qu’elle était riche, et pas qu’un peu… Mauvais plan. Bāndô ne raquettait pas ses victimes pour son intérêt personnel : elle renflouait les caisses de son boss, et lorsque le patron s’invitait dans sa vie, elle ne pensait qu’au petit confort de ce dernier… Elle se fichait de vivre dans le luxe, ça ne l’intéressait pas ; c’est ce qui la différenciait de Shinya. Urushima se contentait de peu, ce qui la faisait vivre, c’était la violence dans laquelle elle baignait chaque jour grâce à son boss, Andrew… Shirley pensait avoir à faire avec une simple joueuse qui lâchait le morceau après sa crise de supériorité. Mais ça n’allait pas se passer ainsi… Et pour un premier jour, la Hottie faisait fort. Lorsqu’elle fit l’américaine sur-riche, proposant à la japonaise de lui offrir un portable, Bāndô soupira à nouveau… Ces gosses d’aristo, qu’ils étaient ennuyeux… Lasse, elle lui fit l’état des choses.
« C’est pas moi qui s’occupe de ça… Je me contente juste de taper dans le porte monnaie pour que la thune sorte… Après, ils le revendent, et comme j’te dis, c’est pas mon affaire… « ça » leur est utile »
Montrant son poing droit, couvert d’une mitaine cloutée ensanglantée, elle lui fit comprendre quelle place elle tenait dans le gang. Supposé gang car elle n’en dit pas un mot de plus. Ainsi, portables, voitures, bijoux, tout revenait à la nippone qui s’en débarrassait à l’entrepôt. Elle ne piocherait pas d’items pour son usage personnel, elle se fichait bien d’avoir le dernier portable à la mode… Profondément lassée de la tournure des choses qui ressemblait trop à ses échanges avec les nouveaux de l’université, Bāndô décida de ne pas passer pas quatre chemins : s’avançant vers Shirley, elle s’empara des clés du bolide et du sac de la demoiselle. Fouillant dedans, elle y sortit un portefeuille remplit de carte de crédit qu’elle enfouit dans ses poches.
« Faudra que tu me donnes le code… »
Mais alors qu’elle leva les yeux vers Shirley, Urushima haussa un sourcil. Jetant le sac, elle s’approcha davantage de l’américaine pour lui faire face et la dévisager, comme on reluque une marchandise avant de l’acheter, ce qui était presque le cas…
« Ey…Attends… T’as une face plus que potable… ça non plus c’est pas mon boulot mais si je peux faire des heures supp’ »
Shirley ne devait rien y comprendre, pourtant, dans l’esprit de Bāndô, tout était clair : la Hottie était d’une certaine beauté, qui lui serait bien utile au bordel de son boss. Normalement, c’était Shinya qui s’occupait d’enrôler les miss univers de l’université dans le trafic de prostitution qu’Andrew faisait tourner. Mais si elle pouvait lui ramener une recrue…
« Pas mal, pas mal… Tu vas commencer par me filer ta thune, pas le demi-million que t’as sur toi, - tu seras obligé de faire la monnaie d’un billet de 100 pour te prendre une bouteille de Taillefine au distributeur- mais la petite fortune que tu caches dans ta bourse de juif, chez ton daron… Garde en un peu comme même, pour pas que ça paraisse louche, j’veux pas d’emmerde… Mais ma grande, je crois qu’on va devoir pousser les présentations… »
Son regard mauvais ne disait rien de bon…
« T’y vois pas d’inconvénient à ce que je commence… ? Moi, j’suis ton banquier… Mais ça va pas te plaire, et tu vas te sentir obliger d’aboyer comme un roquet… Alors on va faire les choses bien pour que tu te la fermes… »
Fixant, hostile, la Hottie, Bāndô lui asséna un violent coup de poing au ventre… |
| | | Shirley Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Jeu 10 Mai - 15:41 | |
| Avant qu'elle ne put le voir arriver Shirleu se prit un violent coup de poing dans le ventre ce qui la forca a plier genoux a terre devant son agresseuse...oui, c'était bien une agression que Shirley était en train de vivre et malheureusement il n'y avait plus personne autour d'elle pour lui venir en aide. De toute facon elle faisait assé pitiée comme ca, pas la peine d'en rajouter une couche en se faisant secourir par le premier ringard de passage.
Shirley se tennait le ventre mais constata qu'elle ne sentais même pas la douleur, occulté par la rage qu'elle avait a l'encontre de Bāndô.
Elle compris vite que ca ne servirais a rien d'essayer de l'amadouer. C'est possible que Shirley est éspérer une seconde pouvoir calmer le jeu pour venir en aide a cette jeune femme visiblement paumée, mais devant un comportement aussi odieu elle n'arriverais a rien, autant abandonner...mais touché ne voulais pas dire coulée.
Shirley se releva comme elle put et refit face a Bāndô ignorant le cran d'arret cloutée que l'asatique portait au point, certainement prête a lui éclater la gueule...et en plus elle la prennait pour une conne.
"C'est bien ce que je craignait éspece de salle petite larbine" répondit elle en faisant allusion au fait que si Bāndô songeait a faire de Shirley une prosituée, c'est parceque Bāndô était elle même trop conne et laide pour servir a autre chose qu'a un sale clébard enragé pret a foncé sur tout ce qui bouge tant elle était dépourvut d'éducation. Etait-elle au moins humaine ? c'était vraiment a se poser la question...
"Oublie la carte de crédit elle sera invalidée dans moins d'une heure si tu la gardes avec toi, jte fait un chêque ?"
Shirley osa arracher son sac des mains de Bāndô, sans doute un courage dicter par un instinct de survie décuplé face a une situation sans issues telle que celle la, fouilla dedans pour sortir un carnet de chèque et un stylo.
Pendant qu'elle grifonnait dessus elle parla une dernière fois...peut être la dernière fois de sa vie d'ailleurs.
"Apparement c'est toi qui fait les règles du jeu mais pour une fois on inverse les rôles. Soit tu me finit définitivement maintenant, soit tu me laisse partir en sachant que tu n'auras plus jamais quoi que ce soit vennant de ma part"
Elle arracha le cheque de son carnet et le balanca au pied de Bāndô en même temps que son sac et tout ce qu'elle avait sur elle. Sauf le reste du carnet de cheque qu'elle prit soins de déchirer en deux. Le chèque était signé d'un montant de 7500 dollars, un mois d'argent de poche pour Shirley...elle s'en fichait tellement elle avait pitiée de son tortionnaire qui se prennait pour un ninja d'elite ou quelque chose dans ce goût la...ca aurait put etre tordant de rire quand on savait que plus de la moitiée de la fortune de la famille de Shirley avait été établie grace a des accords pas très catholiques, mais ca, Bāndô l'ignorait elle elle pouvait très bien faire l'erreur du buter une fille de mafieu.
"J'ai pas mis d'ordre au chêque tu te débrouilles avec ton Boss. Si tu veux plus reviens me voir quand t'aura prit les commandes de ta vie, je traite directement avec mes créanciers, pas avec les psychopates écervelés qui leur servent de boniches."
A partir de la, Shirley implora mentalement a toute puissance supérieure capable de l'entendre de ne pas la laisser mourir si jeune. |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Jeu 10 Mai - 16:47 | |
| Shirley pouvait appeler à l’aide tant qu’elle voulait, personne n’irait se mêler d’un différent opposant une nouvelle dont on pouvait bien se passer et Bāndô, reine du crime. Mais ce n’était pas le style de la demoiselle : la Hottie s’avérait vaillante, mais profondément naïve, pour croire un instant que la nippone pouvait être sauvée du mal auquel elle aspirait… Urushima l’avait « touché », et c’est avec un malin plaisir qu’elle la « coulerais », avec en prime l’humiliation si il lui venait une de ses idées sordides qu faisait d’elle la tortionnaire créative qu’elle était. Shirley se trompait ; Bāndô ne la prenait pas pour une conne, mais pour de la marchandise, légère nuance qui faisait malgré tout la différence. « Sale petite larbine »… Pourquoi pas, bien que le féminin du dernier mot était inexistant des pages du dictionnaire. Amusée par ces injures médiocres, la nippone lui fit un salut militaire, bien que la rigueur n’y était pas.
« A ton service… »
En effet, Bāndô n’était pas faites pour la prostitution ; avant qu’elle soit consommable, il faudrait peut-être lui dégrafer sa bonne vingtaine de piercings qui jonchait son corps, et faire l’impossible dékarscherisation de sa peau couverte de maintes tatouages… Aussi Shirley voyait juste sur l’éducation du personnage ; Urushima n’en avait pas reçu… Ah… Si… Peut-être… la violence d’un géniteur abject était-elle une forme de pédagogie ? « Dressage » était plus approprié, et en effet, la Hottie pouvait parler de « sale clébard enragé » pour désigner la blonde. Ces petits pics avaient amusés Bāndô en un premier temps, mais maintenant, elle commençait vraiment à trouver cette gosse, franchement insupportable. Surtout que celle-ci s’évertuait à prendre son agresseur pour une buse. Shirley lui arracha le sac des mains : ce n’était plus du courage mais de l’inconscience… Inconscience non justifiée, car fille de mafioso ou non, cela importait peu pour la kamikaze qui se tenait en face d’elle. Urushima n’avait pas hésité à se mettre à dos toute une institution, en s’attaquant au directeur de l’université : elle avait la police de Cambridge à ses trousses, alors elle ne s’arrêterait pas à un gang, aussi important soit-il. Bon… fallait-il la faire taire définitivement, cette gamine trop gâtée, ou allait-elle intégrer le trafic ? Andrew serait ravi qu’on gonfle les rangs… Bāndô réfléchit un instant –il fallait oser croire que ça lui arrivait- levant les yeux aux ciels. Le corps de Shirley vint s’écraser lourdement contre le mur d’en face : la nippone la tenait par le cou, son visage n’était plus qu’a quelque centimètres de celui de sa victime.
« Tu me prend pour une conne ou quoi ? Traînée… Il va falloir te dresser… Un bon point pour toi : t’as callé qui était le boss ici, mais t’as pas le sens de la hiérarchie on dirait, laisse moi te remettre les idées en place… »
Un bruit sec se fit entendre : Bāndô dégaina sa lame, qu’elle fit courir le long du corps de sa victime, pour la glisser jusqu’au coin de l’œil bleu de la Hottie.
« T’es qu’une marchandise ici, rien de plus. Si je décide de te faire vivre un Enfer, crois moi, t’auras de mes nouvelles… Mais t’as d’la gueule, j’avoue, tu manques pas de caractère, est ce que ça vaut pour le pieu aussi ? Tu pourrais nous ramener un paquet de fric, à commencer par le tien, alors tu m’amèneras du liquide demain. Je veux 1 000 000, pour commencer… Si t’as pas assez, tu sais ce qui te reste à faire pour gagner des thunes rapidement et …facilement, du moins j’en doute, tu dois avoir de l’expérience. Mais mon petit doigt me dit que t’auras pas besoin d’écarter les cuisses, tu dois être comme tous ces étudiants thunés jusqu'à la moelle… Alors me prend par pour une idiote. Et si t’es pas là demain, crois bien que ta vie et celle de tes proches, est finie… J’offre les fleurs avec le caveau familial… »
Son étreinte se resserrait : elle manquait d’étrangler Shirley. L’envie la démangeait de lui tordre le cou, comme elle avait fait pour cette policière, désormais six pieds sous terre. |
| | | Shirley Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Jeu 10 Mai - 17:12 | |
| Et oui il y a des jours comme ca ou on regrette de s'être levé. Tout d'un coup la perspective d'être loin du cocon parisien ne fut pas aussi attrayant qu'il l'avait été quelques minutes plus tôt mais qu'importe, puisqu'elle ne pouvais que subir la situation autant essayer de survivre ce qui a vrai dire était de plus en plus mal barré.
Il n'empêche que Shirley ce doutais qu'elle n'étais pas la première ni dernière victime de Bāndô et a en juger par l'incroyable confiance en elle de la jeune asiatique, pas beaucoup de gens devait lui tenir tête.
Mais lâcher un peu de leste ne voulais pas dire pour autant capituler. Sachant très bien que Bāndô se retrouverais dans une merde monumentale si il arrivait quoi que ce soit a Shirley, cette dernière regagna un peu d'espoir, a pret tout la seule personne qui devait avoir un minimum d'influence sur elle ca devait être son boss, et en regardant la réalitée en face, Bāndô pas plus que Shirley n'avais de valeur aux yeux de la pègre. Sauf que t'attirer les ennuis pour avoir buter une petasse blonde sans cervelle insignifiante ne faisait pas bon genre dans ce milieu.
Shirley réprima l'envit de lui dire qu'elle prennait vraiment ses désirs pour des réalité mais elle préféra tenter de souffler un "lache moi" entre deux bouffées d'air qui se faisaient de plus en plus rare. Mais Bāndô ne la tuerais pas, elle devais être trop heureuse d'ravoir trouver un pigeon comme Shirley. Mais la pauvre fille ne verrais jamais la couleur de sa thune, a moins que.
Quand elle lacha un peu son emprise Shirley en profita pour se relever une fois de plus...1 000 000, il y avait facilement de quoi être morte de rire. "demain ou et a quelle heure ?" demanda Shirle feignant la subordination. A pret tout elles n'avaient pas que ca a faire de s'éterniser dans les marches d'escalier. Shirley devait survire et Bāndô finir on taf minable dans l'aile sud comme elle l'avais si bien préscisé
Oui demain Shirley aurait l'argent, et elle le remettrais a Bāndô, sauf que cette transaction passant entre les mains des deux jeunes fille serais la matérialisation d'un accord entre Finlane Sénior et le boss de cette malfrate qu'il saurait retrouver. On pouvait toujours trouver un moyen de s'arranger...le Boss de Bāndô aurait surement un intéret obscur a protéger Shirley en demanda a sa clébarde de ne pas l'approcher a plus de 10 mètres. Son père ne possédais pas que des immeubles, puis de pétrole, mines de diamants et un certain monople dans le trafic de tout et n'importe quoi faisait parti de ses attributions.
En tout cas il y avait plus qu'a passer un coup de fil au "daron" et attendre. Shirley étant maintenant persuadée que sa vie ne tennait plus qu'au fil de l'espoir d'une entente cordiale bien que risquée...
[H.J: désolée pour la pauvre réponse, ma gratte électrique réclame ses 4h de pratique...et assasine pas mon perso pendant ce temps hein ] |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: Premier Jour Pour Shirley Jeu 10 Mai - 17:49 | |
| [Hj : Meuh nan je peux pas tuer vos persos : ) Sinon pas de soucis pour ton post, il est bien, si je suis venue squatter c’est que je me doutais que tu faisais du bon rp, t’inquiète : )]
En effet Shirley était sur la liste, longue liste, des victimes de Bāndô, qu’elle ne comptait plus désormais. Les dernières en date étaient Jean, Logan, Brian, Wendy et Henri… Les personnes qui lui avaient tenus tête se comptaient sur les doigts de la main… A commencé par Nathanaëlle, qui se sauva en invoquant sa grande érudition, dont elle fit part à la nippone. La française avait évité la mort en tâchant tout simplement de comprendre la psychologie de son agresseur. Shuuji, lui, n’avait pas le pied dans la tombe grâce à ses origines : Urushima ne levait pas la main sur les nippons, mais il ne fallait pas tirer sur la corde non plus. On pouvait dire qu’elle avait fait son chemin dans cette université… Elle s’était forgée une réputation, mais il fallait sans cesse remonter les bretelles des nouveaux, non informés qu’un cerbère hantait les lieux.
Si Bāndô avait su qu’elle brutalisait une bombe à retardement, qui lui exploserait à la figure si elle continuait à la maltraiter, cela n’aurait rien changé pour elle. Cette adolescente perdue, sans réel autre but dans sa vie que de servir son boss, vivait de violence ; prendre des risques était son quotidien, alors autant pimenter son existence. Après tout, elle en avait assez des loques, et s’attaquer à du gros calibre ne ferait que la satisfaire.... Là où se trompait Shirley –à nouveau- était dans l’importance que lui accordait son patron. Il avait mis la main sur le diable… Du moins, l’un de ses rejetons… Andrew se réjouissait d’avoir pareil bras droit à ses côtés : sa force de persuasion et son efficacité sur le terrain faisait d’elle un élément dont il ne pouvait plus se passer. A vrai dire, si elle venait à mourir, la remplacer serait difficile… Alors si la Hottie n’était qu’un prétexte à aller trucider un clan adverse, la mort de la gamma serait une lourde perte. Encore fallait-il savoir s’en débarrasser, et tout le monde ici savait que c’était une rude paire de manche…
Aussi, « l’entente cordiale » qu’elle espérait n’arriverait sans doute jamais. Andrew était un requin, il dévorait l’autrui pour régner, ce n’était pas dans son style de s’enticher d’alliances fragiles.
« Minuit,…ils repassent Casino… »
La séance sera presque achevée et la transaction pourra donc se passer comme elle l’entendait. Pour le moment, Bāndô ne se doutait pas qu’elle mettait le pied dans une guêpière mais cela l’aurait sûrement enchantée… Elle la relâcha, la laissant tomber à terre.
« J’te saigne si tu me fausses compagnie, princesse… »
Urushima signa cette rencontre d’un coup de poing qu’elle envoya droit au visage de Shirley
« Soit pas en retard… »
Sur ce, elle tourna les talons et alla continuer sa quête… |
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