Une graine de fleure se fit emporter par le vent qui faisait rage sur la ville de Cambridge. Celle-ci voyagea jusqu’à ce qu’elle atteigne un grand terrain verdoyant d’où plusieurs êtres y circulaient. Parmi eu se tenait une jeune asiatique au teint basané et au goût vestimentaire hors de tous. Étendu sur le ventre dans l’herbe fraîche, Vaulis améliorait son dernier remix. Ses doigts, d’où de longs ongles blancs tachés de noir y étaient collés, allait à une vitesse ahurissante sur le clavier, passant de la sourit aux touches. Ses lèvres rosées d’un simple naturel se faisait mordiller par ses dents blanches. Étant dans sa bulle, tout le reste n’existait nullement pour elle, seule le bruit que ses minuscule speaker rejetait était présent dans les sons ambiant.
Ses cheveux mandarine était placé vers l’avant, pendant jusqu’au gazon. Ceux-ci étaient coiffés d’un chapeau noir avec de petites rayures blanches dessus. Son corps portait un simple chandail qui ne lui cachait que la poitrine et ses bras, étant aussi orné d’un capuchon. Pour cacher son ventre, elle avait mit une camisole blanche en dessous. Ses fesses bougeaient au rythme de la musique. Elles étaient cachées par une petite jupe noire et ses pieds réchauffer par des espadrilles blanches et noirs, style vieillot.
Vaulis commençait à perdre le contrôle de soit même. Il manquait toujours ce petite quelque chose à cette chanson pour qu’elle soit finie. Elle aurait bien voulut la terminer avant que l’homme qu’elle avait rencontré sur le net n’arrive. Elle espérait aussi que celui-ci se pointe le bout du nez. Lili n’avait pas mit sa totalité de confiance en cet homme, bien qu’il lui en faille beaucoup pour qu’elle le qualifie d’homme de confiance. Ce n’était pas à cause qu’il était ce qu’il était, mais plutôt parce qu’elle est comme cela avec tous ou presque. Enfin, elle est trop méfiante envers des personnes qui les attires plus ou mois dans le premier regard. Il ne fallait pas prendre l’exemple de l’homme dont elle se méfit, car elle ne l’avait jamais vue. Elle ne savait pas s’il serait un grand prince charmant ou bien un de ces marchants de ruelles.
C’est en essayant de ce calmer et de respirer à nouveau car elle en avait plein son casque de cet musique qui n’en finissait pas. De plus, la chaleur commençait à l’assommer à cause de ses vêtements noirs et de ses rayons de soleil meurtrier. Elle mit son visage dans ses mains décourager et se frotta la figure et les yeux. Elle sentit donc une fraîcheur au niveau des pieds qui bientôt l’immergea complètement. Elle se retourna et vit un homme qui semblait grand de cette basse vue.