-Kate Benninghton-

Invité

Carte Etudiant:[color:a1fc=#006600:a1fc]

Nom:

BENNINGHTON
Prénom:

Katie, Jersey
Surnom (facultatif):

Tout le monde l’appelle Kate. Sa famille l’appelle « Iris » en comparaison avec la fleur sauvage. A chacun ses préférences.
Age:

19 ans.
Lieu de naissance :

Amérique – Louisiane- Baton rouge.
Campus (α: Alpha // β : Bêta // δ : Delta // γ : Gamma // θ : Thêta) :

Kate est une Gamma aux tendance Clean. On vous assure que ça existe. Malheureusement pour vous V-V.
Année scolaire (1ère,2ème) :

Première année
Moyenne Scolaire : 71/100 (avec beaucoup d'effort, sinon celà tourne plus vers les 59.)

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Apparences Physique:

Allure (visage et corps) (5 lignes minimum):

De taille moyenne, Kate est assez longiligne. Petite, elle complexait beaucoup par rapport à sa « petite » taille comme elle se le répète. En effet, généralement, elle doit lever la tête pour regarder les gens, ce qui l’énerve passablement. Elle ne s’y fait pas. Les talons ? Peu pour elle. Sauf quand elle joue un jeu, et encore… Avec sa peau claire et ses longs cheveux blonds, on prend souvent cette jeune fille pour une fille du Nord. Que nenni, elle vient bien du Sud, du Sud de l’Amérique même. Mais il est vrai que Kate ne bronze généralement pas ou alors rarement. Comme nous l’avons dit plus haut, de longs cheveux fins tombent en cascade sur ses épaules de la couleur de blé. En réalité, aimant jouer avec les stéréotypes et les démanteler, Kate a décidé de ne pas changer sa couleur de cheveux. Point en plus à démontrer. Traiter la de « Blonde » pour voir. N’aimant guère les coiffer, elle les laisse généralement détachés, seulement peigner pour éviter des nœuds et de devoir ainsi les couper plus tard. Une petite frimousse constamment fermée qui n’affiche que peu de sourires directs envers une personne, un petit nez en trompette et de fines lèvres, le tout mixé avec une peau où traînent quelques tâches de rousseurs discrètes et voilà le résultat.

Style de vêtements (5 lignes minimum):

Jamais, au grand jamais, vous ne verrez Kate avec des vêtements hors de prix. Tout simplement car il ne s’agit guère de son budget. N’ayant cependant guère de style, Kate est plutôt adepte des jeans –larges ou non- et de toutes les couleurs foncés. Tops simples blanc, gris, noir ou alors de couleurs, ses derniers restent pour la plupart assez simples avec ni un col de moine, ni un décolleté trop plongeant. Lorsque le temps ne s’y prête pas, c’est avec plaisir que Kate arbore soit un long, soit un court –suivant les saisons- manteaux de cuir marron beige, noire ou vert foncé. En été, une paire de soleil noire accompagne le tout tandis qu’en hiver, il s’agit plus d’une écharpe de la même couleur. Ainsi, on peut dire que Kate s’habille ordinairement… ne cherchant sûrement pas à se faire remarquer par ses vêtements. Ce ne sont que des bouts de tissus après tout. Rien de plus, rien de moins. Une grosse chaîne en argent orne son coup avec en pendentif une larme cristallisée. Seul bijou avec une montre, une fine bague en argent toute simplement au petit doigt (auriculaire, non ? Sait plus ><) et une chaîne du même style en bracelet qu’elle ne porte et encore… Il lui arrive de les oublier. Sauf la bague. Vieux souvenir du lycée comme ancré en elle puisque la bague refuse de quitter son doigt, comme si elle était coincée.

Autres (piercings, tatouages, autre ...):

Seulement deux trous aux oreilles dont un s’est rebouché avec le temps. Et un petit diamant en haut de l’oreille, dans le recoin du lobe. Rien de bien extravaguant pour l’instant.

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Psychologie & Personnalité:

Caractère, mentalité (10 lignes minimum):

Trop téméraire, trop courageuse, trop têtue, marginale et ce côté rebelle qu’elle possède la font paniquer si elle n’arrive pas à se contrôler. En effet, qui aime perdre le contrôle de soi et ainsi de la situation. Personne. Kate moins que quiconque. Sûrement moins d’ailleurs. Et pourtant, cela lui arrivait constamment au lycée. Un petit mot de trop, un regard de travers et t’étais déjà sur la liste noire. En réalité, cela ne servirait à rien de parler de liste noire vu qu’il s’y trouve la plupart des personnes que la jeune fille rencontrait. Sauvage au possible, elle ne laisse guère de monde entrer dans son cercle d’amis proches voire mêmes lointains. Cela la fait un peu passer pour une solitaire. Une marginale solitaire. Bah que cela ne tient. Pourquoi devrait-elle donc tout faire comme les autres et surtout comme ses gosses de riches ? Car oui, ce que la jeune fille hait le plus serait sûrement cet air que se donne les gosses de riches. Trop hautains. Trop perfides. Trop mesquins. Ils ne disent jamais ce qu’ils pensent réellement. Ils sont faux, fourbes… Bref. Pas besoin de faire un dessin. Si Kate n’aime guère ses personnes, se serait plutôt parce qu’elle en a souffert petite mais cela : elle préfère le garder pour elle. Sûrement trop orgueilleuse pour l’avouer. Impulsive, elle peut brusquement changer de direction mais à tendance à être fidèle dans ses paroles et ne trahira jamais sa parole. Elle y attache beaucoup d’importance. Curieuse, Kate a tendance à foncer sur ce qui attire son attention sans se soucier d’autre chose. Un peu trop curieuse et inconsciente. Têtue, elle en démords que rarement. Rêveuse, il lui arrive de se perdre dans un monde imaginaire et de n’en sortir qu’avec de longues, longues minutes… et de forts cris poussés par autrui. Autant vous le dire, si on la tire trop vivement de ses contemplations ou alors de son réveil, elle est de fâcheuse humeur. D’ailleurs, quand est-ce qu’elle n’est pas de fâcheuse humeur ? Aimant jouer avec les mots et les situations, Kate n’en démordra pas jusqu’à avoir le dernier mot et ainsi remporter la partie. « La vie est un jeu en dehors d’être une p***. » Persévérante, Kate jouera avec une personne jusqu’à ce que celle-ci s’épuise complètement, vidé de ses forces et surtout de son intellectuel et moral. Avec le temps, elle apprit à être plus contrôlée mais ce n’est pas pour autant qu’elle n’a pas la main leste. Un coup de poing est si rapidement donné.

Défauts (5 lignes minimum):

Ainsi, comme nous l’avons vu plus haut, il serait difficile de percer la personnalité de Kate sans voir au moins l’un de ses défauts. Ils sont tellement nombreux. Et en même temps, qui n’a pas de défaut ? Têtue comme un bourrique, orgueilleuse, fière, impulsive, inconsciente par moments, légèrement jalouse et possessive, horriblement sauvage, marginale et rebelle dans ses manières… Rien de bien réjouissant lorsqu’on la regarde sous cet angle. Et pourtant. Elle existe bien. Bien entendu, la plupart de ses défauts lui portent préjudice avec le temps… mais elle s’en fiche. Allez savoir si c’est un défaut ou une qualité mais Kate serait un peu Je-m’en-foutisme des autres. Pourquoi ? Mais parce que les autres s’en foutent de moi voyons. Dans ses conditions, pourquoi devrait-elle se préoccuper de ceux-ci ? Hein ? Le côté « bagarreur » et fumeuse invétérée devrait sans nul doute rentrer dans ses catégories.

Qualités (5 lignes minimum):

Des qualités ? Grand Dieu, il va falloir parler de qualités. Comment va-t-elle s’en sortir ? Aucune ? On ne vous le permet pas, Kate en possède même si elles se trouvent cachées au fond d’elle-même. Persévérante, elle n’en démordra pas jusqu’à ce qu’elle est atteinte son objectif. Sûrement de l’ambition. Curieuse, cela aide grandement la jeune fille dans ses études afin d’avancer et de continuer. La franchise pourrait aussi entrer dans ses qualités, vu qu’elle n’a pas peur de mâcher ses mots… peut-être même un peu trop ce qui pourrait revenir à retourner dans les défauts. Malgré tout cela, les autres motivations qui poussent la jeune fille à poursuivre à Harvard seraient un cœur en or bien caché sous cette épaisse fourrure de chat sauvage dont personne n’en connaît l’existence. Loyale, elle ne laisse tomber aucune personne qui lui est proche ou cher, si tant bien est que celle-ci arrive à s’y hisser. De même, Kate ne reviendra jamais sur sa parole. Un pari est un pari. Une parole est une parole. Et autant vous le dire : elle a la tête dure et une mémoire d’éléphant par moment. (Alternant avec celle de poisson lorsque ça l’arrange xD).

Goûts:
Aime (3 lignes minimum):

Ce que Kate aime ? En quoi cela vous regarde ? Bien, vu que c’est dans le règlement. Soit, allons-y. Hum… Tout d’abord sa famille bien qu’elle ne le montre absolument pas. Elle a le droit de critiquer sa famille, vous Non ! La cigarette ferait également parti de cette catégorie bien qu’elle n’ait encore jamais touché à la coke –malgré toutes les mauvaises langues qui parlent-. Le silence, la mer et le vent réunit, voici de bonnes conditions pour que la bonne humeur de la jeune fille n’arrive à percer ses noirceurs habituelles. Kate aime également tout ce qui se rapporte au danger et à cette montée d’adrénaline que l’on ressent alors. Le danger, la vitesse… se rapportant ainsi aux voitures et aux motos. D’ailleurs, elle économise afin de pouvoir passer son permis moto en plus du permis voiture.

Aime pas (3 lignes minimum):

Ce que Kate n’aime pas ? Hum, voyons voir. Les prétentieux qu’elle s’amuse à rabattre. Ca c’est déjà un point. Les petits gosses de riches qui pensent arriver à tout grâce à l’argent de papa ou maman. Ca c’est un énorme point. Etre enfermé fait également parti du lot. Tout comme le fait de devoir revenir chez elle au moins une fois par an. A chaque fois, elle a le droit au dîner de famille qui s’éternise et dont on ne fait que radoter le temps où elle s’amuse à traîner le soir afin d’aller brûler une ou deux voitures ou alors à faire des virées de moto.

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Invité

Biographie:

Histoire (10 lignes minimum):

Comment Kate s’est-elle retrouvée à Harvard ? Beaucoup de ses proches (donc la famille et anciens amis ayant des nouvelles d’elle tout les trente-quatre du mois ou alors par autrui) se pose cette question. Quand on voit Kate, on se dit qu’elle finirait bien par travailler après le lycée, voire même pire. Non pas parce qu’elle n’en a rien à faire des études – bien que se soit l’image qu’elle se donne- mais bel et bien parce qu’elle refuse de se laisser marcher sur les pieds et peut alors devenir plus que perfide. Impensable. Inimaginable. Et pourtant véridique. Son admission est simplement due à un défi. Stupide défi d’ailleurs. Un stupide pari. Un pari vous change une vie. Vous ne le croyez pas ? Regardez donc l’histoire de cette petite banlieusarde qui monte dans l’une des écoles les plus prestigieuses d’Amérique.

Née lors d’une chaude soirée d’été, Kate vit le jour à Baton-Rouge, l’Etat-capitale de la Louisiane, cher Etat dans le cœur de ses parents. Petite dernière d’une famille d’agriculteurs, rien ne destinait la jeune fille, haute comme trois pommes à entrer dans l’une des écoles d’Elite du pays. Et pourtant, l’avenir est vraiment incertain. Boute-en-train, têtue, coriace et fière, Katie – de son vrai nom- ne tenait pas en place et faisait tourner ses parents en bourrique. Toujours en train de la chercher dans leur ferme, ils finirent par la confier à son grand frère, Andrew. Le pauvre. Lui aussi ne manqua pas de perdre la boule. N’aimant guère les ordres et les consignes qu’on lui laisse, Katie en a toujours fait à sa tête. Toujours. A croire qu’il s’agissait d’un jeu. Petite, oui. Lorsqu’elle grandit, cela devint plus une ligne de conduite, une boue de survie. Rapidement, la petite Katie entra à l’école primaire, avec les autres élèves de Baton-Rouge et de sa banlieue. Provenant de la banlieue, Katie eut droit à plusieurs contacts difficiles avec les autres. On se moquait alors de la situation de ses parents et du fait que sa mère était malade. Les gamins. Toujours méchants entre eux. A croire que se sont eux les langues de vipère du monde entier. Sales gosses. De lors, la personnalité de la petite ne fit qu’empirer. C’est à son entrée au collège –durant la dernière année avant son entrée au lycée- que Katie mit son poing dans la figure d’une autre personne. Lorsque le vin est tiré, il ne reste plus qu’à le boire. Ses sales mioches l’avaient cherché : aujourd’hui, ils la trouvaient. N’ayant pas forcément de bonnes fréquentations, il s’agissait plus d’une image que la jeune fille se donnait. Peut-être afin d’avoir la paix. Dans tous les cas, cette image influença sur sa vision et son caractère contre sa volonté. On change tous avec le temps.

Lors de son admission au lycée, s’en était fini de la petite fille innocente, gentille et solidaire. Kate – prénom qu’elle imposait à tous au lieu de Katie qui faisait trop « petite fille »- venait de faire son éclosion. La crise d’adolescence ? C’est ce que ses parents crurent. Essayant toujours de resserrer les vis, ils ne réussirent qu’à énerver plus la jeune fille et à augmenter ses éléments de débauche. Il lui arrivait de découcher en semaine de cours, de fumer ou boire sous les bancs du stade, de sécher les cours. C’était à croire qu’elle se rendait plus souvent en retenue plutôt que dans les salles de classe –où elle demeurait muette, même si le professeur l’interrogeait, surtout si le professeur l’interrogeait. Répondant à tous de façon perfide et ironique, on ne savait jamais si cette dernière était sérieuse ou non. La plupart du temps oui, mais généralement les gens préféraient penser qu’elle blaguait. Les pauvres idiots. Tous la voyait déjà toxico à traîner dans les rues malfamées de Baton-Rouge et autre. Quels ignares. En effet, malgré l’apparence que la jeune fille donnait à l’extérieur, elle n’était que présente pour sa mère malade. Malgré tout, elle pouvait bien lui faire la lecture de temps à autre. Un rôle à jouer. Oui, mais lequel : La Sauvage du Lycée ou alors la Fille Protectrice et Aimante chez elle ? C’était à se demander quelle était la couverture et quelle était sa véritable personnalité. Dans tous les cas, Kate fut encore plus exécrable lorsque sa mère vint à mourir. Subissant une intervention chirurgicale qui aurait normalement bien se passer, Mme Benninghton mourut subitement lors d’une nuit de floraison. Personne ne sut comment. Pas assez vite. Pas assez tôt. Et pourtant, depuis combien de temps les médecins savaient-ils qu’elle était malade ? Depuis le début. De toute façon, se sont tous des pourris aux yeux de l’adolescente qui vécut longtemps dans cette perspective. Jusqu’à ce qu’une personne n’arrive dans sa vie.

Cette personne était le psychologue du lycée. Etrange gars quand on y repense. C’était à croire qu’il aimait chercher la jeune fille afin de la pousser à bout. Etrange. Ordinairement, les professeurs tentaient plus de la calmer avec des heures de colles. C’est d’ailleurs à cause de lui qu’elle se retrouve à Harvard. Enfin. A cause de lui et de son fichue orgueil à elle. Au fil des séances, une sorte de jeu s’était installé entre eux. Qui craquera le premier ? Perçant le point faible de la jeune fille, le psychologue s’en servit contre elle. La mauvaise bête. C’est ainsi qu’il prédit à cette demoiselle que de toute façon, ils se reverraient sans nul doute l’an prochain car elle serait incapable d’avoir la moyenne dans un seul de ses examens. Prenant la mouche rapidement, elle s’exclama qu’il s’en mordrait les doigts à vouloir se faire passer pour une mauvaise langue envers quelqu’un qu’il prétendait connaître car Môssieur avait étudié la psychologie. Cependant, la comédie alla bien plus loin. Au lieu de lui faire tout simplement : « Mademoiselle, si vous le souhaitez vous pouvez amplement avoir le niveau pour entrer à Harvard », ce dernier se contenta de surenchérir en prétextant qu’elle n’aurait même pas de note suffisante pour entrer dans une grande école et faire quelque chose de sa vie. Buzz. Allez savoir pourquoi mais Kate choisit Harvard parmi toutes les grandes universités de l’élite américaine. Se ne fut que lorsque la jeune fille ne revient le voir avec une entrée toujours aussi mouvementée – coup de poing comme toquement et porte qui va se cogner contre le mur en un grand « Vlam »- qu’elle remarqua qu’elle s’était faite avoir. Le grand sourire ironique du psychologue parlait pour lui. Il savait que le seul moyen de la faire réagir était de la chercher… devinant qu’au fond d’elle, la délinquance n’était pas son but ni sa vie. Mais la délinquance juvénile, on y naît pas, on y entre. Cependant, ce n’est pas pour autant qu’elle entre à Harvard que cette dernière va partir d’un seul coup. Kate garde ses souvenirs, ses attitudes et sa sauvagerie. Car après tout, sans cela : est-ce qu’elle resterait elle-même ? En y réfléchissant, se fut la première fois –et la dernière ?- qu’elle gifla un membre du personnel administratif. Mais elle lui promit qu’elle repasserait lorsqu’elle arrivera à terminer son cursus et entrer ainsi dans la juridiction afin de mieux aider ceux que beaucoup délaisse car ils n’ont pas de moyen ou alors parce qu’ils ne sont pas biens vu. Tout le monde peut être innocent… Alors pourquoi pas eux ?

Etudes (5 lignes minimum):

C’est ainsi que Kate fait sa première entrée à Harvard. Marchant dans l’allée principale, une cigarette en main, elle regarde avec désespoir tout ce qui l’entoure. Ca sentait le fric à plein nez. Pouah. Tous ses gosses de riches qui pensent pouvoir faire leurs petites lois ici car ils sont Fils ou Fille de. Tout cela l’écoeure au plus haut point. Une veste en cuir sur ses épaules, une paire de bottines aux pieds, personne n’aurait pu penser que Kate ferait partie des Gamma avec son look, bien qu’il soit légèrement négligé. Aucune chemise blanche en dessous mais bel et bien un tee-shirt gris avec une phrase colorée. Rien de bien extravagant mais une dégaine et une démarche qui semble dire : « Ne m’approche pas, Je mords. » Certains pourraient penser à une petite fille à papa qui veut se la jouer. Elle s’en fout. Vous n’avez pas encore compris : Elle s’en fout de vous, de vos opinions et de vos règles. Elle a les siennes. Vous ne l’influencerez pas. Néanmoins, elle est bien déterminée à réussir haut la main cette école afin de montrer à ce Môssieur qu’elle peut très bien arriver à ses fins seule, sans aide et surtout sans Lui. Ainsi, Kate pourrait passer pour être une Alpha pour son temps passer la tête dans un bouquin mais sûrement pas dans une bibliothèque –préférant le grand air-. Mais, sa brusquerie, sauvagerie, et ses attitudes d’ancienne délinquante –voire même de violente pour certaines personnes qu’elle aurait frappé sans les amener non plus à l’hôpital (sont douillets TT’)- lui valurent une petite réputation pour certaines personnes ayant vécu dans la Louisiane. Sur plus de vingt mille étudiants, il y en a bien… malheureusement. C’est ainsi qu’au final, Kate entra chez les Gamma, la réputation et les habitudes primant sur la volonté et l’orgueil. Quoique… l’orgueil est aussi de prime quand on est une Gamma.

Famille (5 lignes minimum):

La famille de Kate se constituait autrefois normalement : un père, une mère et un grand frère. Son père, Mark Benninghton, a quitté sa famille afin de pouvoir vivre avec son amour d’enfance, celle qui devient Madame Benninghton. Contrariant les plans de ses parents pour lui, il se hissa la colère des Benninghton sur le dos. C’est ainsi que Kate n’a jamais connu ses grands-parents paternels. Enfin… jusqu’à aujourd’hui. En effet, malgré tout, ils suivaient la vie de leur fils avec attention, notant qu’il ne devait pas être un si bon père pour avoir une petite fille délinquante à seize ans alors que leur petit-fils aîné s’en sortait assez bien. Néanmoins, ils constatèrent que Katie voulait entrer à Harvard plus tard et qu’elle finit par avoir les tests d’aptitudes pour y entrer. Etonnés mais agréablement surpris, ils se mirent en tête de lui payer son admission. Mais chez les Benninghton, rien n’est gratuit longtemps. Cependant, Kate ignore d’où provient l’argent, tout comme elle n’a aucune idée que ses grands-parents paternels veillent –un peu trop- de loin sur elle. Qui aurait pu croire que ce psychologue de lycée était recommandé par les Benninghton. Il vaudrait peut-être mieux qu’elle ne l’apprenne pas. Chacun possède des secrets. Quand à Madame Benninghton, Rose de son prénom, comme vous l’aurez compris, elle est morte il y a de cela quelques années. Un cancer de ce qu’on lui aurait dit. Quand à Robbie Benninghton, le grand frère de Kate, ce dernier est entré en faculté de sciences – plus précisément de mathématiques- Pouah. Kate ne rentre pas souvent pour les voir. Pourquoi ? Car son adolescence a passé quelques problèmes et qu’elle en a marre qu’on lui râbache toujours les mêmes choses. Ainsi, elle rentre surtout pour les grandes occasions, tels que les fêtes de Noël ou bien alors un mariage et encore… De plus, la Louisiane n’est pas la porte à côté de Cambridge. Cet éloignement permettra peut-être à la jeune fille de se recadrer correctement. Qui sait ? Peut-être que le pire reste encore à venir.

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Autres:
Votre prénom (facultatif):

Mystères et boules de gomme... Cool

Votre âge (facultatif):

19 ans.
Nom de la personne sur l'avatar (et surtout n'oublier pas d'aller recenser votre avatar une fois que votre fiche est validé):

Amber Heard
Comment trouvez vous le design du forum:

Joli mais triste =s
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Top-Site.
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Donnez une fourchette du nombre de lignes de vos RP environ:

Entre une vingtaine et deux pages world. Tout dépend de l’inspiration et de la réponse ^^.
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500

Invité

Salut ! Au plaisir de jouer avec toi !

Invité

Merci bien =D.
(Mais je ne pensais pas faire si peur. Suspect

J'ai effrayé le petit microbe (xD)?)

Wouaaaaah ta présentation est super.

Validée ^^

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