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| [PV] ~> Virée Nocturne | |
| | Auteur | Message |
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Bandô Ur Invité
| Sujet: [PV] ~> Virée Nocturne Sam 14 Avr - 19:49 | |
| [Hj : posté aussi à l'entreprise]
Bāndô n’avait pas eu tort de lui recommander de bien s’accrocher ; sa moto filait à travers la ville à une vitesse ahurissante qui procurait une sensation à se faire dans le slip. Elle ne troquerait pour rien au monde sa fidèle Suzuki, cette reine des rues qui lui apportait tant d’extase lors de ses virées endiablées. L’allure diabolique ne rimait pas avec mauvaise conduite ; Urushima prenait les virages au dernier moment mais elle avait le don de les négocier avec brio : elle était maître de son engin. L’héroïne qui coulait dans leurs veine faisait effet ; le duo connut une sensation de plane indescriptible car unique : elle mêlait la vitesse à laquelle ils chevauchaient la route et tous les plaisirs de se sentir défoncé au milieu de nulle part…
La destination de ce couple électrique : le commissariat. Le vrombissement du gros cylindré sonna tel une menace devant les portes du poste de police. Elle s’arrêta, faisant crisser les pneus de son engin. Invitant Andrew à descendre, elle ne prit pas la peine de garer sa moto ni de la sécuriser contre tout vol : on la reconnaissait entre milles et on savait que si une seule égratignure venait se nicher sur la carrosserie, la ville entière serait à sang.
« Attends moi deux secondes »
Bāndô ouvrit la marche, son seul couteau contre une armada de flics. On entendit des coups de feu, des cris, et bientôt, la porte s’ouvrit à nouveau, laissant les crapules locales fuir. Il se passa cinq bonnes minutes sans rien… Andrew pouvait à présent pénétrer dans sa demeure d’un soir, aménagé spécialement pour lui. A l’intérieur, le carnage était visible : trois policiers avaient été sauvagement poignardés, un agonisait contre le bureau et l’autre encore vivant, rampait sur le sol, blessé lui aussi, dans l’espoir de fuir. Sa meilleure arme avait été la surprise, sans cela, Bāndô serait déjà criblée de balle. Elle avait ouvert toutes les cellules pour laisser les malfrats s’échapper. Lorsque Andrew arriva tout était prêt : elle revenait du local à perquisition, les bras chargés de toutes les drogues que l’on n’espérait plus voir réunies. Elle le regarda avant d’emboîter le pas vers l’une des cellule, dans laquelle se trouvait une policière ligotée et bâillonnée, allongée sur le matelas de misère, à la merci du premier venu. Urushima y déposa sa cargaison de drogue avant de se tourner vers Andrew.
« Par quoi tu veux commencer ? »
Son visage ensanglantée par les litres qui s'étaient échappés cette soirée du corps des policiers, elle lui sourit, sournoise... |
| | | Andrew M Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Dim 15 Avr - 23:47 | |
| Les yeux grand ouverts, la geule complétement ecrasé par le vent qui lui venait de face, Andrew commencait a decouvir les joies de la moto... Mais son baptéme été réalisé par une psychopate du guidon, a la conduite de son bolide qui fendait le bitume, il était accroché a sa petite Jap' comme jamais il ne l'avait été avec personne... Elle était tout simplement cinglé... Ca il s'en doutait un peu, mais la methode de conduite de la nippon révélé une immense maitrise du pilotage mais une certaine envie de suicide... Mais l'héro aidait a passer ce cap de la peur, et au contraire, profiter de l'adrénaline pure qu'offrait ce bolide, puissance des chevaux aux plaisir des deux cavaliers... Une soirée qui ne faisait que commencer, l'extase était totale...
Ils finirent par arriver a destination, le jeune Boss se sentait totalement euphorique, il avait l'héro dans tout le sang maintenant, et cette petit tournée en deux roues lui avait d'autant plus accelerer le rythme cardique, augmentant ainsi la rapidité avec laquelle la drogue commencait a se dissoudre dans ses globule... La monté était génial, Bando était doué pour ca apprement... Il faudrait qu'elle lui apprenne son mode de conduite un de ces quatres.
Ils descendirent tout deux, et pour la premiére fois depuis leurs arrivaient, il leva les yeux vers l'endroit ou ils se trouvaient.. L'enseigne avec le cigle "proteger et servire" lui donna des frissons... Elle venait de le mener chez les flics... Une entourloupe? Un piége? Il posa sa main sur la crosse de son flingue, mais la Nippon lui demanda de patienter ici, il la regarda alors doucement s'eloigner vers le batiment... A quoi elle jouait?
Il avait le regard qui partait en tout sens, si c'était un piége, certes il etait mal, mais il cramerait sa foutue becane avant de trepasser... Les cris et les coup de feu l'interpelérent alors... Il se leva d'un bond, regardant vers le commissariat ou les portes finirent par s'ouvrir, obligeant l'anglais a sortir son flingue... Mais pas une trace d'un flic, juste des dépravés notoires qui couraient dans tout les sens, mais pas de trace de Bando... Andrew, d'un pas lent s'avanca alors vers le batiment...
Lorsqu'il franchit la porte, une odeur de sang vient lui chatouiller les narines, et il put constater les degats de sa furie de bras droit... Des morts, tous tailliadés, au sol, dans une marre de sang... Il regarda alors dans un des couloir, pour voir sa nippone fouiller des cartons... Il s'avanca vers elle..; Deux flics avaient survecus... A contre coeur, oui jamais facile de balancer deux cartouche pour la racaille, Andrew leva son flingue et abatut le premier qui rampait, a bout portant, faisant voler un peu de matiére grise, et il rearma pour envoyé le second, agonisant sur son bureau, rejoindre le premier...
Il traversa alors le cimetiére de flics, et rejoint Bando, qui avait une autre surprise de taille... Une fliquette se tenait la, allongé sur un matela, totalement attaché, pleurant a chaude larme... Touchant... De bonheur! Il regarda son bras droit installer également tout un lot de produit stupéfiant a coté de la petasse, la geule et les fringues rouge sang, un sourire flippant aux lévres... Andrew la regarda...
- Toi... Tu es complétement timbrée... Tu commence a entrer dans mes critére de la femme idéale mon bout de Nem...
Il reprit alors son etude de la flic et de la drogue, son sourire pervers commenca alors a se montrer....
- Quel choix difficile... Mais nous allons d'abord nous mettre minable, et ensuite nous verrons de ce qu'on fait de la ptite p*te... |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Lun 16 Avr - 21:27 | |
| Andrew découvrait peu à peu son bras droit, qui s’avérait être une machine à tuer… Séduit ou effrayé par le personnage, quoi qu’il en soit, il semblait se réjouir de la situation…
Bāndô, sans quitter la drogue des yeux, répondit à son patron, lorsqu’il se laissa dire que la marginale avait presque tout pour lui plaire.
« Quoi… il manque la face de suceuse de bite, boss ? »
En homme sage qu’il était, Andrew se réserva la policière pour plus tard : il se questionnait déjà sur ce qu’il lui réservait, incluant Urushima dans son plan.
« Ce que « tu » feras boss,… Je touche mange pas de pain là… Et toi poufiasse… »
La nippone délaissa la drogue et fit face à la flic, l’agrippant par les joues.
« T’as plutôt intérêt à satisfaire mon boss… Sinon la bastos tu vas pas te la manger dans la tête, je vais te la foutre dans ce qui te servira de gagne pain si tu survis, pétasse ! »
Elle la relâcha, belliqueuse, avant de sortir de la cellule ; Bāndô s’empara d’un des nombreux matelas qui offrait le gîte aux prisonniers, et revint vers Andrew. Elle déposa le futon de misère, sur lequel elle disposa ensuite un échantillon de chaque drogue qu’elle avait trouvé. D’un regard elle invita Andrew à s’installer sur ce trône de fortune, sur lequel il pourrait se sentir tel un pacha, une fois servi par son bras droit. En attendant cela, Urushima prépara une seringue ; elle s’accroupi près de la policière et ni une ni deux, elle lui administra on ne sait quoi…
« Un petit stimulant pour la route, histoire qu’elle nous claque pas dans les mains cette salope… »
Bāndô revint vers Andrew et s’assit en tailleur à côté du matelas, attendant l’arrivée du maître des lieux. Autour d’elle gravitait quelques sortes de drogues, dont elle fit état, proposant le menu du soir à son chef.
« LSD, ecstasy, cocaine, hero, cannabis,… ? » |
| | | Andrew M Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Mar 24 Avr - 12:54 | |
| Les yeux posés sur la drogue, tout un stock, tout ce qui avait été embarqué par la flicaille, surement un peu de la sienne d'ailleurs... Il detourna un moment les yeux pour regarder la femme allongé, face contre terre, dans la cellule. Elle était blonde, pas mal il aimait bien ca les blonde, un visage des plus agréable d'ailleurs, et ses formes étaient des plus apetissante...
- T'occupe, t'es pas la pour me plaire, mais pour agir comme tu le fais si bien mon bout de nem.
Il sourit devant le petit detaille que precisa Bandô, quant a la suite des activité avec la policiére attachée au sol, l'anglis se tourna alors vers la japonaise, sourire sadique aux lévres...
- Hoo... Mais je ne pensais pas t'inclure dans ce delire ma bridée, on se connait pas assez voyons...
Cette nana la était un veritable mystére pour lui. Certe des dejantés il en avait connu, il était méme pas mal lui méme dans son genre, mais alors des comme elles... Jamais! A elle seul elle avait attaqué un endroit bourré de flics, avec pour seul arme une lame, et sa rage, sa vitesse, et l'effet de surprise... Il sourit, pensant aux tarés qui allaient oser s'attaquer desormais a leurs gagne pains, qui oserait maintenant agir contre Andrew et sa bande? Avec Bandô comme assurance, la vie semblait tout a coup plus tranquille... Et la vision digne d'un film d'horreur dans le commissariat confirmait cet etat d'esprit la...
Il posa ensuite son regard sur le matela que venait de recuperer la jeune femme a son attention... Un vrai Parrain de la mafia, voila a quoi il pensait a ce moment la, Andrew, le sourire jusqu'aux oreilles, la drogue prise un peu plus tot commencant a devenir de plus en plus presente, se jeta sur le matela, cul sur la mousse, jambes allongé, sur le coté, regardant toujours Bandô... Puis la drogue et enfin la flicette...
- Putain, comment j'ai fait pour bosser sans toi? Tu va devenir irremplacable mon Bout de Nem, je vais devoir elargir tes compétances... Tu finira par trops me manquer, méme dans ma vie de tout les jours...
Il rit, seul evidement, mais la il partait dans son delire euphorique, qu'importe, l'avenir semblait si bon, et sa Jap y allait étre pour beaucoup...
- cannabis! Ca fait longtemps que j'ai pas joué au Teenager! |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Jeu 26 Avr - 22:32 | |
| Bāndô lui renvoya un regard concupiscent ; elle aussi se laissait entraîner par les effets euphorisant de la drogue…
« Tu devrais vraiment te le faire, ce double, boss… T’es pas à l’abri du viol ; tes propres sbires qui te chopent dans un coin, c’est mauvais ça… »
Sous ses ordres, elle lui roula un joint, le bourrant de cannabis qui se présentait sous forme de résine émiettée. Elle l’alluma et vint aux côtés d’Andrew pour lui proposer.
« Monsieur est servi… »
Il disait ne pas la connaitre assez, ce à quoi elle répondit…
« Se connaitre…ça veut dire quoi au juste, faut que je te raconte ma vie pour qu’on soit de vrais intimes ? Je vais t’épargner la lecture… »
Elle lui fit comprendre qu’il avait en face de lui un livre ouvert, en lui montrant son bras entièrement tatoué, comme l’était le reste de son corps, qui lui servait alors de véritable nécrologie. Ses tatouages n’étaient rien d’autres que des représentations picturales des étapes de sa vie…
« Et dit de suite que c’est moi qui a l’esprit mal tourné, tu verrais ce regard lubrique que t’as… »
Elle pouvait parler puis ce qu’elle aussi, arborait une lueur dans les yeux, assez significative de ce qui pouvait bien se tramer dans sa tête : a vrai dire de réels fantasmes, résultats de l’héroïne qu’elle avait sniffé… Bāndô le reprit sur la remarque qu’il avait fait à son encontre : Andrew faisait l’éloge de son bras droit, la disant irremplaçable…
« De suite les grands mots, tu t’emballes chef… Comme tu le dis, on se connaît pas encore… T’entends quoi par élargir mes compétences ? Je t’avais pas déjà dit que je savais pas passer le balai ? Et c’est quoi ce délire… « ta vie de tous les jours » est pas assez remplie ? Me dit pas qu’un gars comme toi est frustré ? »
Bāndô se roula un autre joint, qu’elle porta à ses lèvres avant de l’allumer : à pas de loup elle s’approcha de la policière. La nippone lui souffla la fumée à la figure.
« Ey la flic… ça te dirais de faire pute attitrée de mon boss ? Dis Andrew, elle te plait ou je la bute après ? »
Tout en disant cela, elle la saisit par le menton pour montrer clairement le visage de la femme à son patron. |
| | | Andrew M Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Jeu 3 Mai - 10:22 | |
| Toujours assis sur son bout de matela, le yeux de plus en plus petillant et le sourire toujours accroché sur son visage, le british regardait Bandô lui preparer sa clope au merveille, y ajoutant le canabis, n'hesitant pas sur la quantité. Cela l'amusé de se retrouver ici, et l'hero qu'ils avaient absorbé un peu plus tôt avait peu a peu prit possession de ses moyens, son rire euphorique comme preuve..
- Le viol? Par un de mes sbires?
Il rit de plus belle, imaginant l'un de ses dealers tenter le coup, le sexe dans une main...
- Celui qui tentera passera un sale quart d'heure, et tu le finira, comme tu sais si bien le faire. Avec ca pas besoin de double!
Elle s'assit enfin a coté de lui, le joint enfin pret, et l'alluma directement, tout en se posant pret de lui. Il la regarda, ce genre de regard qui en dit long sur l'appreciation de quelqu'un, légérement enbrumé par les effets des drogues. Il ne cessait de lutter contre des pensées bien etrange a l'encontre de celle qu'il devait considérer comme un partenaire de travail et rien d'autre... Mais, dur pour Andrew de rester de marbre devant la japonaise. Il saisit le joint, et le posa en bouche, tirant une longue staff dessus, laissant la fumée impregner ses poumons, et de la, partir par le biais de ces cellules, dans le sang... C'était de l'excellente qualité qui plus est.
Il la regarda alors, tandis qu'elle aborait ses tatouages, comme un livre, un roman sur la vie de Bandô version tatouage, une BD sanglante, ludique certe. Il sourit en coin, cherchant a voir ceux caché par les tissus de ses vétement, mais secoua la téte, avant de se replonger sur son joint, tirant a nouveau une longue bouffée.
- Ta vie, je m'en balance un peu, tout comme toi tu ne veux pas entendre la mienne. Seul compte ce que nous faisons a partir de maintenant, ce que notre collaboration va nous apporter a chacuns...
Il fronca légérement les sourcils...
- Putain on croirait entendre mon vieux...
Il se posa alors, téte contre le mur de la cellule, se laissant complétement emporté par ce mélange de produits illicites qui commencaient a entrer dans son sang, lui donnant un tout autre aspect de la situation.
- Moi j'ai un esprit mal tourné et je l'assume! Mais le tient est pas mal dans le genre, demande a la flicette...!!
Là, il se pencha un peu vers elle, et lui saisit le heut de sa tenue, qu'il arracha violament, decouvrant alors un soutiens gorge des plus.... Jolie?!
- Hum... Moi qui pensais qu'elles avaient des Soutifs par balle, je vois que la cochonne porte des ptis haut chaud, devergondé que tu es, agent de la loi!
Il rit, avant de passer une main sur son seins, le pincant alors fortement, pour finalement la lacher, et reposer sa téte contre le mur de la cellule...
- Frustré? Je ne dirais pas ca comme ca, mais toutes ces putes n'assouvissent pas mon coté pervers... C'est drole un moment, mais je me lasse... Je me réve une nana qui sort de l'ordinnaire...
Il posa alors ses yeux dans ceux de la Jap', serieux, mais reprit rapidement son air desinvolte et rit tout en fumant son joint...
- On verra ce qu'on en fait, je ne me suis pas decidé pour le moment, mais une pute attitré ca peut le faire... Pourvu qu'elle soit bonne! |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Ven 4 Mai - 0:29 | |
| « Uaip… Je le castre… je la lui fais bouffer… Qu’on s’attaque pas à mon boss… Et si c’est une nana… je la faire cuire au grill, histoire d’en faire une salope frite…»
Tandis ce qu’elle proférait ses menaces contre ceux qui oseraient violenter sexuellement son bien aimé patron, Bāndô était à cent lieux de s’imaginer que Shinya allait être de celles qui partagerait un moment d’intimité avec Andrew. Cela la rendrait folle… Mais pour le moment, ces deux là ne se connaissaient pas encore, et Urushima pouvait baigner dans le confort de l’insouciance… L’heure était à la débauche… Le boss et son bras droit se délectaient de substances illicites en tout genre, et ce n’était que le commencement… Tout deux luttaient contre leur inconscient qui faisait alors surface sous l’effet des drogues. Alors que la nippone exhibait son bras entièrement recouvert d’encre, Andrew la reluquait, s’imaginant ce que pouvait cacher l’intimité de Bāndô, ces tatouages représentant sa vie, à vrai dire teintée par des démons intérieurs, illustrés sur l’ensemble de son corps… Il secouait à nouveau la tête, comme sous l’emprise d’un mauvais sort.
« On dirait un cartoon, boss… Tu sais que le sexe c’est banni de ces dessins animés à la con ? Mickey baisera jamais Minnie… C’est du grand n’importe quoi… »
Urushima tira sur son joint : elle le finit à vitesse grand V : autant la drogue dure n’avait pas pénétré son quotidien, mais elle était une professionnelle de la fumette… Et voilà qu’elle était perchée… L’héroïne et le cannabis ne faisaient pas bon ménage : elle se leva, si dirigeant telle une âme errante à travers le couloir… Elle remarqua qu’un des policiers qu’elle avait violemment poignardé, était encore en vie.
« Bordeeeeel… Ils sont shootés à quoi ces petites pédales ??? »
L’agent de sécurité était collé contre son siège, et seul son faible souffle le trahit. Bāndô s’empara de son couteau, avant de tourner la chaise vers elle ; la lame alla s’enfoncer dans les parties génitales du malheureux,…une fois, deux, puis trois : la nippone s’acharna ensuite, comme possédée, faisant du bijou de famille de sa victime, une charpie comparable à de la pâtée pour chien…
« Alors.. Une objection, peut-être ???... Sale enflure… »
Elle ria ensuite de plus belle, retirant son couteau de ce qui était désormais un amoncellement de chair visqueuse de sang. Urushima, dont la conscience s’était fait la malle grâce aux drogues ingurgitées, rejoint Andrew, s’adossant à lui. Elle lança un regard meurtrier à la policière.
« Tu veux que je te saigne comme une truie, toi aussi ?… Alors me regarde pas comme ça, j’ai envie de te bourriner la gueule !!! »
Lui lançant une seringue qu’elle se reçut en plein visage, Bāndô manqua de lui crever un œil. Heureusement pour Andrew, elle se contrôlait encore assez pour ne pas s’en prendre à son entourage. Le patron appuya sur le fait qu’ils étaient tout deux collaborateurs, et rien d’autres, et qu’il se fichait se ses antécédents. Se rapprochant de lui, elle lui prit le bras…
« Roh tire pas la gueule, boss… C’est pas joyeux là… ça me botterais comme même d’être un peu au courant de ce qu’il a fait dans sa vie, le mec qui me commande… En échange, je t’accorde le droit de me lire… Bon deal nan… ? M’enfin… ça tu… cette soirée…c’est justement… en l’honneur..de notre « collaboration »… Alors…même si on a pas commencé à jouer sur le terrain des grands… Je te remercie, de m’apporter, la seule chose que je demande… »
Shootée, elle l’était, et pas qu’un peu… Son regard égaré en disait long sur son état.
« …et moi…je serais..tes poings… Tout, même…tout ce que tu veux… Ton vieux ?... L’est pas mort ?...»
Andrew persuada ensuite Bāndô qu’elle était une concurrente dans l’arène des pervers en chef…
« Oooy... Méchant ça, boss… Hey, la flic.. Hein que je suis pas une arrachée du cul ? Ah merde je l’ai bâillonnée cette pouff… »
Il commença alors à s’en prendre à la malheureuse, la déshabillant, n’y allant pas de mains morte. MacTyler la martyrisa, lui arrachant un cri qui s’étouffa dans le foulard qui lui entourait le visage. Par réflexe face à cette douleur subite que subissait la policière, Bāndô entoura sa poitrine de ses bras, comme pour se protéger d’une attaque invisible.
« Poh… J’ai mal pour toi, et dieu sait que j’suis pas du genre à compatir.. Boss ! T’es un violent ! »
Andrew se justifia ensuite, clamant qu’il n’était pas un homme frustré, mais que la faute revenait à ses désirs qu’aucune femme assez folle pour les subir, ne les avaient assouvis. Se moquant de lui, Bāndô laissa échapper un rire discret.
« Monsieur pratique le SM, je le savais. Et ben ma pauvre, tu vas en chier ! Ey, regarde ce qui l’excite, prend exemple, sinon tu passes à la trappe »
Urushima prit Andrew par le col, avant de lui mordre les lèvres, faisant exprès de lui enfoncer ses deux labrets dans la peau, tout en l’embrassant d’une façon qui déconcerterait les âmes romantiques… Détachant enfin son étreinte, achevant cette torture qui mêlait plaisir et douleur, elle se tourna vers la policière.
« T’as compris pétasse ? Mais faut pas le violenter non plus, il faut savoir se montrer délicate aussi… »
Illustrant ses paroles, elle revint vers Andrew, aventurant sa langue apparemment experte, sur les pointes de sang que ses piercings avaient causés ; elle lécha sensuellement les plaies infimes de son patron, avant de le délaisser à nouveau.
« Maintenant c’est à toi d’entrer en scène, salope… » |
| | | Andrew M Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Ven 4 Mai - 23:30 | |
| Il l'ecoutait, racontant le chatiment qu'elle reservait a ceux et celles qui oseraient tenter quoi que ce soit contre lui. Cela lui arracha encore un sourire, mais tout en l'ecoutant, il se posa une certaine question... Si quelqu'un avait sortit de telles paroles, il n'aurait put retenir un rire des plus moqueur, mais il savait que venant de la Jap' face a lui... Cela se produirait comme cela, a la virgule pret. L'hemoglobine ne la faisait pas flipper, bien au contraire... C'est un peu, beaucoup m"me, ce qui l'attirait en elle...
- Tout un programme dit donc... Mais le pire c'est que tu en serait vraiment capable... Des fois tu es vraiment flippante dans tes propos ma tite dose de Saké...
Il la regarda d'un oeil attentif, scruttant le siens, comme pour lire ce a quoi elle était en train de cogiter en ce moment méme. Mais non, c'est son regard evasif qu'il admirait, la Jap' étant complétement cramé par les effets nefastes des produits illicites qui avaient atteint son flux sanguin. Surement peu habitué a la drogue dure, telle que l'Héro, cette derniére faisait rapidement effet sur l'asiatique, qui pourtant n'avait rien d'une pucelle a qui la drogue pouvait jouer de mauvais tours... Et pourtant...
- L'image de tes tatouages est bien choisit... C'est vrai que le monde merveilleux de Disney serait plus sympas avec une bonne touze entre Mickey et ses compéres... Je les imagines bien en Gang bang sur Minnie qui hurle "encooooore"...!!!
Il rit, emporté par cette si douce sensation que lui procurait l'apérétif offert par sa Jap'... Imaginant les teens regardant le Porno de Mickey, complétement bercer par les cris de Daisy et les gemissement d'un donald en Dominateur... Bandô se leva alors, titubant presque, flottant dans un pays imaginaire que devait étre actuellement son cerveau, bouffé par le brouillard des effets de l'inimaginable poudre brune... Un spectacle aussi beau que terrifiant a regarder... Surtout lorsqu'il l'entendit hurler aprés un "survivant" qui respirait a peine sur son fauteuil, des bulles d'air mélangé a du sang s'echappant du trou béhant de sa gorge.. Il eu le malheur de tomber sur la menace nippon, pauvre de lui, mais il était de toute maniére condamné, les premiers coups de Bandô ayants suffits a bien le matraquer...
Andrew passa alors la téte hors de la celule, regardant le spectacle sanguinolant qu'était en train de jouer Bandô, eclatant l'appareil reproducteur du flic agonisant, mettant alors la notion de se "vider les couilles" comme étrangements proscrit... Il regarda le spectacle, comme admiratif, un mélange de plaisir et en méme temps de peur dans les yeux. La voir agir ainsi était... Deconcertant pour lui. Et si un jours elle peté un cable, pour le prendre comme cible? Pourrait il la calmer? Il en douté fortement, mais voulait tout de méme prendre le risque, et la garder pret de lui, qu'elle que soit la folie qui le touchait.
Il la regarda alors revenir vers la celule, ayant finit son massacre penien, s'asseyant a nouveau pres de lui, s'adossant contre le Britannique. La jeune fliquette commencait vraiment a étre effrayé pour de bon, elle savait au fond d'elle méme qu'elle allé y rester, ou du moins ressortir avec des sequelles graves... Cela faillit étre le cas, tandis que la seringue lui arrivait sur la gueule... Il deporta au dernier moment le visage, evitant de se retrouver borgne, touché par une seringue pas trés net qui plus est... Bandô fondait son cable, et elle devenait de plus en plus incontrolable, Andrew se mit rapidement une main sur le membre... Et si elle lui mettait en charpie le siens aussi?...
Elle se raprocha alors de lui, et son bras entourat celui du Boss, qui la regarda, un sourire admiratif aux lévres, contenant des pulsions trés fortes pour elle, ne voulant pas rompre un engagement a la con, ne mélangeons pas le plaisir et le taf... Il rit un peu, avant de doucement lui saisir le menton, la taquinan un peu, approchant son visage du siens, a peine quelques centimétres les séparant...
- Tu es complétement dechirée mon bout de Nem... Mais je vais t'accorder un peu de ma vie... Et en echange, je veux TOUT lire... Absolument TOUT...
Il designa l'ensemble de son corp d'un geste vague, et lui sourit une derniére fois, avant de lacher son menton...
- Je suis de Londres... Un vrai Londonien pure souche. Mais labas, ca commencait a devenir chaud pour les deals et le taf.... Illégal. J'ai ca dans le sang, je ne suis pas un cogneur, j'ai pas le don pour fracasser du puceau, moi ma specialisation, c'est le deal et le management des revendeur de produits proscrits... Mon vioc, c'est un connard de premiére, il va pas tarder a se flair flinguer par l'IRA de toute maniére, c'est un capitaliste qui ne voit que son profit, et c'est un peu grace a lui que je suis comme je suis... Aujourd'hui, toi et moi, on va devenir les King ici... Nous allons montrer que le raprochement anglo-Japonais peu faire merveille...
Il rit, mais n'aimait pas ce plier a ce genre de discution, raconter sa vie, jamais il ne l'avait a part aujourd'hui, et avec une nana qu'il avait rencontré a peine quelques heures auparavant... Que lui avait elle fait bordel? La drogue qui faisiat effet? Non pas que ca....
- Allé Montre moi tes dessins ma BD... Que je connaisse un peu mieux la Bomba Jap'!!!
Alors taillante et mesquine, elle le jugea sur ses pratiques sexuels... La il fit mine d'en jouer, et retorqua, royal et bon prince...
- Violent? Tu devrais voir ce qui reste des burnes du Flic sur sa chaise... Ouep, la violence on en tire du plaisir, te voir les derouiller comme ca... Ho p'tain... Quelle jouissance personnel. Mais pas de quoi me faire peter le jus dans le pantalon.! T'es une pro de la violence Mon bout de Nem!
Il rit regardant la flic, en pleure, encore et toujours, il soupira, mais sentit alors qu'il était prit par le col, et n'eu que le temps d'ouvrir grand les yeux que deja Bandô avait poser ses dents sur sa lévre, et que ces percing marqué sa peau de leurs empreintes. Il serra un peu la machoir, mais repondit au baiser sauvage de la Jap', profitant comme jamais de ce moment.... Exceptionnel bon sang!!!!
Alors elle se recula, au grand damn du Boss, et suggera a la flic de faire de méme... C'est la que la langue chaude et douce de la Jap' passérent sur les coup des piercings, recupérant le sang légérement present d'Andrew, qui en était restait sur le cul...
- Bordel de merde....
Il regarda Bandô, puis la flic... Elle chialée encore, putain de blondasse...
- Decidement, tu ne cesse de me clouer...
Il prit alors son envie folle pour réalité, et sa main saisit la nuque de la Jap', l'attirant tout contre lui, sa bouche se collant a celle de Bandô, sa langue entrant avec rapidité a la recherche de sa jumelle asiatique, la respiration du British accelerait, son envie montant... Il finit par la lacher, et se reculer légérement, s'essuyant un peu le coin des lévres, la ou un peu de sang avait persisté a couler...
- Je t'en devais un... |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Sam 5 Mai - 1:53 | |
| Il était troublant d’être animé de tels désirs envers une adolescente sanguinaire, ne reculant devant rien pour assouvir sa soif de violence. Andrew savait qu’il avait à faire avec une tueuse née : ce genre d’individu qui ne mâchait pas leur mots, les appliquant cruellement… Il se rassura, protégeant son entrejambe de sa main, ce qu’elle ne manqua pas de remarquer.
« Quoi ? T’as peur que je te la coupe, à toi aussi ? »
Malgré son euphorie du moment, Bāndô prit au sérieux les paroles de son boss, qui avait bien raison de craindre pour ses arrières. Si on l’avait évincé de son ancien gang nippon, c’est que les japonais avaient jugés que leur sécurité était mise à mal à cause de cette énergumène ultra violente. C’est ainsi qu’ils avaient voulu lui couper l’herbe sous le pied : mais ils la croyaient morte… La revenante allait, dès ce soir, leur montrer qu’elle était encore en vie, toujours aussi dangereuse… Elle ne remarqua pas l’attention que lui portait Andrew, s’évadant dans un autre monde…Seules ses paroles parvenaient à la faire réagir, et en l’occurrence, il s’agissait maintenant de s’imaginer les personnages attachants de Walt Disney, en nymphomanes…
« Arrête, imagine l’orgie avec les sept nains, quelle grosse salope cette Blanche-neige ! »
Pour le moment, Bāndô n’était pas assez shootée pour devenir une autre, ou pire, son propre démon. Elle était simplement euphorique et profondément excitée, pour ne pas dire en chaleur, bien que ça ne se voyait pas directement. Andrew, téméraire, ou peut-être tout aussi aliéné que sa compagne de cellule, ne rechignait pas à garder son bras droit, s’accommodant très bien des risques qu’il pouvait encourir à être entouré d’un esprit aussi torturé que celui de la nippone : il rechercherait presque à stimuler ces mêmes « risques »… Jouer avec le feu allait-il lui être fatal ?
« Ça te fait bander ? Fallait le dire plus trop, je la saigne ta salope… »
S’approchant à nouveau de sa victime, Urushima s’accroupie face à la policière, avant de lui saisir le visage comme l’on traite du bétail… Lui ouvrant la gueule, elle lui fit tirer la langue : la lame perfora le muscle. La nippone ramena l’arme vers le bout de cette chair martyrisée, la coupant en deux. L’agent avait maintenant l’air d’un serpent… Cette situation suscita l’hilarité de Bāndô, qui n’en finissait pas de rire du mal qu’elle faisait. Puis elle s’arrêta soudainement, pour se glisser vers le matelas aménagé du prince de ces lieux. Se saisissant d’une des seringues encore intactes, elle se l’introduisit sous la peau, s’injectant cette fois-ci de la cocaïne… Ce cocktail de drogue finissait de la stimuler… Elle revint s’accouder au boss, qui, mesquin, lui saisit le menton… La distance infime entre leurs deux visages stimulait l’excitation de la nippone qui n’en finissait pas de fantasmer sur son patron. Andrew proposa le deal suivant : des bribes de sa vie contre l’intégralité de celle de Bāndô. Une mine perverse lui fut rendu ; elle le regarda instamment avant, de lâcher ces paroles de poids, qui valait pour les journées à suivre, les mois, et peut-être les années d’étroite collaboration.
« Tout ce que tu voudras, boss… Je suis à toi… »
Il établit alors les grandes lignes de sa vie, sa condition à Londres, l’influence de son père : elle n’en perdait pas une miette. Il était rare que l’on se confie à elle, Urushima n’était pas la meilleure épaule qu’il soit : elle se fichait bien de la vie passée de ceux avec qui elle faisait affaire. Mais Andrew réveillait sa curiosité, et sa libido, mais ça, il ne le savait pas encore. L’anglais se frottait les mains de cette coalition anglo-japonaise…
« Pete Doherty au wasabi, pourquoi pas ? »
Maintenant, il s’impatientait, demandant à voir ce que cachait la nippone sous ses vêtements, enchaînant ensuite sur la rétorque de ses tendances sexuelles.
« Faut te faire quoi, pour que tu mouille ta culotte, mademoiselle ? Et merci du compliment… si ça te plait de me voir leur foutre la dérouillée, je le ferais sous tes yeux dès que j’en aurais l’occasion… »
Lorsque Bāndô fit saigner les régions de sa bouche, il en profita pour répondre à ce baiser sauvage, qui ressemblait plus à une lutte armée qu’une étreinte amoureuse, tout cela en mêlant la passion qui s’emparait de ces deux forces animales…
« Depuis quand le mannequin roule des pelles ? C’est ta pute qui va te la sucer après, laisse la mater sans faire d’histoire, tu veux bien ? »
Eberlué par l’attitude de son bras droit, le big boss déchantait, mais nul le temps de rester là les bras croisés ; allumé par la nippone, la braise pris son essor. Andrew s’empara de sa belle pour lui donner un baiser non sans fougue : sa langue rencontrait alors celle de l’asiatique, partant en chasse de sa pareille, pour l’entraîner dans une valse effrénée… A ce rapport plus doux que le précèdent, Urushima répondit, participant volontiers à cet échange, mais leur étreinte s’interrompit ; Andrew y mit un terme, s’éloignant de sa compagne… Le regard de la nippone se perdit sur le sol ; elle semblait un instant déconnecté, mais les pleurs incessants de la policière la ramena à la réalité. Bāndô leva alors les yeux vers cet homme qu’elle prenait un plaisir fou à embrasser, alors qu’à la normal, cet acte était pour elle, anodin. Tandis ce qu’Andrew s’essuyait les lèvres, il se justifia sur l’envie prenante qu’il avait eut de forcer le contact.
« Tu me dois rien boss… T’as déjà oublié notre accord ? Je t’ai déjà dit que je ne voulais rien de toi, c’est moi qui suis à ton service… »
Pour appuyer le pesant de ses paroles, elle s’avança vers lui, et lui effleura le bout de ses lèvres, d’une suite de baisers agréablement tendres. Cette indiscutable enfant de violence savait se montrer douce… Mais pas pour longtemps… Ce n’était pas le style de la maison… Les jérémiades de l’agent agaçèrent la japonaise, qui, déjà perdue dans cette enivrante excitation, prélude à ses délires sexuels, ne supporta pas qu’on la dérange. Restant proche d’Andrew, elle ne bougea pas d’un cil, ordonnant à la policière de la rejoindre, d’un ton autoritaire et sec, à faire pâlir une marâtre.
« RAMENES TOI ICI… Vite… Rampe… »
La victime s’exécuta : elle était ligotée pour ne pas utiliser bras et jambes, mais elle n’était pas attachée à un quelconque lien qui paralyserait sa mobilité. Elle rampa donc jusqu'à Bāndô : cette dernière leva les yeux vers Andrew : il put lire sa démence. Ni une ni deux, elle plaça ses mains des deux côtés du visage de la malheureuse, avant de lui tordre le cou comme on déchire un poulet. Un bruit atroce de craquellement d’os et de frictions de chair accompagna l’acte. La morte retomba lourdement à terre…
« Désolée… boss… elle était… trop ..bavarde…Je t’en trouverais une autre… »
L’assassine alla alors chevaucher Andrew à califourchon. Elle l’embrassa à pleine bouche, signant un « french kiss », puis, obéissant à son boss, elle dézippa sa veste, seule rempart à sa pudeur, avec son soutien gorge. Le vêtement glissa sur ses épaules, découvrant un buste entièrement tatoué.
« Fais toi plaisir… »
Cet anglais était un des rares à avoir eu le privilège de « lire » la demoiselle, qui s’offrait alors à son patron. Mais elle ne lui laissa pas le loisir d’opérer quoi que ce soit : Bāndô glissa sa lame le long du torse du garçon, déchirant le t-shirt qui le recouvrait, d’une traite. Elle lança alors un regard profond à l’anglais : la nippone fit passer son couteau dans la main d’Andrew, refermant les doigts de son patron sur l’arme, avant de la presser contre son ventre tatoué.
« Si tu flippes, bute moi »
Laissant MacTyler tenir le couteau qui la menaçait, elle se débarrassa du t-shirt en lambeaux, avant de jeter son dévolu sur le téton de son patron, qu’elle lécha, tandis ce que sa main baladeuse alla flirter avec l’entrejambe de son partenaire, s’esseyant à des caresses qui devinrent de plus en plus insistantes…
Andrew devait se réjouir du fait que les drogues endormissent sa violence ; pour le moment, le mélange semblait la faire planer, mais si il venait à tourner mal, elle lui ferait comprendre la signification du sexe à la sauce « SM » comme elle le disait… |
| | | Andrew M Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Sam 5 Mai - 13:27 | |
| Les yeux de la bridé finirent par se poser sur lui... Le tableau était des plus gloque, elle avit un regard totalement détaché, aprés son petit tour sur la partie génitale du flic, elle semblait comme possédé, une porte avait été ouverte en elle, et cet exces de violence ne devait étre pas prés de s'arreter. Andrew ne pactisait il pas avec le diable en ce moment méme? Ou au moins avec l'une de ses rejetons les plus sanglante.
- Avec toi ma bridé, on peut jamais savoir, c'est une leçon que j'ai tiré ce soir, alors mes burnes vont rester a l'abrit de tes pieds ravageurs.
Il avait le sourire, mais en lui méme il ne sentait pas vraiment a l'aise. Certe Andrew MacTyler n'était pas un faible, sur la grande chaine alimentaire humaine il était un predateur, bien au dela du simple petit bleu bite d'Havard, il n'hésité pas a tuer, voir méme a torturer, mais toujours dans un but.. Soit pour faire comprendre que le voler ne servirait a rien, soit pour bien marquer son territoire. Mais ce soir il avait devant lui une jeune femme qui le faisait... Gratuitement, et qui semblait étre forte a ce jeu la, pour preuve cette odeur de sang toujours présente dans les piéces du commissariat vidait de toute ame vivante, hormis le Boss, son bras droite, et la flic attaché, qui allait elle aussi y passer a coup sure... Elle revient alors, toujours aussi deconcertante, sur l'image d'une Disney porno, laissant imaginer Blange Neige se faire attraper par ses sept nains en chaleurs, marrant tout de méme, les gosses en apprendraient sur les délires sexuel, car il n'y avait que cela de vrai dans la vie non? Pas pour tout le monde apparement...
- Blanche neige, et toutes les autres ouais!
La drogue était desormais totalement possessive de ses paroles, de son esprit, lucide oui, mais totalement incapable de garder son controle sur ses envies, sur ses propos... Andrew MacTyler était proche de cet etat que l'on nomme le Nirvana (dedicace Ethan!) entre réve et réalité, coincé dans ce monde imaginaire, tout en etant dans le monde réel... Son joint avait été consommé, l'hero avait atteint toute les parti de son corps, et il n'etait pas le seul apparement... Bandô aussi subissait les effets, mais n'allait elle pas fondre un cable et l'achever a lui aussi? Prendre le risque, cela la rendait d'autant plus intouchable, d'autant plus inaccessible, voila ce qui rendait Bandô incroyablement attirante, voila pourquoi le Boss ne parvenait plus a detacher ses yeux d'elle, pourquoi il avait tant de pulsion pour cette tueuse de sang froid. Belle et complétement taré, oui Bandô reussissait la ou toute les autre n'avait fait que l'ennuyer...
Elle finit par se lever, toujours sous le regard étrangement brillant de son chef, et s'approcha de la flic... Il savait deja qu'elle allait payer les paroles qu'avait prononcer Andrew, mais qu'importe, c'était une flic aprés tout. La Jap', couteau en main, lui ouvrit grand la bouche... Allait elle jouer le rimake du "dentiste"? La langue rouge de la blonde en uniforme apparut alors, et l'eclair de la lame vint s'affecer sur ce bout de muscle tiré vers la Jap'. Le bruit fut net, la flic ne put hurler, malgrés la douleur qui devait étre atroce pour elle, mais Bandô ne s'arreta pas la, elle ramena d'un coup sec la lame vers elle, scindant en deux la langue de la policiére, qui posa alors ses main sur sa bouche, le sang degoulinant de sa bouche, pendant que la Jap' s'etouffer a rire...
Tandis qu'il saisissait le menton de la jolie Niak, elle posa sur lui un regard lourd de sens, loin de l'image de la folle sanguinaire, et lacha des mots qui voulaient dire tellement... Il la regarda également, avant de lever un sourcil...
- Tu devrais te mefier mon bout de nem, dire que tu es a moi t'engage a plein de choses....
Il sourit finalement, et se recula pour de bon, ne detachant pas encore son regard d'elle, qui pour sa part avait trouvé une bien belle metaphore sur l'anglais en mode Jap'! S'en suivit alors le baiser douloureux affligé par la nippon, mais auquel le British repondit, santant ces lévres, ses dents venir lui arracher une douleur melant adrénaline et endorphine... Les mélanges des substances, en plus de la drogue furent fatale au derniére apprehension du jeune homme, qui desormais ne voyait plus Bandô comme son bras droit seulement... Mais alors quoi? Que pouvait elle étre de plus? Il avait du respect pour elle, mais un desir brulant monté, ca aucun doute, un desir jamais connu auparavant... Et tout en la regardant lecher le sang qui lui coulait des levres, il se dit a quel point le gang des jap' avait été complétement con de la laisser partir... Certes elle pouvait se montrer complétement incotrolable, pas net méme, mais lui il tenterait, au risque de finir mort de sa propre main, une mort si belle en fin de compte...
N'en pouvant plus, attisé par se baiser douloureux, et ce visage a vous rendre dingue, il la saisit et l'embrassa a son tour, sa langue touchant enfin celle de la nippon, jouant a chat, tournant, virvoltant, les lévres collées l'une a l'autre, ne voulant pas rompre ce contact .... Doux? Etrange pour des gens comme ces deux la, de s'adonner a un moment comme celui la. Mais cela finit, Andrew y mit un terme avant de totalement perdre la téte pour Bandô, ce qui commencait malheureusement a arriver... Mais ca, la fierté l'empecherait de le dire...
- Tu ne veux rien de moi mon Bout de Nem?... Hum. Soit!
Elle lui donna encore un peu de douceur, mais comme cela pouvait étre agréble et si... Deroutant de la part de cette nana là... Il sourit tout en la regardant faire.. Mais alors, les yeux de la predatrice se posérent sur la fliquette... Andrew savait, oui il savait que pour elle il etait l'heure de mourir... Bandô la fit ramper jusqu'a elle, elle s'executa, de peur des conséquences de son refus, et s'approcha, miséreuse, de la Jap' en furie... L'asiat saisit alors chaque coté du visage de la jeune femme, et tourna d'un coup sec et bien en ligne. Un "Crack" indiqua la rupture de la colonne vertebral, qui vient alors perforer l'osciput, la base arréire du crane, touchant par la méme le cervelet, la tuant sur le coup, sans douleurs... Le corp de la blonde se fit alors tout moue, et comme une poupée en chiffons, elle s'afaissa au sol, une loque, rien de plus. Andrew garda quelques instant les yeux sur ce cadavre, mais bien vite reviens vers Bandô.
- J'espére que tu ne fera pas ca a toute mes putes... Hum?...
Alors elle l'enfourcha, montant sur lui, comme sur sa becane, lui donnant a nouveau ses lévres qu'il commencait a réelement apprecier, une nouvelle drogue?! Le zip de la veste lui fit comprendre qu'il allait enfin en decouvrir un peu plus sur elle, tant physique, que son histoire par le biais de dessins... Un peu a la maniére des egyptiens en gros... Une lecture qui allait étre intéressante. Elle était devant lui, en soutiens gorge, cachant une poitrine des plus.... desirable. Il parcourut d'un oeil rapide, les quelques premiers tatouages, mais la lumiére d'un reflet sur de l'acier le calma aussitot... Le couteau apparut sur le torse d'Andrew... Etait ce l'heure pour lui de rejoindre les enfers? Bandô avait elle finit de peter un cable. Il la regarda dans les yeux, voulant croiser son regard au moment du coup mortel.. Mais c'est le t-Shirt qui deceda, coupé en deux par cette arme affuté.
Elle lui transmit alors l'arme, refermant ses doigts sur la crosse sanglante... Elle finit de lui enlever le haut, et s'attaqua a son teton, sensation exceptionnel, de la part d'une langue qui semblait experte... La lame du couteau avait été positionné par la Jap' sur son ventre. Andrew, les yeux mi clos par le plaisir et la surprise, appuya un peu, mais fit faire un chemin de remonter a l'arme, passant le long de sa poitrine, glissant entre ses seins, pour finalement rejoindre l'epaule droite. La d'un cout sec, passant préalablement sous la bretelle, il sectionna le premier maintiens du soutifs, pour poursuivre sur le deuxiéme, qui connut le méme sort. L'arme decrivit le sens inverse, et libéra la poitrine enfouit dans le tissus, en sectionnant le centre de ce derniers... La, tout en gardant la lame mortelle, il plongea, ses lévres vers le cou de Bandô, et ses lévres entreprirent de longue caresses, sa langue y parcourant des parcelles de peau etrangement douces et suave... |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Dim 6 Mai - 23:09 | |
| Andrew pensait mourir dans les bras de son acolyte un décès qu’il aurait souhaité s’il devait arriver ; étrange… MacTyler avait-il nourri des sentiments pour cette énergumène au point de vouloir tomber aux mains de cette cruelle assassine ? Il y avait des liens qui se créaient sur la durée, car à force de côtoyer son prochain, on finit forcément par l’aimer. C’est ce qui se passait partout dans le monde. Mais dans cette maille de sentiments, tissée partout dans l’univers, persistait des relations ambiguë, inexpliquée, improbable… Elles avaient même fait naître des « syndromes » comme celui d’Oedipe ou encore de Stockholm… La nature était vraiment étrange… C’est peut-être le dégoût de cette même nature qui liait de pareils êtres, si répugnés par ce qui le entouraient, que la rencontre d’un semblable les affectaient sur le plan sentimental… Bāndô ne s’était jamais posée la question sur ce qu’elle pouvait bien ressentir, car elle n’avait pas goûté à l’amour, chose dont elle se fichait bien. Cela avait toujours rimé avec le sexe de son point de vue. Et le rapports humains n’avaient jamais été plus satisfaisants qu’un bon rixe sanglant… Seulement, au fil des jours, elle se verra troublée par une chose qu’elle n’avait jamais encore connu… Elle ne le savait pas encore, mais elle allait droit dans le mur, son autodestruction ne ferait que s’accélérer avec la venue de sentiments nouveaux… Tous deux se désiraient, mais ils n’étaient que de faibles enfants en fin de compte, tout comme Ethan l’était… Incapables d’exprimer ce que leur dictait leur cœur… S’en était presque pathétiques, car on les aurait volontiers comparés à de autistes face aux grands maître de la romance, pour qui il était facile de déballer leur sentiments…
A ce moment là, il était presque son jouet ; la marionnette d’une sbires des Enfers : le regard d’Andrew, qui pensait alors mourir, fit sourire la nippone qui désirait plus que jamais d’être celle qui veillerait sur son chef, celle qui serait là pour lui quand il en avait besoin, sur tous les plans…
Alors que son piercing à la langue flattait le téton du boss, la lame de son propre couteau manqua de pénétrer sa chair, car Andrew, à la fois surpris et extasié, ne s’inquiéta pas de blesser la nippone, ses caresses lui promettant maintes folies… Il la déposséda alors de son soutien gorge, qui glissa le long de ses bras, pour rejoindre le t-shirt déchiré d’Andrew. Elle accompagna alors sa veste dans cette chute, se déshabillant ainsi, offrant l’entier paysage plaisant et à la fois horrifique de son tronc. Ses tatouages témoignaient d’une pléiade de souffrances. La nippone prit la main d’Andrew et la déposa sur le creux de son épaule, là où commençait l’histoire de sa vie. Un lotus. Une fleur émergeant des eaux, pure, immaculée… entouré d’un démon aux formes féminines… Bāndô est née dans le vice ; fille de prostituée, elle était condamnée à être déséquilibré, le cadre de son enfance étant un chaotique champs de bataille… Suivant cette fleur, un dragon surmonte son épaule, se glissant jusqu'à sa poitrine, barrant le passage aux lotus encore vierge de toutes douleurs. Les écailles de la bête sont d’un violet sombre : le violet, couleur du 7ème chakra, relation au père, à l'autorité. Le dragon brûle les pétales du lotus, qui finit alors par disparaître à son nombril… Là s’arrête le spectacle car Andrew baisa le cou blanc de la nippone, s’attelant à offrir des caresses douces, si agréable, qu’un frisson parcoure le corps électrique de la tatouée.
Elle l’enlaça alors, levant ses yeux fermés aux cieux ; elle profitait de ces instants de tendresse : à vrai dire, la douceur n’était pas le quotidien de ces ébats, qui pour la plupart étaient de violentes manifestations de désirs égoïstes. Cet échange avec Andrew était sincère… Puis ramenant le visage éclatant de beauté de son boss, au sien, elle déposa un baiser sur son front avant de s’emparer à son tour du cou de son partenaire, qu’elle marqua de deux suçons… Malgré la situation plaisante, Andrew ne se sentait pas à son aise car Bāndô demeurait un danger ambulant, et le boss n’avait pas mis longtemps à comprendre qu’elle vivait de violence gratuite, contrairement à lui… Elle lui répondit enfin, se redressant, le regardant droit dans les yeux…
« Tu insinue que je suis imprévisible ? C’est vrai… Je pourrais te trancher la gorge ici même, et éviter la formation d’un clan puissant, ce qui balayerait le terrain pour moi… J’ai toujours été indépendante… Je n’ai jamais voulu de maître… Mon premier boss est mort, le deuxième m’a trahi, il nous reste cet anglais prétentieux, que vais-je donc faire de lui ?... »
Bāndô, ce personnage dépourvu de charme car potentiellement vulgaire, violente & belliqueuse, se montrait sous un autre jour : le mélange de toxines ayant mis sa nature teigneuse entre parenthèse, la nippone se montrait relativement docile : il en allait de même pour son langage qui ne se composait plus d’un gros mot à la seconde, comme elle savait si bien les aligner dans ses paroles irrévérencieuses. Comme Andrew le ressentait, n’était-ce pas un démon dans un corps d’adolescent, qui montrait alors son vrai visage sous le voile de ténèbres ? Curieuse bête… Quoiqu’il en soit, cela changeait de la langue de vipère caractérielle bien que maintenant, cet aspect d’elle-même n’était pas rassurant… L’anglais ne manqua pas de la prévenir du pesant de ces précédentes paroles, à savoir, l’entière dévotion qu’elle lui offrait.
« Tu ne me fais pas peur... Si tu serais réellement dangereux… tu m’aurais mis aux trottoirs, et je vivrais dans la souffrance à cause d’un mac orgueilleux… Hors je pense que tu es encore un adolescent paumé… n’est ce pas ? »
Andrew découvrait que celle avec qui il avait pactisé, n’avait pas manqué d’essayer de le sonder…
« Si j’ai bien voulu te rejoindre, c’est que j’ai vu que tu n’étais pas un homme complet… Il te manque tant de choses… Tu ne pourras pas me faire de mal, et cela, j’en suis convaincu… Et si tu fais l’erreur qu’a osé commettre ce chien de nippon, tu sais aussi bien que moi ce qui t’arrivera… et belle gueule ou, pas, je m’arrangerais pour te faire vivre un Enfer… »
Elle tendit le bras vers un des joints qu’elle avait présenté à son boss, et l’alluma, avant de tirer une latte, proposant ensuite la beu à Andrew en lui glissant le roulé entre les lèvres. Concernant les prostituées, elle répliqua, toujours aussi posément ; son hystérie des beaux jours se voyait effacé par l’effet de la drogue…
« C’est Shinya qui s’en occupe… Tant que tu me tiens écarté de tes putes, je leur ferais pas de mal… »
L’embrassant à nouveau, elle l’enjoint délicatement à s’allonger sur le matelas, l’accompagnant dans sa danse… Se détachant de ses lèvres, Bāndô se redressa et prit le loisir d’admirer le corps sculpté de son patron, qu’elle couvrit de baisers. Cette brute sanguinaire qui prenait un malin plaisir à torturer ses victimes, était à présent à califourchon sur son boss, lui-même allongé sur un matelas de misère… Image érotique insensée sachant que ces deux là s’insultaient il y a quelques heures… Les baisers de la nippone suivaient les nivellement appétissants du buste d’Andrew, jusqu'à couvrir son bas ventre… Arrivée à son pantalon, elle glissa ses mains de part et d’autre du tissus, l’abaissant pour y découvrir le caleçon du bienheureux. Elle s’arrêta net alors que ses lèvres effleuraient le sous vêtement de l’anglais. Levant les yeux vers lui, elle ajouta :
« D’ailleurs, je vais t’en chercher une… »
Elle avait peine à partir mais un furieux combat se tramait en ce moment même ; un duel entre sa conscience et ses désirs malsains... |
| | | Andrew M Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Mar 8 Mai - 17:15 | |
| Au sein de ce lieux de sang, de meutre de sang froid, de carnage fait par une humaine qui ne ressemblait en rien a ses congénéres, deux étre été en train de se laisser aller a des sentiments bien étranges. Si étrangers pour eux, mais en méme temps si refoulés, laissaient au fond de cette carapace au fur et a mesure forgés pour eviter d'étre a nouveau faibles, des durs, qui jouaient a la tendresse d'un moment unique dans un paysage de Chaos, dans une tuerie sans précédents dans cette ville qui avait alors connu la paix et la tranquillité, mais cela, n'était plus a l'ordre du jours, un Anglais et une Nippon etaient sur le point de changer l'ordre des choses, et jamais plus Cambridge ne dormirait tranquillement, non jamais plus. Mais pour l'heure, les deux personnages était l'un contre l'autre, dans cette cellule ou gisait le corps de la jeune flics, la colonne vertebrale sectionnée.
Andrew regardait Bandô, ne comprenant plus ce personnage, qu'il avait pourtant crut bien saisir. Mais la, elle venait a nouveau de le decontenancer, de lui prouver qu'elle était aussi bien imprevisible dans ses actions, mais aussi dans ses attitudes, voir méme dans ses paroles. La jeune nippon avait reussit ce soir a lui rappeler bien des sentiments.. La peur dans un premiers temps, ou seule, avait été a la charge de ce commissariat, laissant sa vitesse et sa surprise jouer en sa faveur, liquidant a la lame d'un simple couteau des hommes armés, entrainés a tuer, mais qui n'avaient pas fait un plit face a elle, egorgé ou bien trucidé, les visséres a l'air, ou la gorge béante en traduisant cette soudaine capacité a eradiquer des humains sans broncher... Ensuite il y eu le sentiment de respect, oui, Andrew MacTyler devait avouer qu'en ce moment méme, personne ne pouvait se targuer d'avoir son respect, sauf Bandô Urushima, une jeune japonaise complétement timbrée.
Ce n'était pas cette capacité a tuer, ou méme ces paroles si grasses qui faisait d'elle l'admiration légére de son chef, mais plus la facilité avec laquelle elle parvenait a faire ressortir des choses que le British voulait garder pour lui, au fond, inexistant, seulement ce coup ci... Il y avait desormais un peu plus pour ce bout de femme, si l'on pouvait encore appeler Bandô une femme, un peu plus que le respect, un peu plus que l'admiration, bien plus que la confiance d'un patron pour son bras droit.. Il y avait... Autre chose. Un sentiment, qui avait la faculté de faire sortir une douce chaleur, qui faisait bien plus planer que la drogue, si bonne soit elle, mais qui pouvait également étre douloureux... C'était ici le cas. Non, il aurait prefere rester pro avec elle, ne pas tomber dans ce tourbillon qui ne devait qu'empirer au fure et a mesures de leurs collaboration bien anbigue...
C'est alors qu'elle retira sa veste, suivant le chemin des autre tissus qu'avait dechiré le Couteau bien necessaire ce soir. Devant, se tenait les images de toute une vie, de la vie si noire d'une jeune Nippon derangée, d'une jeune femme qui aurait put étre autres si sa vie n'avait pas été celle là, mais c'était ainsi, et le regard bleu glace d'Andrew se posa alors sur le dessin qui était juste au dessus de sa main que Bandô venait d'accompagner a la base de con cou si délicieux... Il les regarda, admiratif, curieux, obnubilé par ces tatouages, deja bien réalisé, mais qui étaient tout aussi parlant. Nul besoin de comprendre leurs signification pour savoir qu'elle avait dut souffrir, que sa vie n'avait été que terreur et coté obscure... oui, Bandô n'avait pas eu la méme que lui, loin de la méme. Andrew avait toujours eu ce qu'il avait voulut, son pére richissime n'avait fait que rincer son fils d'argent pour pouvoir étre peinard, et de ce fait, il avait engendré un future exploitant de la drogue et des vices... Tout cela n'avait été au depart qu'un simple jeu pour l'Anglais, mais aujourd'hui, aidé en cela par un esprit vif et calculateur, il était parmis ceux qui était en passe de diriger la nuit de cette ville, et avec Bandô avec lui, c'était deja aquit...
Elle parla alors d'un ton calme, froid, relativement plus dangeureux qu'a l'habitude, cette bandô la était encore plus sombre que la dégénéré qui hurlait des insultes a tout bout de champ, non celle la était posé, et bien plus terrifiante. Oui elle pouvait lui tancher la gorge, et recuperer ainsi le monopole du vice ici, sans Andrew, c'était elle la patronne, ainsi avait été le mots d'ordre passé a tout ses dealers... Et si elle en profitait aujourd'hui? Etrangement, il se doutait qu'elle ne ferait rien... Pourquoi? Lui qui ne pensait qu'a sa petite personne, se foutant totalement de la vie des autres et de leurs conforts, prenait le temps de reflechir pour elle... Il avait envie de la connaitre, de la decouvrir et méme... Bien plus. Mais ce n'était qu'une illusion ephémére, elle était une tueuse, redoutable, et elle venait de lui faire comprendre... Méme si pour lui les sentiments douteux persistaient a étre la, ancré au fond d'un coeur qu'il pensé depuis longtemps en Kevlar.
- Tu pourrais en effet me trancher net la gorge... Tout ce qui est aujourd'hui a moi te reviendrais... Tu te dis en plus Indépendante... Alors pourquoi? Hum, pourquoi ne le fait tu pas? Que gagne tu avec moi, tu refuse méme détre payé pour tes services?
Voila ce qui le troublait le plus. Bandô aurait put travailler pour n'importe qui d'autre, voir méme seule, cherchant a se faire du profit en tabassant des dealers ou des macs. Alors pourquoi travaillait elle pour lui? Et pour rien qui plus est... Un doute, voila ce qu'il n'aimait pas... Que cachait elle, que voulait elle? Il sourit a sa deuxiéme tirade, lui, faire peur? Non, il embauché des gens pour ca, il n'était pas un monsieurs muscle, mais un visionnaire, un dirigeant... Rien de plus.
- Qui te dis que c'est la peur que j'aimerais te faire ressentir? Je ne suis pas de ton calibre pour ce qui est de faire monter la pression chez les gens mon bout de nem... Loin de là méme...
Elle lui expliqua en partie le pourquoi de son adhesion a son club, mais des mots bien étranges fusérent, lui, un homme incomplet?
- Que me manque t'il pour étre complet alors? Que m'approte tu toi pour me rendre totalement homme? Raconte...
Il sourit, mais se laissa poter sur le matela, accompagnant le visage de la belle nippon vers lui, mais elle resta a claifourchon, embrassant son corp nue, lui arrachant un soupir sous le plaisir des coups de langues merveilleux que lui offrait Bandô.. Il accompagna ses mouvement de la main, caressant lntement ses cheveux, et sentit alors son pantalon tomber, aux cheville, le laissant en boxer face a elle... La bouche de la jeune femme effleura alors le tissus, mais elle finit par tout stopper... Elle allé lui chercher une pute, pour finir se travail qu'elle méme avait commencé... Il fronca un peu les sourcils, non, ce soir il n'avait pas envie d'une pute, ni méme d'aucune autre femme... Ce soir, voir méme plusieurs soir dans les mois a venir, c'était elle, oui elle cette degénére mentale, cette tueuse de sang froid, cette nippon deboussolée qui tenait le boss exité, qui l'attirait, qu'il desiré ardement...
Alors qu'elle se reculait, il lui prit doucement le bras, et l'arreta dans sa course.. Il sourit lentement, bataillant entre son envie puissante pour elle, et son statut de chef de clan... Professionel, pas intimes...
- Ca ira pour ce soir Bandô... Merci pour la soirée, ce fut une exceptionnel demonstration de ton potentiel...
Il se pencha, et ses lévres se posérent a ,nouveau sur celle de la Jap, tendrement, mais legers... Quelle douloureux moment, si doux, si bon, mais interdit par sa conscience... Il se releva, et recupera alors ses affaires en lambeaux... |
| | | Bandô Ur Invité
| Sujet: Re: [PV] ~> Virée Nocturne Mar 8 Mai - 20:01 | |
| Une des cellules du commissariat servait de nid d’amour à un couple de brutes sanguinaires… Cela relevait presque de la fiction… Bāndô montrait une autre facette d’elle-même… On pouvait craindre un certain bipolarisme, enfoui sous cette personnalité chargée… Elle ne répondit pas à la question de l’anglais sur sa dévotion étrangement aveugle… Mais elle ne le laissa pas ses interrogations qu’il portait sur la peur qu’elle dénonçait. La nippone l’éclaira sur son point de vue : si elle croyait qu’Andrew lui ferait du mal, c’était par simple conviction…
« Parce que tu es un homme… Tout simplement… Vous possédez l’art de la destruction… Rien d’autre… »
Tel un enfant, il questionna alors la bien pensante sur les sous entendus vastes qu’elle glissait dans ses mots.
« Sur le plan humain je ne vais rien t’apporter… ça, c’est aux autres de le faire… Et je ne vais pas leur mâcher le travail… »
Lorsqu’elle voulut se redresser et qu’il l’arrêta, Bāndô ne le regarda pas dans les yeux, fixant de biais le cadavre de la policière. Andrew eut la sagesse de stopper le jeu de son côté. Ce qu’il fit comprendre en quelques mots, et en un tendre baiser.... Elle n’eut rien à ajouter, se relevant, elle se rhabilla, dos à son boss. Elle semblait perdue, échouée sur on ne sait quelle rive de son monde… Ramassant son couteau, elle le glissa dans sa poche, avant de quitter la cellule, laissant la drogue et les cadavres en plan. Urushima jeta un regard par-dessus son épaule, invitant Andrew à la rejoindre. Dehors, c’était la panique. Des fous furieux s’agitaient en tout sens, certains, étant de simples citoyens un brin nerveux, étaient rentrés chez eux depuis longtemps… Sa moto était là, intacte, n’attendant plus que sa propriétaire. Elle la chevaucha, à la suite de quoi Andrew dut la rejoindre. Durant le trajet, elle ne souffla pas un mot. Bāndô, qui, à l’aller roulait à vive allure, conservait une conduite relativement calme… Elle dépassait cependant les voitures, sans trop prendre de risque : la japonaise était consciente d’être déboussolée, si elle dépassait les 170 km/h comme tout à l’heure, elle n’était pas à l’abri d’un accident… Le duo s’arrêta devant un hôtel de luxe. Urushima descendit, ne prenant pas la peine de regarder si Andrew la suivait. Elle pénétra les lieux : s’avançant, silencieuse, vers le réceptionniste, elle ne lui laissa guère le temps de l’accueillir que sa tête pencha dangereusement vers l’arrière, un trou béant à la place de son cou que la furie avait entaillé profondément. Le cadavre, au lieu de s’écrouler lourdement au sol, resta étrangement figé… Dans un hôtel de cette classe, il y avait normalement une sécurité irréprochable… Bāndô regarda ci et là où les gorilles pouvaient donc bien se cacher. Elle en trouva un, en train de vociférer sur un client. Tranquillement, elle lui demanda, telle une citoyenne modèle…
« Vous êtes seul… ? »
Se retournant, il affirma qu’il était l’unique gardien ce soir là, mais à peine se fit-il comprendre, qu’il se reçut une lame en plein ventre. La nippone déchira ses viscères en sabrant l’agent de sécurité de long en large. Il tomba, inanimé. Le terrain était préparé. Elle revint à l’accueil, et chercha des yeux une clé ; elle prit une chambre du dernier étage, à ce qu’il parait, les plus cotées. Bāndô prit l’ascenseur avec son boss… Bras croisés, elle ne daignait toujours pas à s’adresser à son patron, muette qu’elle était… Arrivés tout en haut de l’hôtel, la nippone lui ouvrit la chambre luxueuse qui l’attendait et, arpentant les couloirs, elle se mit à s’inviter dans chaque chambre, cherchant de quoi satisfaire Andrew. Elle trouva un couple en plein ébat ; trucidant l’homme au couteau, elle prit la femme par les cheveux, la traînant au sol… Urushima balança la créature ensanglantée sur le lit de la chambre de son boss. Ce faisant, elle tourna les talons vers le couloir et disparu… Alors que les portes de l’ascenseur se refermaient sur elle, Bāndô releva les yeux vers l’anglais, bourreau de son cœur…
Là voilà dehors… Une pluie fine commençait à percer les nuages… Levant la tête vers le ciel, Bāndô laissa son visage en sang, se purifier à l’eau claire des cieux… Elle avait promis à son boss, un carnage sanglant… Si elle n’avait pas pu lui offrir ce qu’ils désiraient tout deux, elle pourrait sans conteste le contenter avec le sang de ceux qui l’avait trahi… Cette fois-ci, elle s’attaquait à un clan, venir les mains vide serait une erreur…Son cylindré fila à travers la ville : elle s’arrêta à un bar, qui servait alors de couverture car en réalité, il n’était rien d’autre qu’une armurerie, celle qui fournissait le clan. Lorsque le gérant vit le visage de celle qui était sensé être morte & enterrée, il pâlit, paniquant. Elle le rassura :
« Tu ne vas pas mourir… Pas ce soir du moins… Mais tu vas me rendre un service… »
Refuser serait mettre en danger la vie de ses proches : il acquiesce et écouta attentivement la nippone…
Avant de s’attaquer au gros du poisson, Bāndô retourna sur les lieux où elle avait laissé le cadavre de la traîtresse nourrir les rats des ordures : s’y trouvait trois hommes du clan, répugnés par l’offensive de la nippone. Elle ramassa une barre de fer qui traînait là, et tapis dans l’ombre, elle observa le trio. Mais voilà… Son esprit était embrumé par les récents événements. La marginale avait fait l’erreur de réveiller chez Andrew, des pulsions qu’elle-même nourrissait pour lui… Et maintenant, l’odeur de sa peau, l’image de son corps, la sensation de ses lèvres, tout lui revenait en mémoire comme un violent retour de bâton. Elle avait du mal à y voir clair. Mais tant pis, il fallait passer à l’attaque… Sortant de la ruelle noire, elle abattit la barre métallique sur le crâne du premier homme, qui fut tué sur le coup. Elle profita de l’effet de surprise pour se ruer sur le second : mais elle s’arrêta un instant, un instant où la chaleur d’Andrew reconquérit son corps, un instant de trop. Urushima vola contre le mur ; son dos se heurta aux briques. Qu’est ce qui lui arrivait donc ? Elle devait reprendre ses esprits, se laisser ainsi avoir n’était pas dans ses habitudes, elle qui était connue pour sa grande vélocité qui dérouterait un Goliath. Elle reparti à l’assaut, atteignant le ventre d’un des assaillants du bout de son arme de première main. Il se contorsionna ; elle l’enchaîna, visant cette fois-ci la tête d’un coup qui ne le pardonna pas. Le troisième s’abattit sur la nippone : elle para sa lame, opposant sa barre contre le couteau de son agresseur. Un bruit électrique signa l’attaque. Une fois de plus, son cœur paralysa son esprit ; elle faiblit, ce que le nippon ne manqua pas de remarquer. Bāndô se prit une droite magistrale, qui l’envoya valser, elle et son arme, contre un talus. Alors qu’il s’avançait vers elle, couteau en main, elle regarda son reflet dans une flaque d’eau, et comprit alors... Ce qu’elle redoutait tant, lui était arrivé cette nuit… Il ne fallait pas se laisser abattre… Ce n’est pas aujourd’hui qu’on lui fera la peau… Elle fit mine de ne pas préparer sa défensive : il sauta aveugle sur l’occasion, et pensant planter sa lame dans le cœur de la japonaise, il se retrouva avec quinze centimètre d’argent dans les tripes, tandis ce qu’Urushima tenait fermement le couteau du futur cadavre. Il s’écroula alors… Non… Elle ne voulait pas de cela… Pourquoi lui… Se relevant difficilement, elle essuya ses lèvres… Andrew allait finir par la tuer… Elle devait être forte…
Les nuages noirs s’annonçaient rien de bon… Bāndô se tenait face au QG du clan, leur planque, là où à cette heure-ci, ils étaient tous rassemblés sans exception, pour prendre du bon temps. Le garde à l’entrée la reconnut immédiatement : il voulut alerter les autres mais il s’arrêta net : Urushima se tenait face à lui, lui présentant ses mains vides. Stupéfait, il resta un instant coi, avant de la fouiller, lui accordant la rencontre. Elle n’avait pas d’arme… Il eut un sourire amusé ; la marginale fonçait droit à la mort. Elle était à présent face à son ancien boss, qui la toisait, à la fois déconcerté de voir qu’elle était revenue, et en même temps, agréablement surpris… Bāndô, assise à la japonaise, baissait les yeux, ce qui rappela au patron sa dévotion passée. Voulait-elle intégrer le clan, alors qu’une trahison l’avait guetté ? Il la questionna, curieux de savoir ce qu’elle était venue chercher, sans arme… Elle ne répondait pas… Il s’impatientait… En réalité, elle ne baissait pas les yeux par déférence : la nippone n’avait cessé de fixer une des planches du sol, légèrement bancale… Enfin, elle releva la tête, et s’adressa à l’homme, un sourire sadique aux lèvres
« Je suis venue chercher ta tête, et toutes celles de tes frères »
Il ria de plus belle, se moquant de l’impertinence de son ancienne sbire. « Tu ne changeras pas, tu ne comprendra donc jamais que tes élans kamikaze te tueront… Et bien laisse moi te le montrer… » avait-il dit… Mais à peine ses paroles furent-elle prononcées, qu’un bruit sec de bois se fit entendre : le poing de Bāndô venait de traverser le plancher, là où son regard s’était posé durant le monologue de ce rat. Lorsqu’il vit le fourreau de plus d’un mètre entre les mains de sa meurtrière, le chef du clan tressaillit. Sans attendre, Urushima dégaina sa lame, et, courrant vers le nippon, elle le décapita. Le vieux de l’armurerie avait bien fait son boulot… Elle lui avait laissé vingt minutes… Vingt minutes pour cacher le katana de la demoiselle sous une des planches qui composait le sol de la grande salle. Il la marquerait d’une entaille que seul quelqu’un d’assez proche du plancher pouvait percevoir. Elle avait eut tout le temps de chercher la faille, alors que son ancien boss s’adressait à elle, sans qu’il lui fût rendu de réponses. Urushima savait qu’à cette heure précise de la nuit, ses anciens frères invitaient les filles, personne ne verrait le vieil armurier s’introduire dans la grande salle… En utilisant un katana, elle avait voulu leur rappeler leur racines… ses origines dont la fierté était maîtresse, fierté qu’ils semblaient avoir oublié car le clan avait utilisé des méthodes lâches pour mettre un point final à la jeune carrière de leur élément le plus efficace… Et à présent, la furie était armée, en plein centre de leur QG, alors qu’ils s’adonnaient aux plaisirs de la chair quelques pièces plus loin. Le massacre ne dura pas bien longtemps : son sabre fendait les airs, sa dextérité ne trouvait pas de pareille… Certains apprennent le piano, d’autres, le basket… Bāndô s’était donnée corps et âmes dans l’art de tuer, et cela, depuis son plus jeune âge… Le kendo était la seule pratique avec laquelle elle s’autorisa à se discipliner. Nul besoin de cours de boxe lorsqu’on vit dans la rue, livré à nous-mêmes… Sa grande force résidait dans son acuité : tandis ce que d’autre gonflait leur vie d’artifices, elle, s’était consacrée entièrement à tuer son prochain… Son talon d’Achille sonnerait à coup sur sa perte… Andrew, Ethan, deux hommes qui signaient l’épitaphe de la belle…
Le lendemain, on parlait d’un carnage inhumain : des corps sans têtes, des mises en scènes gores, un règlement de compte, des yakusa s’affrontant entre eux, les langues se déliaient, tandis ce que Bāndô, loin de ces ragots fades, se remettait en question, fixant le ciel clair d’une froide matinée, lovée dans ses habits, perchée sur le toit d’une usine abandonnée… Ce sentiment universel qu’était l’amour, faisait perdre la tête à toutes les créatures de ce monde, les bêtes noires y compris… |
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