Sieste Pédagogique [Libre]

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Au fur et à mesure que l’étreinte avançait dans sa progression, Roxane découvrait, enjouée, un Hoshi beaucoup plus attentionné qu’il ne paraissait l’être à première vue. Maintenant qu’elle était sur lui, inclinée vers l’avant pour garder leur poitrines en contact, elle se rendait compte qu’il était très polyvalent comme amant et qu’il savait jouer tous les rôles, passant de l’homme tendre et romantique à l’homme plus entreprenant, plus dominant.
Elle sentait la main d’Hoshi monter et descendre le long de son dos, la faisant frissonner à chaque passage de sa peau de pêche contre son échine ultra sensible. Elle restait immobile durant quelques instants, lui laissant le temps de reprendre un peu de souffle, contemplant avec tendresse son beau visage posé contre le carrelage qui, aussi brillant qu’il était, semblait terne à côté du teint pur du Japonais. Presque comme un chat elle frottait sa joue contre la main qu’il venait de poser sur son visage. Les yeux fermés elle savourait le contact de la paume de sa main contre sa joue, ils partageaient un moment rare de tendresse et de passion.

Puis elle rouvrit les yeux en l’entendant parler. Elle ne pu s’empêcher de sourire à ses propos, à l’évidence ils avaient les mêmes ambitions en ce qui concernait la durée que se devait d’avoir leur rapport.
Elle posa sa main par-dessus la sienne et se pencha à son oreille pour lui susurrer sa réponse.

" Ne t’inquiètes pas pour ça … " Murmura-t-elle en lui embrassant délicatement le lobe de l’oreille et en entamant de légers mouvements de bassin pour répondre à ses attentes.

Elle commençait doucement, très lentement, appréciant les nouvelles sensations que lui apportait cette position de domination. Elle restait toujours un peu penchée, profitant encore une fois de l’odeur enivrante du jeune homme. L’un de ses coudes prenait appui sur le carrelage et sa main venait se perdre dans les cheveux d’Hoshi, caressant doucement ses mèches blondes. L’autre main passait sur le flanc du jeune homme, appuyant juste assez sur la peau pour toucher les muscles de son torse et pour sentir sous ses caresses la respiration de son amant qui s’emballerait quand elle accélérerait ses mouvements de bassin. Quant à ses jambes, elle se resserrèrent contre les siennes, caressant entre deux mouvements de va et vient ses longues jambes musclées.
En lovant sa tête dans le cou du Japonais elle pouvait à présent embrasser doucement la peau délicate qui se soulevait au rythme de ses respirations. Elle descendait même parfois jusqu’à ses épaules, mordillant au passage ses clavicules.
Si elle avait du choisir une partie du corps du jeune homme à aimer le plus s’aurait précisément était les clavicules, l’endroit où elle avait goûté sa peau pour la première fois dans le couloir quand ils étaient sortis de l’Amphi …

Après quelques minutes de douceur, elle accéléra un peu le mouvement, histoire de tenir en éveille Hoshi et de stimuler son envie. Emportée par le désir qu’elle éprouvait pour le jeune homme, elle se laissa aller totalement à leur étreinte et se redressa un peu plus à la verticale pour pouvoir admirer le visage d’Hoshi alors que son plaisir grandissait, s’exprimant par des gémissements de plus en plus prononcés…

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Instant de tendresse qu’elle lui offrait, il la découvrait chatte alors qu’avant elle était chienne (Simple comparaison, n’y voyait rien de vulgaire.). C’était une autre des multiples facettes qu’il s’attardait à découvrir, et dont il était persuadé, intérieurement qu’il n’en avait découvert qu’un quart de cette demoiselle qui n’avait abattu ses cartes qu’une par une, et dont elle devait avoir encore un bon jeu en main. Que rêver de mieux pour stimuler une curiosité sommeillant en lui, ce qui le pousserait à provoquer une rencontre, encore. Oui, elle ne s’en tirerait pas si facilement que ça. Mais la manière « chatte » de la jeune femme l’attirait étrangement ; il avait apprécié bien entendu les autres facettes également, mais ce côté la qu’elle pouvait avoir lui plu particulièrement plus que les autres côtés. Peut-être était-ce sa façon d’immortaliser cet instant, alors qu’aucun mouvement de bassin n’était créé, ni par lui, ni par elle, et que juste leur immobilité rappelait une statue, une pose, dont les souvenirs se rappelleraient encore, pour l’Asiatique. Un photographe serait touché par tant de beauté, tant de douceur et tant de naturel dans cet acte qui l’était, bien évidemment, mais dont bien des jeunes pourraient en faire un acte de sauvagerie.

Brisant enfin le silence, l’inactivité, elle relevait à peine son minois pour observer celui, brillant, d’Hoshizora, qui avait maintenant repris son souffle et qui était à la totale merci de Roxane, une cavalière adepte du plaisir. Comment ne pas se démonter de sentiments hasardeux devant pareille compagne ? Elle avait tout pour elle, et le jeu en deviendrait dangereux pour Hoshizora s’il venait à la revoir sans doute, mais qu’importe, il prendrait le risque, plus tard. Pour le moment, simplement, il savourait le regard de l’italienne qu’il savait poser sur lui, et cette joue qui cherchait à approfondir le mouvement encore de la main de l’étudiant. Un petit soupir d’aise qu’il laissait échapper de ses lippes, puis un sourire ravi, satisfait de son choix qui s’était porté sur la plus désinvolte des élèves. Après sa réponse à ses attentes de douceur, d’étreinte fusionnelle passionnée, elle vint embrasser le lobe de son oreille et laissait enfin paraître tout son talent de cavalière douée lorsqu’elle offrait quelques légers coups de bassins. Les mouvements e bassins de Roxane offrait une sensation tant à lui qu’à elle, nouvelle. C’était une nouvelle sorte de plaisir, elle pouvait contrôler le tout dans l’acte. Les caresses, les baisers, la pénétration même qu’elle pourrait contrôler. C’était une sensation nouvelle pour ce petit couple d’amant, mais en aucun cas séparément pour eux deux, qui laissait voir leurs expériences communes dans ces actes de douceurs. Ils connaissaient tous deux ce qui plairait à l’autre, cherchant le plaisir de l’autre, assurément.

Penchée sur lui, elle savourerait à sa guise son parfum de menthe dont elle ne semblait pas se lasser, de même que de ses cheveux, dont elle aimait à caresser les mèches blondes cendrées. Des caresses qu’il trouvait nouvelle, qu’il sentit contre son flanc. Les doigts de la demoiselle jouaient avec ses muscles, qu’elle retraçait et découvrait d’une manière habile, devinant même la respiration qui pouvait reprendre un rythme accéléré lorsque les mouvements de Roxane avaient repris. Une manière délicate de croître ou non ses mouvements, cherchant à décupler le plaisir de son partenaire qui lâchait soupir sur soupir. Ses clavicules subirent l’assaut de ses lèvres, au grand plaisir d’Hoshi qui sentit un frisson lui en électriser toute son échine, et qu’il cambre son buste à l’appel de ses lèvres gourmandes, pour en demander plus encore. Puis…la douceur avait assez duré, et la jeune femme prit les choses en mains, décuplant d’un seul coup le plaisir de l’étudiant, lorsqu’il sentit les mouvements de son bassin s’accélérait, le buste se redressait. Les gémissements de plaisirs qu’elle laissait à croître dans amphithéâtre, vinrent se mêler à ceux d’Hoshizora qui ne manquait pas non plus d’exprimer son bonheur. La position d’Amazone qu’elle adoptait sur lui permit à son regard de croiser le sien, si cela était encore possible, et à ses mains de trouver chacune l’un de ses seins qu’il prit en pleine main pour les soupeser, et accompagner sa déesse de l’amour dans ses mouvements. Ses seins, il en appréciait tant la douceur, la fermeté qu’il savait leur donné…Elle savait plaire.

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Alors qu’elle s’appliquait à accélérer ses mouvements de bassin de façon continue, Roxane pu sentir les mains d’Hoshi se poser sur elle, lui caressant les seins, la soutenant, l’aidant dans sa chevauchée. La tête de la jeune femme bascula en arrière comme pour tenter vainement de reprendre une respiration qu’elle savait qu’elle ne retrouverait plus. La peau de son ventre était tendue par le plaisir qu’elle prenait à se trouver au dessus d’Hoshi, jouissant de chaque nouvelle pénétration qu’il lui offrait.

Elle se laissa un peu dépasser par les événements, ne s’attendant pas à prendre tant de plaisir d’un coup. Ses mains vinrent se glisser sous le jeune homme, quelque part au niveau de ses omoplates et, avec des gestes aussi tendres que pouvait le permettre la situation, elle le rebattit contre elle, le relevant en position assise pour qu’elle puisse de nouveau sentir son torse contre ses seins. Elle haletait en se serrant contre lui, perchant sa tête contre son épaule, elle l’embrasser au niveau de la nuque en gémissant de plaisir. Elle était étroitement collée à son amant, chaque fois que leur peau glissait l’une contre l’autre à cause des mouvements effrénés de bassin elle souriait et soupirait d’aise.

Roxane était douce et sauvage en même temps, comme si elle avait peur de casser son jouet (comprenez Hoshi ^^), elle était en même temps impatiente et réticente d’en finir.
Parfois elle ralentissait un peu son rythme, histoire de calmer le jeu et de calmer la passion débordante qu’elle sentait naître en eux.
Deux envies bien distinctes sommeillaient en elle : garder une attitude douce et tendre, protectrice presque, à la manière d’un couple et donner tout ce qu’elle avait pour donner le plus de plaisir possible à Hoshi. Elle faisait donc tout pour concilier ces deux envie, alternant entre délicatesse et sauvagerie, entre caresses légères et caresses soutenues.

A cheval, contre le Japonais, elle sentait qu’il fallait qu’elle se calme un peu sous peine de s’emballer trop vite. Elle vint frotter sa joue contre celle du jeune homme, appréciant le contact velouté avant de venir chercher ses lèvres encore une fois. Elle y déposa juste le bout des sienne qu’elle garda plaquées à celles d’Hoshi le temps de se reprendre et surtout de se calmer. Il pouvait sentir la poitrine de l’Italienne se soulever au rythme de sa respiration qui était bouleversée. Troublée par tant de plaisirs, elle passa ses bras autour du cou de son amant dans une attitude d’exclusivité et de protection, comme si elle voulait s’assurer qu’on ne lui enlèverait pas cet homme avant qu’ils n’aient fini de s’étreindre. Pour ajouter encore à son emprise, ses jambes vinrent solidement se croiser dans le dos du jeune homme, ce qui provoqua chez elle un petit cri de surprise et de joie en même temps, cette position les rendait plus proches qu’elle n’avait pu l’imaginer en l’entreprenant.
Jamais elle n’aurait pu rêver être aussi serrée contre lui, leurs intimités était définitivement soudées, on ne pouvait pas faire mieux, leur buste se caressaient sur la totalité de la peau et le contact complet de leur ventre permettait à chacun de sentir la respiration précipitée de l’autre … Même leur visage étaient unis grâce à ses lèvres qu’elle avait posé sur celles d’Hoshi.

De l’extérieur il aurait était difficile, dans l’obscurité pesante, de distinguer qui était qui, leurs corps étaient si intimement imbriqués l’un dans l’autre qu’ils semblaient ne former qu’une seule et même personne.

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Roxane, Roxane, Roxane…une jeune femme pleine de surprise qu’elle est. Muse qu’elle était dans le domaine des plaisirs. Intarissable jeune femme, inépuisable, elle savait montrer et donner tout ce dont pouvait espérer un homme. Si elle était en couple, et qu’Hoshi en saurait quelque chose, il jalouserait sans doute l’homme alors, mais pour l’heure, il n’y avait pas lieu de nourrir pareil ressentiment, il fallait juste qu’il profite. Douce et câline amante, elle prenait soin de son « jouet » comme il le fallait. Des caresses, des baisers et des mouvements de reins…Une véritable déesse de l’amour qu’elle était, elle parvenait à le faire défaillir. Alors qu’elle menait la danse d’une main de maître de leurs ébats sexuels, il sentit les mains de l’Italienne se faufiler comme elles le pouvaient contre son dos, à hauteur des omoplates, pour amener le buste du jeune homme au sien. Les mains du bellâtre quittèrent donc les seins de la jeune femme, ses muscles du torse se chargerait bien de ce contact délicat qu’il semblait tant apprécier, et elles glissèrent donc contre les reins de la jeune femme, l’une se glissant sur ses fesses pour l’aider dans ses rythmes aléatoires qu’elle imprimait sur son membre qui ne défaillait en rien, pas encore. A l’invitation muette de Roxane, il pressait donc son buste contre son torse, et ses pectoraux arrivaient à hauteur de la poitrine de l’étudiante, qu’il comprimait alors, pour sentir ses pintes se dressaient sous l’étreinte.

Subitement, après cette étreinte qu’elle lui offrait, l’on sentait la Roxane se muer. Tel les gémeaux, elle possédait deux côtés qu’ils pouvaient faire surgir à leurs bon vouloir bien sur, mais elle, les deux ressortaient d’une seule et même facette. Etrange Roxane, mais si envoûtante. Dans pareille position, elle avait sans doute prévue que la pénétration en soit décuplée, et qu’une fois encore elle aurait le monopole de leurs plaisirs, tant par celui de l’asiatique, que par le sien. Une confiance aveugle dans les mouvements de la jeune femme, il savait pertinemment qu’elle ferait en sorte que leurs plaisirs en soit décuplé, et partagé. Aucunement égoïste jusqu’à présent, elle ne pouvait le devenir à l’instant. Elle offrait tout son savoir faire d’une étreinte charnelle parfaite. Rien n’avait été laissé au hasard de ses caresses, rien n’avait été oublié dans ses douceurs qu’elle lui accordait. La tigresse qu’elle avait pu être au début de sa cavalcade héroïque se calmait un peu de peur de partir sans doute trop vite dans un orgasme qu’elle ne voudrait atteindre encore, préférant tout bonnement profiter pleinement de l’intrusion de l’Asiatique en elle. La joue de Roxane vint se frotter contre la sienne tel un félin quémandant les caresses, et ce petit geste que l’on pouvait trouver mignon, ou horrible, selon son avis, avait soutiré un petit sourire délicat. Il avait apprécié cette attention comme il avait su apprécier toutes les facettes de la très belle Roxane. Parfait petit couple amoureux qu’ils représentaient, ainsi enlacés. Il est vrai qu’il était particulièrement rare de retrouver deux amants, parfaits inconnus ainsi lovés l’un contre l’autre, mais peut-être était-ce le charme de l’un et l’autre qui les poussait à finalement se trouver dans pareilles étreinte. Douce, câline, la jeune femme se muait en parfaite petite amie envers son amant qui n’en ferait rien pour s’y détacher, il était bien, tout contre elle, et pour qu’elle puisse bien le sentir, ce réconfort, cette protection que lui aussi voulait lui faire savoir, connaître, il glissait ses mains sur son dos, au bon milieu, pour la plaquer contre lui, comme une étreinte d’adieu que l’on adresserait à la personne que l’on aime. C’est mignon, touchant même.

D’un geste assuré, elle croisait ses jambes autour de sa taille, et le petit cri de surprise qu’elle pu pousser à cette occasion arrachait un sourire et un soupir de satisfaction à notre bellâtre japonais ; Sentir une telle passion entre leurs deux corps soudés le rendait ivre de désir, ivre d’elle. Les lèvres de Roxane trouvèrent celle d’Hoshi, une nouvelle fois, et c’est à son tour qu’il lui offrait un long baiser langoureux, délicat, attentionné, mêlant une pointe d’un sentiment nouveau entre eux. Sa langue courrait le long de ses lèvres, cherchant la moindre faille pour se faufiler, et trouver sa jumelle, pour une invitation à la danse de leurs langues. Le visage incliné de manière tout à fait charmante sur le côté droit, il se soude à elle, ne voulant pour rien au monde que cela se finisse, pas encore. Autour d’eux, plus rien n’existait. A son ouïe ne résonnaient que la respiration de la jeune femme, quelques gémissements et soupirs, mais rien d’autre. Et sentir le ventre de la jeune femme se gonfler de désir contre le sien lui arrachait toujours ce sourire qu’elle lui avait connu lors de leurs premières paroles.

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Collée à Hoshi, Roxane sentait qu’elle avait dépassé de trop loin le point de non retour et que son désir était trop violent, trop intense pour qu’elle puisse le calmer. En sentant qu’il partageait son envie d’un contact plus doux, plus « intime » en quelque sorte, même si le niveau d’intimité était déjà bien élevé, elle avait senti naître au plus profond d’elle-même un nouveau désir, moins sauvage mais plus pressant.

Le fait qu’il la serre si fort dans ses bras lui engourdissait tout le corps de frissons, se sentir désirée la rendait folle d’envie et c’était un cercle vicieux car plus son envie augmentait moins elle arrivait à garder un quelconque contrôle sur la situation. Sentir les mains d’Hoshi lui caresser le dos et les reins, l’accompagner dans ses mouvements de bassins, c’était comme sentir le plaisir à l’état physique la toucher. Elle se délectait du contact de leur buste, comblée par le frottement des pectoraux du jeune homme contre sa poitrine gonflée de désir.

Elle jouait avec la joue du Japonais, y frottant la sienne, ne se lassant pas du contact si doux de sa peau de pêche. En fait s’était tout son corps qui ne se lassait pas du contact de celui d’Hoshi et elle aurait voulu pouvoir rester des heures à profiter de ses caresses. Lorsqu’elle avait refermé ses jambes autour de lui, elle avait nettement montré qu’à présent il était à elle, du moins jusqu’à la fin de leur étreinte.
Elle était partagée entre l’envie de rester là, contre lui à profiter de l’instant et celle de suivre son envie pressente de redonner une nouvelle fougue à leurs ébats. Le baiser qu’ils échangeaient vint choisir pour elle, il était plein de passion et de délicatesse, il lui fit tourner la tête et elle se laissa aller en avant, emportant Hoshi avec elle pour ne pas mettre fin à un si beau baiser. Elle était allongée sur lui, entremêlant ses jambes aux siennes, cherchant à tâtons les mains du jeune homme pour faire se croiser leurs doigts.
Lorsque absolument toutes les parties de leur corps furent mélangées, elle passa encore une fois sa jambe autour de celle d’Hoshi pour basculer sur le côté et se retrouver de nouveau en position de soumission. Elle voulait jouer du poids du jeune homme pour se sentir totalement conquise, presque comme possédée.

De le sentir de nouveau au dessus d’elle la fit gémir, elle se cambra avec souplesse, cherchant ainsi à stimuler l’envie du Japonais. Avec le changement de position, le désir venait de reprendre le dessus sur la tendresse et son baiser se fit plus fougueux, plus langoureux, elle goûtait à la langue d’Hoshi comme elle aurait goûté à un plat tout particulièrement succulent. Ses mains revinrent sur le dos du jeune homme, glissant lentement le long de ses muscles pour venir frôler ses reins avant d’atterrir sur ses fesses où elles exercèrent une pression légère pour permettre une nouvelle pénétration, plus soutenues que les précédentes, plus intense, une pénétration qui la fit pousser un petit cri de plaisir.

Bizarrement elle n’avait jamais encore eut ce genre de sentiment lors d’un rapport charnel avec un homme. Jamais elle ne s’était souciée de donner à son partenaire autant de plaisir qu’elle n’en prenait et elle se surprit elle-même à éprouver de la tendresse pour cet inconnu avec qui elle était en train de faire l’amour. En le sentait entrer en elle c’était comme si elle apprenait à le connaître mie que par des mots et celui lui suffisait amplement pour l’instant. D’ailleurs ses gémissements le prouvaient, son visage serein et ses gestes saccadés de plaisirs, elle s’entait doucement l’orgasme arriver, par vagues successives amenaient par le mouvement de leurs corps brûlant et avides l’un de l’autre.

[Navrée d'être longue à répondre, Bac Blanc en vue Mad

]

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[ Pas de soucis ma Muse. je comprends tout à fait, et ne vous en tiens pas compte. Bonne chance pour vos examens. ]

Lié l’un à l’autre tant par leurs deux buste soudés que par leurs intimités approchées, il était étrange la manière dont ces deux-la s’adonnaient à des plaisirs de la chair. Hoshi s’évertuait à prendre un peu plus contre lui comme il le pouvait, la jeune femme. Une jeune femme nommée désir que l’on pourrait en dire tant elle suscitait la passion, l’ivresse et le désir. Il sentait la jeune femme se crisper sous ses caresses, non pas de refoulement, mais d’un plaisir ne cessant d’augmenter en continu. Crescendo, sans doute était-ce un signe du fin proche ? Hoshi se le refusait pour sa part, il avait cédé le premier à la douceur, mais il ne serait pas le premier à défaillir sous les assauts de la jeune femme. Sans doute un orgueil masculin qui ressort. Un jouet qu’il était, poupée de chiffon, poupée de chiffon, marionnette entre les mains de l’Italienne. La situation lui plaisait, il savait que Roxane maîtrisait ses gestes, qu’elle contrôlait tout ce qu’elle faisait, et qu’elle cherchait un plaisir commun des deux jeunes personnes. Il était difficile de ne pas succomber à pareille attention bien évidemment, mais il y parvint grâce à quelques efforts, lorsqu’il calmait les ardeurs de la jeune femme, stoppant un instant ses mouvements de bassins pour qu’il reprenne son souffle, ses forces, et il la laissait repartir alors de plus belle, comme elle le désirait.

Changeante, enivrée, elle se laissait aller suite au baiser langoureux qu’il lui offrait. Elle obligeait l’Asiatique à s’allonger une nouvelle fois contre le carrelage de l’amphi, et un frisson parcourait son échine une nouvelle fois, l’électrisant une fraction de seconde,durant laquelle il se cambrera alors, et restera fiché en elle, au fond de son intimité. Les mains baladeuses de Roxane, partirent à la recherche des siennes, pour que leurs doigts se trouvent, se croisent et se caressent d’une manière attendrissante, et les jambes de Roxane s’enroulaient également autour de celles de son parfait amant au corps de dieu. Usant de l’une de ses jambes comme levier, elle basculait sur le côté pour entraîner avec elle l’Apollon qui se trouverait ainsi donc enlacé sur, sur la jeune femme, tout contre. Un sourire naissait sur ses lèvres mutines et coquines, c’était le signe qu’il pouvait rediriger les ébats, jusqu’à la fin, car les spasmes contres son membre trahissait bien l’excitation de la jeune femme. Le temps du changement de position, son membre avait pu glisser hors d’elle du trois quarts, et lorsqu’il retombait, il s’enfonçait sans crier garde en elle, sans qu’il le veuille, mais ça ne changeait rien. Ca pouvait bien lui rappeler les mouvements qu’elle offrait, assise sur lui tel une amazone en furie auparavant.

Il mit fin au baiser finalement, son regard cherchant celui de la jeune femme, pour savourer cet instant de plaisir. Lui qui aimait tant voir le visage expressif d’une jeune femme, à la fin de l’acte. Ses coups de reins allaient crescendo, annonçant de même le final de la pièce qu’ils jouaient à merveille. La jeune femme poussait un cri suite à son premier assaut qu’il avait lancé, du fait des mains de la jeune femme qui glissèrent sur son dos, puis ses fesses ou elle pressait pour qu’il s’enfonce en elle d’une manière moins délicate, moins tendre. Peut-être voulait-elle cela finalement, une manière un peu plus brutale pour la fin ? Ses muscles se contractaient au rythme des mouvements soutenus qu’il lui imprégnait, et son regard pétillait de malice.

La jeune femme ne lui en rappelait aucune autres de ses maîtresses, si tentait est-il qu’il en aie eu avant elle ; L’on en doute pourtant pas, il est difficile de céder au charme naturel du japonais, et le savoir-faire dont il est était maître laissait à envier celle qui subissait l’assaut de ses mains et de sa langue, experte. Son corps est une invitation au pêché suprême, à l’amour. On en veut, on en redemanderait même pour certaines. Mais pour lui, maintenant, il n’en demande plus tant, s’amuser bien sur, mais se fixer sur une seule partenaire ? Peut-être. Il verra bien où le tout pourrait le mener avec une telle jeune femme. Un coup d’un soir, une liaison future possible ? A voir.

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[Merci

]

Allongée sur le dos, ses mains vagabondant sur le corps d’Hoshi, Roxane fixait les yeux de son amant en gémissant. Elle savait que le moment était venu pour leur feu d’artifices d’en venir au bouquet final et l’excitation que provoquait en elle cette perspective était indescriptible. Elle souriait de sentir s’accélérer les mouvements de bassin que faisait le jeune homme et, à chaque fois qu’il s’enfonçait un peu plus en elle, elle se sentait partir dans un monde où le plaisir était roi.
Et puis soudain tout le corps de l’Italienne se crispa, ses muscles se contractaient, son souffle même s’arrêta une fraction de seconde alors qu’elle sentait l’orgasme arriver à grand pas. Son ventre était engourdi, elle rabattit une nouvelle fois ses jambes autour d’Hoshi et vint placer l’une de ses mains dans les cheveux de ce dernier tandis que l’autre main appuyer sur son dos pour s’assurer qu’il viendrait se plaquer à elle quand lui aussi jouirait.

Maintenant c’était à chaque expiration qu’elle poussait un petit cri, elle ne contrôlait pas ses gémissements, ils reflétaient le plaisir qu’elle ressentait, l’état dans lequel la mettait Hoshi.
Il avait était si doux précédemment qu’elle eut du mal à s’adapter au changement, bien que ce fut elle qui l’avait demandé, elle sentait maintenant qu’il était plus fougueux, plus effréné et que le moment approchait où elle s’effondrerait dans ses bras, essoufflée et comblée.
Quelque part elle angoissait un peu de ce moment, elle savait qu’elle ne pourrait plus lutter longtemps, déjà elle succombait, mais qu’adviendrait-il une fois qu’ils auraient fini de s’étreindre ?
Ressortiraient-il de l’Amphi, les vêtements froissés, un sourire aux lèvres, repartant chacun d’un côté du couloir ? Hoshi allait-il chercher à lui parler ? Répondrait-elle ? La sensation serait étrange de faire connaissance après avoir pratiqué ensemble l’acte le plus intime qui soit … Ils avaient tout commencé à l’envers en fait … Roxane aimait bien commencer par la fin, mais elle s’imaginait plutôt mal demander à Hoshi " Alors t’as quel âge au fait ? " après avoir couché avec lui.

Maintenant que l’orgasme pointait son nez et qu’elle poussait un soupire plus profond que les précédents pour le faire savoir à Hoshi, la main qu’elle avait de placée sur son dos descendit alors de nouveau sur ses fesses pour que les mouvements de son bassin se fassent moins rapides mais plus profonds.

Une chose était certaine, c’est que le Japonais était un amant hors paire. Des hommes, Roxane en avait connu quelques uns, tous des aventures d’un soir ou d’une semaine, elle n’avait encore jamais trouvé un homme qui sache comment s’y prendre avec elle et avait donc préféré rompre plutôt que de jouer la comédie. Sauf Po bien sûr … Mais lui c’était du passé et elle n’attendait plus rien de lui. De ceux qu’elle avait côtoyé, elle devait avouer qu’Hoshi était de loin le plus attirant, que ce soit physiquement ou psychologiquement. Elle avait tout de suite sentit qu’il était quelqu’un de dangereux lors de son réveil soudain dans l’Amphi d’Art, maintenant elle en avait la preuve, jamais encore elle ne s’était laissée emporter comme ça par un inconnu et le pouvoir d’attraction qu’il avait l’effrayait un peu. Mais pour le moment elle se fichait bien de ce risque qu’il représentait pour elle, l’Italienne sortit de ses pensées quand, surprise, elle poussa un cri d’extase, se cambrant violement contre lui et griffant au passage son dos par inadvertance.

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[Tout d’abord je vous dois des excuses…J’ai été trop longtemps absents et n’ai pas pu venir sur ce forum pour vous offrir mes réponses. Milles excuses ma muse.]

Roxane s’offrait en entière aux bons soins d’Hoshizora. Elle se laissait aller à ses assauts sans même rechigner à la cadence qu’il pouvait adopter, puisque de toute manière, peu importait le rythme, elle semblait apprécier la chose. Leurs regards, l’un dans l’autre, se trouvèrent étrangement liés. Les gémissements de la belle Italienne se trouvaient mêlés à de petits soupirs d’excitation de la part de l’Adonis. Chacun de ses coups de reins avaient pour but d’amener sa partenaire dans un plaisir inégalable, jusqu’au moment ou elle sentirait en elle la vague suprême de jouissance l’envahir. L’orgasme naissant dans le ventre de la jeune femme, ne pouvait pas être feint, non, il sentait bien les gestes avant-coureurs, les contractions de son intimité plus insistante à chaque fois, et ses mains, contre sa nuque et son dos, ses jambes autour de sa taille…Quelques signes qu’Hoshi avait pu étudier au cours de ses diverses liaison avec tout un tas d’autres filles.

Hoshi, en véritable étalon de course allait mettre hors course son adversaire avant que lui-même n’en vienne à la course finale. Il est vrai que s’adapter à ce changement si brutale avait été rude, car, la douceur étant sa spécialité, il pouvait paraître un peu brouillon sans doute dans cette nouvelle cadence, mais finalement, pas tant que ça, le plaisir y était, et le cœur avec. Finalement, lui-même ralentit un peu sa cadence pour profiter pleinement de ces derniers instants d’une union parfaite entre homme et femme qu’ils sont. Penser à la suite logique des choses ? Oui, mais il aviserait bien mieux plus tard. Bien plus tard, lorsqu’ils en auraient finit l’un et l’autre, l’un avec l’autre.

D’un nouveau geste invitant, elle incitait l’Asiatique à ralentir encore plus ses mouvements pour que ceux-ci ne soient non pas sauvages et violents, mais intenses et profonds. Ses coups ralentirent donc, et il prenait bien plus son temps pour la pénétrer. Le temps que la jeune femme ne s’égare dans ses pensées, il avait pu venir se collait tout contre elle, immobile alors qu’à son tour, elle revenait dans son monde de pur réalitée, pour qu’ils atteignent ensemble un orgasme mémorable.

[ Desolé, il faut que je me remette dans le bain. ]

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[L'important étant que vous soyez de retour, je me réjouis de pouvoir à nouveau poster avec vous Smile

]

Lâchant totalement prise, Roxane plaqua la paume de ses mains au sol histoire de garder un contact avec la terre pour ne pas se perdre dans l'extase dans laquelle l'avait plongé cette étreinte avec Hoshi. Elle sentait le corps du jeune homme étroitement collé au sien et toutes ses forces la quittaient en même temps qu'elle poussait un ultime soupire de bien être. Elle plongea sa tête dans le coup de son amant pour y déposer une série de baisers légers.

Elle ne bougeait plus d'un centimètre, savourant les dernières notes de cette mélodie qui l'avait faite chavirer. Doucement elle reprenait sa respiration dans les bras d'Hoshi. Les yeux fermés, elle ne voulait pas que ce moment prenne fin. Comme pour le garder plus longtemps prés d'elle, elle resserra encore l'étreinte de ses jambes autour de lui et ramena ses mains sur son dos. Elle ne se lassait pas de respirer la douce odeur de son cou qui faisait naître sur ses lèvres un sourire béat.

Mais c'est bien connu, toutes les bonnes choses on une fin, rien ne sert de se voiler la face. Alors, avec un peu de tristesse, l'Italienne rouvrit les yeux et fixa les mèches de cheveux blondes qui lui barraient la vue. Elle passa sa main sur la nuque d'Hoshi en pensant que cette caresse serait peut-être la dernière qu'elle lui faisait. Mais après tout pourquoi se laisser gagner par la tristesse? Peu de femmes pouvaient se vanter d'avoir passé un moment aussi agréable avec un inconnu et elle décida de ne garder que le meilleur de cette rencontre pour mieux affronter la séparation et l'impression étrange de le regarder dans les yeux après avoir fait l'amour avec lui.

" Je ne verrai jamais plus les Amphis d'Art de la même façon ... " Murmura-t-elle à son oreille avec amusement.

C'était certain, après cet épisode elle aurait encore plus de mal que d'habitude à se concentrer lors de ses cours d'Art. A chaque parole du prof elle regarderait la chaise à ses côtés et se souviendrait du jour où le beau Hoshi était venu s'asseoir prés d'elle pour la réveiller.
Elle aurait donné beaucoup pour satisfaire sa curiosité qui cherchait à savoir ce que pensait le jeune homme à cet instant, la tête appuyée contre sa poitrine, allongé sur elle … Etait-il encore perdu dans le flou de l’extase ou pensait-il lui aussi à l’après de cette situation ?

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Il fallait se rendre à l’évidence que cette étreinte avait été des plus chaleureuses, des plus douces et a la fois des plus sauvages. Il y avait tout un mélange de sentiment que les deux jeunes gens s’amusaient à mêler et unifier dans un seul et même mouvement. Durant tout l’acte, ils n’avaient faits qu’un, l’un dominant l’autre à son gré, et cela n’était pas pour déplaire à Hoshizora qui se sentait ravi d’avoir, pour cette fois, assisté au cours d’art. Alors Que Roxane se laissait aller à l’extase infinie de l’orgasme, plaquant ses paumes au sol, le bel étalon, lui, s’affairait à se coller contre la jeune femme pour garder encore un souvenir enivrant de ce corps, de ce parfum. Les yeux clos, la bouche en cœur, il savourait ces derniers instants, ainsi que les divers baisers contre son cou que l’Italienne lui offrait. Pour sa part, plus un mouvement, il avait cessé toute activité après ses dernières ruades délicates.

Un instant de répit qu’il s’accordait, alors qu’il passait ses bras sous le dos de Roxane, pour placer ses mains contre ses omoplates et la choyer de quelques arabesques circulaires sur ces os. Il pressait son buste contre la poitrine de la jeune femme, immortalisant ainsi la scène dans son esprit. Aucun des deux ne voulait quitter l’autre, et elle le lui faisait bien comprendre de par son étreinte de ses jambes qui se resserraient autour d’Hoshi. Le front blottit contre le creux de l’épaule droite de la jeune femme, il sentait pourtant bel et bien la jeune femme se reprendre, son regard se fixer sur ses cheveux, et ce sourire béat, pleins d’émotions. Une douce caresse qu’elle offre à la nuque de son amant, qui en frissonne et qui laisse échapper un petit rire tendre. Un baiser contre la peau de pêche de la jeune femme, un petit coup de langue coquin, il faut tout de même lui faire comprendre que lui aussi s’était amusé d’elle, de son corps. Comment aurait-il pu en être autrement alors qu’il avait su apprécier les courbes généreuses de cette jeune femme, en profiter à sa guise jusqu’à ce qu’elle le supplie d’en finir dans une longue étreinte. L’on aurait pu en faire tout un film de leurs ébats, tant c’était beau, sensuel et érotique. Finalement, l’asiatique remontait son visage en quelques baisers contre le cou et le menton de sa compagne, et il trouvait son regard après un baiser volé, du bout des lèvres.

Amusé, il accueillit les paroles de la jeune femme avec un certain amusement. Oui. Elle venait de l’amuser sur ces quelques paroles, et puis, il en était de même pour lui qui assistait pour la première fois à un cours d’art. Qu’est-ce qu’il était venu faire la ? On ne saurait trop le dire, mais elle ne s’en plaindra certainement pas. Après une moue pensive, un regard étoilé qu’il plongeait dans le sien, il répondait à son murmure par un même ton, mielleux et affectueux.

‘‘ Si j’avais su…J’y serais allé bien plus souvent en cours…Et d’ailleurs, je vais aller plus souvent dans cet amphi d’Art. Tu sauras ou me trouver…’’

Un ravissant sourire qui ornait les lèvres grisâtres du jeune homme, quelques perles de sueur sur son front, et un petit clin d’œil qu’il lui décerne avant de se blottir une nouvelle fois tout contre elle. C’était la l’instant le plus dur de leur petit jeu. Comment allait se passer la « rencontre ». Allaient-ils discuter et faire, les jours à venir, comme si de rien n’était ? Non, ce serait bel et bien impossible pour la part de l’Adonis qui espérait qu’elle le lui propose, oh oui, de se revoir, pour peut-être recommencer, ou aller plus loin qui sait…

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Roxane sentit la peau de son dos quitter le sol de l'Amphi quand les mains de son amant vinrent se loger contre ses omoplates, la chatouillant délicatement grâce à de délicats mouvements circulaires. Le sourire de la jeune femme s'élargit d'avantage à se contact et atteignit son zénith lorsqu' Hoshi la combla de quelques baisers légers le long de son cou avant de revenir face à elle pour plonger son regard dans le sien avec un sourire complice. Elle fut agréablement surprise de voir la réaction plutôt tendre qu'il pouvait avoir. Son instinct l'avait poussé à croire dès la première approche qu'il était dangereux comme fréquentation et elle s'était inconsciemment imaginée qu'il s'en irait simplement avec un sourire aux lèvres, content de pouvoir noter une nouvelle conquête sur une liste qui devait certainement déjà être très longue. Roxane avait donc mal anticipé en croyant qu'il la laissera en plan après avoir obtenu d'elle ce qu'elle le soupçonnait d'avoir prémédité depuis son entrée dans l'Amphi.

Elle soupira d'amusement à sa réponse, c'était presque un rendez vous qu'il lui posait en lui révélant qu'il serait là plus souvent en cours d'Art. Oh oui, elle voyait déjà la scène ... Les amants du cours d'Art d'Harvard, une parenthèse surprenante dans leur vie d'étudiante ...
Il se blottit de nouveau contre elle et elle referma ses bras autour de lui comme pour le réchauffer.

" Tu verras que l'on finira par devenir studieux à ce rythme là "

Répondit-elle à son oreille en laissant s'échapper un petit rire fluet de femme comblée.

L'Italienne déposa un baiser sur le front de l'asiatique, elle se sentait soulagée de voir qu'aucun malaise de s'était immiscé entre eux. Elle envisageait déjà avec plus de simplicité les moments à venir voir même avec plus de rapprochement, si tant est que l'on puisse se retrouver plus proche de quelqu'un qu'elle ne l'était de lui à cet instant.

Les minutes s'écoulaient à une vitesse qu'elle n'aurait su expliquer, à croire qu'elle se sentait si bien dans les bras d'Hoshi qu'elle en perdait toute notion de temps, elle ne voulait pas penser au moment où, fatalement, la cloche sonnerait de nouveau, marquant définitivement le moment où ils devraient se séparer pour reprendre leur vie respective jusqu'à un hypothétique prochain rendez vous.

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Hoshi se sentait un peu comme dans un rêve. Comment aurait-il pu définir tout ce qu’il c’était passé entre eux deux maintenant ? Il n’en savait trop rien mais à vrai dire, il s’en moquait, il ne la laisserait pas lui filer aussi simplement qu’elle pourrait le vouloir sans doute. Lovés ainsi l’un contre l’autre l’on en dirait un vrai couple qui venait de s’unir dans un acte sexuel sincère et délicat, attentionné et d’un amour véritable, pas qu’un simple coup…Oui…Il y avait entre eux deux un petit quelques chose que les autres ne sauraient pas produire chez l’un et l’autre sans doute, une petite flamme. Le regard logé dans celui de son amante, il s’y perdait avec grande passion.

Aux mots que l’Asiatique avait pu lui souffler délicatement telle une promesse, il avait sentit les bras de la jeune femme se resserrer encore sur lui, un peu plus. Ses propres mots avaient pu lui arracher un demi-sourire quand il e rendit compte de la manière dont on pouvait les interpréter, étreinte qui le réchauffait légèrement, bien que l’atmosphère de l’amphithéâtre abandonné ne laissait pas le loisir de se refroidir tant ils avaient pu être proches l’un de l’autre avant. Toutefois, le geste était apprécie, et aux paroles de la jeune Italienne, il comprit bien la qu’elle accepterait de le revoir sans doute. Un devenir d’élève studieux ? Eux deux ? Oui s’ils se revoyaient en salle de cours sans doute, mais qui pouvait dire ce qui allait se passer alors ? Allaient-ils suivre le cours bien sagement, ou bien allaient-ils repartir pour de nouvelles aventures, de nouveau jeu sans doute ? Allez savoir. Il rit, d’un rire léger et bref à sa remarque, puis il prit la parole pour lui répondre poliment comme il se devait.

‘‘ Je n’ai jamais été un élève très studieux tu sais ma belle Italienne…’’

Le bel étalon n’aurait su dire le temps qu’ils avaient passés dans cette salle, mais l’on pouvait d’ores et déjà maintenant entendre le son de la cloche qui retentissait dans le couloir, un groupe d’élève qui s’entassait devant la porte de la même salle, et cette même porte qui après un bref bruit métallique, s’ouvrait, laissant apercevoir une foule de silhouette dans la pièce. Juste au mauvais moment sans doute. Les deux jeunes étudiants étaient maintenant offerts aux regards des élèves, et surtout du professeur qui entrait dans la pièce. Echec et math ?

[ J’ai ajouté un peu de piment, nos persos allaient tournés trop court et j’aime trop jouer avec vous pour vous abandonner comme ca ;-) ]

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[Le flagrant délit, j'adore ^^]

Roxane se laissa aller à imaginer Hoshi version élève sage du genre qui ne vient pas vous réveiller en pleine sieste pour voir attirer dans un couloir et faire des folies de votre corps. Non, pas moyen de le voir autrement qu'il n'était. Et ca aurait été du gâchis qu'il change, elle s'en rendait compte peu à peu, elle était subjuguée par sa personnalité et par cette aisance qu'il avait. C'était étrange la façon dont il était lui, sans complexe sans gêne sans rien, il avait tout et Roxane, oubliant qu'on ne pouvait pas faire confiance aux hommes, se laissait bêtement séduire par l'aura envoûtante qui entourait ce garçon ... Pourvu qu'il n'y perde pas trop de plumes.

L'italienne soupira de contentement, se disant encore une fois qu'elle avait bien fait de se présenter en cours ce matin. Mais son soupire se figea d'horreur quand la sonnerie claqua comme un coup de tonnerre dans les couloirs et que la porte de l'Amphi s'ouvrit dans un bruit métallique en laissant entrer la foule d'étudiants qui devaient avoir cours dans la salle de leur ébats. Elle se figea et serra Hoshi contre elle en n'osant regarder ces dizaines de têtes éberluées qui les fixaient avec un sourire pervers aux lèvres. Niveau intimité on avait vu mieux ...

Le professeur, surpris du spectacle qui s'offrait à lui, en laissa même tomber sa sacoche sur le sol. Le bruit que fit l'objet fut pour Roxane le signal qu'il était temps de réagir et vite car ca sentait le roussi.
Doucement elle se dégagea d'Hoshi en l’embrassant une dernière fois pour la route. Maintenant qu'ils avaient été surpris il fallait garder contenance et jouer la carte de l'indifférence.
Elle attrapa les vêtements qui gisaient sur le sol et revint vers son amant, la tête haute, pour qu'ils se rhabillent ensemble, sans gêne, devant les autres qui les regardaient la bouche ouverte. Elle faisait confiance à l'asiatique pour garder toute sa superbe même dans cette situation gênante, il avait trop de grâce pour se laisser abattre.

L'instant était irréaliste et le prof vint couper ce moment de fantaisie post coïtal. Il hurla quelque chose que Roxane ne comprit pas et montra significativement la porte du doigts, autrement dit " DEHORS ".
Dignement elle se leva, n'osant imaginer les ennuis qu'ils auraient, qu'importe, leur union valait bien ça. Elle tendit la main à Hoshi avec un regard complice, leur relation avait commençait bizarrement, il était normal qu'elle continue sur des railles peu conventionnelles.

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Surpris dans un tendre moment, enlacés l’un contre l’autre, Hoshi avait sur ses lèvres un petit sourire. Bien sur que la situation en était gênante, il ne pouvait en être autrement, mais, Hoshi en semblait s’amusait finalement. Oui. Ce sourire en disait long. Répondant avec douceur au baiser que l’Italienne venait à lui voler avant de se relever et se rhabiller. Un instant plus tard, sa douce rêverie finie, il se lèverait à son tour, sous les yeux médusés de ces jeunes femmes qui ne pouvaient qu’admirer ce corps d’apollon, si sculpturalement taillé. Il n’avait pas le corps de l’un de ces dieux grecs, non, ni même l’un de ces fans de machines à musculations, mais juste, des lignes bien tracées, et ses formes, saillantes. Oui, c’est c qu’il devait plaire chez lui. Par décence et non par pudeur tout de même, il se tournait pour ne leur montrait que son dos lorsqu’il enfilait ses vêtements. Comme à son réveil le matin, il prenait son temps. Lentement.

Le rhabillement fait, et le hurlement du professeur passé, Hoshi entraînait sa belle compagne hors de la salle de classe, un sourire mutin aux lèvres. Leurs mains liées, ils étaient maintenant devant la porte qui se refermait sur leur passage, avec colère. Une nouvelle fois l’on pouvait entendre ce professeur, rondouillet, à la voix forte, qui rappelait ses élèves à l’ordre, et qu’il serait prit des mesures contre ces deux élèves, autrement dit, les deux amants. L’Asiatique se moquait bien de ce qu’il pouvait en être, et d’ailleurs, que pourrait-il arriver de si grave qui lui fasse regretter cet acte ? Un renvoi ? Peu importe, ça ne lui ferait pas regretter ce réveil, cette rencontre, cet acte…Adossé contre le mur le plus proche, il quittait de sa main celle de la jeune femme, et il l’enlaçait à la taille pour venir l’étreindre avec douceur, alors que son menton venait à son épaule, et ses lèvres, proches de son oreilles venait à lui murmurer doucement, d’une voix mielleuse, envoûtante :

‘‘ Je crois que tu vas avoir des soucis…Roxane…J’espère que tu ne m’en veux pas, et que tu voudras me revoir quand même…’’

Il se collait tout à elle, se languissant de ne plus sentir ce corps d’ici peu sans doute. Maintenant qu’ils avaient finit par accomplir l’inévitable depuis qu’Hoshi avait accompli ce petit jeu auquel il s’adonnait pour la première fois, pris d’un excès de confiance en lui sans doute, il fallait prévoir autre chose. Peut-être passeraient-ils la journée ensemble, mais tout cela, devait plaire a la jeune femme. Une idée qui lui effleurait l’esprit, mais il pensait de même qu’elle ne serait pas en tort de lui en vouloir au vu des sanctions qui allaient suivre. Une main qui glisse sur la cambrure de ses reins, douce et langoureuse, une autre, qui longe sa taille, et qui se plaque contre son ventre, souriant. Autant profiter un peu encore de la douceur de ce corps, et des gestes de Roxane.

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Une fois la porte de la salle refermée sur leur passage, Roxane se laissa attirer contre le mur par Hoshi et passa ses bras autour de son coup quand il la saisit par la taille.
Elle qui se demandait comment se déroulerait la suite des événements, elle ne s'était pas attendue à ca. On entendait encore la voix furieuse du prof qui criait dans son Amphi ... Ca sentait les problèmes à plein nez. D'ailleurs Hoshi semblait l'avoir compris lui aussi car il lui murmura à l'oreille qu'il espérait la revoir malgré les soucis qu'elle allait devoir affronter.

L'Italienne souriait dans le cou de son amant, si l'on passait outre les conséquences sûrement peu commodes qu'aurait cet incident, la situation était amusante. De se faire prendre nus sur le sol de l'Amphi leur avait été bénéfique dans le sens ou une complicité s'était créée, le genre de complicité qu'apporte l'entre aide de ceux qui se sentent dans le même bateau. Car c'était certain, si Roxane allait recevoir des papiers demandant des explications et des convocations pour aller rendre visite au doyen, Hoshi ne serait pas en reste non plus.

" Des soucis en échange d'un moment agréable avec toi, le marché me va ... " Chuchota-t-elle dans le cou de l'asiatique en soupirant d'aise alors qu'il lui caressait le dos, le creux des reins et le ventre.

Elle non plus n'avait pas envie de partir mais ils ne pourraient pas rester éternellement collés l'un a l'autre dans ce couloir de la Fac. Evidemment qu'elle le reverrait, l'idée que ce moment qu'il avait passé dans l'Amphi soit le premier et le dernier lui était sortie de la tête. Au départ elle s'était dit qu'en faisant de cet instant un instant unique elle s'en souviendrait toujours avec un sourire aux lèvres mais maintenant qu'elle était de nouveau contre son amant elle trouvait stupide cette idée et préférait largement le revoir encore et encore plutôt que de se contenter d'un souvenir.

Ses lèvres passèrent le long de la joue d'Hoshi, elle sentait son odeur, s'en imprégnait pour ne pas l'oublier, elle voulait que cette odeur reste à jamais celle des moments de plaisir et qu'elle lui revienne en mémoire dans chaque moment plaisant qu'elle passerait. Enfin, la course se termina à la commissure des lèvres de l’asiatique qu’elle voulait goûter encore une fois.
Pour le moment Roxane était heureuse et épanouie dans les bras de son amant, elle souriait et même la menace de renvoie qui lui pendait au nez ne l’inquiétait pas. Tout ce qu’elle espérait c’est qu’elle ne serait pas déçue une fois de plus par les hommes et cette façon si particulière qu’ils ont de vous briser le cœur.

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[Pour ne pas que nous cessions le jeu, je vais animé un peu le topic avec notre punition. Cela va de soi. Sinon, je serai seul et abandonné...]

Enlacés l’un contre l’autre à se redécouvrir encore le corps, ils étaient mignons et touchants. Qui auraient pu penser qu’ils auraient été si proches que cela après l’acte qu’ils venaient d’accomplir alors qu’ils ne se connaissaient que depuis quelques minutes avant à peines, et puis, depuis qu’ils s’étaient faits pincés surtout par le professeur, cela avait du mettre un peu de piment dans leur plat qui n’en avait pourtant pas tant besoin. Chacun d’eux avait su mener le jeu pour pimenter la partie, une partie charnelle certes. La réponse de Mademoiselle Mariani lui arrachait un sourire sur le bout des lèvres, et le voila profitant un petit instant de cet instant de plénitude avant la sentence de leurs actes. Il logeait son front contre le creux du cou de la jeune femme, puis profitais simplement. Du calme, du silence, ça faisait tout de même un sacré bien de se retrouver au calme.

‘‘ Ta réponse voudrait-elle dire que tu veux encore passer de pareils moments avec moi ?’’

Un énième sourire qu’il lui adressait alors que déjà dans leur calme serein, l’on entendait au loin les pas d’une personne qui arrivait à grande foulée. En hâte sûrement, et lorsqu’ils le verraient au détour de ce couloir, ils pourront bien se rendre compte que la personne venait pour eux. Sur son visage se lisait un air sévère et vraiment mauvais, il était grand et bien vêtu. Sans doute une personne importante de l’école, oui. A n’en pas douter. Hoshi relevait son regard sur Roxane, affichant alors un petit sourire désolé, mais dont un soupçon de jeu ne manquait pas d’y apparaître. Oui. Ca l’amusait de voir cet homme venir pour eux.

‘‘ Je crois que nous sommes au début de notre punition ma douce amante…Ma Roxane…’’

Accompagnant les gestes à la paroles, il serrait contre lui la jeune femme dans une douce et langoureuse étreinte. La sentence tombée, ils pourraient au moins passer encore du temps ensemble, car l’attente se ferait en salle de colle ou personne ne les surveilleraient probablement. Ses mains se délogeaient de ce corps idéal, pour se lover au creu de ses mains et les étreindre d’une délicate manière. Un petit baise main sur le revers de sa dextre, un signe de profond respect en engagement muet qu’il ne l’abandonnerait pas aussi facilement cette jeune femme.

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