'Mauvaise surprise...(PV )

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Soit elle crise en brûlant toutes les voitures, ou alors elle opte tout simplement pour fracasser la voiture qui vient de renverser sa bécane…

« Espèce de salaud !! Discrimination envers les deux roues !!!! »

Elle cria haut et fort, même si il y avait personne autour d’elle, ils étaient tous en cours, y compris le pouilleux qui a renversé sa moto avec son décapotable…Belle voiture…Sûrement un play-Boy….Elle jeta un regard mauvais à cette voiture et marmonna entre ses dents….

« Je vais lui en faire voir moi des belles voitures ! »

Elle décida d’opter pour la deuxième solution, après ce type s’est foutu de sa gueule encore heureux qu’elle ne le brûle pas. Elle prit son petit poignard et dégonfla les pneus et ensuite de le rayer avec en écrivant un « VA TE FAIRE FOUTRE », Satisfaite elle cassa ensuite les carreaux de devant avec son coude, et éventra les sièges de sa voiture. Bien, l’alarma continua à sonner mais elle ne s’interrompt pas, des alarmes de voitures il doit y en avoir beaucoup ici, de même que des « malencontreux accidents » de voiture :p.

Elle releva ensuite sa moto et regarda si elle n’avait rien de cassé…C’est pas vrai un clignotant bousillé, il a tellement tordu le bout de plastoc qui protège la chaîne et du coup, impossible de rouler vu que ça frotte à fond et que ça abîme la chaîne et attaque le plastoc !!!
De plus, y a de grandes chances qu'en la reculant, il ait abîmé l'articulation de la roue arrière ! Ses yeux viraient u rouge…non abîmer sa voiture n’étaient largement pas suffisant !

« Je vais le tuer !!! »

Elle serra les poing…et souffla un gros coup, non dans cet était elle ne pourra rien faire, elle note cette voiture, et le lui fera payer autrement…Il a du voir que la propriétaire de cette bécane et comme d’habitude il l’a rabaissé…
Elle décida de passer son chemin, Elle réglera tout cela au plus tard
Et qui plus est c’était la goutte qui faisait déborder le vase, elle avait passé une nuit blanche, un visage qui lui revenait sans cesse malgré le fait qu’elle aurait voulu s’en débarrasser, mais elle n’y arrivait pas…Elle poussa un soupir d’exaspération, l’alarme s’est arrêté de sonner, elle cessa de regarder cette foutue voiture qui l’avait mis d’assez mauvaise humeur …Impossible de rouler avec de toute façon, elle appellera le garagiste plus tard pour la faire réparer, elle attacha sa moto dans un endroit plus sur et s’apprêta à partir…

« Hey qu’est ce t’a foutu à ma voiture ?! »

Sûrement le propriétaire….Elle lui lança un regard assez noir juste avant de sourire :

« Je l’ai décoré ça se voit pas ?....Espèce de salaud ! Tu parles alors que tu as bousillé ma bécane, soit heureux que tu ne retrouves pas un tas de cendres ! »
« Et alors ? Y déjà pas assez de place pour nos voitures et toi faut que tu ramène avec une crasse ! »
« J’en ai rien à foutre ! Tu auras pu la ranger ailleurs salaud ! Et ma crasse au moins elle ne prend pas trop de place comme la tienne, tu aurais très bien pu la garer sans faire trop^d’histoire….au lieu de ça tu la bousilles ! »

Il se dirigea vers elle pour on ne sait quoi, sûrement lui rendre des comptes mais au moment ou il lui prit son col, elle lui mordit sa main fort, très fort et taillada son épaule avec son poignard puis sa main, la voilà taché de sang à présent…Elle qui voulait juste abîmer sa voiture et non sa plastique…Tant pis pour lui

« Tu vas me le payer sale garce ! »
« Fais gaffe ou tu t’en mordras les doigts…Tu as peut être des poings mais moi j’ai la ruse et une arme…tu ferais mieux de partir d’ici le playboy, ou tu seras la risée de la fac si on savait qu’une fillette venait de te saigner…. »

Invité

Le playboy, paré à revenir à la charge, se convulsa soudainement, pris de spasmes, il ne devait sûrement pas comprendre ce qui lui arrivait : le looser cracha du sang à la figure de Maria avant de s’écrouler à terre devant elle, comme une masse. Une silhouette fluette se tenait derrière lui, couteau en main… Bāndô dépassa Maria, s’avançant vers sa Suzuki, qui tout comme la moto de la victime de ce naze premier, était tombée au sol... Dès son premier jour à Harvard, la nippone avait du briser le pick-up d’Ethan qui s’en était alors pris à sa deux roues d’une manière assez originale… Et voilà qu’on récidivait, mais cette fois ça ne la fit pas sourire… La peinture était griffée par des stries…
Ignorant pour le moment Maria, la japonaise se retourna vers celui qui avait osé touché à son bébé : à terre, il crachait ses poumons, sûrement perforés par une dizaine de coups de couteaux. Elle le contourna, emboîtant le pas jusqu'à sa décapotable… Urushima regarda le travail de Maria ; elle se serait amusée de voir avec quelle hargne cette dame en cuir s’en était prise au bolide mais elle n’était vraiment pas d’humeur à rire, alors il ne fallait pas espérer d’elle le moindre rictus de satisfaction… Ouvrant la boite à gants, elle se saisit du permis du garçon.

Bāndô chercha des yeux on ne sait trop quoi ; elle finit par trouver ce dont elle avait besoin à l’arrière d’un 4x4, ces foutus engins qui avaient la fâcheuse manie de manquer de la tuer sur la route. La nippone s’empara du bidon d’essence, sectionnant les liens qui empêchait tout vol, avec son couteau de quelques gestes habiles, avant de revenir vers le propriétaire de la décapotable, sur qui elle renversa l’entier contenu du bidon. Elle lui fit boire les dernières gouttes, lui ouvrant la bouche de force en le contraignant à l’obéissance, un pied sur l’une de ses plaies saignantes.
Urushima recula : sortant son briquet, elle brûla le permis du playboy avant de le laisser tomber sur le corps de sa victime qui s’immola dans l’immédiat, pour son plus grand plaisir…

Bāndô s’alluma une clope, laissant la torche humaine se mourir sous ses yeux, hurlant la mort… Elle daigna enfin s’adresser à Maria…

« Tu y vas pas franchement avec ton jouet… Il faut viser les poumons si tu veux qu’il sente la douleur… »

La nippone regarda ensuite de biais la moto de son interlocutrice, faisant claquer sa langue.

« Pas joli joli… Je peux m’en occuper… »

Portant en adoration les engins à deux roues, elle allait plutôt se faire plaisir en réparant celle de Maria plutôt qu’autre chose, c’est ainsi qu’elle lui proposa son aide bien qu’un refus serait tout à fait approprié ; on ne confiait pas son bijou au premier venu, surtout pas quand il brûle ses congénères de sang froid.

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(Niak^^ si j’ai mis un PNJ ce n’est pas pour rien :p )

« Qu’est ce qu’… »

Alors qu’elle pensait que ce type n’allait pas lâcher l’affaire, l’expression de son visage changea, et avant qu’elle ne comprenne pourquoi du sang gicla sur sa figure avant qu’il ne s’écroule par terre…Elle lança un regard presque horrifié au corps par terre…Elle ne l’avait que légèrement saigné ! Sa dague tombée au sol laissa résonner un léger bruit métallique dans le calme qui régnait à présent dans le parking….
Lorsqu’elle releva la tête, elle vit une mince et petite silhouette se dégager de l’ombre…c’était une asiatique…qui tenait un couteau ensanglanté à la main…
Elle soupira, non ce n’était pas elle qui avait fait ça, l’espace d’un instant elle aurait cru être responsable de sa mort….Elle blesse peut être mais ne tue jamais…Contrairement à cette asiatique…Mais les coups qui l’avaient pris on dues être vraiment très rapide pour qu’elle se rende compte qu’il se faisait massacrer.
Elle recula légèrement lorsqu’elle s’avança vers elle, de la peur ? Mais elle se dirigea vers le bolide u’elle avait bousillé y chercher quelque chose… Elle secoua sa tête, non c’est un mot qui n’existe pas dans son vocabulaire !...Et en quelques minutes l’asiatique chercha on en sait quoi avant de faire couler le bidon d ‘essence dans la bouche du playboy, sa manière de tuer était sadique, empreint d’une folie meurtrière…Mais son expression était toujours neutre...
Et ce qui la surprenait aussi c’est qu’elle ne pouvait agir, elle restait plantée là observant les agissements de cette meurtrière sans tenter de l’arrêter, elle restait stupéfaite devant ce spectacle et examinait sa manière de tuer, jusqu'à qu’elle finit par brûler son corps ; le corps en feu qui hurlait finit par la réveiller, ce n’est pas la première fois qu’on tue quelqu’un qui s’en prenait à elle, mais cette cruauté dans la tuerie, qui se déroulait sous ses propres yeux ne purent que la boucher un coin d’habitude…Elle n’a entendu parler de qu’une personne agissant comme cela, mais elle n’était pas vraiment sur, surtout qu’elle ne s’attendait pas à une silhouette aussi…petite qu’elle et frêle…Enfin, elle est aussi la mieux placé pour savoir qu’il ne faut pas se fier aux apparences…Sauf que là ça dépasse bien tout ce qu’elle avait vu jusque là et le pire c’est qu’elle faisait comme si de rien n’était !....il semblerait qu’elle ait raté beaucoup de personnes…intéressant ? Hum, elle ne passe pas sa vie dans cette fac aussi… A en voir son attitude tuer était un passe temps pour elle, elle ne semblait éprouver aucune pitié ni aucune sympathie et d’ailleurs… Pourquoi l’avoir tué, il semblerait qu’elle n’avait rien à voir dans cette histoire !

« Je…je…j’aurais très bien pu me débrouiller toute seule ! Je ne voulais que le blesser, pas le tuer…»

Sa voix qu’elle avait haussée finit par devenir un peu plus lasse. Elle finit par pousser un léger soupir et nettoie le liquide sanglant qui avait giclé sur son visage avec un mouchoir, elle oscilla un sourcil lorsqu’elle lui demanda de réparer la moto… Et avec un ton inquisiteur…

«Ma moto ?…Tu as fait ça pour ma moto ?...Et euh non je crois que je préférerais appeler mon garagiste habituel plutôt qu’une inconnue follement sadique pour réparer …Enfin…je en te connais pas tu peux très bien lui faire subir la même chose ! »

Elle était légèrement stressé, son regard qui ne voulait pas s’attarder sur le corps en feu, vit à présent qu’il était inerte, il ne bougeait plus ne respirait plus, et allait bientôt devenir un tas de cendres…dire qu’il y a quelques minutes il était à deux doigt de lui défoncer la gueule, ce n’était pas une grosse perte, encore un play boy, qui ne venait ici que pour draguer et défiler avec son bolide à la sortie des cours, dérangeant les intellos pour papoter en clase….Mais tout de même…Elle devait s’avouer qu’ en l’espace de quelques minutes sa folie meurtrière l’a fasciné…

« Que dire…je ne te connais pas ! Et je n’ai pas envie de te connaître, Je ne t’ai jamais vu par là et voilà que tu vient me sauver…enfin sauver je ne sais même pas pourquoi tu as fait ça…d’une manière des plus sadiques, qui plus est…je déteste ce que tu viens de faire te pourtant je suis impressionné ! C’est à rien n’y comprendre… »

Invité

Maria remarqua bien vite que « tuer » était une activité aussi coutumière que de changer une roue de voiture pour la criminelle en herbe qu’était Bāndô… Au point qu’aucune émotion ne se dégageait du visage de l’assassine lorsqu’elle opérait. Pour s’amuser d’une mort, elle était obligée d’avoir recours à son imagination débordante, trucidant sa victime par des moyens peu catholique…
Clope au bec, Urushima adressa enfin la parole à Maria, répondant à celle-ci qui affirmait pouvoir se débrouiller seule : la japonaise n’était apparemment pas plus gênée que cela d’avoir un tas de cendre humaine à deux pas d’elle.

« Mais oui c’est cela… Vu ta tête, Madame en cuir, il t’en aurais retourné une, tu te serais vautré… Nan en fait peut-être que tu t’en serais sorti… Mais honnêtement, j’men fous »

Son sourire sadique indiquait clairement qu’elle l’avait tué par plaisir.

« Allez arrête de geindre, il aurait fini dans un fossé, bandant comme un porc parce qu’il a atteint le 200 km/h, la queue coincée entre un arbre et la face de sa petite poufiasse du weekend…»

Bāndô ramassa sa moto, la chevauchant pour mieux vérifier l’état des cadrans.

« « Follement sadique », mh arrête les compliments… Bon… c’est pas faute d’avoir proposé, et dieu sait que j’offre pas mes services à tire la rigot, mais si tu comptes faire ta Grande Dame qui crache à la gueule de mon malheureux être décidément bien généreux ce soir, je t’en prie, fais donc, j’aurais sur la conscience, une bonne action d’avoir laissé s’extérioriser une fillette en crise d’ado…»

Portant la main à son cœur, Urushima feint le cinéma lorsque Maria prétendit ne pas vouloir entamer les présentations.

« Tu me blesses, j’ai le cœur fragile Madame, va y molo…»

Elle tira une latte et reprit, le sourire aux lèvres.

« “Te sauver” ? Putain je viens de te dire que je suis en carton côté coeur, t’as aucune pitié… Arrête de te faire des films ma grande, ce connard à bousillé la peinture de ma bécane, il le refera pas deux fois, tu saisis ? Enfin,… contente que tu te sois amusée de spectacle, je t’en offre un nouveau quand tu veux… Un ou tu sois spectatrice bien sûr, qui a parlé d’amocher ta gueule ? »

La nippone fit rugir son engin, puis elle roula vers Maria, lui prenant le visage par le menton.

« J’oserais pas, tu me fous trop les j’tons »

Son ironie éclata au visage de Maria qui dut enfin comprendre qui se cachait derrière l’un des visiteurs de son blog…

Invité

Allons bon, il a fallu qu’elle tombe sur une fillette qui cache un véritable instinct sanguinaire, et comme d’habitude Maria ne tenta pas de fuir…L’air dégageait une étrange odeur de chair cramé qui lui donnait un haut le cœur, mais à la place elle ravala sa salive…Elle ne répliqua pas à sa première réplique encore heureux qu’elle reconnaisse qu’elle aurait très bien pu survivre…
Maria était encore sous le choc, et elle ne voulait pas trop resté longtemps impressionnée par cette fille…Sa colère hystérique s’est assez calmé devant tant de violence…Elle souffla un peu :

« Outre tes instinct de tueuse tu est aussi devin ?....Et où est ce que tu as vu me geindre, arrête donc de me comparer aux pétasse de hotties qui se plaignent sans arrêt, je n’ai rien à voir avec elle….Pour m’énerver il en faut beaucoup pour ça…même si tu viens de tuer quelqu’un devant mes yeux… »

Elle lui lança un regard sordide, Dire que son père parlait d’une fac de riche, soi-disant prestigieuse…s’il voyait ce qu’on pouvait y trouver….Il faut pas prier longtemps pour qu’il tente de la caser ailleurs…mais elle ne partira d’ici, il y a des espèces très rare dans cette fac qu’elle ne trouvera sûrement pas ailleurs…Enfin il y en a bien une face d’elle…Et croyant qu’elle allait s’ennuyer, cette petite aventure venait de lui prouver le contraire…Si elle encore vivante bien sur, mais ce n’est pas pour ça qu’elle ne dira pas ce qu’elle pense,
Son regard ne la lâchait pas, si elle n’appréciait pas tant pis, elle venait quand même de s’offrir en spectacle…un spectacle involontaire vu la manière indifférente dont elle a usé… Elle voulait oublier ce qui s’est passer mais elle sentait que ce sera difficile, les cris de cet homme hurlant à la mort va sûrement la hanter…et le pire c’est qu’elle n’a pas bouger le petit doigt pour l’aider…c’est un play boy des gars qu’elle aime jouer et torturer….Mais tuer ne lui viendrait jamais à l’esprit…Sauf pour des personnes qui considère la mort comme un acte indifférent…comme cette fille et Andrew…

« Une fillette en crise d’ado…Vas y continue comme si on me le crachait pas assez…, quelque chose me dit que tu as du te faire une réputation dans cette fac je me trompe ? Dans ce cas je suis la seule à ne pas t’avoir croisé encore jusque là…»

Elle regarda Bando qui venait de relever sa caisse…Juste à cause de la peinture…ce n’est pas son genre de faire la morale et elle n’en avait pas l’intention car elle savait déjà que ce serait inutile pour des cas à part comme elle….Elle soupira et lui lança un regard presque dépité:

« Tu veux un autre compliment ? Tu est complètement taré...Mais tu as du l’entendre déjà plusieurs fois et prend le comme tu veux, tu l’as tué tout en me sauvant… »

Elle savait qu’elle n’avait fait pas ça pour elle mais elle ne se priait pas de le dire même si dans son coté cela l’énervait qu’elle lui est venu en aide…de cette manière.

« Encore heureux que ta bécane n’est pas subi la même chose que la mienne….De toute façon dans tous les cas il serait mort…Et non merci, j’ai eu ma dose…Je me casse… »

Mais au moment ou elle se tourna pour se diriger vers la sortie, elle entendit les vrombissements du moteur de sa bécane qui se dirigeait vers elle, sans gène elle lui prit le menton pour la regarder dans les yeux…Les yeux qui s’agrandirent, presque de stupeur…Personne n’avait réellement peur d’elle à part…Elle se souvint du message …Elle dégagea sa main d’un revers et fronça les sourcils en lui jetant un regard noir:]

« Si je me souviens de toi... J’avoue que ton message m’avait surpris mais ce qui me surprend encore plus c’est qu’une fille comme toi ressente ce genre de chose envers une fillette comme tu dis... »

Elle croisa les bras, reculant d’un pas, elle ne comprenait pas vraiment pourquoi elle ressentait cela…Mis à part…Maintenant qu’elle faisait référence à son blog elle se souvint de celui d’un autre. Oui son visage lui était familier, elle l’avait vu…dans le blog d’Andrew…Sa machine à tuer…Elle ravala sa salive en la regardant, il n’y avait rien de sérieux entre elle et lui, surtout de son coté et le sien aussi…enfin c’est ce qu’elle se persuadait à croire...Et dans un ton presque ironique :

«Je me rapelle de ton visage à présent et.... C’est ridicule!...Je ne sait même pas pourquoi tu aurais peur de moi. J’ai toutes les raison d’avoir peur de toi mais toi….aucune… »

Invité

Maria pesta, retirant les « sales pattes » de Bāndô de son visage ; ce qui fit sourire la meurtrière. S’accoudant au guidon de sa Suzuki, pataude, elle la regarda, l’écoutant rétorquer ses paroles…

« Oh non… Tu dois être une Gamma dans ce cas… Je me les blaire encore moins que ces minettes en chaleurs… Elles au moins n’ont pas peur de montrer ce qu’elle sont : des vrais garages à bite… Mais le Gamma d’Harvard a la fâcheuse tendance de se faire plus « bad » qu’il ne l’est… Op tu le saigne un peu, il chiale et il file se faire une overdose de Mercurochrome… Tu veux que j’te dise ? Je les hais, en fait, ces braves gosses, les faux-rebelles accomplis… ça ne veut plus rien dire ces « clans »…»

Balançant son mégot, elle se ralluma une clope...

« J’aimerais bien voir ce que M’dame en cuir ferait si on arrive à l’énerver…»

Provocatrice, une lueur de défi brûlait ses yeux… Maria se plains ensuite de se faire trop souvent « traiter » d’adolescente en crise, ce qui amusa la nippone, qui trouvait finalement qu’on pouvait se divertir de cette fille qu’elle comptait oublier dans les prochaines minutes…

« Si on te le dis aussi souvent, c’est peut-être parce que t’en ai vraiment une… Sors un peu des jupons de maman, on verra après…»

L’américaine fit ensuite la lumière sur la popularité de Bāndô, qui ne cessait de s’accroître depuis la nuit où elle poignarda le directeur, Logan McNamara… La nippone se serait bien passé de cette réputation ; elle n’y voyait qu’un avantage : elle n’avait pas besoin de frapper les malins ignares qui voulait faire du rodéo sur la bête, en se croyant plus fort que ce petit gabarit qui ne payait pas de mine…
Mais être la fille la plus redoutée de l’université, ne l’intéressait pas… C’est ainsi qu’elle montra clairement son indifférence sur le sujet…

« Les gens parlent beaucoup… Trop, à mon goût mais que veux tu, je les distraits dans leur vie monotone et chiante à crever la gueule ouverte…»

Urushima mima un flingue avec ses doigts, faisant mine de se tirer une balle, puis Maria l’encensa encore, la complimentant –du point de vue de la japonaise- en la désignant en aliénée notoire… Bāndô inclina légèrement la tête, signant là une révérence.

« Merci bien…. C’est trop d’honneur… Bien que « tarée » ne me convienne pas… J’verrais plutôt… « grande adepte des franches poignées de main », qui partent souvent en sucette avec moi, va savoir pourquoi… Je suis très…tactile… Voilà tout… »

Rien à faire : Maria campait sur sa vision des choses ; pour elle, la nippone l’avait aidée, certes, d’une manière peu recevable, mais le geste y était. Haussant les épaules, Urushima la laissa dire…

« Comme tu veux… Donc si je comprends bien… Tu me dois ça, non ? »

L’américaine se rappela alors du message du blog, et de celui d’Andrew… Elle n’avait apparemment pas compris les quelques mots que la nippone avait laissés sur le net… Soupirant, Bāndô s’avachit contre son guidon.

« Les douces joies de l’ironie… Non… Tu aurais pu me foutre les glandes… dans une autre dimension peut-être… Sans déc’…j’avais dit ça pour ta tenue surtout… et un peu ta tête… t’es pas très rassurante non plus… M’enfin bon… Il va de soi que j’me suis pas pissée d’ssus quand je t’ai vu… Bon bon bon… Je te case où, mademoiselle ? Dans les bisounours séniors ? Nan… je te verrais plus dans les bisounours à dresser… Tu m’diras, c’est paradoxal avec ta dégaine « cuir », c’est pas la dominatrice qui va se faire taper sur les fesses, mh ? Alors… qu’est ce que je vais faire de toi ? J’ai pas eu ma dose mais je ne sais pas ce que je vais branler, tiens… »

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Elle haïssait les gammas tout en appartenant dans son clan…Que dire…gamma n’est qu’une étiquette qui regroupes tous les faux rebelles, ceux qui haïssent cette fac et qui font vivre un enfer aux autres étudiants ou encore les détraqués comme Elle…

« Pas la peine non plus de me mettre dans le même sac que ces gammas, je ne leur ressemble en rien mais inutile d’essayer de te le prouver n’est ce pas…je hais les hotties et si tu les supportes c’est ton choix, si tu ne blaire pas les gammas alors qu’est ce tu fous la discuter avec moi… »

Elle croisa le regard provocant de cette miss qui ne firent qu’à attiser sa colère…Mais elle ne lui fera pas ce plaisir, ce serait trop bête de se laisser aller, En même temps, elle jouait encore avec le feu à rester discuter avec cette fille qui venait de brûler un homme pour lui avoir juste effleurer sa bécane…Alors que elle continuait à lui répondre parfois avec insolence mais, elle était trop impulsive pour s’en rendre compte, elle pourrait très bien lui réserver le même sort mais on ne sait pour quelle raison elle se garda de la toucher…

« Et en quoi ça t’amuserait de me provoquer ? Pour le moment tu est loin du compte….Je me demande bien comment tu pourrais y arriver,…je ne me suis jamais réellement énervé encore.. »

En apparence elle pouvait s’énerver contre des personnes mais juste pour les embêter, les blesser….mais elle n’a jamais réellement été énervée, pour y arriver il faudrait qu’elle soit blessée par quelque chose lui tenant à cœur, et c’est pourquoi elle ne voulait être dépendant de rien…Son frère ? Il était à l’étranger et même elle ne savait pas ou il était…
Elle souria au coin à sa phrase, cela faisait longtemps qu’elle n’a pas vu t elle ne le regretta pas…trop soumise par rapport à son père, obéissant à tous ses ordres…

« Non, tout simplement parce que ces idiots se fie trop vite aux apparences…Je pense que tu est la mieux placé pour connaître ça non ? »

Les rumeurs de cette fac, elle n’en avait rien à foutre de toute façon, d’habitude c’était pour entendre des jérémiades incessants, seuls ses aventures lui avaient mis la puce à l’oreille…pour les oublier aussitôt après …Elle se contenta de hausser les épaules et tout en soupirant :

« Que veux tu ? Tu es une star, bien plus populaire que ces pétasses…tes manières d’agir ne sont pas considérées comme normaux …même par moi … »

Les gens parlent déjà pour des futilités alors pour des choses dans son genre...ce n’est pas étonnant…
Elle se garda de lui dire que ce sont des poignées de mains qui finissent par être ensanglantés, chose que tout le monde sait, elle se demandait d’ailleurs combien de personnes a-t-elle du la tuer car à en voir sa silhouette frêle elle ne semblait pas faire le poids et ce serait étonnant de se dire qu’elle ait tué des gros durs…mais l’exemple de ce play boy prouve qu’elle sait utiliser la surprise, les tuer au moment où il s’attende le moins…Oh et puis voilà qu’elle se met à examiner sa manière de tuer…
Son commentaire sur les bisounours lui faisait assez mal quand même…mais elle n’étais pas Elle…C’est déjà ça…

«Je ne te dois rien…je ne t’ai rien demandé, tu as agis pour ton plaisir pas le mien…et en ce qui concerne ma tête. Si mon visage ou encore ma tenue te fout les jetons tu veux que je fasse quoi ? Soit tu m’évites, ce qui serait quand même la surprise du siècle soitje devrais changer de … « tenue » mais je ne vois pas pourquoi je devrais faire ça pour toi…bref, ça t’amuse de te foutre de ma gueule hein…mais qui va me dresser ? Toi ? Et comment ? Tu as changé d’avis ?tu veux me faire subir le même sort qu’une de tes victimes peut être… »

Elle était complètement folle d’oser défier du regard l’asiatique qui avait une attitude nonchalante…difficile à croire qu’elle venait de tuer une personne…; à tout moment, elle pouvait changer de position sur elle…Ou pas, elle semblait imprévisible, elle ne savait pas à quoi s’attendre devant cette fille et à vrai dire elle n'étais pas si rassurée que ça…

Invité

« Nan en effet… Tu peux toujours buter le premier connard venu et là, je réviserais mon jugement ; tu passeras de Bisounours à dresser, à Bisounours docile… Et rectification… « supporter » n’est pas le mot approprié… Si je devais en défoncer une, je leur tirais juste une balle, par pitié… Mais si c’était un Gamma que je devrais dézinguer… Je prendrais mon temps… pour lui offrir..une mort bien crade… Et si je « discute » avec toi, c’est que pour le moment, tu me prend pas le chou… si ça serait le cas, toi aussi tu commencerais à sentir le cramé… »

Bāndô éclairait Maria sur le pourquoi de cette petite conversation : il était vrai qu’en temps normal, elle n’aurait pas perdu son temps avec une adolescente pareille…

« Mais c’est vrai… Tu es intelligente : tu arrives à me faire dire des choses presque flatteuses pour toi : comme le fait que tu m’es supportable, parce que…ce que j’aime bien chez toi, tu vois… c’est que tu es encore là… »

En effet, n’importe qui de sensé aurait pris ses jambes à son cou…

« Et plus encore, le fait que tu me parles…normalement… Tu sais…j’en ai ma claque de ces couilles molles qui se pissent dessus ; et va y que ça me lèche le cul pour pas que je leur en colle une… Nan…franchement..ça fait bien plaisir de voir que quelqu’un se comporte de façon naturelle face à moi… »

Le ton menaçant d’Urushima n’indiquait aucunement si ce qu’elle disait être de bonne augure, devait être bon pour Maria, car cette dernière avait bien saisi que son interlocutrice était un parfait électron libre, totalement imprévisible… Elle pouvait vous apprécier le temps d’une conversation, et vous poignarder sauvagement à la minute qui suivait…

« Maintenant faut savoir si c’est de la grande gueule de pisseux… ou une langue de pute comme je les aimes… »

Maria fit cependant l’erreur de lui tendre une perche… Bāndô, dans sa grande générosité, lui rappela…

« Ne m’incite pas à te provoquer… je suis mauvaise joueuse… Donc je te prie de croire que j’ai largement les moyens de te les briser, Madame en cuir… »

L’américaine avoua que la nippone était hors norme…

« Je n’entre pas dans tes critères de normalité ? Heureuse de l’entendre, ça à l’air bien morne dans ton monde, ma grande… Moi je ne m’ennuie pas une seconde… si ce que tu appelles la normalité et de vivre en attendant de se faire bouffer par un plus fort que soi, alors ta réalité, je te la laisse volontiers… »

Chase se demandait comment un poids plume comme Bāndô pouvait arriver à bout d’armoires normandes qui devait faire deux fois sa taille… La réponse était simple : vélocité sadisme et imagination faisait la différence. D’un, on se méprenait toujours sur son cas, la croyant faible, la surprise était donc au rendez vous, ce qui était un avantage supplémentaire… Mais ce qui lui assurait la victoire, était sans nul doute sa grande expérience du combat. Sa vie n’était que rixes, depuis sa tendre enfance, la violence était son quotidien, autant dire qu’on s’attaquait à la muse des duels…

« Change de tenue… Bonne idée ça… Sinon pour le dressage, oui, éventuellement je pourrais m’en occuper mais j’ai d’autres chats à fouetter… Nan… je pourrais te confier à des pros en la matière… Un stage à l’entreprise la plus florissante de Cambridge : celle de mon boss, ça te dit ? Et pour te répondre : non, je ne compte pas te tuer pour les raisons que j’ai déjà cité… »

Invité

Elle lui lança un regard sordide, décidément ce mot Bisounours…, se rendant compte en face de qui elle parlait elle ne put s’empêcher d’avoir un rictus :

« Oh oui c’est clair qu’à coté de toi, je suis un bisounours, tu aimes tuer pas moi, si tu juges donc à partir de là…Je n’ai rien à dire sur ta façon de voir les choses de toute façon… »

Lui prendre le chou, hum ce n’était pas elle qui à voulu engager la discussion mais elle, qui était encore là à discuter avec elle...Et ce qui était étonnant c’est que Maria continuait à lui répondre…En fait elle ne le reconnaissait pas mais même si elle était assez agacée de ce qui venait de passer, elle était là en train de discuter avec un cas plutôt intéressant…A croire qu'elle aimait discuter avec les cas de son genre, c'est plutot vrai...
Quand elle avait entendu parler d’elle elle ne savait pas vraiment à quoi s’attendre, en fait elle ne pensait pas vraiment la rencontrer et discuter avec elle ce qui était actuellement en train de se passer sous les airs assez inquisiteurs de Maria…Si elle fuyait chose qu’elle ne ferais jamais, elle n’hésiterait sûrement pas à lui poignarder dans le dos…Ce genre de chose on pouvait s’y attendre, mais ce qu’on ne peut pas par contre c’est son humeur changeante…

« Oh La sadique Bando me faire un compliment, je devrais peut être me sentir flattée…Mais ça ne me dit rien de bon…Je ne vais tout de même pas te fuir, Ce serait une preuve de lâcheté…Tu peux commettre des actes horribles, mais …je ne te connais pas et vu que tu ne m’as pas encore touché…je crois qu’il y a tout de même un soupçon d’humanité en toi…Ou je me trompe mais ça je n’en sais rien…Je ne sais pas si tu vas me prendre pour ces couilles molles qui te lèchent le cul, mais je dois avouer que tu est un personnage bien à part dans cette fac…Crois moi, quand je suis venu ici, jamais je n’aurais cru trouver des cas comme toi….Juste des stupides étudiants se pliant aux stupides conventions de cette société ou alors des potiches prêtes à coucher avec leur profs pour avoir leurs diplômes afin d’augmenter leur taux de popularité…Non franchement même si tu fais peur tu est quelqu’un de réellement impressionnant, ….J’espère que ce te compliment ne te fait pas trop mal, mais ça ne vas pas dire non plus que j’ai envie de te connaître davantage…D’un coté, peut être oui… Mais de l’autre j’en ai déjà trop vu…»

Si elle aurait ajouté le terme intéressant ce serait comme si elle l’examinait à la façon d’un psy…Elle continuait à la regarder dans les yeux, oui elle la provoquait d’ailleurs au fond d’elle…elle avait l’impression qu’elle cherchait une faille, ou peut être pas, elle n’en savait rien n’avait elle pas dit qu’elle avait peur d’elle, ce qui était toujours aussi impressionnant, hum…

« Nous n’avons pas la même vision des choses…comme quand tu préfère lire la peur et la douleur au moment de leur mort…et de la manière des plus sadiques ça c’est clair mais moi je prépares des petites vengeances personnels et les faire souffrir dans leur vie… C’est clair que je rencontre souvent des gros durs qui veulent régler leurs comptes par la suite, mais j’en suis toujours sorti indemne…Je sais me défendre ça me suffit, mais pas tuer…ça n’est sûrement pas plus efficaces mais je n’ai pas tant de haine en moi pour en faire davantage…»

Elle alla chercher sa dague qu’elle avait fait tomber tout à l’heure :

« Sauf que toi tu n’as pas réellement besoin de haine, tu est si…indifférente…enfin bref. Changer de tenue ne va pas changer grand-chose…ce n’est pas moi qui réduit en tas de cendres le corps de mes victimes, en faire de la charcuterie ou Dieu sait quoi encore…En ce qui concerne la prostitution, si c’est une des autres raison qui te pousse à me parler, c’est inutile…Ton boss connaît déjà mon opinion… »

Revenu près d’elle elle la regardait de nouveau dans les yeux, Elle ne comptait pas la tuer, et les raison pour lesquels elles les avaient cités était considérés quand même assez minimes par Maria…Difficile à croire pour une personne qui tuait de manière aussi sadique pour des rasions si futiles…ou même aucune raison va savoir, c’était bien plus par plaisir…

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Maria porta un jugement hâtif : Bāndô n’aimait pas vraiment liquider les autres, elle préférait la torture… Tuer n’était qu’un détail…

« Tuer ? Non pas vraiment… Je préfère de loin cuisiner ma viande avant... Parce qu’abattre, c’est quoi au juste ? Dépasser la limite… C’est assez excitant mais c’est plus jouissif de lui faire regretter d’être né avant de lui couper la tête, à notre chère victime, t’es pas de mon avis ? »

Finissant son énième cigarette, elle soupira : le paquet était vide…

« Tu m’appelle même par mon prénom… les infos circulent vite à c’que j’vois… Saletés de gosses… »

L’américaine continuait son analyse : Bāndô n’avait toujours pas coupé le moteur, elle restait là, à converser sur sa deux roues.

« Un soupçon d’humanité… Va dire ça au tas de cendres… Mais oui, j’avoue que je suis une grande romantique au fond de moi : j’offre les roses avec l’enterrement »

Puis Maria la complimenta, assez modestement pour ne pas s’attirer les foudres de la japonaise, chose inévitable en soi.

« T’as beau me demander de pas te prendre pour une lèche, tu me suce tellement avec tes compliments à trois balles que bientôt tu vas finir par me râper la peau des fesses… »

Elle l’amusait de plus en plus : Chase exposait sa façon de faire, détruire les autres en coups bas…

« Mais je fais les deux, ma grande ! Avant de les achever, il faut les tuer moralement… Ensuite vient les festivités… Je compte plus le nombre de proches des fiottes sur ma liste noire que j’ai du violenter… Faut s’attaquer aux vieux, aux frères-sœurs, et même marmots… Si tu veux buter une Hottie, tu lui éclates son bébé d’vant la gueule avant de la planter… »

Bāndô continua à converser sans s’énerver : exploit de la journée, voir, de l’année…

« Et j’ai pas de haine comme tu dis… Je m’amuse, c’est tout… Cette fac, c’est mon terrain de jeu… Vous êtes un peu…les bouffons du Roi. Je suis le Fou et je bouffe tous ces pions si insignifiants... Marrant non ? Moi j’aime… »

Elle la suivit des yeux lorsqu’elle ramassa sa dague… Urushima retroussa sa manche : elle prit la main armée de Maria, et la força à enfoncer la lame dans son bras : Bāndô la regardait dans les yeux, un sourire sadique aux lèvres, tandis ce qu’elle guida la menotte de cette Dame en cuir, pour qu’elle trace une ligne sur le bras déjà scarifié de la nippone. Cela créa une traînée sanglante sur la peau blanche de la marginale.

« Tu es capable de plus… Il faut juste t’aider… »

Bāndô avait les idées claire : Maria semblait avoir parlé à Andrew ; il ne devait pas lui avoir proposé d’entre dans le clan puis ce qu’elle ne se souvenait pas de son visage, et la demoiselle était récitante concernant la prostitution... Mais la japonaise était sûre et certaine qu’on pouvait faire quelque chose de cette Gamma…

Invité

Son nom était en fin de compte resté ancré dans sa mémoire Elle l’avait sorti sans même s’en rendre compte,, en fait quand les rumeurs sont sortis elle ‘n’auraient pas cru qu’elle existait vraiment, elle ne savait que cette fac comportait de telles créature…
Trop stressé, elle la regardait finir son paquet de cigarette, elle soupira quand elle parla avec ironie de l’enterrement et de son bouquet de fleurs, puis sourit au coin :

« Des roses juste après avoir tué ta victime ? Très original …Et après ?tu te recueilles sur sa tombe pour lui demander pardon ? »

Lorsqu’elle la complimentait, vu qu’elle ne semblait pas aimer les compliments, mais elle n’avait pas besoin d’être hypocrite, elle vient de la sortir de l’ennui monotone qu’allait être sa journée, se demandant ce qu’elle allait faire… Bien entendu, si elle avait une liste elle aussi de victimes à torturer puis tuer de manière aussi sadique, la journée serait sûrement moins ennuyante… Comme elle le disait tout à l’heure….Allons bon voilà qu’elle se met à penser à sa manière. Elle esquissa de nouveau un sourire et sortit un paquet de sa veste avant de le lui lancer :

« Je te le donne…de la part de miss lèche-cul. »

Elle ravala sa salive lorsqu’elle parlait de la façon dont elle s’y prenait pour se débarrasser des victimes…Et dire qu’elle était en train de continuer à parler avec elle, enfin…n’a-t-elle pas joué avec le feu avec son boss aussi ? Il faut que ces deux personnes se ressemblent, la même indifférence à l’égard de leurs victime, la même cruauté, travaillant dans les mêmes vices,…La seule différence c’est que Bando semblent faire le « sale travail », tous les deux tuent mais pas de la même façon…Andrew ne semblait pas prendre son temps comme elle ave ses victimes…Hum, La voilà encore à analyser ces deux là, elle secoua sa tête puis la regarda dans les yeux :

« Euh oui…Enfin marrant…Il est clair que je suis bien loin en comparaison avec toi, si tu t’y prend de cette manière je crois qu’il s’en souviendront même après leur mort… Donc…tu « Divertis » cette fac avec tes actions sanguinaires...j’ai la réponse à ma question dans le cas ou je me demandais comment une fille comme toi pouvait-elle supporter ce genre de fac…Laisse moi deviner…Le Roi c’est ton Boss ? »

Elle ouvra ses yeux de surprise quand elle lui prit le bras et la força à enfoncer sa lame dans son bras… qui était déjà recouvert de plein de marques, d’où Maria put reconnaître quelques inscriptions tribales …et elle devina que ce n’est pas que son bras qui en et recouvert….Elle se plaisait à faire ce genre de chose d’habitude, et pour Bando en ce n’est sûrement qu’une égratignure comme une autre…

« Non, ça ne m’étonne absolument pas qu’une fille comme toi puisse être aussi follement maso ! L’un ne va rarement sans l’autre…. »

La confiance a pris vite le dessus par rapport à la surprise de son arrivée remarquée….Une étudiante normale aurait sûrement la trouille d’être forcé à porter la main sur elle en sachant qu’elle se ferait sûrement tuer…La situation devenait des plus intéressant aux yeux de Maria…voire tentant, et en guise de réponse, Elle enfonça plus profondément cette lame et lui prit l’autre bras pour enfoncer à son tour sa lame d’un geste rapide, mais profond…Elle regarda le liquide sanglant dégouliner le long de ses bras...

« Dans ce cas, il faut qu’une soi disante personne m’y aide je suppose…Va droit au but qu’attend tu de moi ? »

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