Moment de relaxation... [PV:Jordane]

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La petite bruine de la matinée avait fait place à une journée toute à fait belle. En effet, le soleil montrait le bout de son nez dans les hauteurs de la grande ville de Cambridge. Un jeune homme brun aux yeux d’ébène errait seul dans les petites ruelles. Ce jeune homme ce nommait William, William O’Connell, il était étudiant dans la célèbre école d’Harvard. Bref !

William ressentait un mal être depuis quelques jours, jamais il n’avais loupé des partiels comme ça. Qu’est-ce qui le travaillait pour qu’il en oublie sa priorité ? Une fille ? Non William n’avais pas eu de copine depuis qu’Ashley, sa meilleure amie, était arrivée dans la même université que lui. A vrai dire, ça lui faisait un peu de bien, il se sentait libre comme ça… Donc si ce n’était pas une fille qu’est-ce que c’était ?

Ses pieds le porta jusqu’à la plage, il retira ses converses et commença à marcher dans le sable fin. L’eau venait lui balayer les pieds et sentir cette fraîcheur lui procurait du bien. Au bout de quelques minutes il alla se mettre sur un rocher, comme ça, l’eau pourrait lui fouetter les pieds comme il aimait tant.

* Qu’est-ce qui t’arrive mon vieux ? D ! D ! Et re D !!! Toi qui jusqu’ici n’avait que des A et des B ! Ash’ se ramène et PAF ! D ! Faut que tu te rattrapes ! *

Il fixa son regard d’ébène dans l’océan, les rouleaux allaient et venaient, le bruit qu’ils faisaient lorsque qu’ils étaient forcé à dire au revoir à l’océan lui faisait penser à plusieurs choses. Oui, William pouvait en un instant se mettre à rêvasser jusqu’à en oublier la vie qu’il se déroulait près de lui.
Il repensa alors à la mort de ses parents, logique, car cela faisait tout juste cinq ans et trois jours qu’ils avaient dépérirent dans leur accident de voiture. William repensait au changement considérable qu’il avait eu. Psychologiquement parlant, le jeune homme était devenu fragile, et ça… Il avait du mal à l’accepter !!! Les larmes monta rapidement dans ses yeux, quand il pensait au sourire de ses parents, mais bon il était seul… Sinon jamais il ne se serait permit d’avoir une ou deux larmes qui s’enfouissait dans ses commissures. Le bruit de l’eau lui faisait ressentir une sorte de mélancolie, comme si tout avait une fin, comme ses rouleaux qui s’écrasaient sur les roches plus loin.

Perdue dans ses penser, encore une fois comme tous les jours ces derniers moments… C’était peut être à cause de ça qu’il avait eu une note aussi médiocre à son dernier partiel, heureusement qu’il avait assuré dans les autres matières, sinon bye bye la bourse. Et là, il devrait dire ciao Harvard… Et surtout tschüss à Ashley, qui elle avait tout fait pour le retrouver. En effet, William avait été très surpris sur le fait que sa petite sœur de cœur l’avait retrouvé à Harvard en connaissant son appétit pour les cours. Mais cela lui donnait du baume au cœur, au moins il n’était plus seul dans cette ville hostile.

William retira ses pieds de l’eau et alla s’allonger sur le sable, les mains d’arrière la tête, il se mit à rêvasser tranquillement…

Jordane avait décidé de visiter toute la ville de Cambridge, elle venait d'arriver depuis même pas un mois et donc, elle n'avait pas encore tout découvert. Elle avait décidé d'aller à la plage, la magnifique plage dont son "père" lui avait toujours parlé lorsqu'il partait pour ses voyages d'affaires. Jordane était arrivé à la plage en début d'après-midi et vu que l'été persistait toujours( il devait faire au moins 28°), elle en avait profité pour emmener son maillot de bain. Etant adepte de la natation, l'eau était son domaine et Jordane avait prouvé ses talents de nageuse. Bref, elle était en train de nageait et le temps passait, effectivement, le soir commencé à tombé et Jordane en déduit qu'il devait être aux alentours de 20heures. Mais, à quoi bon se presser, personne ne l'attendait, elle était toute seule, toute seule dans cette si grande ville! Elle jeta un coup d'oeil à la page et vit qu'elle était déserte sauf, sur un rocher située à quelques mètres d'où se trouvait Jordane, elle vit un jeune homme qui était plongée dans ses pensées. Elle était en train de le fixait depuis une bonne dizaine de minutes lorsqu'il releva la tête et vit qu'elle le fixait d'un air intriguée...

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William se sentait bien sur le sable, l’air frai venait lui chatouiller le visage et ses cheveux volaient avec le vent. I les demandait comment allait Ashley, et pourquoi elle ne l’avais pas téléphoner comme promis; Elle devait sûrement l’avoir oublié… Rien d’étonnant avec la masse de travail qu’un première année avait. M’enfin bref… Le ciel se couvrait petit à petit, en effet, William était resté toute l’après midi sur son le sable à penser, chantonner, écrire, et le voilà maintenant en début de soirée il était repartie sur le même rocher qu’il avait abordé en début d’après midi.

Petit à petit son regard se leva de nouveau sur l‘eau qui arrivait et s‘écrasait dans l‘océan. Bien que ses pensées étaient toujours dirigées vers son amie d’enfance, il se sentait observé. Se prenant quelques minutes pour un fou il releva quand même le regard et ce dernier alla sur la plage, d’ailleurs la plage était déserte hormis une charmante jeune femme d’environ une vingtaine d’année, elle était plutôt mignonne avec ses cheveux long brun qui lui tombait sur les épaules. La chose qui intriguait Will en premier était le regard qu’elle lui lançait, on aurait dit qu’elle le trouvait curieux ! Will se demandait d’ailleurs pourquoi car bon, il était sur un rocher, vêtu normalement, pas en maillot, mais qu’est-ce qu’il était étrange là dedans ?! A priori rien, mais bon la nature humaine est parfois bizarre…

Il se leva et alla à la rencontre de la jeune femme. Il la regarda droit dans les yeux, et se rendit compte que ses derniers étaient aussi bleu que la surface qu’il scrutait au loin il y avait de cela cinq minutes à peine. Troublé par ce regard, William balbutia que quelques mots incompréhensible, avant de se reprendre l’air de rien.

- Bonjour, moi c’est William, William O’Connell, je peux m’asseoir ? Lui demanda-t-il en lui tendant la main.

Jordane avait remarqué qu'il l'avait vu le regardait et donc elle baissa toutes suite son regard mais elle savait très bien que s'était peine perdu et qu'il n'allait pas tardé à lui faire des reproches. Elle entendait déjà ses pas s'approchés dans le sable frais. Mais au lieu des reproches auquels Jordane s'attendait, elle eu droit à quelques mots incompréhensibles puis enfin une phrase de présentation qui disait qu'il se prénommait William O'Connel. Elle releva les yeux et lui fit signe de s'asseoir.

-Moi, c'est Jordane! Je... je n'est pas fait exprès......de...te fixer comme ça!!!!Ca doit être génant!

Elle ne le connaissait même pas, et elle lui parlé comme si de rien n'était! Espèrons qu'il ne lui fasse pas trop de reproche sparce que sinon elle ne tarderai pas à l'envoyer boulé!

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La façon dont la jeune femme, prénommée Jordane l’avait regardé puis comment elle s’était reprise avec fait sourire William. Ce n’était pas qu’il en avait l’habitude, d’être regardé intensément.. Enfin si en fait ^^. Pour son plus grand malheur à vrai dire. Il s’assit près de la jeune fille. Et regarda l’océan qui ondulait sous son regard.

- C’est pas grave, d’un côté c’est même flatteur.

Il lui la regarda vite fait et lui fit un petit sourire, avant de reporter son regard vers l’océan. A cette instant il avait une chanson française en tête, il avait entendu sur un site Internet, en fait c’était l’histoire d’une « petite pouffe », et la chanson, qu’il avait dû traduire le faisait toujours sourire. Même s’il ne se disait pas que la fille était une « petite pouffe, pouffe, pouffe… » mais il aurait peut être parié qu’elle faisait parmi des fameuses hotties. Allez, rien que pour oublier ses mauvais partiels il ferait rencontre d’une fille que normalement il n’aurais peut être pas encadrer.

- Tu es originaire de Cambridge ou tu viens d’une autre ville ?

Oui, il fallait dire que le jeune homme n’était pas très fort pour ce qui était de parler tranquillement sans rentrer direct dans le sujet. Il tourna la tête et vit qu’ils étaient vraiment seuls sur cette étendue de sable fin. Il se retourna vers Jordane :

- Nous sommes on ne peu plus seuls, heureusement que tu es là, au moins je rencontre du monde.

Il lui fit un grand sourire made in colgate. Et là, il avait deux pensées en tête. Quand il regardait Jordanne, il avait une tout autre jeune femme devant les yeux, Ashley, encore et toujours ! Mais pourquoi ?!? Et l’autre c’était qu’il avait l’air d’un delta là, le mec sûr de lui, faisant des sourire charmeurs à qui le veux… bref son opposé quoi !

Jordane ne savait pas pourquoi elle était en train de parler avec ce parfait inconnu. D'accord, il était à Harvard comme elle mais à part ça, il n'avait rien en commun. Mais, apparement, il n'avait pas l'air géné de parler avec elle alors Jordane chassa cette idée de la tête puis regarda la mer. Après tout, c'était lui qui était venu la voir.

-Tu sais, je t'es pas regardée pour te flatter. En fait, j'était dans mes pensées et j'ai pas fait gaffe que je fixé quelqu'un. Au fait, je fai parti de la confrérie des Thêta et toi?

Puis, il lui demanda si elle était originaire de Cambridge mais, pourtant, tout le monde pouvait savoir rien qu'en l'entendant parler, qu'elle n'était même pas américaine.

-Non, pas du tout! Je viens de Paris en France. Et toi, tu viens d'où?

Jordane n'était pas très à l'aise car la plage était déserte et Jordane préférait être entouré de personnes car c'était trop génant d'être dans la situation à laquelle elle se trouvait confronter en ce moment.Puis, au même moment, William en fit la remarque. Jordane tourna la tête vers lui et le vit la regardait en lui souriant mais Jordane avait l'impression qu'il était ailleurs.

-Dis, tu penses à quoi là?

Elle s'était retenu de lui dire "à qui" car, c'était évident qu'il pensait à quelqu'un. Sa petite amie certainement.

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