[PV: Bill] Vaincre ou être vaincu.

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Chanel avait fait durant la pause du repas de midi, la connaissance d’un jeune homme prénommé Bill. Elle avait dans un premier temps était timide, elle s’était fait passée pour une sacré idiote. Puis en suite, s’étant plus décontractée, elle avait signé son dessin et l‘avait donné a ce jeune homme. Puis en suite, comme un jeu, les deux jeunes gens avaient échangé un baiser innocent. Mais apparemment, Bill avait regretté ses gestes. Chanel, elle, tout au contraire, ne les regretter pas. Bien qu’elle savait qu’il avait une petite amie, a présent, ce qui l’attristait, sans qu’elle ne veuille bien l’admettre. Peut être que Bill avait réagi comme cela parce qu’il avait peur que son amie le sache… ou peut être que…

« On peut vaincre par une épée, et être vaincu par un baiser. »

Il était dix-sept heures, et Chanel avait terminée ses cours pour la journée. Elle avait fait la connaissance de son colocataire, Alex, en rentrant dans sa chambre. En fait, elle s’était installée sur son lit et tout de suite après, le jeune homme était entré. Ils avaient pu discutailler un tout petit peu, jusqu'à que Chanel s’excuse, car elle devait se préparer à partir au petit salon. Elle y avait rendez-vous avec Bill. Mais peut être que celui-ci ne viendrait pas, après réflexion…

Chanel perdit son sourire. Elle prit tout de même une douche, et alla prendre une douche. En sortant de celle-ci, elle décida de se vêtir d’un leggins blanc avec par-dessus un short de couleur rose. Elle enfila aussi un débardeur noir. [Look] L’ensemble était coloré, elle aimait bien sa tenue, a vraie dire. Chanel chercha sa chaînette, le médaillon de sa sœur. Une foi qu’elle l’eu trouvé, elle l’enfila autour de son cou. Elle regarda un instant le papillon qui était accrochée a la chaîne en or. Elle soupira, repensant à sa sœur. Puis enfin, elle se décida a sortir de sa chambre…

Elle marcha d’un pas lent en direction du petit salon, ou Bill et elle devraient se voir. Une fois arrivée a destination, elle entra, et chercha des yeux le jeune homme… Il n’était pas la. Elle essaya de se convaincre qu’il serait la dans quelques instants, et alla s’asseoir dans un fauteuil.

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Bill avait tenté de se convaincre que ce baiser était innocent, mais il n’avait cessé d’y penser, sa mère lui répéter souvent plus jeune, qu’un baiser sans importance, sa n’existe pas. Il soupira, allongé sur son lit, il regarda l’heure, bientôt l’heure. Il se leva alors d’un bond et attrapa sa guitare et son carnet de composition. Il n’avait pas prit le temps de se changer après tout ce n’était pas un rencard.

Il marchait dans les couloirs, sa guitare sur son dos, plusieurs regards c’étaient posé sur lui, et franchement, il avait fini par prendre l’habitude, et eux aussi aller finir par s’y habituer. Mais lorsque l’on faisait une remarque derrière son dos, il réagissait par un geste peu commode, et que peu de gens appréciait, ou alors, il lançait un regard noir et là, la personne en question cesser de rire. Il finit par arriver devant la porte du salon.

Il passa la porte et chercha du regard la jeune blonde, il la vit tout de suite, il faut dire qu’il n’y avait que deux autres personnes dans la pièce. Il s’approcha d’elle et mit ses mains sur ses yeux.

- Devine qui c'est ?

Il enleva ses mains puis s’installa en face de la jeune femme.

- Tu pensais que je n'allais pas venir ?

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« Devine qui c'est ? » Chanel sursauta, elle ne s’y attendait pas du tout. Voila. II était la. Il était venu. Elle ne s’y était pas du tout attendue à vrai dire, elle croyait se faire de faux espoirs. Bill enleva ses mains de ses yeux, et s’assis en face d’elle. Chanel passa sa main sur sa nuque, trouva son collier, et le tripota nerveusement, sans savoir pourquoi et sans s’en rendre compte. « Tu pensais que je n'allais pas venir ? » Chanel soupira et fit un signe de tête affirmatif. Oui, elle ne pensait pas qu’il allait venir. Elle pensait qu’il avait mal pris ce baiser. Il y avait tout de même de quoi, au fond.

« Oui, franchement, je pensais que tu ne voulais plus me voir. »

[pas inspiré]

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« Oui, franchement, je pensais que tu ne voulais plus me voir. » Bill laissa apparaître un sourire gêner, c'est vrai qu'il avait eut un moment de doute avant de venir ici, mais il était là non ? C’était l’essentiel.

- Eh bah, je suis là !

Il sortit sa guitare de son étui en faisant bien attention, cette guitare était l’un de ses biens les plus précieux. Il attrapa ensuite son cahier et le posa sur la table basse avant de dire à Chanel de ne pas y toucher. Il commença à accorder sa guitare, faisant de temps à autre des essaies. Puis finalement, y parvint à l’accorder comme il le voulait, sa faisait un moment qu’il n’avait pas joué. Il reprit le carnet et l’ouvrit, cherchant une chanson qu’il pourrait lui jouer, mais il ne savait vraiment pas laquelle, il soupira alors et tendit son cahier à la petite blonde.

- Choisis celle que tu veux...

Ces chansons parlaient en général de la mort de ses parents, ou d’Eva la fille qui l’avait trompé, mais aussi quelque fois de sa famille actuelle et de combien elle l’aimait. Il avait dernièrement écrit une chanson sur sa petite amie, et même une sur Chanel, intitulé " petite blonde ".

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« Eh bah, je suis là ! » Elle afficha un petit sourire, sans trop laisser paraître une émotion particulière. Elle ne savait pas quoi lui dire ; fallait-il s’excuser ? Pour le baiser ? Mais elle ne regretter pas ce qu’elle avait fait, alors, a quoi bon ? Elle chassa ces pensées de sa tête en voyant Bill sortir sa guitare. Bill l’accorda quelques instants avant de trouver le bon ton. Puis il ne trouva pas la chanson qu’il voulait faire – il n’arrivait pas a se décider, le choix était sûrement trop difficile. Alors, il tendit son cahier à Chanel. Elle souria doucement, pris le cahier, et alla vers la fin ; la fin veut dire récent, donc ce que Bill a récemment vécu ou ressentit serait inscrit dans cette partie du cahier. Elle découvrit une chanson, intitulée « petite blonde ». Elle arqua un sourcil, et regarda Bill, avec un sourire amusé. Elle lui rendit le cahier, et désigna du doigt la fameuse chanson.

« Celle-ci ! »

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Bill prit le cahier et regarda la chanson qu’elle avait choisis, il sourit amusé et posa le cahier sur la table basse. Il regarda les premières notes, histoire de se les rappeler un peu puis commença à jouer sans chanter pour autant. La mélodie était vive, joyeuse, comme la personne qui se tenait en face de lui. Il commença à chanter, d’une voix très douce, très agréable à écouter, Bill chantait très bien. Le premier couplet décrivait surtout le caractère de la jeune femme et la manière dont elle se comportait. Le refrain disait que c’était une petite blonde bien gentille, très rigolote, et tout ce qui va avec. Le deuxième couplet parler de son don cacher pour le dessin, et le coda, disait que c’était une fille merveilleuse, et très douce, la dernière phrase disait qu’elle embrassait très bien, Bill avait mit sa pour la faire rire un peu, en espérant que cela marche. Il acheva la chanson et releva la tête vers Chanel.

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Bill commença à jouer quelques notes mélodieuses, tout ca sonnés bien à son oreille. Puis il commença a chanter ; sa voix était douce, il était vraiment très doué. Les paroles des chansons parlaient d’une jeune fille, souriante, dynamique, amusante. Il disait aussi qu’elle était merveilleuse, et très douce. Puis la dernière phrase disait qu’elle embrassait très bien. Elle regarda Bill en levant un sourcil. Il avouait enfin sa défaite, ou quoi ? Elle lui fit comprendre ses pensées par son regard… du genre, alors, mon vieux, on avoue qu’on a perdu, que je suis la meilleure ? Elle souria, d’un sourire radieux, beau et sincère. Elle regarda Bill, s’il avait écrit une chanson pour elle, c’est qu’il tenait comme même un peu a elle. Mais ils se connaissaient a peine ! Pourquoi avoir envie de faire une chose pareille, une telle preuve d’attachement, pour quelqu’un de qui on ne sait rien ? Il fallait remédier à tout ca. Mais d’un côté, Bill savait plus de chose que personne n’en savait sur elle ! Il connaissait sa passion pour le dessin, ce qui était déjà énorme. Chanel souria, de plus belle, et arqua un sourcil, elle ne pouvait pas s’empêcher d’avoir ce petit air coquin et amusé avec lui.

« Tu a écris cette chanson pour moi mais tu ne sais pratiquement rien de moi… Et moi non plus, je ne sais rien de toi, quasiment, en tout cas… »

Elle savait juste qu’il s’appelait Bill, qu’il était très doué côté musique, et qu’il avait une petite amie. Lui, il savait juste d’elle son prénom, et son goût pour l’art. Elle leva son regard émeraude sur lui, et posa ses mains sur ses cuisses a elle.

« Parle moi de toi, petit Billounet. »

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« Tu a écris cette chanson pour moi mais tu ne sais pratiquement rien de moi… Et moi non plus, je ne sais rien de toi, quasiment, en tout cas… »Bill n’avait pas vraiment sourit en entendant cette phrase mais elle avait raison, il ne savait rien d’elle, mais il avait réussie à bien la cerner déjà, et de plus, il avait échangé un baiser, et bien qu’il n’ai pas de signification, pour lui s’était déjà savoir pas mal de chose sur la jeune femme blonde. Il passa sa main dans sa nuque avant de remettre la guitare dans son étui. La jeune femme lui demanda de parler de lui, il mit alors ses mains sur ses genoux et dit :

- Qu'est-ce que tu veux savoir ?

[HJ: Pas le temps de faire plus long ><]

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« Qu'est-ce que tu veux savoir ? » Elle souria, doucement, et regarda un instant autour d’elle, il n’y avait qu’eux, et une autre personne, plongé dans un gros livre sur un fauteuil. Elle reposa son attention sur Bill, et lui répondit, sur un ton enjoué. Elle leva les yeux au ciel, amusée.

« Mais tout, voyons ! Tout et n’importe quoi ! Dit moi, depuis quand joue tu de la guitare, depuis quand tu composes. Parle moi de ta famille, de tes envies, de ce que tu aimes faire. Parle moi… De ta petite amie. Comment s’appelle t-elle ? »

A vrai dire, elle n’en avait rien a foute d’elle. Elle avait dit ca, comme si elle s’intéresser a sa petite amie, comme si elle en avait a faire quelque chose de leur rencontre, de leur sentiment. En fait, elle était sans le savoir jalouse de cette dernière. Elle avait échangé un baiser avec Bill, ce qu’elle n’aurait pas fait avec quelqu’un d’autre. Seulement, Bill avait l’air d’aimait sa petite amie, et d’être fidèle comme garçon. Elle a de la chance, sa petite amie, c’est tout ce que l’on pouvait dire.

« Si tu ne veux pas, je ne t’en voudrais pas. »

Elle baissa les yeux, haussa les épaules redoutant la réaction du jeune homme. Peut être qu’il n’en avait rien à foutre d’elle, comme elle n’en avait rien à foutre de sa petite amie. Mais si c’était vraie, il en serait pas la, en face d’elle, il ne lui aurait pas chanter une chanson. Il ne lui aurait pas dit qu’elle embrassait bien, même si c’était sûrement pour rire qu’il avait écrit ca a la fin de sa chanson. Mais la réaction de Bill, ce matin, en partant en cours, avait tout de même mis perplexe Chanel. Sa sœur lui avait déjà dit, qu’on pouvait vaincre par une épée, et être vaincu par un baiser. Peut être que Bill avait été vaincu par son baiser. Et peut être que non. Mais que voulait dire être vaincu par un baiser ? Si seulement April était encore la, aujourd’hui… Chanel soupira, attristée que sa sœur ne soit pas à ses côtés. Même aujourd’hui, Charly lui manquait. Ce soir, elle téléphonerait a ses parents, sur ! Et elle pourrait entendre la voie de son petit frère, le charrier, lui dire qu’elle l’aimait, qu’il devait être sage a l’école, et obéir a maman…Tout ca lui manquait ; l’univers familial, les rigolades entre frère et sœur…

« Ecoute, Bill, j’ai envie d’en parler. De ce matin, du baiser. »

Elle le regarda droit dans les yeux – cette fois, elle ne se défilerait pas, elle resterait la, et lui aussi. Elle savait que ce matin, il s’était passé quelque chose. Elle savait, qu’elle était attirée par le jeune homme. Mais si ils ne parleraient jamais de tout ca, il y aura toujours un froid entre eux.

« D’habitude je n’embrasse pas quelqu’un sans raison, parce que j’en ai envie, ou pour jouer. »

Elle leva un instant les yeux au ciel, et soupira silencieusement. A ce moment, la personne installée au fond de la salle se leva, et s’en alla vite fait du petit salon. Il avait peur ou quoi ? Bill et Chanel ne devraient pas se disputer. Non…

« Je crois que ce que j’ai fait ce matin, ce n’est pas juste pour l’histoire du « j’embrasse mieux que toi ». Je crois que j’ai fait ca parce que… Je ne sais pas, tu as quelque chose. Quelque chose en plus. Mais tu as une petite amie, et tu as l’air d’être fidèle… Mais ta réaction m’a étonnée. Tu es partit, comme soucieux. Je ne l’aurais jamais dit a ta petite amie, au risque de semer le trouble entre vous, non, jamais… Je t’apprécie déjà beaucoup, tu es déjà un ami, pour moi… »

[Je me force a m'arrêter x3]

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Tout ? Elle voulait tout savoir ? Cette jeune femme était-elle tombée sur la tête ? Qui voudrait tout savoir d’un homme comme Bill, surtout qu’une fois que l’on savait tout, le regard de Bill n’avait plus rien de très mystérieux, néanmoins, il décida à dévoiler quelques petites choses.

- Eh bien ! Le soir de mes 16 mes parents sont décédés, j'ai été adopter par la meilleure amie de mon père, et j'ai provoqué son divorce ! J'ai une demi-soeur, je joue de la guitare depuis tellement longtemps que je ne m'en rappel plus et pour finir, ma petite amie s'appelle Erika Nobuko...

Il avait dit sa sur un ton assez agressif. Le jeune homme s’enfonça ensuite dans le canapé, regardant la jeune femme qui était en face de lui. Il n’arrivait pas à oublier ce baiser et cela le déranger plus qu’autre chose, ainsi il évitait chacun des regards de Chanel, pour éviter de repenser à ce baiser, qui sans cesse revenait dans ses pensées. Il passa alors sa main dans ses cheveux, qu’il allait sans doute bientôt coupé, car il commençait à en avoir marre, puis regarda autour de lui laissant échapper un soupire, ce silence était plus que désagréable. Heureusement pour lui, Chanel rompit le silence : « Ecoute, Bill, j’ai envie d’en parler. De ce matin, du baiser. ».

- Ce baiser était une erreur, point !

Une fois de plus, Bill s’était exprimé sur un ton assez agressif, mais ce baiser le déranger et le mettait mal à l’aise plus qu’autre chose. La jeune femme lui dit alors que d’habitude elle n’embrassait pas sans raison, ce qui était aussi, ou presque le cas de Bill. « Je crois que ce que j’ai fait ce matin, ce n’est pas juste pour l’histoire du « j’embrasse mieux que toi ». Je crois que j’ai fait ca parce que… Je ne sais pas, tu as quelque chose. Quelque chose en plus. Mais tu as une petite amie, et tu as l’air d’être fidèle… Mais ta réaction m’a étonnée. Tu es partit, comme soucieux. Je ne l’aurais jamais dit a ta petite amie, au risque de semer le trouble entre vous, non, jamais… Je t’apprécie déjà beaucoup, tu es déjà un ami, pour moi… » Bill leva les yeux au ciel, mon dieu, qu’est-ce qu’elle nous faisait là, lui qui pensait qu’elle était différente, il s’était fourré le doigt dans l’œil, encore une fille fleure bleue.

- Je vais être clair, net et précis ! Pour moi ce baiser était une erreur, de plus, j'ai l'impression d'avoir trompé ma copine, normal que je sois partit comme ça ! Et je me doute que tu n'aurais rien dit, mais je suis un être humain, et on se connait à peine, c'est donc normal que j'ai peu confiance en toi !

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« Eh bien ! Le soir de mes 16 mes parents sont décédés, j'ai été adopter par la meilleure amie de mon père, et j'ai provoqué son divorce ! J'ai une demi-soeur, je joue de la guitare depuis tellement longtemps que je ne m'en rappel plus et pour finir, ma petite amie s'appelle Erika Nobuko... » Bill avait annoncer ca sur un ton agressif. Tout ca allait tourner au vinaigre, elle le sentait. Elle ne dit rien sur sa famille ; il avait une histoire, et plein de chose a raconté, dans ses chansons, etc. Mais mieux valait changer de sujet, ca devait être un point sensible. Elle lui parla de la scène de ce matin, et les choses ne s’arrangèrent pas, mais vraiment pas. « Ce baiser était une erreur, point ! » Ca, elle le savait. Elle en était même persuadée, à vrai dire, maintenant, elle en était extrêmement sûre ! Et les réactions de Bill l’étonnaient à chaque instant un peu plus. I était vraiment lunatique, et impulsif. « Je vais être clair, net et précis ! Pour moi ce baiser était une erreur, de plus, j'ai l'impression d'avoir trompé ma copine, normal que je sois partit comme ça ! Et je me doute que tu n'aurais rien dit, mais je suis un être humain, et on se connaient à peine, c'est donc normal que j'ai peu confiance en toi ! » La, Bill avait légèrement exagéré. Chanel lui avait déjà montré un aspect d’elle, ses dessins, son côté timide. Il en savait plus que n’importe qui sur elle, et il lui disait méchamment qu’il n’était rien pour elle – car c’est ce qu’il disait.

« Ce baiser était une erreur, mais tu en es aussi responsable, ne remet pas tout sur moi ! Et puis merde, on a plus rien à se dire ! Tu ne veux pas que j’en sache plus sur toi, tu me dis simplement que je ne suis rien pour toi - ce que je comprends, puis ce que, je souligne ce que tu m’as dit, on ne se connaît pas ! Mais… Je… Laisse tomber, tu es vraiment comme les autres. »

Elle se lève de son fauteuil. Elle aurait voulu ne plus jamais le regarder, mais elle le fit encore. Elle croisa son regard, lui disant ainsi d’un autre façon a quel point elle était attristée. Ils auraient pus s’entendre, ils auraient pus devenir amis, mais elle avait tout foutu en l’air… Elle était bel et bien une véritable idiote. En ce moment même elle se haïssait plus elle-même que Bill, à vrai dire. Elle ne se retourna pas, et fit quelques pas, voulant sortir de cette pièce le plus vite possible. Elle allait rayer Bill de sa vie, de ses pensées, elle ne le dessinerait plus, elle ne lui parlerait plus… Mais elle ne pourra jamais s’empêcher de ne plus jamais regarder son visage, les traits de son visage, ceux qu’elle avait tant aimée laisser sa main tracer sur une feuille…

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« Ce baiser était une erreur, mais tu en es aussi responsable, ne remet pas tout sur moi ! Et puis merde, on n’a plus rien à se dire ! Tu ne veux pas que j’en sache plus sur toi, tu me dis simplement que je ne suis rien pour toi - ce que je comprends, puis ce que, je souligne ce que tu m’as dit, on ne se connaît pas ! Mais… Je… Laisse tomber, tu es vraiment comme les autres. » Il ne se rendit compte que sa gaffe qu’à cette instant, il fallait vraiment qu’il arrête d’être aussi agressif. La dernière phrase le blessa quelque peu, il était comme les autres alors ? Vraiment comme ces débiles qui matait sous les jupes des filles ? Il ne pouvait pas la croire, il ne voulait pas, la croire. Il croisa alors son regard, ayant compris qu’il l’avait vraiment blessé. Il la regarda partir, sans rien dire, il voulait vraiment la rattraper, mais vous savez comment sont les hommes, avec leur stupide fierté. Néanmoins, laissant échapper un sourire, il décolla ses fesses du fauteuil et rattrapa la jeune femme par le bras la forçant à lui faire fasse.

- Désolé ! Je ne suis qu’un imbécile de rebelle qui n’en fait qu’à sa tête et qui en plus est beaucoup trop lunatique je crois…

Il lâcha son bras mais sans s’en rendre compte, il garda sa main dans la sienne, et plongea son regard dans le sien, que c’était difficile pour un mec de ravaler sa fierté et de s’excuser, surtout pour lui. Il se mordit la lèvre inferieur, avant de continuer :

- Je sais je suis un salaud infini mais, le salaud infini, bein, il tient à toi, même si il te connaît pas !

Se rendant compte qu’il tenait encore sa main, il la lâcha et passa sa main dans sa nuque (à lui) attendant la réaction de Chanel.

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« Désolé ! Je ne suis qu’un imbécile de rebelle qui n’en fait qu’à sa tête et qui en plus est beaucoup trop lunatique je crois… » Un bras la rattrapa, la retourna vers ce jeune homme qui l’avait si blessée il y a quelques instants. Celui-ci s’excusa. Les hommes, ca s’excuse, maintenant ? Chanel arqua un sourcil, attendant ce qu’avait encore à dire le jeune homme. Elle était extrêmement rancunière, il aurait du mal a se faire pardonné si c’est ce qu’il souhaiter faire. Puis il prononça quelques paroles magique, lâchant enfin son bras, mais s’en sans rendre compte, il tenait encore sa main. « Je sais je suis un salaud infini mais, le salaud infini, bein, il tient à toi, même si il te connaît pas ! » A ce moment la, Bill se rendit compte qu’il tenait sa main, un moment assez gênant pour Chanel puisqu’il s’était disputé sur le sujet du « baiser ». Chanel baissa les yeux, savourant doucement les paroles du jeune homme. Pourquoi lui avoir dit, dans ce cas, certaines choses ? Sous l’effet de la colère, sûrement. Mais ce n’était pas non plus explicable. Bill passa sa main derrière sa nuque, et elle, leva doucement les yeux vers lui, plongeant son regard dans le sien. Elle laissa, doucement encore, un sourire tendre se dessiner sur ses lèvres roses.

« Et moi je suis désolé de t’avoir dit tout ca, c’est n’importe quoi, excuse moi. Et tu n’est pas comme les autres : tu es venu t’excuser, c’est déjà une preuve du contraire. Je.. Désolé pour tout ca... »

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« Et moi je suis désolé de t’avoir dit tout ca, c’est n’importe quoi, excuse moi. Et tu n’es pas comme les autres : tu es venu t’excuser, c’est déjà une preuve du contraire. Je... Désolé pour tout ca... » Bill soupira soulagé, il avait failli perdre une amie. Et afin de tenter de baisse cet atmosphère gênante, Bill fit une remarque sur ce qu’elle venait de dire :

- Comment as-tu pu douter ? Bien sur que je suis different, je suis même l'homme parfait

Il tira alors la langue à la jeune femme laissant apparaître son magnifique piercing à la langue, il voulait détendre l’atmosphère et espérait avoir réussit. Il passa alors sa main dans ses cheveux, puis regarda la jeune femme avant de dire :

- Au fait ! C'était pas de ta faute, t'avais pas à t'excuser !

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« Comment as-tu pu douter ? Bien sur que je suis différent, je suis même l'homme parfait ! » Elle baissa les yeux, souriant amusée. Dans ce cas, il lui fallait trouver la femme parfaite. Et si c’était Chanel ? Elle roula de yeux, trouvant ses pensées idiotes. Bill tira de la langue, dévoilant son magnifique piercing à la langue. Celui qu’elle avait eu la chance de toucher ce matin, lorsqu’elle l’avait embrasser. Bill passa ensuite sa main dans ses cheveux, et la regarda en lui disant que ce n’était pas de sa faute, qu’il ne fallait pas qu’elle s’excuse. Elle leva les yeux au ciel, exaspérée. « Au fait ! C'était pas de ta faute, t'avais pas à t'excuser ! »

« Dans ce cas, explique moi pourquoi tu t’énerve pour rien, Billou ? »

Elle lui tira la langue à son tour, et remarqua ensuite qu’elle avait encore usé de son don pour donner des surnoms. Elle l’avait appelé Billou. Si ce n’était pas mignon, ca ! Chanel releva les yeux vers Bill, et soupira silencieusement. Elle l’avait échappé belle, elle ne l’avait pas perdu.

« Bon… »

Elle replongea son regard émeraude dans ses yeux gris-noisette, repensant à ce qu’elle lui avait dit. Elle avait déballé quelque chose dont elle n’était même pas sûre. Elle avait a nouveau vidé son jardin secret, ce qu’elle avait sur le cœur. Elle n’en avait pas souvent l’occasion, et de plus, la mort de sa sœur lui pesée encore sur le cœur. Elle n’en avait jamais parler a qui que ce soit. Elle n’avait jamais dit a personne a quel point April lui manquait, a quel point elle se sentait triste en pensant a elle, a leur souvenirs. Généralement, elle se confier en dessinant, mais ne montrait justement a personne ses dessins. Ce matin, elle avait dessiné les traits d’un jeune homme qui lui plaisait alors qu’elle ne le connaissait pas. Et celui-ci avait a présent le dessin pour lui. Etait-ce un pas en avant ? Mais elle lui avait dit ce qu’elle ressentait, et il s’était énervé. C’est qu’il n’avait pas bien lu dans ce qu’elle avait dessiner, c’est qu’il ne la connaissait pas, c’ets que personne ne la connais assez.

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Bill la regarda sans rien dire, laissant un sourire amusé se dessiner sur ses lèvres lorsqu’elle l’appela Billou. Sa demi-sœur et sa mère l’appelait aussi comme ça, en général il s’empressait de râler que sa faisait débile, mais pas cette fois.

- Peut être parce que j'ai un caractère de cochon

Le jeune homme rie légèrement avant de prendre la jeune femme par la taille, et de la mettre sur son épaule. Elle était très légère, mais il n’allait pas tenir longtemps, il alla alors vers le canapé et la posa dessus avant de se mettre au dessus d’elle en souriant d’un sourire taquin. Il commença alors à chatouiller la jeune femme qui se tordait dans tout les sens. Au bout d’un petit moment, il arrêta et bloqua ses mains la regardant dans les yeux un sourire en coin sur ses lèvres.

- C'est qui le meilleur ?

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« Peut être parce que j'ai un caractère de cochon ! » Chanel souria, amusée. Ha ca, elle n’allait pas dire le contraire, tout de même ! Bill souria lui aussi, et la pris sur son épaule avant de la déposer sur un fauteuil. Une fois cela fait, il commença à la chatouiller. Elle se tordait de rire, son rire était celui d’une petite fille, il était adorable et attendrissant. Chanel riait aux éclats, n’en pouvant plus. Heureusement, Bill arrêta avant qu’elle ne puisse plus respirer. Comme s’il avait fait ca toute sa vie. Bill s’arrêta donc, et la regarda dans les yeux, un sourire amusant et coquin au bout des lèvres. « C'est qui le meilleur ? » Chanel leva un sourcil, repensant encore une fois au fameux baiser. Il embrassait extrêmement bien, et il avait donc gagné, il était le meilleur. Et la, il lui reposait la question. Est-ce que cela a un rapport avec la scène de ce matin ? Non, impossible. S ce serait le cas, Bill serait vraiment imprévisible, spontané, et impulsif.

« J’sais pas… Peut être que c’est moi. Peut être que c’est toi... Enfin… »

Elle releva els yeux vers lui, souriant du bout des lèvres, d’un sourire amusé, coquin et malin. Comment pouvait-elle savoir qu’il était carrément le meilleur ? Parce qu’il ‘lavait chatouiller a mourir ? Haha, mais ca ne suffisait pas, jeune homme.

Invité

« J’sais pas… Peut être que c’est moi. Peut être que c’est toi... Enfin… ». Bill arqua un sourcil, toujours avec ce sourire en coin, comme si il préparait quelque chose, ce qui était surement le cas, malheureusement pour la jeune Jones.

- Normalement y a pas d'hésitation à avoir ! Je suis le meilleur, car...

Il passa sa main dans ses cheveux comme dans les célèbres pubs de machin pour cheveux comme il dirait si bien et ajouta :

- Je suis parfait et tu le sais !

Il prit alors une pose, main sur les hanches toujours au dessus de la jeune femme, se retenant de rire, mais ne pouvant plus, il éclata de rire. C’est dans ces moments que l’on peut apercevoir le véritable Bill, et non celui qui joue les dures. Peu de gens peuvent le voir tel qu’il est réellement, mais lorsque cela arrive, on est souvent surpris, et ravie de le voir sourire sincèrement.

Il reporta son attention sur la jeune femme et plongea ses yeux dans les siens avant de dire :

- Je ne sais pas ce que j'aurais fais si tu ne m'avais pas pardonner,... Petite blonde...

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« Normalement y a pas d'hésitation à avoir ! Je suis le meilleur, car... » Elle leva les deus sourcils, attendant ce qu’allait faire Bill avec impatience. Qu’est-ce qu’il mijotait encore, celui la ? « Je suis parfait et tu le sais ! » Bill passa sa main dans ses cheveux et adopta une posture tels les mannequins dans les pubs de shampoing. Chanel ria doucement, regardant de haut en bas. Elle éclata de rire en même temps que le jeune homme. Elle ne l’avait pas encore entendu rire de cette manière ; il était vrai, véritable, sincère. Peut être lui ouvrait-il son véritable caractère, a présent ? Après la pluie, le beau temps. « Je ne sais pas ce que j'aurais fais si tu ne m'avais pas pardonner,... Petite blonde... » Chanel regarda Bill, droit dans les yeux, déchiffrant chacun de ses mots, chacune de ses paroles. Il était si gentil, a présent, il était doux, attentionné. Bill finissa sa phrase, en l’appelant « petite blonde ». C’était une manie, a Harvard, ou quoi, de l’appeler ainsi ? Ca ne le déranger pas, surtout venant de Bill, ç’avait été avec Alex, elle l’aurait mal pris.

« Eh bien, tu aurais fondu en larmes, toute la nuit, tu n’aurais pensé qu’a ta bêtise, qu’a tes actes immatures… »

Elle ria de plus belle après avoir essayer tant bien que mal de se retenir de le faire. Elle redevint la petite blonde sérieuse – ou presque et fit sa mine boudeuse de petite fille gâtée.

« Pffouuu, Billou, j’ai pas envie de retourner à ma chambre..! »

Elle fait un signe pour cacher son visage de sa main, et s’approche du visage du jeune homme, avant de lui murmurer à l’oreille :

« Tu sais, mon colocataire, il est trop étrange… »

Elle s’enfonça dans son fauteuil, avec toujours Bill au dessus d’elle. Elle devint tout a fait sérieuse, le sujet l’énervait beaucoup. Elle avait fait la connaissance de son colocataire, et celui-ci n’avait pas arrêté de lui faire des avances.

« Sérieusement, c’est insupportable de savoir que je vais dormir aux côtés de ce mec. Tu devrais le voir ! Je le connais depuis genre, deux minutes, et il vient, me caresse la joue et tout. Il est fou ? Hein, il est fou ? Mon dieu, Bill. Bouhouhouhouuu. »

Invité

« Eh bien, tu aurais fondu en larmes, toute la nuit, tu n’aurais pensé qu’a ta bêtise, qu’a tes actes immatures… ». Bill ne put s’empêcher de rire à cette remarque, on ne lui avait jamais faite celle-là. La jeune femme fit une mine boudeuse, que Bill ne put s’empêcher de trouver attachante, il faut dire que la petite blonde était déjà très mignonne comme sa, alors avec cette mine d’enfant qui boude, elle était vraiment trop " chou " ? Oui c’est ça chou !

Celle-ci s’approcha alors de son oreille, lui susurrant que son colocataire était très étrange. Il arqua un sourcil se demandant si elle était sérieuse, ou si elle plaisantait ! En voyant ensuite son visage, il devina qu’elle était apparemment sérieuse. Si il ne sortait pas avec sa colocataire, il aurait proposé à Chanel de venir dormir dans sa chambre, mais Erika n’apprécierait pas.

- Je t'aurais bien proposé de venir dormir dans ma chambre mais... J'ai ma copine comme colocataire et sa m'étonnerai que celà lui plaise !

Il se mordit la lèvre inferieur, un peu gêner. Mais il lui vint alors une idée, il pourrait lui casser la gueule à ce mec ? Après tout, il avait bien cassé une dent à un mec une fois ? Bien qu’il s’était promis de ne pas se battre cette année.

- Je pourrais lui casser la gueule ?

Invité

« Je t'aurais bien proposé de venir dormir dans ma chambre mais... J'ai ma copine comme colocataire et ca m'étonnerai que cela lui plaise ! » Elle souria doucement, la proposition de Bill la toucha, c’était une preuve d’amitié, non ? Bill se mordilla la lèvre inférieure, comme s’il était gêné. Mais il n’y avait pas de quoi, c’était compréhensible. Il partager sa chambre avec sa petite copine, et celle-ci n’apprécierait sûrement pas Dommage ! Chanel aurait passer la nuit a bavarder avec lui, a rire de tout et surtout de lui. Puis justement, Bill demanda, s’il pouvait lui casser la gueule. « Je pourrais lui casser la gueule ? » Chanel arqua un sourcil, apparemment, il était sérieux. Chanel souria doucement, c’était un sacré, ce jeune Mayers. Un sacré, oui. Il était vraiment unique, en fait. Gentil, drôle, adorable, attachant… L’homme idéal. The Perfect Man !

« Seulement s’il va trop loin, Billou. T’inquiète pas, je te dirais tout si ca arrive. »

Chanel esquissa un beau sourire, plus radieux que jamais. Bill devrait être fier, c’était a lui qu’il s’adressait, ce merveilleux sourire !

« T’es vraiment adorable, tu sais. Heureusement que je t’ai pardonné, hein ? »

Elle lui lança un clin d’œil, et fit signe au jeune homme de s’asseoir près d’elle. Oui, car il était toujours debout, au dessus d’elle, comme prêt a la chatouiller. C’est pas qu’elle avait peur qu’il le refasse, mais voila quoi. Chanel eu l’astucieuse idée de dire quelques mots en français a l’oreille du jeune homme. Elle parlait une autre langue, et devait bien en profiter. S’il ne parlait pas cette langue, lui aussi, évidemment, c’était un avantage. Chanel s’approcha donc du visage de Bill, puis arriva à son oreille afin de lui murmurer quelques paroles en français, donc.

« Tu sais que t’es un ange, toi ? Tu es mon ange. Et tu es le meilleure parce que… Tu embrasses bien, et parce que je t’apprécie énormément. Mais aussi parce que tu es un musicien doué, un artiste infini, un jeune homme bourré de talent, compréhensif, drôle, a l’écoute, et craquant ! » *

* EN FRANCAIS DANS LE TEXTE.

Invité

« Seulement s’il va trop loin, Billou. T’inquiète pas, je te dirais tout si ca arrive. » Après sa, Bill se contenta de sourire légèrement déçu, sa aurait été une bonne occasion de casser la gueule à quelqu’un surtout qu’il aurait eu une excellente raison de le faire, mais bon, ce sera pour une autre fois.

La jeune femme lui dit qu’il était vraiment adorable, et qu’il avait en quelque sorte, de la chance qu’elle lui est pardonné, Bill était d’accord, d’ailleurs, il laissa afficher un sourire amusé sur ses lèvres, avant de venir s’asseoir près d’elle. Il passa une main dans ses cheveux noirs avant de regarder lorsque la jeune femme approcha son visage du sien, Bill se mordit la lèvre inferieur, à quoi jouait-elle ? Et, pourquoi son cœur battait si fort, arg, Bill non, resiste. Elle lui murmura alors quelque mots en français, il arrivait à comprendre certains passage, son père adoptif étant français il avait put apprendre quelque petites choses et avait comprit des choses, comme : « un musicien doué, un artiste, un jeune homme ». Il avait surtout comprit une chose : « Tu embrasses bien » D’ailleurs, le jeune homme laissa apparaître un sourire amusé sur ses lèvres avant de répondre en français avec un accent Londoniens très prononcé mais terriblement craquant :

- Merci... Pour tout ce que tu viens dire ! *

Il passa sa main dans sa nuque, il avait du mal à parler français, mais on va dire que pour une fois, il s’en était bien sortie.

- Tu es française ?

Demanda t-il ensuite, un peu curieux d’en savoir plus sur la petite blonde.

* En Français Dans Le TexTe

Invité

Bill la remercia en français, avec un accent terriblement craquant. Eh merde, il avait tout compris. Tout ? Pas sur. Mais tout de même. Chanel passa sa main dans ses cheveux, en même temps que Bill passa sa main derrière sa nuque. Elle souria tout de même, doucement, et Bill lui demanda si elle était française. Un immense et large sourire s’installa sur son beau visage, laissant apparaître d’adorables fossettes aux coins de ses joues. « Tu es française ? » Lui demanda donc le jeune homme, comme s’il était curieux de la connaître. Chanel souria encore, et de plus belle.

« Ouais, je suis née à Paris… Et toi ? Dit moi que tu n’as pas compris tout ce que je t’ai dit, sil te plait, Billou ! »

[Pas d’inspi]

Invité

- Je viens de Londres, mon père adoptif parlait français, enfin il était français !

Il laissa ensuite apparaître un sourire amusée sur ses lèvres lorsque la jeune femme lui demanda si il avait tout compris, Bill arqua un sourcil, qu’avait-elle dit ? Il aurait aimé tout comprendre, mais malheureusement, il laissa alors apparaître un sourire en coin et répondit en français, pour faire plaisir à la jeune femme :

- J'ai compris : un musicien doué, un artiste, un jeu... Jeune homme et euh... Tu embrasses... Bien !*

Il s'enfonça dans son fauteuil et tourna la tête vers son amie.

- Mon français est nul hein ?

[b]*EN FRANCAIS DANS LE TEXTE

Invité

« Je viens de Londres, mon père adoptif parlait français, enfin il était français ! » Elle souria doucement et hocha de la tête, pour dire oui, ok. Puis Bill souria, amusé, et lui répondit ce qu’il avait compris. Oh non, oh non. Oh non ! Il avait compris tout ce qu’il ne fallait pas comprendre : ce qui avait un rapport avec le baiser. Elle avait peur qu’il y est a nouveau un malaise entre eux ! Chanel se tapa sur le front.

« La prochaine fois je me terrerais carrément ! »

Bill lui demanda ensuite quelque chose. Elle leva les yeux au ciel. « Mon français est nul hein ? » Non, son français était loin d’être nul ! Pour un londonien, il était même excellent.

« A vrai dire, il est plutôt pas mal. Et ton accent est carrément irrésistible ! »

Elle souria, et se demanda comment elle faisait pour ne pas lui sauter dessus, comme ce matin, et l’embrasser. C’est l’homme idéal, c’était compréhensible.

« Je pourrais t’apprendre quelques trucs, si tu veux ! »

» falli ne plus etre la!!!
» Bill Mayer