[PV: Bill] Vaincre ou être vaincu.

Invité

Bill laissa échapper un rire en voyant le malaise de la jeune française, il avait sans doute compris tout ce qu’il ne fallait pas, et rien que pour sa, il trouvait que les cours de son père adoptif lui avait servis à quelque chose.

Lorsque la jeune femme lui dit que son accent était carrément irrésistible, il laissa apparaître un sourire amusé au coin de ses lèvres. La jeune femme lui proposa ensuite de l’aider, si jamais il en avait envie, ce qui était le cas, il hocha alors la tête et ajouta :

- Les seules choses que je sais dire, sont bonjour, aurevoir et merci, et encore d'autre truc, mon père m'a principalement appris à draguer les filles, en disant que mon accent les ferait craquer ! Du style,...

Il s’approcha de la jeune femme, plongeant ses yeux dans les siens, gardant ses lèvres des siennes à quelques centimètres. Il murmura alors, contre ses lèvres :

- Tu es une petite blonde très sexy !*

Gardant ses lèvres près des siennes, il les avait frôler à chaque parole. Et resta ainsi durant quelque seconde, avant de se reculer de déposer un baiser sur son front et de s’enfoncer dans le canapé un sourire moqueur aux lèvres.

*EN FRANCAIS DANS LE TEXTE

Invité

« Les seules choses que je sais dire, sont bonjour, au revoir et merci, et encore d'autre truc, mon père m'a principalement appris à draguer les filles, en disant que mon accent les ferait craquer ! Du style,... » Bill finissa sa phrase sur des points de suspension. Elle arqua un sourcil, et remarqua que Bill s’avançait vers elle, son cœur s’emballa, et le jeune homme, très proche de son visage, ses lèvres frôlant les siennes, lui murmura doucement, qu’elle était une petite blonde très sexy. Il avait gardé ses lèvres si près des siennes, qu’à chaque parole, elles s’étaient effleurées. Bill resta encore quelques instants ainsi, que Chanel aurait pu si elle n’aurait pas été paralyser, s’emparer une nouvelle fois de ses lèvres a lui, si douce, si belle, si tendre. Elle avait pu sentir la chaleur du corps du jeune homme, elle avait pu sentir son parfum, celui de sa peau, de ses cheveux, qui était très agréable. Bill se retira donc, s’enfonçant a présent dans son fauteuil. Un sourire moqueur s’installa donc sur ses lèvres. Pourquoi avait-il fait ca ? Lui qui parlait d’avoir tromper sa copine il y a peu de temps ! Bill lui posa un baiser sur le front, et Chanel s’enfonça à son tour dans son fauteuil. Avait-elle le droit de jouer le jeu, sans que Bill ne s’énerve pour autant, comme avant ? Ce mec est trop lunatique, c’est fou, songea la jolie Jones. Elle décida de jouer le jeu, ce qu’elle n’aurait pas fait si Bill ne lui plaisait pas. Après tout, s’il en supportait pas qu’elle en fasse autant que lui, c’est qu’il était 1) étrange, 2) qu’il croyait qu’il avait tout les droits et 3) il n’y a pas de trois ! Chanel laissa donc s’installer au bout de ses jolies lèvres roses et pulpeuses, un sourire narquois.

« Tu as du t’entraîner souvent, puis ce que tu assures dans le domaine « de la drague française »… m’enfin bon, je dois t’avouer que chez nous, ca se passe autrement quand même. Tu serais qualifier d’ «incompétent » d’après mes ex. »

Invité

Bill se mordit la lèvre inferieur, il ne fallait surtout pas qu’il oublie Erika, il pouvait jouer, mais sans aller trop loin, et apparemment la jeune femme avait aussi envie de jouer. Le jeune rebelle écouta les paroles de la miss Jones tout en souriant en coin, certes, il avait des progrès à faire, mais la drague ce n’était pas trop son truc, lui il jouait, il ne draguait pas.

- Je n'aime pas draguer... Je préfère... Hm... Comment dire ?...

Il passa sa langue sur ses lèvres, mais cette fois-ci ce n’était pas un tic, c’était un jeu. Il s’approcha une fois de plus de la jeune femme en souriant toujours avec ce sourire malicieux. Il approcha ses lèvres de son oreille pour murmurer :

- Je préfère jouer.

Il se recula pour se retrouver en face de la jeune femme, gardant son sourire en coin sur les lèvres, il déposa un baiser au coin de ses lèvres, je dis bien au coin, car dessus, pour lui c’était fini. Il ne se sentira pas coupable si l’embrasse sur la joue, au coin des lèvres, sur le front, ou dans le cou, mais sur les lèvres, il ne pourrait pas, il aurait ce baiser sur la conscience encore plus que l’autre alors. Il s’enfonça sur le canapé, continuant de sourire aussi malicieusement que sa en deviendrais presque agaçant.

Invité

« Je n'aime pas draguer... Je préfère... Hm... Comment dire ?... » Encore une fois, il laissa le suspens au bout de sa phrase. Chanel leva les sourcils, attendant la fin, la réponse de sa phrase, la conclusion. Bill s’approcha une nouvelle fois d’elle, et frôla ses lèvres, en disant qu’il préféré le jeu. Chanel frissonna lorsqu’il lui déposa un baiser – vraiment – au coin de ses lèvres. Il ne jouait pas assez avec Erika, ou quoi ? C’était insupportable l’idée de savoir qu’il ne voulait que jouer avec elle, et que ce soir, en rentrant, il se blottirait dans ses bras de sa copine sans avoir une seule pensée pour Chanel. Elle aurait voulu lui dire, à cette instant précis, alors qu’il s’enfonçait a nouveau dans son fauteuil avec un sourcil malin qui pourrait devenir agaçant, qu’elle aussi aimait jouer, mais seulement avec son petit amis ou avec n’importe qui si elle n’en avait pas – seulement si elle serait célibataire. Chanel ne répondit rien, de peur de le blesser d’une quelconque manière, ou d’allait trop loin dans ce petit jeu. Pour elle, d’ailleurs, c’était déjà trop. Elle baissa les yeux, se lova profondément dans son fauteuil, et murmura, alors que le silence était devenu insoutenable ;

« Est-ce que tu l’aimes, Erika ? Je veux dire, vraiment… En amour. »

Invité

Bill passa sa main dans ses cheveux noir, mais voyant la petite mine de la jeune Jones, il commença à perdre le sourire, lui qui pensait qu’elle aussi avait envie de jouer, il s’était sans doute tromper. Et la question que Chanel lui posa, le surprit quelque peu, il passa sa langue sur ses lèvres, cette fois-ci, c’était son tic nerveux, bizarrement, il commençait à se sentir quelque peu mal, mal en pensant à Erika, étrange,non... Il posa ses coudes sur ses genoux, et sa tête entre regardant le sol, il se décida à parler, d’une voix très calme, pas très fort, mais assez pour que Chanel puisse entendre.

- Oui je l'aime, je l'aime beaucoup,... C'est la première depuis deux ans, j'ai été deux ans seul, parce qu'une fille m'avait trompé, et que je croyais que plus personne ne pourrait m'écouter, me comprendre, mais surtout me rassurer et me dire que je suis different, et que, c'est ce qu'il lui plait, Erika, l'a fait, et c'est pour sa, que je l'aime, c'est parce qu'elle...

Il passa sa langue sur ses lèvres, avant de soupirer puis de continuer :

- Parce que c'est elle, parce que l'amour ne se commande pas, et que le coeur à ses raisons, que la raison ignore toujours !

Il releva ensuite la tête vers la jeune femme, se rendant compte qu’il venait de dévoiler un gros bout de sa personnalité, un gros bout de sa sensibilité, un gros bout de sa peur d’être rejeter, de ne pas être aimer, ou encore d’être comme les autres.

Invité

Bill baissa la tête, croisant ses doigts entre les siens, il commença a lui répondre, d’une voie faible, mais audible. « Oui je l'aime, je l'aime beaucoup,... C'est la première depuis deux ans, j'ai été deux ans seul, parce qu'une fille m'avait trompé, et que je croyais que plus personne ne pourrait m'écouter, me comprendre, mais surtout me rassurer et me dire que je suis différent, et que, c'est ce qu'il lui plait, Erika, l'a fait, et c'est pour sa, que je l'aime, c'est parce qu'elle... » Chanel l’écouta, il lui révélait qu’il avait été trompée par son ex, qu’il avait longtemps refouler l’amour, pendant deux ans, il avait été seul, et Erika l’avait aidé, l’avait écouté, l’avait compris… « Parce que c'est elle, parce que l'amour ne se commande pas, et que le coeur à ses raisons, que la raison ignore toujours ! » Chanel releva les yeux, se rendant compte que Bill lui avait dévoilé quelque chose de lui, son côté sensible, celui qu’il avait sûrement gardé pour lui, comme elle avait fait avec sa peine pour la mort de sa jumelle. Elle se sentait coupable de l’avoir embrasser ce matin, a présent, il avait l’air d’être réellement amoureux d’Erika. A moins qu’en l’ayant vu a l’écoute, Bill croyait ressentir des sentiments tel que l’amour, alors que peut être ce n’était pas le cas. D’un côté, Chanel se sentait jalouse d’Erika, celle-ci avait la chance de pouvoir offrir son amour a quelqu’un d’aussi bien, a Bill. D’un autre côté, elle était évidemment heureuse pour le jeune Mayers. Chanel elle, n’avait apparemment pas trouver celui a qui elle se confirait, a qui elle avouerait a quelle point sa sœur lui manquait, celui ou elle pourrait déposer sa tête sur son épaule, et pleurer les larmes qu’elle avait retenus jusqu'à aujourd’hui.

« Tu as de la chance d’avoir trouver Erika... » Lui fit-elle, alors qu’un simple « Elle a de la chance de t’avoir ! » aurait été plus réaliste.

Invité

Bill laissa apparaître un tout petit sourire sur ses lèvres lorsque la jeune femme lui dit qu’il avait de la chance d’avoir Erika. Elle avait raison, il regarda alors l’heure, il commençait à se faire tard, il attrapa alors sa guitare, et regarda la jeune femme un léger sourire aux lèvres et demanda :

- Une dernière avant d'aller dormir ?

La jeune blonde accepta bien évidemment, Bill entama alors le début de la chanson, une douce chanson, qui parle d'un homme, sans doute notre rebelle, qui a besoin de l'amour d'une fille qui seule elle peut le sauver. Cette chanson est tellement douce et la voix de notre rebelle tellement belle, que la tout de suite, on peut comprendre comme il a souffert, la dernière fois qu’il la chantait devant un public, plusieurs jeunes filles avaient pleurés, il voulait voir si Chanel allait faire pareille, il voulait qu’elle pleure car il voyait qu’elle en avait besoin. Qu’elle avait trop longtemps refoulés ces larmes, et qu’elle pleurait en silence depuis beaucoup trop longtemps, il espérait qu’elle se soulage. Alors il ferma les yeux, mettant tout son cœur dans sa chanson, et à la fin de celle-ci, il garda les yeux un instant ouvert, posant son regard sur la petite blonde. [song]

Invité

Bill attrapa sa guitare, et proposa de lui chanter une dernière chanson avant d’aller dormir. Elle accepta d’un signe de tête, et doucement, Bill chanta, jouant de ses doigts sur les fils de sa guitare, un son mélodieux se faisant a présent entendre. Bill chanta sa chanson, et doucement, Chanel compris a quel point il avait souffert, a quel point ç’avait été dur pour lui, a quel point il avait refoulé ses sentiments, ces émotions… Au fond, elle était aussi comme ca. Elle refoulait l’amour, la tendresse, elle préférée la solitude, elle préférée penser a sa sœur, qui pourtant n’est plus de ce monde. Alors, des larmes vinrent aux yeux de la jeune femme, des larmes qu’elle avait si longtemps essayer de refouler, une tristesse, une émotion, qu’elle n’avait pas ressentit depuis si longtemps.

La fin de la chanson apparut, Bill leva les yeux vers elle, mais Chanel ne voulait pas qu’on la voie dans cette état : elle paraissait faible ainsi. Elle se leva d’un bond n’adressant pas un seul regard à Bill au risque qu’il voie ses yeux gorgés de larmes. Elle se tourna, et lâcha un simple :

« Je suis fatiguée. A+ »

Et une larme vint s’échouer le long de sa joue, et finirent sur ses lèvres roses. Très vite, des flots coulèrent le long de son si beau visage, qui paraissait être celui d’un enfant, a présent, un enfant qui avait besoin de réconfort, d’amour, et de quelqu’un qui l’aiderait a avancé. Mais elle n’avait pas envie de ce quelqu’un Chanel, elle ne voulait pas d’aide. Elle avait peur qu’on la voie ainsi, elle avait peur du jugement.

La jeune femme sortit du petit salon, laissant Bill sur place. Elle passa ses mains sur ses joues, pleurant enfin réellement.

Invité

En voyant les larmes de la jeune femme, Bill laissa apparaître un léger sourire, il avait réussi, il était content de la voir pleurer, bien que cela puisse sembler bizarre, il savait qu’ainsi, il soulagerait un peu son cœur, ne sachant pas vraiment ce qu’était le lourd poids qu’elle avait dessus.

Lorsque la jeune femme se leva en lui disant qu’elle allait se coucher, il posa sa guitare dans son étui puis se leva lui aussi, la rattrapant par le bras, il la força à le regarder. Il enleva doucement ses mains de son visage, afin de voir ses larmes qui coulaient. Il laissa apparaître un sourire tendre, avant de sécher une larme avec son pouce. Il plongea son regard dans le sien, perdant un peu son sourire, il voulait savoir pourquoi elle souffrait autant.

- Qu'est-ce que tu caches ? Pourquoi as-tu toujours cette air triste...? Explique-moi.

Bill voyant qu’elle ne lui répondait pas, il passa sa main autour de sa taille et la serra dans ses bras, tout en caressant ses cheveux. Il voulait la réconforter, et la protéger, comme une petite sœur si vous voulez, mais il voulait avant tout comprendre pourquoi elle était si triste. Il s’approcha de son oreille et murmura doucement contre celle-ci :

- Raconte-moi, je suis là pour t'écouter, sa sert à sa les amis non ?

Invité

Bill la rattrapa par le bras, la forçant ainsi a se retourner, il lui enleva les mains du visage, dévoilant ainsi une figure d’enfant, une mine en pleure ; un regard triste, un sourire qui n’arrive plus a parvenir jusqu'à ses lèvres, et des joues rosies par ses nombreuses larmes. « Qu'est-ce que tu caches ? Pourquoi as-tu toujours cette air triste...? Explique-moi. » Elle baissa le regard, ne voulant pas dévoiler ce qu’elle avait sur le cœur depuis si longtemps. Elle ne voulait pas qu’on la juge, qu’on lui dise qu’il fallait passer à autre chose. Parce que c’est ce qu’on voudrait lui dire, que c’était finit, qu’il fallait qu’elle tourne la page. Mais elle ne peut pas, c’est trop dur, lorsque April est partit, un trou s’est formé dans le cœur de la jolie Jones. Un trou qui n’est toujours pas combler, de l’amour qu’elle n’a toujours pas reçu. Chanel ne répondant rien a Bill, celui-ci l’a pris dans ses bras, la réconforta du mieux qu’il pouvait. Chanel éclata en sanglot, enlacée dans les bras si chaleureux du jeune homme. Des larmes ruisselaient le long de ses joues, Chanel ferma les yeux un instant, essayant ainsi de retenir ces flots. Mais c’était impossible, elle avait commencé à pleurer, depuis tout ce temps, maintenant, elle n’arrivait plus à s’arrêter, elle laisser tout sortir, et ca lui faisait réellement du bien. « Raconte-moi, je suis là pour t'écouter, ça sert à sa les amis non ? » Elle l’écouta, il était si tendre avec elle, si compréhensif. Ou du moins pour l’instant, parce quand il saura la raison des chagrins de Chanel, il réagit sûrement autrement – c’est ce que pensait Chanel Jones.

« Elle me manque tellement, Bill, si tu savais… »

Laissa t-elle enfin échapper entre deux sanglots, elle serra une dernière fois Bill contre elle, et se détacha de lui, doucement, passa sa main sur ses joues, frotta ses yeux, comme une petite fille. Elle avait toujours aussi peur de lui dire ce qu’elle ressentait, car Bill était peut être un ami, mais il connaissait si peu d’elle. Si elle lui disait ce qu’elle avait sur le cœur, elle aurait sûrement honte de le revoir un autre jour. Chanel passa une dernière fois ses mains sur ses joues, et releva son regard humide et triste sur Bill Mayers.

« J’avais une sœur jumelle. April. On était au parc, et puis, je suis rentré à la maison, et elle, elle voulait encore rester… Je n’aurais pas du la laissé seule, même avec nos amies. J’aurais du l’attendre. A cause de moi, elle est morte ! A cause de moi, un crétin l’a renversé, a cause de moi, elle est morte, Bill, a cause de moi ! »

Invité

Bill observa la jeune femme qui séchait ses larmes, se demandant pourquoi elle avait tellement retenue ses larmes, et lorsque celle-ci éclata en sanglot dans ses bras, il la serra un peu plus fort contre lui se demandant qu’est-ce qu’il faisait qu’une aussi belle jeune femme soit tellement triste. La jeune femme commença enfin à lui expliquer en lui disant qu’elle lui manquait, mais qui lui manquait ? Il attendait la suite « J’avais une sœur jumelle. April. On était au parc, et puis, je suis rentré à la maison, et elle, elle voulait encore rester… Je n’aurais pas du la laissé seule, même avec nos amies. J’aurais du l’attendre. A cause de moi, elle est morte ! A cause de moi, un crétin l’a renversé, a cause de moi, elle est morte, Bill, a cause de moi ! ». Bill comprit tout de suite, il était passé par cette étape de la culpabilité, lui aussi il avait crut que si ses parents étaient mort c’était de sa faute, seulement, il n’y a jamais de raison lorsqu’un proche nous quitte, on essaye toujours de chercher un sens à tous sa, mais il n’y en a pas, il n’y en a aucun. La seule chose que l’on peut faire, c’est tenter d’essayer de vivre avec ce manquer, avec ce vide. Il posa sa main sur la joue de la jeune femme et la caressa doucement avant de dire d’une voix très calme et très douce :

- Tu n'es pas la fautive ok ? Je suis passé par la, j'ai aussi crue que la mort de mes parents étaient ma faute mais... Ce n'est pas le cas ! Alors arrête de chercher un sens à sa mort ! Parce qu'il n'y en a pas ! Il n'y en a aucun ! Et si elle est morte, ce n'est en aucun cas de ta faute !

Il avait quelque peu élevé la voix, au fur et à mesure de ses paroles, il savait comme sa faisait mal, il savait combien il souffrait, il savait le vide que ce manque procurait. Il posa ses deux mains sur les joues de la jeune femme :

- Tu n'as pas le droit de penser que c'est à cause de toi qu'elle est morte, ta soeur n'aimerait surement pas ! Il faut que tu arrêtes de te morfondre. Je ne dis pas que... Tu dois l'oublier, juste que, en pensant à elle, tu dois penser aux bons moments avec elle, et non à sa mort ! Ok ?

Il déposa un baiser sur son front avant de tenter un truc pour lui redonner le sourire :

- Vous deviez vraiment faire 400 coups vous deux, je plains vos parents x)

Invité

« Tu n'es pas la fautive ok ? Je suis passé par la, j'ai aussi crue que la mort de mes parents étaient ma faute mais... Ce n'est pas le cas ! Alors arrête de chercher un sens à sa mort ! Parce qu'il n'y en a pas ! Il n'y en a aucun ! Et si elle est morte, ce n'est en aucun cas de ta faute ! » Les paroles du jeunes avait l’air vraie, sincère. Elle l’écouta, il passa ses mains sur ses joues, comme pour la consoler, prendre son attention. Mais elle l’écouter, elle offrait toute son attention au jeune homme, pour une fois que quelqu’un avait l’air de la comprendre. « Tu n'as pas le droit de penser que c'est à cause de toi qu'elle est morte, ta soeur n'aimerait sûrement pas ! Il faut que tu arrêtes de te morfondre. Je ne dis pas que... Tu dois l'oublier, juste que, en pensant à elle, tu dois penser aux bons moments avec elle, et non à sa mort ! Ok ? » C’est vraie, April détestait la culpabilité, et elle détestait qu’on se sente coupable de quelque chose, alors sur ce point, Chanel avait inséré a arrêté si elle voulait faire sourire sa sœur de là-haut. En pensant a cela, un sourire – encore invisible, apparut. Ce sourire était si petit, qu’elle-même ne savait pas qu’il existait. [Gnyeu ?] Bill l’embrassa sur le front avant de reprendre la parole. « Vous deviez vraiment faire 400 coups vous deux, je plains vos parents x) » Lui fit donc Bill, pour lui redonner le sourire – et ce fut gagner. Un sourire, plus grand que le précédent, vint illuminer son visage qui était pourtant si triste avant. Chanel et April étaient très complice, très proche. Et il était vrai qu’elles étaient très chipie, elles avaient plus d’un tour dans leur sac.

« Ouais, on peut dire ça comme ca. »

Chanel ria doucement, repensant a Chanel et elle, lorsqu’elle avaient vu pour la première fois leur petit frère. Elle l’avait traité de lutin rose.

« J’ai aussi un petit frère, Charlie. »

Lui fit-elle. Heureusement qu’il était la, celui la, d’ailleurs. Elle l’aimait tellement lui aussi !

Invité

Bill laissa un large sourire apparaître sur ses lèvres en voyant la petite blonde retrouver le sien. Il mit ses mains dans ses poches, il était content de l’avoir fait quelque peu oublier sa culpabilité, et d’avoir réussis à la faire pleurer. De plus, il en avait appris un peu plus sur elle, ce qui faisait qu’il était encore plus content. Mais l’heure défilait, Erika allait finir par s’inquiéter, la jeune femme lui dire alors qu’elle avait aussi un petit frère, Bill sourit doucement.

- Tu as aussi un grand frère,...

Lui fit-il avant de déposer un baiser sur son front.

- Je crois qu'on ferait mieux d'aller dormir, bonne nuit... Petite soeur...

Il fit quelque pas se dirigeant vers la sortie les mains dans les poches, il se retourna et dit sur le ton de la plaisanterie :

- Et si ton débile de colocataire ose te toucher ! Il aura à faire a moi !

Il sortit de la pièce, et marchant les mains dans les poches, il se rendit compte qu’il avait oublié sa guitare, il soupira et fit demi-tour, lui qui avait fait une si belle sortie. Il re-entra dans le salon et passa sa main dans sa nuque géné.

- J'ai oublié ma guitare !

Il rie puis attrapa sa guitare et ses partitions avant de sortir de la pièce, une fois pour toute, laissant néanmoins une feuille de partition sur le sol, ou une autre chanson sur Chanel figurait, mais celle-ci était differente, elle s'appelait " Petite ange triste "...

Invité

Bill lui fit qu’elle avait aussi un grand frère. Chanel ne compris pas tout de suite. Un grand frère ? Maman et papa lui avait caché cela ? Puis Bill l’embrassa sur le front, une nouvelle fois, et lui fit : « Je crois qu'on ferait mieux d'aller dormir, bonne nuit... Petite soeur... »
Et la, elle baissa les yeux, heureuse. Non seulement elle s’était fait un ami, mais en plus celui-ci la prenait comme sa petite sœur. C’était vrai, une complicité était née entre eux, après leur baiser, leur dispute, et l’enlacades, leur lien s’étaient renforcés. Bill se retourna, s’en alla… Enfin ! Il esseya, mais se retourna, en lançant : « Et si ton débile de colocataire ose te toucher ! Il aura à faire a moi ! » Chanel ria doucement, et Bill ronchonna sur le fait qu’il avait oublié sa guitare. Il retourna la chercher, et en repartant vers sa chambre, laissa tomber une feuille… Chanel la ramassa.

[Sujet finit]

» falli ne plus etre la!!!
» Bill Mayer