Rate le coche [Besoin d'un(e) chieur(se)]

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Henri devait faire face aux agressions multiples des Nipponnes. Premièrement il reçu la serviette de Shiva sur la tête et la garda quelque minutes sur le visage, la vue cachée par l'éponge du tissu ... Il ne s'étonna même pas de la tournure carrément malsaine que prenait la situation.

- Waf -_-'.

Assis, les cheveux cramé par les mégots qu'il recevait en plein gueule, les couilles à moitié broyées par la bouteille que lui avait lancé Shiva pour qu'il retienne son nouveau surnom, Henri ne trouvait même plus la force de s'investir dans la conversation, en plus il devait lutter contre cette sensation frustrante de sentir un trop plein d'énergie le prendre suite à l'injection de Sadam.

Alors qu'elles se disputaient pour savoir qui serait le maître de qui, s'il servirait d'esclave sexuel, de bouclier ou de larbin, Henri lui gardait un regard fixe et vitreux qui convergeait vers ses pieds nus. Une petite voix lui disait qu'il n'était qu'un gros con et qu'il aurait mieux fait de se la fermer au lieu de demander le silence plus tôt ce matin.

Les voix des nipponnes se faisaient lointaine à son esprit nauséeux et quand Sadam entra dans son champ de vision pour venir pour la énième fois le traîner par le col il se laissa faire en soupirant, grimaçant seulement quand ses genoux râpèrent sur le verre brisé de la bouteille qui lui avait déjà cassé les couilles.

Ce fut seulement lorsqu'il arriva sur le lit d'Hitler II qu'il réalisa que Bândo voulait le forcer à jouer le rôle du sexe toy. Il tenta de se débattre quand elle le colla à l'entrejambe de Shiva, manquant de crever pas manque d'oxygène.

- Awéte cownass chwi pédé !

Sa voix étouffée s'élevait de l'entre jambe de la blonde comme une plainte d'homme battu.
Un coup de pied sauvage vient lui exposer le coccyx, il poussa un gémissement et se recroquevilla au pied du lit de Shiva en se prenant la tête dans les mains, mais pourquoi avait-il fallu qu'il se foute dans ce pétrin ...

Ensuite Sadam leur fit don d'un moment d'absence en se dirigeant vers la salle de bain. Henri regarda Shiva, nue, et soupira, prêt à se faire maltraiter par elle maintenant. C'était affreux pour lui comme situation, pas une seule seconde de calme, il sentait ses nerfs chauffer à vitesse grand V comme à chaque fois lorsqu'on ne le laissait pas glander en paix.

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Shinya repéra tout de suite que son amie allait changer d’humeur, alors qu’elle était en train de sourire elle s’énerva brusquement. Ca aurait pu être impossible à repérer pour n’importe quel tiers, mais Shinya vit tout de suite la mâchoire de son amie se crisper et ses doigts se raidir. Elle reçut le paquet de cigarettes en pleine tête et lui adressa avec ironie :

« Merci de ta générosité. S’bon j’t’en passerais des miennes ! »

Voir son amie dans cet état était toujours ambigu. D’un côté, elle lui donnait envie de rire mais d’un autre, elle savait très bien de quoi elle était capable. Cependant quand elle se retrouva avec la tête du garçon plaquée contre son entrejambe elle ne put retenir un éclat de rire. Le fait que le mollusque se débatte et revendique son homosexualité ne fit que renforcer l’effet comique de la scène :

« Rrah, j’vais pas te violer, salope. Pas besoin d’une poupée en plastique… »

Le coup de Bandô envoya le garçon valser au pied du lit et son amie partit se rafraîchir le visage dans la salle de bain. Shinya alluma une des cigarettes de Bandô et se mit sur le ventre. Elle regardait le corps recroquevillé du garçon qui allait sûrement devoir faire un tour à l’hôpital vu l’angle étrange que formait son bassin :

« P’tain mais il pleure pas encore ! C’est qu’il a l’air résistant, le petit… T’crois pas qu’il pourrait être un bon larbin pour le « boss » ? Il pourrait faire la merde, ce que personne veut se taper, t’vois ? »

Shinya n’avait pas encore été au rendez-vous planifié avec le boss en question, et elle pensait que si elle abordait la possibilité que le mollusque devienne une « propriété » du boss, son amie se calmerait un peu. Il pourrait effectivement bien servir, il avait l’air tellement inoffensif et inutile que personne ne le soupçonnerait de rien. Il pourrait faire de l’espionnage par exemple…

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Shinya connaissait trop Bāndô pour voir arriver le vent de mauvaise humeur qui la menaçait alors...

« Ferme ta putain d’gueule, j’en veux pas de tes clopes, j’suis pas encore habituée à fumer du sperme…»

Sous-entendant par là que la libido excessive de son amie déteignait même sur ce qu’elle s’envoyait dans les poumons, Urushima ne comptait pas être tendre avec la nymphomane, qui l’amusait autant qu’elle la débectait.

« Cette pute, elle s’en prend tellement qu’elle va finir par en recracher un d’ses jours…»

Fixant d’un regard meurtrier le miroir, Bāndô tentait de se contrôler, bien que l’envie d’abattre les deux parasites, devenait omniprésente dans son esprit gorgé de colère.

« Et laisse tomber pour ce chien, il vaut rien, et il est pédé comme un phoque… C’est mort, j’peux pas me les blairer ces homos, un bon règne du Reish ça leur ferait du bien j’te dis… Mais vois ça avec lui, tu fais ce que tu veux tant qu’il est pas dans mon champ de vision, la bestiasse… »

En plus d’être raciste, la demoiselle était homophobe… Belle mentalité, isnt it ?
L’amie de ce monde daigna enfin à décrocher son regard noir du miroir ; mais ces yeux vinrent se poser contre une capote…usée, sur laquelle elle venait de marcher.

« PUTAIN SHINYA »

Garder son calme ? On a plus ça en magasin, repassez plus tard…

« PUTAIN ! C’est pas possible… Conasse… TU ME FAIS CHIER ! »

Son poing alla s’écraser contre le miroir, tandis ce qu’elle dévorait Shinya du regard.

« J’en ai ma claque de ta sale gueule bordel ! »

Ouvrant son sa main, tailladée par le verre, Bāndô s’avança vers Makkuro, la saisissant par les cheveux

« Tu m’emmerdes SALOPE ! »

La jetant à terre, elle piqua une de ses colères courantes : s’emparant des bouteilles vides, et de tout le bazar qui traînait là, elle le balança à la figure de Shinya. Cela fait, elle la pointa du doigt, menaçante.

« Tu me ranges ton bordel, j’veux plus voir de restes des salopes qui te tronchent matin midi soir, ok ??? »

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Replié sur lui-même pour exposer le moins possible son corps aux coups des nipponnes, Henri était blasé de les entendre se traiter de pute, de salope et autre nom gratifiant qui faisait apparemment la solidité de leur amitié. Il dressa l’oreille ( ^^ waf ) quand on parla de l’asservir à quelqu’un d’autre. Quoi ! Encore ? T_T Mais de combien de personne allait-il être le larbin ? … Shiva appuyait sur le fait qu’il ne se plaignait pas des coups qu’on lui portait. En fait il en était arrivé à un stade où il avait mal partout donc plus moyen de se plaindre d’une douleur en particulier.

Il laissa glisser l’homophonie de Sadam sur lui sans réagir, qu’est ce qu’il pouvait en avoir à foutre qu’elle insinue qu’on ferait mieux de lui couper la queue franchement ? Tant qu’elle ne mettait pas ses idées de Reich à exécution et qu’il gardait popol au chaud la vie serait belle… Et puis son attention fut attirée sur la soudaine crise de colère qui la fit s’acharner sur Shiva.
Qu’elle le frappe lui à la limite, il comprenait, elle avait l’air de le trouver plus qu’antipathique mais qu’elle tape même sur la blonde … Il commençait à se demander s’il ne lui manquait pas une case à s’te fille. Et tout ca pour une capote sale en plus, fallait pas abuser … Fin bon, il ne s’interposa pas, n’osant prendre parti pour l’une ou l’autre car il savait qu’en choisissant de défendre Shiva il aurait à subir à sa place le massacre mais s’il soutenait Sadam il était certain de se faire violer par la nymphomane T_T.

En guise de réaction tout ce qu’il trouva de bon à faire fut de descendre du lit pendant qu’elles lui tournaient le dos et de se diriger vers la porte en marchant en crabe. Avec un peu de chance il pourrait sortir sans se faire prendre et aller continuer sa nuit mais … Y’a toujours un mais, ca s’rait pas drôle sinon.
Ce trou du cul de chien profita de l’inattention de sa maîtresse pour lui sauter dessus. Il sentit les dents du monstre lui croquer la cuisse et hurla, bordel qu’elle croquait fort cette brute. En plus, étant en caleçon, il n’avait pas vraiment de quoi faire barrière au crocs immense de la bestiole.

- AHHHH, ENFOIRE DE CHIEN DE MERDE ! LACHE ! LACHE ! MAIS LACHE MOI SALE BETE ! SADAM REAGIT LA, IL VA M’ARRACHER LA JAMBE !

Henri secouait la patte mais le chien tenait bon, grognant et mordant encore plus fort pour ne pas lâcher prise. Agacé et aveuglé par la douleur, le canadien attrapa une bouteille de Shiva qui traînait sur le sol et l’abattit sur la boite crânienne du canin pour le faire lâcher. La bête couina et lâcha prise, outrée de voir qu’il opposait de la résistance, à croire que Bândo l’avait habitué à bouffer du cadavre inoffensif.
Faute de s’interposer dans la lutte des bridées il avait attiré l’attention sur lui et stoppé pour un instant l’affrontement, sa cuisse pissait le sang, il sentait sa jambe s’engourdir.

- P’tin y m’a bouffé l’artère s’t’enculé ou quoi !

[Stop, j’vais pas pouvoir faire semblant de vivre plus longtemps là XD]

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[HJ : Archi-merde, j’préviens]

Shinya vit son amie s’énerver de plus en plus. Mais pour le moment elle ne s’alertait pas vraiment. Il arrivait souvent à Bandô de se mettre en fureur pour un détail futile contre son amie et de finalement retrouver le sourire instantanément. Ses allusions sur sa vie sexuelle étaient quotidiennes, elle n’y prêtait plus franchement attention. Elle répondit en recrachant de la fumée avec désinvolture :

« Rrrrah… J’compte pas le nombre de cadavres ou de membres découpés qu’tu ramènes ici… Alors, ça va hein… »

Son amie lâchait donc brusquement le larbin. Elle évoquait le fait qu’il soit pédé. Shinya lui jeta un regard en biais. Homo ? C’te larve, ça avait des goûts sexuels définis ?

« Eh Flash… Tu m’étonnes là ! Pédé ? Rrrah t’as assez de force de caractère pour choisir un camps ? Moi j’te voyais bien en soubrette violée par tout c’qui passe… »

Le miroir explosa. Oups. Que s’était-il passé ? Shinya tourna la tête et vit son amie lui foncer dessus. Elle atterrit nue sur le sol. Avec une agilité qui lui valait d’avoir une réputation de très bonne partenaire sexuelle, elle évita plusieurs bouteilles mais Bandô n’était pas non plus la dernière des handicapées. Une bouteille en verre la frappa à la tempe. Un léger étourdissement et deux autres bouteilles explosaient contre son dos. Elle reçut enfin une lampe d’appoint, un paquet de bouquins poussiéreux tellement ils avaient servis et une chaise en bois :

« Rrrah merde… C’est Hiroshima… »

Shinya repoussa les objets amassés autour d’elle et se leva avec difficulté. Elle marcha sur les bouts de verres et commença à mettre du sang partout. Elle sauta sur son lit et extirpa les morceaux de bouteille de ses pieds pour les jeter par terre :

« Si tu voulais de l’ordre, c’était pas la peine de foutre encore plus le bardak. En plus ton clebs est en train de mettre en lambeau notre future femme de ménage ! »

En effet, il s’était mis à hurler et le chien ne semblait pas vouloir lâcher prise. Il allait falloir qu’il aille à l’hôpital…

Invité

[Hj : Oups -__- J’avais comme qui dirait zappé ce topic w_w]

Henri tenta une fuite désespérée mais c’était sans compter sur le molosse qui lui déchiquetait la cuisse… Bāndô voulut le rappeler à l’ordre, mais horreur... le Gamma s’en prenait à son bébé… Contrairement à ce qu’il pensait, le beauceron était un chien d’attaque, qu’elle avait dressé pour qu’il finisse ses victimes : après le coup, sa rage se galvanisa et il fut prêt à fondre à nouveau sur Henri, mais la nippone le siffla, avant de le prendre par le collier pour le ramener à elle.

« Oh connard, tu m’écoute oui ou merde ? »

Le chien se plia à sa maîtresse, ne lâchant pourtant pas sa proie du regard. Urushima en profita pour répondre à Shinya, qui rétorquait alors face aux remarques de son amie.

« Mes cadavres ne risquent pas de te réveiller la nuit et encore d’en pisser partout, pour faire de cette chambre : Foutre-Land… »

Lâchant son molosse, elle le congédia d’un coup de pied aux fesses, ne se souciant guère de ses blessures : il avait été le meilleur lors des combats de chiens qui lui rapportaient tant d’argent par le passé, ce n’est pas cette égratignure qui allait le mettre à mal...

« Allez dégage toi… File on t’as assez vu… »

Le beauceron s’échappa dans les couloirs, sous le regard dur de sa maîtresse, qui reporta son attention sur Henri…

« Moi j’ai bien envie de le castrer. Il évitera de me dégoûter à l’avenir comme ça… Et aussi, lui faire faire une liste des gays d’Harvard, un bon coup de délation histoire que j’aille en martyriser d’autres. Et je foutrais toutes leurs couilles dans la benne à ordure du parc. Si y’en a qui voudront les récupérer…j’espère qu’ils connaissent leur anatomie par cœur… Tu me diras, à se sodomiser à tire-larigot, ils doivent la connaître sous tous les angles…»

Se frottant les mains, elle pêcha le Gamma, le prenant par le dos de la chemise.

« Mais en attendant, t’as touché mon clebs… t’as du cran, mais j’veux voir si tu vas jusqu’au bout : montre moi si tu sais voler ! »

Henri put sentir que la gravité avait légèrement changé : il se fit tout bonnement défenestrer… On espérait pour lui que quelque chose ou quelqu’un pourrait amortir sa chute…

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La main crispée sur la cuisse, Henri assistait impuissant à sa propre perte. Tout ce sang qui coulait sur le sol, il n’avait jamais imaginé en avoir autant à perdre. Et s’t’enfoiré de clebs qui le regardait avec des yeux limite amoureux, s’imaginant sûrement qu’il allait pouvoir lui bouffer autre chose d’ici peu.
Soufflé, tout bonnement soufflé le Spencer. Ces deux connasses continuaient leur conversation sperme and co tant dis qu’il pissait le sang et qu’il se sentait déjà tourner de l’œil. Abattu, découragé, il n’essaya même pas de se faire remarquer pour attirer l’attention, à quoi bon. Gros soupire, titubage, horreur face à l’éventualité de se faire couper les couilles et puis plus rien.
La dernière vision qu’il eut fut ses pieds qui pataugeaient dans le vide. A peine le temps de pousser un hurlement de désaccord qu’il se fracassait sur le capot d’une voiture qui stationnait sur le parking des dortoirs.

Henri perdit connaissance, le choc, les coups, le manque de sommeil, son sang qui se faisait la male … Trop d’un coup pour le camé qui gisait inanimé sur la voiture défoncée. Personne sur le parking pour l’aider, les élèves étaient encore en cours et puis, qui viendrait aider un cloporte en calbute et à moitié mort sur le capot d’une voiture dont l’alarme hurlait à réveiller les morts.

Mort ? Non, c’est résistant les parasites … Dans le coma ? Possible … Maintenant en tout cas il ne pourrait plus tomber plus bas. Il devait avoir quelques côtes de cassées, le coccyx en miette, la jambe bonne pour l’amputation et l’encéphale en purée pour chérubin de 6 mois mais " à part ca " rien de grave. Une prière peut-être ? --> Que le chirurgien de Cambridge soit bon T_T.

Putain c’était pas croyable ca … Les bridées avaient décidé de l’asservir mais si elles s’amusaient à jouer celle qui lui casserait le plus d’os possible, il n’allait pas survivre longtemps le Canadien, résistant ou non.

[Tuez moi pas hey !]

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Miranda fit son entrée à Harvard, un petit kreno réussit, la voila sortit de la voiture… Elle commencait son travail de prof’ de ciné demain, autrement dit, elle allait commencer à torturer toute une bande de chérubins demain… Mais elle avait quelques papiers à régler au secrétariat, elle avait eu du mal à le trouver ce boulot la bougresse ! C‘est qu‘elle en avait écumé des universités et des universités, mais toutes lui avaient fais le coup du « on vous rappellera, vous n‘avez pas le profil, tout ça à cause d‘un stupide coup de pied mal placé à son ancien employeur, mais elle n‘allait tout de même pas se laisser sauter sans se défendre quand même ? Mais le doyen d‘Harvard, avait eu l‘extrême délicatesse de lui laisser une chance, sans doute attendri par son histoire, pourtant, elle n‘avait pas apporté les violons la Miranda, elle l‘avait même mit en garde que si il lui faisait ne serait ce qu‘une petite avance, il était bon pour la casse lui aussi…
Tiens en parlant de casse, elle arrivait bien tiens ! Sous l’effet de la drogue, Spencer la prendra surement pour un ange, son ange, celui qui l’évitera de finir sa piteuse, voir pitoyable, existence sur le toit ce cette stupide bagnole…

Miranda descendit donc de son véhicule, avec un peu de difficultés, étant petite, et son 4/4 assez haut, bip bip, fermé à clef…Elle releva donc le regard, pour jauger à quoi ressemble ce parking pour gens friqués…
Son regard se promena de voitures en voitures, il y avait même une limousine ! C’est pour dire, mais son regard s’attarda sur la plus piteuse de toute les voitures garées dans ce parking…

C’est pour la déco qu’ils mettent un jeune a moitié mort sur le toit ou quoi ?

Sa phrase pleine de cynisme sortit, elle se précipita vers la voiture, lancant un regard noir à l’élève qui ne pourrait jamais le voir, ce regard noir c’était parcequ’il allait l’obliger à monter sur la voiture, elle s’execute, c’était presque comique d’ailleurs…

Eh oh ! Mon gars, c’est pas le moment de clapser !

Elle lui colla une paire de giffle, de toute ses forces , voila ce qui en coûte de déranger Miranda Farrel, puis prit son portable en main, hop, on appelle les urgences !

Allo…Euh, il faudrait m’envoyer une ambulance au parking d’Harvard, y a un élève qui se l’est joué j’ai des ailes
…
Ah oui…Les premiers secours…
…
Bon j’ai compris !! Grouillez vous maintenant…

Elle s’executa donc, les premiers secours étaient en marche, bouche à bouche, massage cardiaque….D’ailleurs, le bouche-à-bouche était un véritable suplice, c’est vrai quoi…Il ne pouvait pas soigner son haleine le bougre ?
Quelques minutes plus tard, l’ambulance arriva, prete à embarquer le jeune homme qui semblait dans un état semi comateux…
Le chauffeur lui demandant si elle montait avec lui, elle repondit affirmativement, elle allait pas laisser crever ce jeune homme tout seul quand même...
Elle le regardait, se demandant si il allait ouvrir les yeux avant d'arriver à l'hopital...

Invité

[Suite à l'hopital, on va pas flooder dans un sujet qui à rien à voir avec ma "mort précoce" -_-, je crée.']

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